Un forum est généralement codé en PHP (ou autre langage permettant de construire dynamiquement des pages HTML, ASP, JPS, etc.). En effet, il s'agit d'avoir une zone non-statique (le contenu change en fonction des participations) sur son site au sein de laquelle échanger avec les visiteurs.

Il existe deux façons de procéder, le créer ou utiliser un forum déjà créé.

Le créer soi-même

Il est possible de créer son forum en le codant en PHP/ASP/JSP... avec ou non une base de données MySQL (ou autre Sybase, SQL Server...).

Pour apprendre le PHP, voici quelques liens :

• www.php.net (doc officielle)
• www.commentcamarche.net
• www.asp-php.net
• www.allhtml.com
• www.lephpfacile.com

Vous pourrez en trouver d'autres par l'intermédiaire de Google bien sûr, exemple : Google : PHP+tutoriel

Pour mieux comprendre le fonctionnement de MySQL, je vous conseille ces documentations :

• dev.mysql.com ( doc officielle)
• Base de données
• Installation de MySQL

Pour créer l'arborescence d'un forum à l'image de celui de CCM, un excellent tutoriel est en ligne à cette adresse.

Ensuite à vous de le créer suivant vos désirs et vos idées :o)

Utiliser un forum pré-créé

Il est aussi possible d'utiliser un forum pré-créé, disponible gratuitement en ligne.

Pour cela quelques liens, ils expliquent en général le fonctionnement du forum sur les sites.

PHPBB

Gratuit, nécessite une base MySQL, mais une fois sur votre site vous aurez accès au code source et vous pourrez donc le modifier afin de l'améliorer ou de lui donner un design plus en rapport avec le design de votre site :

• phpBB Site officiel de phpBB
• Comment créer un forum avec phpBB.

PunBB

Comme PhpBB, mais beaucoup plus léger (au niveau du design, sobre, mais aussi des ressources serveur requises) et forcément, un peu moins riche en fonctionnalités (les fonctions de base - et même plus- sont malgré tout disponibles, parfois en ajoutant un "mod" - sorte de plug-in) :

• www.punbb.org (EN)
• www.punbb.fr (FR)

SMF

Gratuit, reposant sur une base de données MySQL, ce logiciel est fournit avec des modules et des templates permettant de personnaliser son forum :

• Site officiel de Simple Machines Forum

Autres solutions

Ensuite via Google, vous pourrez trouver d'autres adresses pour des forums gratuits ou payants (il y en a aussi) et pour des forums hébergés sur d'autres sites (ce qui vous permet de gagner de la place sur votre hébergement et de ne pas vous plonger de suite dans la gestion d'une base de données).

Vous trouverez de nombreux forums différents sur :

• sourceforge.net
• framasoft.net

Voilà, maintenant à vos éditeurs et bon travail sur vos sites :o) Ce document intitulé « Créer facilement un forum sur son site » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Vous avez sûrement remarqué la présence d'une icône à gauche de l'URL dans la barre d'adresse de votre navigateur sur certains sites web ?

Pour mettre en place ce type d'icône sur votre propre site web il n'y a rien de plus simple.

Créer la favicon

Il y a plusieurs méthodes :

• Un logiciel de dessin (Gimp, pixia, inkscape...) (voir logiciels de graphisme)
• Un logiciel spécialisé (je conseille IconEdit32 ou encore IconWare)
• Un site web (qui transforme une image en favicon):
  • http://www.html-kit.com/favicon/
  • http://www.favicon.fr/
  • http://www.favicon.co.uk/
  • http://www.favicon.hu/
  • http://tools.dynamicdrive.com/favicon/
  • http://favikon.com/

Pour la plupart des navigateurs

Il suffit dans un premier temps de créer une image au format png ou gif (formats standards, à utiliser).
(on peut également utiliser des formats plus rares, voir le lien en fin de page).
Vous pouvez choisir plusieurs dimensions, 16x16 ou 32x32 (en pixels).

Pour Internet Explorer

Comme d'habitude, IE ne respecte pas les standards et n'utilise pas les images avec les bons formats.
Pour ce navigateur, il faut utiliser une image ou format ico (ou bmp renommée) (non standard, à éviter de préférence) , et de dimensions 16x16 pixels.

Pour créer une favicon animée ou générer simplement un fichier ICO

Cet outil vous permettra non-seulement de générer un fichier ICO facilement mais aussi d'animer votre favicon et de faire défiler du texte si vous le souhaitez.

Cliquez sur le bouton Parcourir... et choisissez une image se trouvant sur votre ordinateur.

Vous pouvez aussi rajouter du texte qui défilera après votre icône, cela générera automatiquement une icône animée.

Enfin, il est également possible de générer une icône animée sans texte en cochant la case Animated Favicon : c'est alors le favicon en lui-même qui semble défiler.

Validez ensuite en cliquant sur le bouton Generate Favicon.ico

Vous aurez ensuite un aperçu de votre favicon.

Il vous suffit alors de télécharger le fichier zippé sur votre ordinateur.

Après avoir décompressé le fichier téléchargé, copier le fichier favicon.ico vers votre site.

Si vous avez téléchargé une icône animée, le fichier ZIP contiendra également un dossier Extra qui contient votre favicon animée, copiez alors animated_favion1.gif vers votre site.

Mettre la favicon en ligne

Il faut ensuite déposer la favicon sur votre site, et indiquer son chemin via la balise link dans les balises d'en tête head.
Voici un exemple avec une image au format png :

<link rel="icon" type="image/png" href="/images/mafavicon.png" />

Selon le format, c'est l'attribut "type" qui change :

• Format png : image/png
• Format gif : image/gif
• Format jpeg (extension jpg ou jpeg) : image/jpeg

Et si vous avez une favicon qui ne respecte pas les standards, l'attribut "rel" change également :

<link rel="shortcut icon" type="image/x-icon" href="/images/icone_ie.ico" />

Il est également possible de déposer un fichier favicon.ico à la racine du site pour que certains navigateurs l'utilisent automatiquement, mais ce n'est pas standard.

Si votre icône est animée (GIF)

Insérez la balise suivante :

<link rel="icon" href="/images/animated_favicon1.gif" type="image/gif">

Notes

• Si vous utilisez une icône dans un format standard mais aussi une autre au format ico, évitez de placer cette dernière à la racine : les navigateurs l'afficheront si ils ne trouvent pas l'image au format png.

A voir

Explication et méthode en détails

Lire la suite

Créer un site beau, dynamique et respectueux des standards »

Voici une liste de liens qui vous aideront à mieux exploiter les standards (HTML, CSS, DOM...) pour créer des sites plus beaux, plus dynamiques et plus respectueux des standards.
A la fin de cette page, il y a également une liste de validateurs.

Liens

En français

openweb.eu.org
Ce site vous expliquera les normes du W3C et leur intérêt (avec de très nombreux exemples). Par exemple, il vous montrera comment créer pas à pas un menu dynamique (qui fonctionnera sous tous les navigateurs).

www.allhtml.com
Un grand classique avec de nombreuses astuces et références.

Les erreurs de conception de site web à éviter à tout prix :
sebsauvage.net

A lire sur CCM :

• Conception du site web
• Ergonomie
• Navigation
• Design
• Contenu

En anglais

www.alistapart.com
De nombreux articles sur des astuces pratiques pour vos sites web (comment faire des menus, des CSS spécifiques pour l'impression, etc.) :

www.csszengarden.com
(Version française )
Une démonstration magistrale sur l'utilisation des CSS.
Cliquez sur un des styles proposés : la page HTML reste la même, seule la feuille de style change.
Cela vous montre toute la puissance des CSS.

www.w3schools.com
Littéralement "l'école du W3C".
De nombreux cours pour apprendre à se servir des CSS, DOM, etc.
Contient des exemples très pratiques et très basiques.

Voici quelques règles à respecter pour faire un site qui soit clair.
(Il s'agit d'un livre consultable entièrement en ligne).
Il vous donnera des conseils et des trucs pour améliorer l'ergonomie, la clarté et la lisibilité de votre site.

Top Ten Mistakes in Web Design

Compléments

Vous pouvez avoir un aperçu des différences de rendus entre les divers navigateurs internet via les captures d'écran :
Voir à quoi ressemble votre site ailleurs
browsershots.org

L'utilité de faire un site aux normes du W3C

Validateurs de codes

validator.w3.org/ validator.w3.org
Le "W3C Markup Validation Service". Ce site vous permettra de soumettre une url ou d'envoyer une page web afin de vérifier si les standards du web y sont respectés...
Vous pourrez retrouver aussi cette analyse automatique dans l'extension "web developer" du navigateur Firefox (voir l'onglet Validation une fois installé) :
www.chrispederick.com

Un validateur très performant.

validateur.ca/ Un validateur html multipages, très pratique pour vérifier toutes vos pages en une seule fois. Cependant, il ne supporte pas plus de 200 pages. En français.

jigsaw.w3.org/css-validator/ Le validateur de W3C

Cette analyse est également disponible avec l'extension WebDeveloper.

www.w3.org/RDF/Validator/ Le validateur Rdf, encore du W3C.


validateur-accessibilite.apinc.org/index.php Un validateur d'accessibilité Ce document intitulé « Créer un site beau, dynamique et respectueux des standards » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

A tous ceux qui veulent empêcher la copie de leurs images, leurs créations, leurs vidéos, leurs articles, etc...

Je veux empêcher les autres de copier mes images et mes pages HTML.
Comment faire ?

Réponse :

C'EST IMPOSSIBLE

Il n'existe aucun moyen qui permette d'empêcher la copie.
Toutes les bidouilles et astuces que vous pourrez trouver ne pourront jamais empêcher la copie des images.

Note de sebsauvage :
Je défie quiconque de me montrer un site Web dont je ne puisse pas recopier les images.

Note de simonpca, et de plusieurs autres : (j'en suis certain)
MOI (nous) AUSSI !
Voilà, j'espère que ça fixe les choses.

Explications

Pour que le visiteur de votre site ou blog voit quoi que ce soit, cela implique que ce soit copié temporairement quelque part dans la mémoire de l'ordinateur.

Sinon il ne pourrait pas les voir.

Cela ne sert à rien d'appliquer le plus possibles de protections, qui de plus sont lentes, lourdes, énervantes et inutiles.


La seule et unique protection dont vous disposez est une protection juridique: Le droit d'auteur.

Toute oeuvre (image, texte, musique ou autre) est immédiatement protégée par le droit d'auteur par le simple fait que vous l'avez créée.
C'est aussi simple que ça.
Et ce droit reste acquis jusqu'à au moins 70 ans après le décès de l'auteur. (Cela dépend après du type d'oeuvre : musique, littérature, ...).

Dissuader les copieurs

Voici quelques conseils pour dissuader les copieurs éventuels :

1) En cas de litige

Vous devez être en mesure de prouver la paternité de vos oeuvres.
Il existe des services payants (généralement chers), mais voici une solution simple :
Gravez vos oeuvres sur CD (ou imprimez-les), puis placez le tout dans une enveloppe à scellés que vous vous envoyez à vous-même par la poste en recommandé.
Une fois reçu, ne l'ouvrez surtout pas !

La date du cachet de la poste fera foi en cas de litige et vous aidera à prouver la paternité des oeuvres.

2) En bas de chaque page de votre site...

Placez un texte légal qui rappelle le droit d'auteur et la propriété des oeuvres, ainsi que les conditions d'utilisation de ces images (et autres).
Ainsi toute personne qui repique une de vos images ne pourra pas dire qu'elle n'était pas au courant des droits attenants à ces images.

3) Il existe des moyens techniques

Pour marquer les images :

• Mettre un texte transparent en gros en travers de l'image: c'est moche, mais c'est difficile à retirer et passera l'envie des voleurs de vous la piquer.
• Le watermarking (marquage numérique) permet d'inscrire un code caché dans les images qui peut être lu par la suite.

Mais il faut savoir que ce système est principalement dissuasif, car il existe des logiciels capable de faire sauter ces marquages.
Il existe plusieurs systèmes différents de watermarking. La plupart sont payants (et chers !).
Un exemple : Digimarc

Ce moyen s'appelle la Stéganographie

Que faire quand on constate une copie ?

1) Contacter le Webmaster

Tout d'abord, prenez contact avec le webmaster du site en question, et demandez-lui gentiment (mais fermement) de retirer les images.
(En précisant lesquelles posent problème sur son site.)
La grande majorité des webmasters obtempéreront.
Certains webmasters ne sont même pas forcément directement les responsables, ne les enflammez donc pas.
Restez calme et poli dans vos mails.
Et donnez au webmaster un petit délai pour la réponse (oui, certains webmasters partent parfois en vacances 2 ou 3 semaines !).

2) Contacter l'hébergeur

Si le webmaster ne répond pas (au bout d'un mois par exemple), ou s'il vous envoie bouler, contactez l'hébergeur du site.
La grande majorité des hébergeurs rappelleront les webmasters à l'ordre, ou s'ils n'obtempèrent pas, fermeront carrément leur site.

3) En dernier lieu, porter l'affaire en justice

Si l'hébergeur ne réagit pas non plus, vous avez la solution d'attaquer en justice si vous en avez le courage.
Mais rappelez-vous que vous devez être certains d'être en mesure de prouver la paternité de vos oeuvres (le système des enveloppes en recommandé par exemple).
Prenez soin d'attaquer la personne qui a placé l'image (ce n'est pas forcément le webmaster !). Et n'attaquez pas non plus l'hébergeur: ce n'est qu'un intermédiaire technique.

Les Creative Commons, à découvrir pour un copyright flexible

Les licences Creative Commons sont ce qu'il y a de plus flexible comme licence. Elles s'appliquent "à tout ce qui est créatif". En fait, presque tout sauf les programmes. Vous pouvez choisir de mélanger au plus trois des restrictions suivantes:

by: Paternité : Si quelqu'un fait une réutilisation/dérivé de votre travail, il doit mentionner votre nom en tant qu'auteur du document original .

nc : Pas d'utilisation commerciale : C'est assez parlant...

sa : Partage selon des conditions initiales à l'identique : les réutilisations/dérivés doivent être diffusés sous la même licence (ou équivalent) que l'original.

nd : Pas de modifications : Les dérivés sont interdits, seuls les réutilisations sont permises.

On mélange alors ces restrictions pour former des contrats Creative commons:
by, by-nd, by-nc-nd, by-nc, by-nc-sa, by-sa.

Pour plus d'infos: www.creativecommons.org et fr.creativecommons.org/

En fait, cela ne peut pas empêcher des gens mal intentionnés de prendre vos images, mais ça peut les copyrighter de façon plus flexible.

Note : Si l'on veut copier une image il existe par exemple une impression d'écran (screenshot) qui fonctionne bien, mais également l'appareil photo ... tout simplement, imparable !

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[Webmaster] Afficher une image de grande taille »

Pour la plupart des internautes, afficher une image de grande taille dans une page web est trop lourd.

Zoomify est un petit programme Flash qui permet de rendre une image zoomable et navigable, et chargeant l'image par morceau selon le besoins.
Exemples
C'est la version gratuite de Zoomify qui a permis de créer les 2 images navigable ci-dessus.
Vous pouvez la télécharger pour Windows et Macintosh et créer gratuitement (et sans royalties) vos propres images zoomables.
Mise en place:

1)Lancez Zoomify et sélectionnez l'image à traiter.
Attendez la fin du traitement (qui peut être assez long).

2)Cela va créer un dossier contenant un fichier ImageProperties.xml ainsi que un ou plusieurs sous répertoires (TileGroup...)

3)Copiez zoomifyViewer.swf dans le même répertoire que ImageProperties.xml

4)Prenez le fichier Template.htm fourni, copiez-le dans le même répertoire que ImageProperties.xml et renommez-le en index.html

5) Editez le fichier index.html et remplacez: zoomifyImagePath=
par: zoomifyImagePath=.
(2 fois dans le document).

6)Ouvrez le fichier index.html avec votre navigateur pour tester.

C'est bon !
Vous n'avez plus qu'à envoyer tout ces fichiers (ainsi que les sous-répertoires) sur votre site web.

Notez que vous pouvez ajuster des paramètres:
<OBJECT ... WIDTH="750" HEIGHT="450">
et <EMBED ...WIDTH="750" HEIGHT="450">
pour changer la taille d'affichage.

Ou encore ajouter BGCOLOR=#000000 dans les 2 balises ci-dessus pour avoir un fond noir.
Je vous recommande, quand c'est possible, de permettre quand même aux internautes de télécharger l'image complète en un seul fichier (certains internautes préfèrent pouvoir consulter l'image hors-ligne avec leurs propres logiciels).
Zoomify est particulièrement utile pour les documents scannés.

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[Webmaster] Voir à quoi ressemble votre site ailleurs »

Vous développez votre site. Vous êtes conscient des différences de prise en charge des standards par les différents navigateurs sur les différentes plate-formes. Vous avez besoin de savoir comment les autres utilisateurs verront votre site.
Quelques solutions :

iCapture

• iCapture
• Navigateur: Safari
• Description: Permet de voir des "screenshot[s] taken in the last 72 hours"

BrowsrCamp

• BrowsrCamp
• Navigateur: Safari
• Description: Propose un service payant pour les autres navigateurs sur Mac OS X. Nécessite un client VNC

ieCapture

• ieCapture
• Navigateurs: Internet Explorer, Firefox, Opera
• Résolutions: 1024x768, 800x600, 640x480
• Description: Demande d'être (très) patient

Scapture

• Scapture
• Navigateur: Mozilla Firefox, Konqueror, Opera, Dillo, Lynx (mode texte), Links (mode texte)
• Résolutions: 800x600, 1024x768, 1280x1040
• Description: Conserve des archives de captures anciennes

Browsershots

• Browsershots
• Navigateurs: Firefox, IE, Opera, Safari, Konqueror, Galeon, Dillo, Epiphany...
• Résolutions: 640x480 à 1600x1200.
• Description: Un grand nombre de navigateurs dans différentes versions

Lynxview

• Lynxview
• Navigateur: Lynx (mode texte)
• Description: "Ce service est prévu pour être utilisé par les développeurs de contenu, sur leurs propres pages."

Browser Cam

• Browser Cam
• Description: Une solution payante pour presque tous sur Windows, Mac et Linux :

Sources :

• www.webstandards.org
• www.wikini.net
• unearaigneeauplafond.be

Selon vos besoins, vous pourriez être intéressés par les solutions logicielles à installer sur sa propre machine.

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[Webmaster] Créer son flux RSS »

Créer votre flux RSS permettra aux internautes qui consultent votre site d'être immédiatement informé des mises à jour.

C'est important: Il semble qu'une certaine catégorie d'internautes ne visitent même plus les sites qui n'ont pas de flux RSS.
Vous avez donc tout intérêt à en avoir un.


Ce n'est pas très compliqué, voici comment procéder

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Comment faire son site à partir d'un portail Web (GuppY) »

Vous voulez créer un site pour partager des fichiers avec vos amis, pour avoir un forum, ... ?
Vous ne vous y connaissez pas du tout en HTML, en PHP... ?
Ce n'est pas grave !

Il y a ce qu'on appelle des portails Web. Entre autres, il y a GuppY (qui est gratuit).

GuppY permet de générer très rapidement un site web complet et interactif, sans aucune connaissance technique.

ATTENTION: GuppY n'est pas un éditeur HTML.

Alors GuppY, comment ça marche ?

Il y a juste à télécharger ce fichier

Il faut ensuite le dézipper, et voilà votre site Web est prêt !
Il suffit de l'uploader sur votre serveur, celui de votre FAI ou d'un autre hébergeur.

Si vous voulez tester GuppY sur votre ordinateur avant de le mettre sur serveur : téléchargez EasyGuppy, tout y est expliqué, il n'y a rien à faire (à part installer)

Qu'est ce que je peux faire avec GuppY ?

GuppY propose l'ensemble des fonctionnalités classiques d'un portail web :
- News
- Articles
- Annuaire de liens
- Section téléchargements
- Diaporama de photos
- Livre d'or
- Forum
- FAQ
- Sondage
- Compteur de visites
- Compteur de clics et de téléchargements
- Newsletter
- Zone d'administration (administration différenciée optionnelle)
- Zone membre optionnelle
- Présentation bilingue (français/anglais)
- etc ...

Et si je veux rajouter quelque chose, comment je fais ?

GuppY est open source, c'est à dire que si vous vous y connaissez en PHP, allez-y ! C'est pour vous, vous pouvez tout changer et remodeler à votre sauce.

Mais moi, je ne m'y connais pas du tout en PHP !

Pas de problème, d'autres y ont déjà pensé à votre place !
Vous pouvez ajouter des plugins, voici quelques liens où vous trouverez les principaux:
www.guppyland.org
jmmis.free.fr
www.ghazette.com
Voici les principaux mais la liste est ici :
www.freeguppy.org

Montrez-moi comment installer GuppY et ce que ça peut faire !

Voici une petite vidéo qui va vous expliquer comment installer GuppY, ainsi que quelques fonctions de base
(4,6 Mo, nécessite le plugin Flash)
sebsauvage.net

Autres vidéos

Conseils

Je vous recommande d'installer le plugin "Adm-Members" qui vous permettra de gérer les membres de votre site avec login/mot de passe (ainsi que les inscriptions, la gestion de mots de passe oubliés, blocage de comptes, etc.).
Cela vous permettra également d'attribuer des droits de rédacteurs à certains de vos membres.
www.monptitnet.net/articles.php?lng=fr&pg=59

Quelques Liens

Pour plus d'infos

www.freeguppy.org
www.freeguppy.org
fr.wikipedia.org

Quelques sites basés sur Guppy

www.freeguppy.org
www.guppyland.org
membres.lycos.fr

Autres liens

Guppy pré-packagé avec Adm-Members (gestion des membres) et GuppyZip (sauvegarde du site):
www.sebsauvage.net/logiciels/guppy.html#guppy_seb

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[Webmaster] Protéger les adresses email contre les bots »

Protéger les adresses email contre les bots

Vous êtes webmaster et pour une raison x, vous stockez l'adresse email de plusieurs membres de votre site . Ces adresses sont consultables dans leur profil (ex: forum, blog etc....).

Or, aujourd'hui, de très nombreux bots parcourent internet. Les bots sont des programmes qui se balladent sur les pages internet (tous ne sont pas animés de mauvaises intentions) et certains d'entre eux ont été conçus pour analyser les pages web et extraire les adresses email que celles-ci contiennent. Ces bots peuvent donc se rendre sur la page de la liste des membres d'un forum puis collecter toutes les adresses email. C'est une des démarches des spammeurs pour se construire un carnet d'adresse conséquent.

Comment faire pour protéger ces adresses alors?
Malheureusement il n'y a pas de solution miracle. Mais on peux au moins limiter les dégâts avec quelques bidouillages.

I Limiter l'accès des profils aux membres

C'est la technique utilisée par CCM ;-)
Celà consiste à ne laisser l'accès des profils de vos membres que pour les membres authentifiés sur le site. Tout visisteur anonyme se verra refuser l'accès à ces profils.

Avantages : Si un bot se contente de parcourir des sites au pif sans en viser un particulier, ça peut fonctionner. Le bot ne saura pas forcément qu'il doit s'authentifier.

Inconvénients: Si l'algorithme du bot est un peu plus élaboré, il essaiera peut être de se créer un compte sur le site en question pour obtenir plus de privilèges. Pour l'inscription sur votre site, n'hésitez pas à employer des images contenant du texte que l'utilisateur doit recopier, cela en arrêtera une bonne partie. L'ordonnancement des lettres dans l'image doit être complexe (toutefois il faut aussi penser aux malvoyants). De même tous les bots ne font pas toujours une recherche globale sur plusieurs sites. Certains bots peuvent viser des sites particuliers. Ils peuvent utiliser un compte et se ballader sur le site avec...

II Utilisez des images

Lorsqu'un bot cherche une adresse email, il va plus facilement faire une analyse du texte dans la page. Si vous mettez du texte dans une image, un bot peu complexe ne cherchera pas à l'analyser. Voilà encore une méthode qui peut limiter les dégâts. En utilisant une fonction qui affiche les adresses emails sous forme d'images dans les profils des membres, vous limiterez déjà un peu plus les dégâts. Plus astucieux encore: pourquoi ne pas générer une image par caractère et aligner ces images les unes après les autres pour former l'adresse? Pour l'utilisateur, cela peut être tout à fait transparent, mais pas pour un bot.
Si vous ne savez pas comment implémenter cette fonction sur votre site, n'hésitez pas à demander ici sur le forum programmation ou webmastering.
Note: Dans ce genre de cas les adresses doivent rester lisibles, évitez l'ordonnancement complexe des lettres. Ca peut vite devenir fatiguant pour vos utilisateurs.

Avantages: Pour faire face à un bot peu complexe qui ne s'arrête qu'au texte c'est bien.

Inconvénient: Une image met plus de temps à charger que du texte. Et les utilisateurs ne pourront pas faire de copier coller d'une adresse email. De même, certains bots plus élaborés peuvent avoir une fonction d'ocr:
http://fr.wikipedia.org/wiki/OCR
Et là, l'utilisation des images devient parfois insuffisante.

III Utiliser des applets

On peut utiliser des applets, c'est à dire des petits programmes qui s'executent sur le navigateur, pour afficher une adresse email. Exemples: flash et java.
Malheureusement, je ne saurais pas décrire l'efficacité de ces méthodes
car je ne sais pas comment sont ordonnées les chaînes de caractères dans ces applets. Mais au moins ce sera plus efficace que des adresses écrites dans du texte directement sur la page.

Avantage: L'adresse est mieux cachée face à un bot peu élaboré.

Inconvénients: Il existe des bibliothèques permettant de faire de la retro-conception (analyse des composantes d'un programme) sur ces applets. Un bot peut utiliser ce genre de bibliothèque pour retrouver une adresse email.
De même, le navigateur de l'utilisateur doit supporter ces applets, même s'ils sont standards, cela peut gêner une petite part de vos utilisateurs.
Et dans le cas de java, le temps de chargement de la machine virtuelle, qui exécute les applets, est long parfois.

IV Relayer l'envoi des mails et messages personnels

On cherche une adresse pour avoir une conversation privée avec un autre membre d'un site. Ils veulent discuter entre eux? Pourquoi ne pas implémenter une fonction de messagerie privée sur le site (méthode utilisée par le forum PhpBB par exemple). Ou bien pourquoi ne pas prévoir une fonction pour envoyer des mails depuis votre site aux autres membres (également utilisé par phpBB)? Celui qui écrit le mail n'a pas besoin de connaître l'adresse du destinataire pour ça. C'est le site qui se charge de l'envoi, et l'adresse de provenance sera une adresse email du site (avec le pseudonyme du membre qui envoie le mail bien sûr....).

Avantages: Là au moins il n'y a pas de soucis, l'adresse reste cachée, l'envoi se passe du côté du serveur de votre site.
Si l'envoyeur veut la vraie adresse email du destinataire, il lui suffit de la lui demander par ce biais.

Inconvénients: Il faut une bonne confiance de la part des utilisateurs envers l'administrateur du site. Il faut, d'une part, qu'ils sachent que vous avez le pouvoir de lire ces messages vous même (puisqu'ils passent par votre site), et d'autre part qu'il sachent que vous ne le ferez pas :-) (j'espère pour eux et pour vous en tout cas).
Pour l'envoi du mail, utilisez une adresse mail de provenance qui n'appartient à personne, si le membre veut répondre au mail, il peut le faire par inadvertance à l'adresse de provenance du mail. Un mail envoyé à cette adresse doit être automatiquement détruit par le biais d'un programme.

V Utilisation d'un script

On peut utiliser un langage de script exécutable sur le navigateur (le plus standard étant javascript). Vous pouvez utiliser une sorte "d'assombrissement" de la source de vos pages. L'adresse email est dans la source de la page mais on ne peux l'obtenir que par le biais d'une analyse spécifique. Par le biais d'un script javascript, vous pouvez afficher l'adresse sur la page sans que celle-ci ne soit facilement visible dans le code source.
Pour l'algorithme, vous pouvez faire comme vous voulez, pourvu que celui-ci soit un minimum complexe.
Exemple pour afficher "adresse@domaine.prout"

<script language="Javascript">
	
	function victor_hugo()
	{   
		maupassant=new String("adresseemileajardomainejeanbaptistepoquelinprout");
		gary="emileajar";
		moliere="jeanbaptistepoquelin";
		maupassant=maupassant.split(gary);
		maupassant[0]+="@";
		maupassant=maupassant[0].concat(maupassant[1]);
		maupassant=maupassant.split(moliere);
		maupassant[0]+=".";
		maupassant=maupassant[0].concat(maupassant[1]);

		return maupassant;
	}
	document.write(victor_hugo());
</script>

Avantage: Un bot simple ne devrait pas être en mesure de trouver une adresse cachée de cette manière.

Inconvénients: Oui mais certains de vos utilisateurs ont peut être désactivé le javascript sur leur navigateur. Ou
peut être que leur navigateur ne supporte pas le javascript (c'est quand même rare). Et il ya très certainement des bots capables d'intepréter du javascript, donc de retrouver uen adresse :-(

VI Laissez le choix à vos utilisateurs!!

Durant l'inscription sur votre site et même après, et même avant, vos utilisateurs DOIVENT avoir la possibilité de décider s'ils acceptent de dévoiler publiquement leurs informations personnelles ou non. Si oui, Ils doivent pouvoir décider quelles informations personnelles il acceptent de dévoiler. Ca fait partie de la législation en vigueur. En d'autres termes, c'est la loi. Il n'y a donc pas, sur ce sujet, d'avantages ou d'inconvénients qui tiennent : c'est une obligation.
De même, l'utilisateur doit pouvoir décider si ces informations ne seront accessibles qu'aux administrateurs du site, ou bien par tous les membres, ou encore les visiteurs anonymes, ou encore personne comme je l'ai expliqué précédemment.
Avoir le droit à un choix aussi précis du niveau de diffusion des informations personnelles, je ne sais pas si ça fait partie de la loi (à vérifier), mais vos utilisateurs doivent au moins avoir le choix de refuser la diffusion de leurs informations personnelles sur votre site si votre site les possède. (là c'est la loi).
De même, un utilisateur averti saura utiliser ce genre d'option pour se prémunir de la récolte de son adresse email par un bot.

Conclusion

Vous ne pourrez jamais être sûr de cacher des adresses email, affichées sur un site, à un bot. La quatrième solution est la plus avisée, mais elle n'est toujours pas sûre: vous stockez vos adresses email dans une base de données : que se passe t'il si quelqu'un parvient à s'y introduire?
Dites vous bien que certains bots peuvent redoubler d'ingéniosité....

Lire la suite

[Webmaster] Empêcher l'aspiration de mon site »

Méthode 1 : Le fichier robots.txt

Ce fichier sert à donner des instructions aux robots des moteurs de recherche qui se baladent sur les sites. Vous pouvez leur indiquer les URL à suivre ou ne pas suivre. Vous pouvez même donner des directives différentes pour chaque moteur de recherche.

Voir l'article correspondant.

Problèmes liés aux robots-rules

Cependant, la méthode du robots-rules n'est pas totalement efficace:

• Certains moteurs ne respectent pas les robots-rules.
• Certaines logiciels peuvent être configurés pour ignorer ces directives (par exemple HTTrack)
• Certains très mauvais robots vont exprès suivre les URLs que vous leur avez demandé de ne pas suivre.

Méthode 2 : Un peu de programmation

Voici une méthode particulièrement efficace pour empêcher les robots de ramasser tout votre site, mais elle nécessite de modifier chaque page de votre site.

Voici l'astuce:

• Incluez dans toutes vos pages un GIF transparent de 1x1, placé à un endroit totalement incongru dans la page.
• Faite un hyperlien de cette image vers une URL spéciale de votre site (par exemple /dontclickme.php)
• Dans cette page dontclickme.php, ajoutez l'IP dans la liste des IP à bannir (par exemple dans une table mySQL). Banissez cette IP pendant 30 minutes ou 1 heure.
• Et dans chaque page de votre site, quand une requête arrive, vérifiez que l'IP ne fait pas partie des IP bannies.

Ainsi:

• Les internautes normaux ne cliqueront jamais sur cette image invisible minuscule. Ils ne seront donc pas bannis et pourront naviguer sans problème sur tout votre site.
• Les robots, eux, tentent de suivre tous les liens, et suivront donc également ce lien: Ils seront immédiatement bannis.

Notez que cette seconde méthode n'est pas non plus fiable à 100%: Il est toujours possible de configurer les logiciels (comme HTTrack) pour éviter soigneusement votre URL de bannissement (dontclickme.php).
Elle est cependant très efficace et arrêtera la grande majorité des copieurs.


Cependant, n'oubliez pas que certains internautes n'ont pas toujours un accès aisé à une connexion internet, et que récupérer le site en local est peut-être le seul moyen pour eux de consulter votre site.
Agissez avec parcimonie.

Liens

Voici un lien complémentaire donnant d'autres méthodes:

• www.fleiner.com/bots/

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[Webmaster] Faire une redirection »

Les différentes solutions sont présentées de la meilleure (.htaccess) à la moins bonne (JavaScript).

Un .htaccess

Le .htaccess est à placer dans le répertoire qui doit être redirigé.
On applique une redirection de cette façon :
RedirectPermanent chemin-relatif adresse
Exemple :

RedirectPermanent /logiciels/ http://logiciels.monsite.com/ 

Voir aussi :
http://httpd.apache.org/docs/1.3/mod/mod_alias.html#redirectperm

Un header php

(attention : à placer avant le moindre code !)

<?php
header('Location:un chemin absolu ou relatif');?>

Voir également : PHP - rediriger sur une autre page (redirection)

Une balise meta

A placer entre les deux balises head de votre fichier :

<meta http-equiv="refresh" content="10;url=http://www.commentcamarche.net/" />

Redirige après 10 secondes vers http://www.commentcamarche.net/

En JavaScript

A placer dans les balises head de votre page :

function redirection(page)
  {window.location=page;}
setTimeout('redirection("http://www.commentcamarche.net/")',5000);
//5000 millisecondes=5 secondes, le temps après lequel on redirige.

Redirige après 5 secondes vers http://www.commentcamarche.net/

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[Webmaster] Wiki, CMS ou blog ? »

Wiki, CMS ou Blog ?

Les wikis, CMS et Blog permettent de créer des sites web sans avoir à manipuler d'HTML.
Mais leur finalité est différente. Lequel choisir ?

• Blog : Pour poster des nouvelles, des informations, parler du temps qu'il fait.
• Wiki : Pour organiser une base de connaissances (chaque page est éditable)
• CMS : Pour gérer un ensemble de documents (les documents sont gérés dans des pages d'admin)

Vous devez choisir en fonction de votre but.


Nombre de personne qui publient ?

• Vous seul: Blog (ou à la limite le Wiki).
• Deux personnes ou plus: Wiki ou CMS. (quoiqu'il existe des systèmes de blogs pour plusieurs utilisateurs)

Nature de la publication ?

• Infos, nouvelles: Blog ou CMS
• Base de connaissances: Wiki
• Documents, photos, site officiel: CMS

Collaboration ?

• Vous seul modifiez: Blog ou à la limite CMS
• Tout le monde participe: Wiki.
• Seuls certains éditeurs/utilisateurs peuvent modifier/publier du contenu: CMS

Les CMS ont généralement une gestion plus fine des droits utilisateurs.

Pour chaque catégorie, il existe des logiciels plus ou moins complexes.
Choisissez judicieusement en prenant le logiciel:

• qui aura juste les fonctionnalités dont vous avez besoin (évitez de prendre le CMS le plus complexe).
• qui pourra - si besoin est - être facilement modifié et complété par vos propres développement (évitez les CMS dont le code source est mal documenté ou qui sont difficiles à customizer).

Liens

Voir ce lien pour plus d'informations sur un wiki : choisir et utiliser un wiki
Voici un site web qui permet de tester en ligne divers blogs, wiki et CMS opensource.
Vous avez accès au compte admin, ce qui vous permet de tester le logiciel sans problème.
(L'ensemble du système est réinitialisé toutes les 2 heures).

http://www.opensourcecms.com/

Au delà des CMS, il y a également des logiciels de gestion d'entreprise qui gère (en prime des documents), les agendas, carnets d'adresse, workflow de validation de documents et autres pour le travail collaboratif.

• http://phpgroupware.org/
• http://simple-groupware.de/cms/Main/Features
• http://www.egroupware.org/
• http://desktoplinux.labo-linux.org/fr/index.php/Open-XChange

Vocabulaire

CMS = Content Management System = Système de gestion de contenu.

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[FreeMind] Publier une mindmap dans une page web »

FreeMind est un logiciel de mindmapping.
Vous avez plusieurs possibilités pour publier votre mindmap dans une page web.

Flash

[Solution recommandée]

1)
Téléchargez le FlashBrowser: http://www.efectokiwano.net/mm/freeMindFlashBrowser.zip (51 ko)
(Voir http://freemind.sourceforge.net/wiki/index.php/Flash_browser )
et décompressez-le.

2)
Copiez mindmaps.html sous le nom de votre choix, et modifiez dans le code HTML freeMindFlashBrowser.mm par le nom de votre fichier .mm

3)
Copiez ce fichier html, votre fichier .mm, visorFreemind.swf et flashobject.js dans le même répertoire sur votre site web.
C'est tout !
Exemple de résultat: Mindmap sur l'XML.

Note: Certaines mindmap trop complexes ne s'afficheront pas correctement avec Flash. Vous devrez alors utiliser l'applet Java.

applet Java

1)
Téléchargez freemind-browser (environ 291 ko): http://sourceforge.net/project/showfiles.php?group_id=7118&package;_id=16120
et décompressez-le.

2)
Copiez freemindbrowser.html sous le nom de votre choix, et modifiez dans le code HTML:
VALUE="http://freemind.sourceforge.net/maps/freemind.mm"
par l'URL complète (absolue) de votre fichier .mm

3)
Copiez ce fichier html, votre fichier .mm et freemindbrowser.jar dans le même répertoire sur votre site web.
C'est tout !
Exemple de résultat: Mindmap sur l'XML.

Simple image PNG

Il vous suffit alors de mettre le fichier PNG dans votre page web avec une balise <img src=...>

HTML+Javascript (texte seulement)

HTML+Javascript (texte+icônes)

HTML+Javascript (texte+icônes+image mindmap cliquable)

L'image de la mindmap est cliquable, mais non interactive (les branches ne s'ouvrent pas).

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Vérifier les liens brisés d'un site web »

L'erreur 404, renvoyée par un site Web, indique que la page demandée n'a pas été trouvée à l'adresse indiquée. Il s'agit d'un des cauchemars du webmaster, car il indique généralement un lien brisé (lien mort), c'est-à-dire un lien dont l'adresse a changé. Heureusement, il existe des outils permettant de vérifier automatiquement la présence de liens brisés sur un site web.

W3C Link checker

Le W3C propose un outil simple, en ligne permettant de rechercher des liens morts dans une page ou dans un ensemble de pages en suivant récursivement les liens.
Pratique pour un usage rapide (vérification des liens d’une seule page), cet outil montre vite ses limites lorsqu’il s’agit d’analyser tous les liens d’un site Internet.

• http://validator.w3.org/checklink

Xenu's Link Sleuth

Xenu est un logiciel permettant de vérifier les liens brisés d'un site web.



La vérification est effectuée sur les liens classiques, les images, les cadres (frames), les plugins, les fonds d'écran, les feuilles de style, applet et scripts (Javascript, etc.).

Il affiche en résultant une liste d'URL mises à jour continuellement, pouvant être triée selon différents critères et pouvant faire l'objet d'un rapport personnalisé !

Autres fonctionnalités :

• Interface simple
• Possibilité de revérifier les liens brisés (dans le cas d'erreurs de connexion temporaires par exemple)
• Rapports simples dans un fichier ou par email
• Support des sites sécurisés en SSL ("[https://] ")
• Détection et prise en compte des redirections d'URL
• Support des SiteMaps

Télécharger

• Télécharger Xenu's Link Sleuth

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Publier un fichier PDF sur son site »

Sommaire:

Publier un PDF sur son site

Publier un fichier PDF en ligne est en soi une opération très simple :

• Envoyez le fichier PDF par FTP sur votre site web.
• Faites un lien dessus: <a href="monfichier.pdf">Cliquez ici pour le PDF</a>

Mais vous ne contrôlez pas la manière dont le PDF s'affichera: Selon la configuration du navigateur de l'internaute, soit le PDF s'ouvrira directement dans le navigateur, soit une sauvegarde du fichier sera proposée.
Vous n'avez aucun contrôle là-dessus.

Conseils

Indiquez dans votre page à l'internaute qu'il peut enregistrer le fichier en faisant un clic droit > Enregistrez la cible sous....

Afficher un PDF intégré à une page

Il existe quand même une astuce pour publier un PDF totalement intégré à une page web: pdf2swf.
Ce petit programme opensource permet de convertir un fichier PDF en SWF (Flash). Cela permet de l'inclure totalement dans une page web.

Téléchargement

• Téléchargement direct (pour Windows): SWFTools
• Installez-le après téléchargement.
• Site web

Par défaut, le programme est installé dans c:\swftools

Convertir un PDF en SWF (Flash)

• Copiez votre PDF dans c:\swftools
• Ouvrez une fenêtre MS-Dos, et placez-vous dans ce répertoire (cd \swftools)
• Tapez: pdf2swf -b -l monfichier.pdf

Cela va convertir monfichier.pdf en monfichier.swf

Publier le SWF

Une fois le SWF généré, il vous suffit de l'intégrer à votre page web: Envoyez par FTP le fichier SWF sur votre site web et ajoutez le code HTML correspondant:

<object width="595" height="842">
  <param name="MOVIE" value="monfichier.swf">
  <param name="PLAY" value="true">
  <param name="LOOP" value="true">
  <param name="QUALITY" value="high">
  <embed src="monfichier.swf" width="595" height="842"
   play="true" align="" loop="true" quality="high"
   TYPE="application/x-shockwave-flash"
   PLUGINSPAGE="[[[http://www.macromedia.com/go/getflashplay]e]r]">
  </embed>
</object>

Vous pouvez bien entendu modifier les paramètres WIDTH et HEIGHT pour changer la taille à l'écran.

Le fichier PDF sera consultable intégralement, avec des boutons de navigation (page suivante/précédente):



Pensez également à signaler à l'internaute qu'il a la possibilité de zoomer avant/arrière en faisant un clic droit.

Astuces et conseils

Une bonne astuce consiste également à faire un lien direct vers le fichier .SWF, ce qui lui permet de s'afficher en plein écran quelle que soit la résolution de l'écran de l'internaute (et de profiter ainsi d'une résolution maximale pour la consultation du document).

N'oubliez jamais de toujours proposer un lien vers le PDF d'origine afin de permettre l'impression pour les internautes qui le souhaiteraient (L'impression des fichiers SWF se fait mal).

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Le caractère pour écrire à l'envers »

Introduction

Comme tout webmaster, lorsque vous créez votre premier site, vous installez sans doute un logiciel comme WAMP ou EasyPhp. Vous mettez alors votre site dans le répertoire /www/ et celui ci est alors accessible via l'url http://localhost/

Problématique

Mais que se passe-t-il lorsqu'avec un peu d'expérience vous vous mettez à développer plusieurs site simultanément ?

Présentation

Vous vous retrouvez avec une multitude de sous dossiers, et des urls à rallonge comme, par exemple :

http://localhost/mon_dossier1/.../mon_dossierX/monprojet/index.html

qui sert d'url racine du site en phase de développement.

Si comme moi ça vous casse les pieds (problèmes d'urls relative et absolues qui ne fonctionnent plus lorsque vous hébergez votre site en production, urls trop longues à taper pour accéder au site, etc...) alors ce tutoriel pourra vous être utile.

Sommaire

L'objectif du tutoriel

Nous allons abandonner définitivement les urls à rallonge et leur préférer de jolies et courtes adresses comme par exemple : http://monprojet.dev/

Prérequis

Ce tutoriel a été écrit pour des personnes travaillant sous environnement windows, et j'utilise ici un serveur Wamp. Vous n'aurez sans doute pas de difficultés à le transposer sous un autre logiciel.

• Je considère que vous avez installé WAMP sous C:\wamp\.
• Je considère que vous avez placé votre projet en cours sous C:\wamp\www\monprojet\.
• Vous avez besoin d'un éditeur texte, le bloc note windows peut faire l'affaire.

Configurer l'hôte pour windows

Ouvrez le fichier :
C:\Windows\System32\drivers\etc\hosts

Vous devriez lire vers la ligne 20 quelque chose comme ceci :

127.0.0.1       localhost   
::1             localhost

Rajoutez la ligne :

127.0.0.1       monprojet.dev

Et enregistrez le fichier.

Remarque :
Si vous ne pouvez pas éditer le fichier, vérifiez que celui-ci n'est pas en lecture seule.
Sous Vista, vous risquez de rencontrer encore plus de problèmes avec l'UAC. Faites une copie du fichier sur votre bureau, mettez les droits d'écriture, faites la modification, remettez le fichier en lecture seule, et écrasez le fichier original.

Configuration de Apache

Solution 1

Sous wamp, lorsque celui-ci est lancé, cliquez sur l'icone dans la barre des tâches, cliquez sur "Apache" et vous devriez voir dans les entrées du menu déroulant un fichier httpd.conf. Ouvrez ce fichier et nous allons faire les modifications nécessaires.
Vous pouvez retrouver ce fichier sous C:\wamp\bin\apache\apacheX.X.X\conf\httpd.conf.

A la fin du fichier, rajoutez ceci :

1)

#####   
## localhost   
## DOMAINE principal   
#####   
NameVirtualHost localhost    

<VirtualHost localhost>    
    DocumentRoot C:/wamp/www/   
    ServerName localhost   
</VirtualHost>

2) et également

#####   
## monprojet.dev   
## DOMAINE de monprojet   
#####   
NameVirtualHost monprojet.dev    

<VirtualHost monprojet.dev>    
    DocumentRoot C:/wamp/www/monprojet/   
    ServerName monprojet.dev   
</VirtualHost>

Remarque :
Il est indispensable de bien mettre les 2 définitions d'hôtes. Si vous ne mettez que la partie 2) alors l'url http://localhost/ vous amènera aussi au dossier contenant votre projet. Ce qui n'est bien sûr pas souhaité, car vous avez besoin d'accéder au répertoire /www/.

Enregistrez le fichier. Redémarrez votre serveur apache.

Solution 2

Modifier le fichier « httpd.conf » peut être délicat lorsque l'on ne maitrise pas totalement le sujet. Ce fichier est essentiel au bon fonctionnement d'Apache, une simple erreur peut empêcher le serveur de se lancer.

Pour éviter de modifier ce fichier, WAMP propose par défaut un dossier Alias ( C:\wamp\alias\ )

Dans ce dossier, créez un nouveau fichier texte, nommez le : localhost.conf, puis copiez-y le contenu :

#####  
## localhost  
## DOMAINE principal  
#####  
NameVirtualHost localhost   

<VirtualHost localhost>   
    DocumentRoot C:/wamp/www/ 
    ServerName localhost  
</VirtualHost> 

Toujours dans le même dossier, créez un nouveau fichier texte et nommez le : monprojet.dev.conf, puis copiez-y le contenu :

#####  
## monprojet.dev  
## DOMAINE de monprojet   
#####  
NameVirtualHost monprojet.dev   

<VirtualHost monprojet.dev>   
    DocumentRoot C:/wamp/www/monprojet/ 
    ServerName monprojet.dev  
</VirtualHost> 

Enregistrez-les puis redémarrez le serveur Apache.


Remarque :
Si une erreur est commise lors de la création d'un alias, il suffit de supprimer le fichier concerné pour retrouver la configuration d'origine.

Et voilà !

Si tout s'est bien passé :

• en accédant à http://localhost/ vous retrouvez l'affichage "normal" du répertoire /www/
• en accédant à http://monprojet.dev/ vous devriez tomber directement sur votre projet, autrefois accessible à l'adresse http://localhost/monprojet/ (qui reste bien entendu accessible).

Vous savez maintenant comment faire pour rajouter autant d'hôtes virtuels que vous avez de projets en cours !

Compléments

Pour en savoir plus sur les hôtes virtuels sous Apache :
http://httpd.apache.org/docs/1.3/vhosts/

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Compresser ses pages en Gzip et tester le résultat »

Une des principales qualités d’un site web est sa vitesse de chargement. Or, celle-ci dépend notamment de la taille des pages web et de leurs composants. Il existe un certain nombre de techniques permettant de réduire la taille globale téléchargée par l’utilisateur finale.

Compresser les pages web à la volée

Le protocole HTTP propose un mécanisme permettant de compresser les pages web à la volée pour les navigateurs. Pour mettre en œuvre cette compression, il faut en règle générale installer un module sur le serveur et le configurer. Sous le navigateur Apache, le module le plus utilisé est mod_gzip. Voici un exemple de configuration pour ce module :

<IfModule mod_gzip.c>
   mod_gzip_on Yes
   mod_gzip_can_negotiate Yes
   mod_gzip_static_suffix .gz
   AddEncoding gzip .gz
   mod_gzip_update_static No
   mod_gzip_command_version '/mod_gzip_status'
   mod_gzip_temp_dir /tmp
   mod_gzip_keep_workfiles No
   mod_gzip_minimum_file_size 500
   mod_gzip_maximum_file_size 500000
   mod_gzip_maximum_inmem_size 60000
   mod_gzip_min_http 1000
   mod_gzip_handle_methods GET POST
   mod_gzip_item_exclude reqheader "User-agent: Mozilla/4.0[678]"
   mod_gzip_item_include file \.html$
   mod_gzip_item_include file \.htm$
   mod_gzip_item_include file \.php3$
   mod_gzip_item_include file \.php$
   mod_gzip_item_include file \.js$
   mod_gzip_item_include file \.css$
   mod_gzip_item_include mime ^text/
   mod_gzip_item_exclude mime ^httpd/unix-directory
   mod_gzip_item_exclude mime ^image/
   mod_gzip_dechunk Yes
   mod_gzip_add_header_count Yes
   mod_gzip_send_vary Yes
</IfModule>

Par ailleurs, il est nécessaire d’ajouter mod_gzip à la liste des modules installés en insérant la ligne suivante en dernier dans la liste, car la compression Gzip doit intervenir en toute fin de processus :

LoadModule gzip_module /usr/lib/apache/1.3/mod_gzip.so

Il faut ensuite recharger la configuration Apache en exécutant par exemple une des commandes suivantes :

apachectl graceful
killall -HUP apache
/etc/init.d/apache reload > /dev/null

Tester la compression Gzip

Une fois la nouvelle configuration de Apache prise en compte, vous ne pourrez pas vérifier facilement si la compression est prise en compte, puisque les navigateurs web (Firefox, IE, Opera, etc.) la gèrent de façon complètement transparente.

Ainsi, il est nécessaire de regarder les entêtes HTTP échangés entre le serveur et le navigateur. Il existe pour cela des outils en ligne prêts à l'emploi :

• www.gidnetwork.com
• nontroppo.org : effectue le test pour un grand nombre de navigateurs pré-renseignés
• leknor.com
• www.whatsmyip.org

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phpMyAdmin - 1045- Access denied for user root@localhost »

PhpMyAdmin - Access denied for user root’@localhost

Cette astuce est destinée à ceux qui ont un problème d’ouverture de PhpMyAdmin (par exemple avec WAMP Server ou EasyPHP) avec l'erreur suivante :

#1045- Access denied for user ‘root’@localhost’

Il est nécessaire d’effectuer quelques manipulations après l’installation :

• Ouvrez la console MySql,
• Après avoir tapé Entrée et avoir l'invite de commande mysql> :
• Il est utile de commencer par attribuer le nouveau mot de passe via la commande suivante :

  SET PASSWORD FOR root@localhost=PASSWORD(' monmotdepasse ');

• Ensuite il n’est pas inutile de réattribuer les droits de super utilisateur via la commande suivante :

  mysql> GRANT ALL PRIVILEGES ON *.* TO root@localhost  IDENTIFIED BY ' monmotdepasse ' WITH GRANT OPTION;

• Bien évidemment il faut insérer les noms de host et de compte user par défaut avec le mot de passe mis en place dans le fichier ‘php.ini’, au niveau suivant :

; Default host for mysql_connect() (doesn't apply in safe mode).
mysqli.default_host ='localhost'

; Default user for mysql_connect() (doesn't apply in safe mode).
mysqli.default_user ='root'

; Default password for mysqli_connect() (doesn't apply in safe mode).
; Note that this is generally a *bad* idea to store passwords in this file.
; *Any* user with PHP access can run 'echo get_cfg_var("mysqli.default_pw")
; and reveal this password! And of course, any users with read access to this
; file will be able to reveal the password as well.
mysqli.default_pw ='monmotdepasse'

Il ne reste plus qu’à effectuer l’implantation des noms de host et de compte user par défaut avec le mot de passe dans le fichier ‘config.inc.php’ aux lignes suivantes:

$cfg['Servers'][$i]['host']= 'localhost';

$cfg['Servers'][$i]['user'] = 'root';

$cfg['Servers'][$i]['password']= 'monmotdepasse';

Après n’avoir pu ouvrir correctement la page localhost, vous allez avoir l’agréable surprise de pouvoir vous connecter à PhpMyAdmin sans l’erreur #1045- Access denied for user ‘root’@localhost’

Merci à jujuzilla sur le forum pour cette astuce !

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Trouver un nom de domaine libre »

Qui n'a jamais galéré en essayant de trouver un nom de domaine disponible et passé des heures à chercher en vain.

Voici un site qui pourrait bien faciliter la vie d'un grand nombre de Webmaster : Domize.com est un site permettant de vérifier facilement la disponibilité d'un nom de domaine (avec les extensions .com, .net, .org, .biz, .info et .org).

Au fur et à mesure que vous saisissez le nom à chercher, Domize vous informe à chaque frappe de la disponibilité du nom de domaine dans les différentes extensions :


Enfin, cerise sur le gâteau : Domize est sécurisé via HTTPS/SSL ce qui signifie que vous pouvez faire vos recherches de n'importe où (y compris à partir d'un hotspot wifi ouvert) sans qu'un pirate ne puisse intercepter les nom de domaine que vous convoitez.

Site: https://domize.com/

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Comprendre le web sémantique »

Le Web sémantique, ou « langage naturel » est le Saint Graal sur lequel planchent les chercheurs depuis quelques années.

Pour un de ses théoriciens, Tim Berners-Lee, l’idée est de parvenir à un Web intelligent, où les informations ne seraient plus stockées mais comprises par les ordinateurs, pour apporter à l’utilisateur ce qu’il cherche vraiment. Le Web sémantique permettra donc de rendre le contenu sémantique du Web interprétable non seulement par l’homme, mais aussi par la machine.

L’idée est donc de permettre une recherche intelligente sur le Web, faite par des ordinateurs et basée sur des définitions qu’ils puissent « comprendre », des définitions données pour le monde entier. En faisant une requête sur un moteur proposant de la recherche en langage naturel, vous l’interrogerez comme vous parlez, et il transformera cette demande en langage compréhensible et cohérent pour la machine.

Du gigantesque catalogue qu’il est aujourd’hui, le Web pourrait ainsi se transformer en un guide intelligent, capable d’apporter des réponses complètes et immédiates à des requêtes en langage naturel, et de favoriser le développement de nouvelles formes d’intelligence collective.

Le principe du Web sémantique

Idéalement, le système du Web sémantique doit être capable de donner une réponse complète à une question du type « Je veux partir en vacances cet été en Toscane. J’ai un budget de 4 000 euros. Et nous avons un enfant de 8 ans ». Aujourd’hui, répondre à une telle question va exiger des heures de tri dans des listes distinctes d’hôtels et de location de voitures.

Avec le Web sémantique, la requête appellerait une réponse cohérente, méticuleusement assemblée. Le système travaillera pour vous : il vous classera tous les commentaires et trouvera, par déduction, le bon hôtel.

Pour cela, le Web sémantique repose sur un mode de stockage des définitions, le langage descriptif RDF (Resource Definition Framework) développé par le W3C (l’organisme de standardisation du Web), qui va permettre de définir les structures (soit la définition du tag XML), et cela au moyen de propositions ou « triplets » de type sujet/verbe/complément. Tout document sera défini par les occurrences de ces trois données. Par exemple, une définition du type « le fils de la sœur d’un individu est son neveu » sera indispensable pour rechercher quelqu’un dans un arbre généalogique. Le XML est le support qui organise le document. À chaque balise XML utilisée dans une page Web HTML, correspond un triplet dans RDF.

Par ailleurs, chaque partie du triplet RDF possède un identifiant appelé URI (Uniform Resource Identifier) qui permet à l’agent intelligent de le repérer. Les URL assurent que les concepts ne sont pas juste des mots dans un document, mais qu’ils sont attachés à une définition unique que tout le monde peut trouver sur le Web.
Ainsi, on pourra vraiment travailler en réseaux, en peer to peer, c’est-à-dire d’ordinateur à ordinateur, si les définitions sont partagées par tous.

Premiers développements et usages

Plusieurs programmes de recherches ont été lancés sur le sujet. Ainsi, en France, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA) a monté le programme WebContent, étalé de 2006 à 2009, dirigé par Serge Abiteboul, en partenariat avec d’autres structures de recherche, et les entreprises EADS et Exalead. Il s’agit de créer une plate-forme pour la gestion de contenus, qui intègre les technologies du Web sémantique qui existent déjà. Le projet développe un ensemble de services Web pour structurer, stocker, analyser et comprendre des données codées en XML. Elle permettra de faire de la veille sur le Web, par exemple sur le risque microbiologique et chimique dans le domaine alimentaire.

Des premiers usages du Web sémantique se distinguent déjà. Cela s’avère particulièrement prometteur dans les domaines verticaux (commerce, voyages, immobilier, emploi…).

Par exemple, dans le domaine du commerce électronique, pour un consommateur qui veut acheter une voiture, un agent intelligent va chercher à sa place toutes les voitures correspondant à ses critères, comparer les prix, vérifier les stocks, les délais de livraison, et d’autres critères, en fouillant dans les documents du Web décrits selon les standards du Web sémantique.

Trulia

Trulia est un moteur de recherche américain spécialisé dans le secteur immobilier, créé par Pete Flint. Il intègre le service de Google Maps pour localiser les biens listés. Le principe : en entrant un code postal ou un nom de ville, vous avez une liste de maisons et une Google Map montrant leur localisation. En fait, c’est un agrégateur de propriétés immobilières listées sur d’autres sites. Mais il ne se contente pas de les lister, il dresse une fiche complète de la propriété dans un format standardisé, et offre plusieurs propriétés comparables affichées en photos ou sur une carte de Google Maps.

Vous pouvez filtrer les résultats par prix, nombre de pièces, superficie… Les résultats vous affichent aussi le prix moyen de vente des maisons du même quartier, les dernières ayant été vendues, les écoles les plus proches…

En cliquant sur le lien sur une maison, vous accédez à la page détaillée, avec plus d’informations sur la maison.

Les premiers moteurs de recherche en langage naturel

Le Web sémantique change déjà le visage des moteurs de recherche. Ainsi, Yahoo ! a annoncé en avril 2008 qu’il prendra désormais en compte certains standards du Web sémantique comme RDF. Il pourra donc présenter dans ses résultats de recherche des éléments inédits, car il pourra alors comprendre le sens du contenu indexé, et surtout interpréter les relations entre différents contenus.
Quelques start-ups se sont déjà lancées sur le créneau du Web sémantique.

À savoir

Si vous voulez les tester, la plupart de ces services sont encore à l’étude, ou en version bêta : donc vous devrez demander une invitation en remplissant un formulaire pour y accéder, et avoir le statut privilégié de bêta-testeur… Et souvent, une fois votre requête enregistrée, vous êtes sur liste d’attente !

Le moteur de True Knowledge

Lancé en novembre 2007 par William Tunstall-Pedoe, le moteur de recherche sémantique de True Knowledge, société de Cambridge (Grande-Bretagne), vise à donner des réponses pertinentes à des recherches en langage naturel. True Knowledge transforme les recherches de langage naturel en recherches en rapport avec la base de données, mais sans indexer le Web : il récupère des données des bases de données structurées. En effet, il vise à élaborer sa propre base de données, et importe des données de sources telles que Wikipédia.

Pour utiliser ce moteur de recherche, qui est encore en version bêta, vous devez remplir un formulaire pour demander l’ouverture d’un compte (gratuit). Une manière de vérifier vos motivations : le formulaire, assez précis, vous demandera par exemple de décliner votre profession, pour quels motifs vous désirez ouvrir un compte True Knowledge, et si vous avez déjà écrit sur Wikipédia, ou collaboré à d’autres sites collaboratifs.

Vous recevez ensuite un mail de confirmation, dans lequel vous devez cliquer sur le lien hypertexte pour activer votre compte. Et là, un message vous indique sur le site que vous êtes… sur liste d’attente.

D’après les tests effectués par certains internautes, en entrant par exemple la question « Who is Martin Luther King ? », le moteur de recherche propose une petite fiche sur le personnage, mais également sur son père qui portait le même nom, et plusieurs pages de résultats, dont un lien Wikipédia. Lorsqu’une information n’est pas disponible, il vous est proposé de la renseigner vous-même si vous la connaissez. En fait, les résultats sont en partie « human powered ».

Outre donc l’aspect recherche, vous trouverez une partie centrée sur les contributeurs, sous forme de tableau, qui répertorie le nombre de faits ajoutés, leur fiabilité… Le tout complété par un forum, un blog ainsi qu’un wiki, un onglet sur l’activité récente, et les derniers ajouts à la base.

Powerset

Créée par Barney Pell, la start-up a noué début 2007 un accord de licences et de brevets avec Xerox, reprenant ainsi à son profit trente années de recherches du Palo Alto Research Center (PARC) de Xerox. Le moteur de Powerset bénéficie ainsi de la technologie de langage naturel que le PARC développe depuis 2005, qui lui permet d’accepter les requêtes des internautes dans leur langage quotidien.

En fait, Powerset extrait et indexe des concepts, des liens, et significations, plutôt que des mots. Il s’est d’abord concentré sur les 3 millions de pages de Wikipédia.

Là encore, seuls les bêta-testeurs pouvaient accéder au service en avril 2008. Vous devez donc obligatoirement créer un profil lors de votre inscription. Une fois que votre profil est créé, chacune de vos actions au sein du bêta-test sera notifiée.

Freebase

Lancée en mars 2007, cette première réalisation de Metaweb, la société du spécialiste des « machines intelligentes » Danny Hillis et de Robert Cook, ambitionne de créer « une base de connaissances communes, une base de données structurée, interrogeable, constituée et modifiée par une communauté de contributeurs », ou encore « un espace public des données » (data commons).

Freebase est donc une gigantesque base de données, qui vise à décentraliser autant de données que possible, et permettre aux internautes d’ajouter librement d’autres données – les développeurs pourront extraire des informations de Freebase via une série d’API, et les ajouter à leurs applications web. Freebase a déjà aspiré les données de Wikipédia et d’autres sources. Les internautes peuvent compléter les informations disponibles et fournir des éléments pour mieux les indexer. Ils pourront éventuellement compléter les « ontologies » (les vocabulaires structurés de description et classement) proposées. De même, s’il manque un champ pour associer de l’information.

Bref, il s’agit de créer un Google du Web sémantique, qui répertorie des informations structurées, intelligibles et exploitables autant par des machines que par des humains.

Ce projet collaboratif de connexion des connaissances du Web, sous forme sémantique, est distribué sous licence Creative Commons avec attribution.

Twine, un gestionnaire d’information sémantique

Cet outil en ligne a été lancé en version bêta en 2008 par Nova Spivack, le président de Radar Networks.

Sur sa page « A propos », Twine se présente comme « un nouveau service intelligent vous permettant de partager, d’organiser et de trouver vos informations avec les gens à qui vous faites confiance ».

Ainsi, il permet de rassembler toutes sortes d’informations en un seul endroit, comme vos mails, signets, documents, flux RSS, contacts, adresses, photos, vidéos, bases de données diverses… Comme il déduit tout seul la signification de l’information que vous y ajoutez, il vous aide à l’organiser automatiquement.

En fait, une fois que Twine est connecté sur vos données, il les analyse et automatiquement les catégorise selon les concepts discutés, les personnes, les lieux, les organisations et les sociétés qu’ils concernent, pour proposer une recherche facilitée. Twine dispose d’éléments sociaux et vous permet d’accéder à des informations collectées par des internautes qui appartiennent à votre réseau social.
Il respecte les standards du Web sémantique, précise Nova Spivack, ce qui le rend compatible avec d’autres applications. L’outil utilise une combinaison d’algorithmes de langage naturel pour extraire automatiquement les concepts clés d’un texte et les transformer en tags.

D’autres projets, comme Hakia ou Brainboost explorent eux aussi la recherche en langage naturel, sans oublier AskJeeves, Gimpsy, SemantiNet…

Le texte original de cette fiche pratique est extrait de «Tout sur le web 2.0» (Capucine Cousin, Collection CommentCaMarche.net, Dunod, 2008)

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Comprendre les réseaux sociaux mobiles »

Le Web évolue en fonction des nouveaux usages qui apparaissent… et des outils high-tech mis à disposition des individus. Or, les joujoux high-tech apparus depuis fin 2007 promettent le développement de la mobilité des clients internautes (que l’on commence à appeler mobinautes), car ils ont pris l’habitude de surfer sur Internet depuis leur mobile) ; en téléphonie mobile, avec de nouveaux modèles de terminaux dotés de fonctionnalités d’Internet mobile, comme l’iPhone d’Apple et le Blackberry. Également, des PC ultra-portables comme l’EEE PC d’Asus permettent de se connecter n’importe où, et les GPS de se géolocaliser. À cela s’ajoutent le développement des réseaux 3G et wifi et l’apparition de nouvelles formules d’abonnement, notamment en téléphone mobile, qui rendent l’Internet mobile moins onéreux.

Par ailleurs, la téléphonie dispose d’un atout que l’on ne trouve pas sur le Web : la possibilité de se géolocaliser, qui promet des usages de navigation intelligents, alors que se développent les téléphones mobiles munis d’un GPS.

À cela s’ajoute le lancement attendu pour courant 2008 de Google Androïd, futur système d’exploitation ouvert pour téléphone mobile. Google se positionne ainsi sur le créneau du téléphone portable, face aux autres systèmes déjà en place, comme Symbian du finlandais Nokia, qui équipe la grande majorité des smartphones, ou Windows mobile de Microsoft. Google Androïd sera doté d’une interface de navigation tactile, qui permettra d’accéder à une vingtaine de services, dont la géolocalisation. Surtout, il sera ouvert à tout développeur qui pourra ainsi l’enrichir de nouvelles fonctions.

Le kit de développement est d’ailleurs en ligne : http://code.google.com/android/download.html

Certains réseaux sociaux songent d’ailleurs à leur déclinaison mobile, à l’image de l’univers virtuel Second Life, dont les concepteurs ont annoncé une nouvelle version, pour téléphone mobile.

Webwag

Créée par Franck Poisson, l’ancien directeur général de Google France, en août 2006, Webwag synchronise sur mobile sa page d’accueil personnalisable, et permet de créer ses widgets mobiles. Pour y accéder, il vous suffit d’entrer votre numéro de mobile sur le site Internet de Webwag, qui vous envoie alors une application à télécharger gratuitement.

Webwag vous permet aussi de sélectionner les flux RSS que vous voulez voir apparaître sur votre page d’accueil, d’envoyer des messages sur Twitter… et d’accéder à des services comme la météo, un utilitaire de gestion des tâches, et un module de recherche.

Par ailleurs, Webwag a ouvert un service d’ouverture des API (programmes de développement) de Webwag Mobile.

oneConnect de Yahoo !

oneConnect se veut la future application mobile sociale de Yahoo !

Elle doit intégrer des messageries et d’autres applications sociales, et réunir l’ensemble de vos contacts : de votre téléphone, de votre carnet d’adresses Yahoo !, mais aussi de vos réseaux sociaux (Facebook, Flickr Friendster, Hi5, Last.fm, twitter…).

Vous pourrez voir si vos contacts sont en ligne, lire vos derniers messages, ou encore charger des photos. Vous pourrez aussi y chater via les messageries instantanées AIM, MSN Messenger et Google Talk.

Sur le modèle du News Feed de Facebook, une fonctionnalité « Pulse » vous donnera toutes les dernières mises à jour de vos contacts, des divers réseaux sociaux dont vous êtes membre.

Goojet

Dirigée par Guillaume Decugis, ancien de Musiwave, Goojet, start-up française, doit lancer courant 2008 un service sur le créneau, là encore, de la convergence web/mobile.

Pour l’installer, vous devez télécharger une application Java, envoyée par SMS et, bien sûr, vous inscrire au préalable sur le site web.

Sur ce service, vous pouvez accéder à un espace catalogue, pour sélectionner les modules (ou Goojets) auxquels vous souhaitez accéder sur votre mobile, une fenêtre simulant votre configuration, et une zone « événements », un fil d’actualités sur les activités de vos amis, et les messages et invitations que vous recevez.

Vous pourrez aussi créer vos propres services personnalisés. On y trouve des Goojets de services comme Flickr, Facebook, ou encore Twitter ou des services standard, de la météo à la téléconférence, en passant par la messagerie instantanée et le lecteur de flux RSS. Des services que l’utilisateur peut « envoyer » sur son mobile, via une interface intuitive de glisser-déposer.



Gratuit pour l’instant, Goojet cherche encore son modèle économique. Elle pourrait faire payer des services premiums tels que la téléconférence, ou mettre en avant des contenus tiers, comme ceux d’une marque.

JaxtR

Véritable réseau social mobile, le service communautaire JaxtR a été lancé en mars 2007 par Philip Mobin et Touraj Parang. Il compte 10 millions d’utilisateurs dans 220 pays. Il permet de commenter ses blogs préférés en y postant un commentaire ou en passant directement un coup de fil à leur auteur.

Quel est l'intérêt ? C'est surtout la possibilité d'être joint par des personnes qui ne connaissent pas votre adresse mail et vos numéros de téléphone.

Après une inscription gratuite, vous pouvez envoyer gratuitement des SMS depuis votre ordinateur, et mettre un widget sur votre blog ou dans votre signature mail qui permettra à tous ceux qui le veulent de vous envoyer un SMS ou de vous contacter par téléphone. Les appels peuvent être émis depuis le monde entier au tarif local, ou gratuitement via les box ADSL. Cerise sur le gâteau, votre véritable numéro n’apparaît jamais en ligne.

Le site de JaxtR.com n’est disponible qu’en anglais, mais le service fonctionne très bien avec les numéros de téléphone fixes et mobiles français.

Le principe : une fois inscrit sur JaxtR.com, en créant votre profil, vous déclarez votre numéro de téléphone dans votre profil JaxtR, en cliquant sur Link ou Phone pour recevoir des appels d’internautes. Une fois le numéro saisi, un serveur vocal appelle pour demander d’entrer un code de vérification. Vous pouvez alors choisir d’acheminer tous les appels sur votre téléphone, ou seulement ceux de vos amis déclarés. En effet, JaxtR permet de filtrer les appels en créant la liste d’amis autorisés à appeler. Les autres sont dirigés automatiquement vers une messagerie vocale.

JaxtR peut également vous fournir un numéro local pour effectuer des appels gratuits, sans que votre véritable numéro n’apparaisse en ligne. Pour cela, vous devez vous rendre sur votre page JaxtR ou votre blog, puis cliquer sur Call me, et indiquer votre pays et votre propre numéro, puis cliquer sur Get Number.

Après vous être inscrit, vous pouvez envoyer gratuitement des SMS via le Web, ou encore intégrer un widget (en insérant une ligne de code fournie) sur votre blog ou sur votre site, qui permet à vos visiteurs de vous appeler, depuis leur téléphone, au tarif d’une communication locale (donc gratuitement depuis une box). Le widget est important car il permet d’être accessible aux membres de sa communauté (amis, contacts, famille…) depuis son blog, MySpace, Facebook…

Mobiluck

La start-up française MobiLuck, créée en juillet 2003 par Olivier Chouraki, est un réseau social mobile qui vous permet de détecter vos amis qui sont à proximité de vous, via Bluetooth. L’idée initiale était de développer une interface client pour téléphone mobile, basée sur Bluetooth, et munie d’un antivirus, permettant d’envoyer et recevoir des messages dans un rayon de quelques dizaines de mètres. Pour cela, vous pouvez télécharger le logiciel sur Internet.

Depuis 2007, il inclut aussi une fonction de géolocalisation, réalisée sur le mode déclaratif (vous devez donner vote accord pour être géolocalisé, ainsi que vos amis.

MobiLuck doit aussi proposer courant 2008 une API ouverte, qui permettra à ses membres d’afficher leur localisation sur leur blog, ou sur tout réseau social.

Les fonctions de base de MobiLuck sont gratuites, mais les plus avancées sont payantes – l’identification de l’émetteur du message ou la fonction réponse (1,50 euro par mois ou 15 euros par an).

Le texte original de cette fiche pratique est extrait de «Tout sur le web 2.0» (Capucine Cousin, Collection CommentCaMarche.net, Dunod, 2008)

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Intégrer le tchat MSN sur votre site ou blog »

Cette astuce permet d'intégrer un t'chat sur votre site sans installer de script ou de canal IRC.

Pour cela, Microsoft propose aux utilisateurs de Windows Live Messenger d'intégrer une fenêtre de conversation dans leur site.

Attention, cette astuce ne fonctionne que sur les pages codées. Ne tentez pas de l'exécuter pour des blogs comme Skyrock.

Activer le système

Pour pouvoir intégrer le code spécifique à la fenêtre, vous devez activer l'option que Microsoft propose. Pour cela, il faut se rendre ici.

• Rentrer les identifiants WLM afin de se connecter au service.
• Cocher la case "Autoriser tout le monde à voir ma présence et à m'envoyer des messages "
• Cliquer sur "enregistrer".

Le code

Vous pouvez alors accéder à la deuxième étape : rendez-vous ici

Si tout va bien, le fenêtre de code source en bas de la page ne devrait pas être grisée. Si c'est le cas, revenir à l'option précédente, et vérifier que la case est bien cochée.



Il y a le choix entre une fenêtre de conversation, un bouton qui pointe vers la fenêtre de conversation ou une icône qui pointe vers la fenêtre de conversation.

Choisissez en une des trois, puis copiez le code HTML généré (en bas de la page) sur votre site.

Alternative pour les blogs comme Skyrock.com

Comme cela est dit plus haut, sur les blogs de skyrock par exemple, il est impossible d'insérer des codes HTML comme celui généré par MSN.

Mais il existe une alternative :

• http://www.boverie.eu/skyblog/chat/ ((Proposé par Anothertime ))

En faite, cette alternative va générer un lien que vous mettrez là où vous voulez dans votre Blog.

Démo

Ma fenêtre de conversation ((Merci de ne pas en abuser !!))

Merci à The Lion King pour son aide à la rédaction de cette astuce Ce document intitulé « Intégrer le tchat MSN sur votre site ou blog » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Cet FAQ explique comment faire la configuration d'un accès via htaccess. Cela permet de sécuriser par mot de passe l'accès à des répertoires web.

Mise à jour de http.cond

Il faut ajouter l'instruction suivante au niveau des dossiers web à protéger :

<Directory /répertoire/web>
Options Indexes Includes FollowSymlinks MultiViews
AllowOverride AuthConfig
Order allow,deny
Allow from all
</Directory>

Les primitives AllowOverride AuthConfig configure Apache pour prendre en compte le fichier .htacess dans le répertoire web indiqué et tous ses sous-répertoires.

Fichier .htaccess

Avec un éditeur de texte, il faut créer sous les répertoire à protéger un fichier .htaccess contenant les lignes suivantes :

AuthUserFile /chemin/vers/.htpasswd
AuthName "Accès protégé"
AuthType Basic

<Limit GET POST>
Require valid-user
</Limit>

Le fichier . htpasswd contenant les les logins et mots de passe.

Création du fichier .htpasswd

Pour créer le fichier . htpasswd, il suffit de lancer la commande

# htpasswd -c /chemin/vers/.htpasswd user

La commande htpasswd est présente sous le répertoire bin d’Apache, l’option –c permet de créer le fichier, à noter qu’il faut indiquer le nom de l’utilisateur et le mot de passe à la demande.
Le fichier est créer par la commande, il ne reste qu’a redémarre Apache.

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Intégrer une vidéo sur un site »

Insérer une vidéo sur un site depuis Youtube

Introduction

Cette astuce s'adresse en particulier aux Webmestres de site Web. Parmi les plus grands sites vidéos tel que YouTube, Dailymotion ou encore Metacafe un code source vous est fournis afin d'intégrer la vidéos que vous visualiser sur votre site.

Méthode

Si vous faites bien attention le petit cadre vous présentant le code source se trouve généralement en haut à droite (pour Youtube)

Il vous suffira de cliquer sur le lien gris pour que le menu se déroule :

1°/ Il y a en tout premier lieu un menu de ce type :

[ ] Inclure les vidéos similaires
[ ] Afficher le cadre
[ ] Activer le mode de confidentialité avancé

La première option vous permettras si voulue d'inclure les vidéos similaire c'est à dire que les vidéos du même sujet apparaitrons en fin de vidéos.

2°/ La deuxième vous donne le choix d'afficher le cadre sur la vidéo.

3°/ la troisième option est pour maintenir l'intégrité des statistiques vidéo, empêcher toute fraude et optimiser l'utilisation du site Youtube en gros ce sont les Cookies à accepter.

4°/ Plus bas ce sont les mises en formes :

Cela vous permettra de choisir la couleur des cadres de la vidéo, pratique pour mettre en place une couleur assortie avec le design de votre site.

5°/ La dernière option sert à choisir la dimension du cadre de la vidéo :

• 320x265
• 425x344
• 480x385
• 640x505

Nous avons parcouru toutes les options, quand vous aurez fini de régler l'apparence de votre vidéo il ne vous restera plus qu'à copier le code fournit :

Et le coller dans le code source de votre page entre les balises <body> et </body> Ce document intitulé « Intégrer une vidéo sur un site » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

IE 6 NO-MORE

De quoi s'agit t'il ?

Internet Explorer 5/6/7 sont réputés pour être des navigateurs peu sécurisés, peu compatibles avec les standards HTML et peu performants. Ceci a tendance a poser des problèmes pour l'affichage des sites, mais également leur image aux yeux des visiteurs. Il existe toutefois un moyen d'y remédier en alertant les internautes sur la péremption de leur navigateur.

Notez toutefois que certains utilisateurs, notamment dans les entreprises, ne peuvent pas modifier leur navigateur car il leur est imposé, auquel cas le fait de les alerter peut devenir une gêne.

Solution

Il suffit d'insérer ce code sur votre source HTML après </head>.

Le code est paramétrable, sous plusieurs langues. Vous pouvez tout comme moi, optimiser le code pour le rendre moins lourd ce qui peut donner ceci :

<!--[if lt IE 7]>
	<div style='border: 1px solid #F7941D; background: #FEEFDA; text-align: center; clear: both; height: 75px; position: relative;'>
		<div style='width: 640px; margin: 0 auto; text-align: left; padding: 0; overflow: hidden; color: black;'>
			<div style='width: 75px; float: left;'><img src='http://www.ie6nomore.com/files/theme/ie6nomore-warning.jpg' alt='Warning!'/>
			</div>
			<div style='width: 275px; float: left; font-family: Arial, sans-serif;'>
				<div style='font-size: 14px; font-weight: bold; margin-top: 12px;'>Vous utilisez un navigateur dépassé voir périmé. Ne soyez pas de même.
				</div>
				<div style='font-size: 12px; margin-top: 6px; line-height: 12px;'>Pour une meilleur expérience du web, téléchargez un navigateur moderne comme Firefox&nbsp;:
				</div>
			</div>
			<div style='width: 75px; float: left;'><a href='http://www.firefox.com' target='_blank'><img src='http://www.ie6nomore.com/files/theme/ie6nomore-firefox.jpg' style='border: none;' alt='Get Firefox 3.5'/></a>
			</div>
		</div>
	</div>
<![endif]-->

Conséquence

Ce code affichera la bannière orange de l'image ci dessus sur votre page web, seulement si le visiteur possède Internet Explorer 6 ou inférieur. Cela aidera les internautes à voir que leurs navigateur est périmé, et donc qu'ils courent un risque, mais aussi, ça permet à l'internet d'évoluer : IE6 à presque 10 ans mais encore trop utilisé.

Il est complètement dépassé sur le plan technologique. D'autres codes sont disponibles ici : http://www.ie6nomore.com/code-samples.html

A vous de jouer maintenant ;-)

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Analyser et améliorer la vitesse d'affichage des pages »

Sur internet la vitesse d'affichage des pages est cruciale pour un site web. Une page un peu trop longue à charger peut vous faire perdre des visiteurs, et agacer ceux qui restent.

De plus, Google a même annoncé que la vitesse de chargement des pages est désormais prise en compte dans le classement Google: Si vos pages sont lentes, vous descendrez dans les résultats de recherche !

Il existe des outils capables d'analyser vos pages et vous guider pour les améliorer.
Yahoo a publié YSlow, et Google PageSpeed pour vous aider dans cette tâche. Ce sont des plugins à installer dans Firefox, mais un site web pemet d'analyser les pages sans installer ces outils.

Rendez-vous sur http://gtmetrix.com/ et entrez l'adresse de la page à analyser.

Les onglets "YSlow" et "PageSpeed" vous indiqueront les points à travailler en priorité pour améliorer vos pages.



Chaque point technique à surveiller est noté de A à F:

• A pour excellent (aucun besoin d'amélioraton)
• F pour mauvais, doit vraiment être corrigé.

Cliquez sur chaque ligne pour voir les détails du problème.

La colonne "Priority" vous permet de savoir quel point à traiter en priorité. Les points marqués "High" sont à traiter en priorié: Ce sont eux qui vous donneront les meilleures améliorations de performances.

Notez que certains points peuvent ne pas être applicable à votre site. Typiquement, pour un site perso la recommandation d'utiliser des CDN n'est pas applicable.

Exemple

L'optimisation la plus souvent recommandée (et aussi la plus simple à mettre en place) est bien souvent celle du cache. C'est aussi celle qui donne immédiatement de bonnes améliorations de performances.

En spécifiant une date d'expiration suffisamment éloignée le futur pour votre contenu (image, pages...), cela permettra au contenu de votre site d'être gardé dans le cache du navigateur.
Cela permettra non seulement aux pages de s'afficher plus vite quand l'internaute revient sur votre site, mais cela allège également la charge du serveur.

Si votre serveur web est Apache2 et que htaccess est activé, placez simplement un fichier texte .htaccess à la racine du site:

# Mise en cache pour 1 mois    
<FilesMatch "\.(flv|gif|jpg|jpeg|png|ico|swf)$">    
Header set Cache-Control "max-age=2592000"    
</FilesMatch>    

# Mise en cache pour une semaine    
<FilesMatch "\.(js|css|pdf|txt)$">    
Header set Cache-Control "max-age=604800"    
</FilesMatch>    

# Mise en cache pour 1 journée    
<FilesMatch "\.(html|htm|php)$">    
Header set Cache-Control "max-age=86400"    
</FilesMatch>

Ainsi le contenu qui change peu (images, icônes...) sera conservé en cache une longue période, évitant son rechargement. Le contenu qui bouge plus (html) sera rechargé plus souvent.

Ce n'est qu'un exemple: vous pouvez bien sur l'adapter à votre site.


(Note de sebsauvage: Merci à Korben pour le lien.)

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Optimiser ses images facilement. »

Des images légères

Il y a plusieurs moyens d'optimiser un site web :

• Séparer le contenu (HTML) et la mise en forme (CSS) ;
• Utiliser les balises appropriées sans surcharger le code d'éléments ou de commentaires superflus ;
• Faire attention à l'ajout de scripts externes ;
• Et bien sûr, faire attention au poids des images.

Le dernier point semble être le plus visible et important pour les utilisateurs. En effet, les images lourdes sont très longues à charger, surtout pour celui qui possède une connexion bas débit.

Le principe

Les images rassurez-vous peuvent êtres optimisées sur plusieurs plans : le poids et le rendu visuel.

C'est là qu'intervient smushit :

il analyse les données composant l'image et supprime les informations inutiles sans toucher à la qualité de rendu.

Le fonctionnement

Trois façons de procéder sont à votre disposition :

• Un simple upload d'image ;
• La soumission d'une ou plusieurs url ;
• Ou enfin, l'installation de l'extension Firefox, que nous allons utiliser.

Une fois l'extension installée, rendez-vous sur le site dont vous souhaitez optimiser les images et cliquez sur la petite icône apparue dans votre barre de chargement. Une nouvelle page s'affiche alors avec le poids gagné grâce à cette opération et le fichier zippé contenant toutes les images optimisées.

Source : Alsacreations
Ce document intitulé « Optimiser ses images facilement. » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Introduction

Il est désormais possible, grâce à un service en ligne, d'afficher un bouton "j'aime" (en anglais like button) comme sur Facebook sur votre site ou blog. Ainsi les internautes visitant vote site pourront déclarer si oui ou non ils aiment votre article.

Comment faire ?

Voici le lien de la page qui fourni ce service :
http://developers.facebook.com/docs/reference/plugins/like

Pour commencer, le code à copier pour afficher le bouton comme dessus est celui-ci :

<iframe src="http://www.facebook.com/plugins/like.php?href=<?php echo urlencode(get_permalink($post->ID)); ?>&layout=standard&show_faces=false&width=450&action=like&colorscheme=light" scrolling="no" frameborder="0" allowTransparency="true" style="border:none; overflow:hidden; width:450px; height:25px"></iframe>

Note

Si vous voulez personnaliser le bouton, direction le site développeurs de Facebook.

La méthode la plus propre est d'inclure le code sur chaque fin de post de la page d'accueil et aussi à la fin d'un article seul. Ce document intitulé « Bouton "j'aime" de FACEBOOK sur son site. » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

De quoi s'agit il ?

Ce bouton de partage universel Wikio permettra à vos visiteurs de faire la promotion de votre contenu sur les différentes plateformes de partage de liens et de vote citons comme exemple Facebook, Twitter et Google.

Il remplacera la liste de boutons actuellement en place sur votre site.

Vif du sujet

Rendez vous sur ce site.
Choisissez le modèle de bouton que vous préférez
Choisissez les différents services qui apparaitront dans le popup de votre bouton.

Récupérez le code à insérer sur votre site

Le code pour votre bouton est généré. Il ne vous reste plus qu'à copier le code, et à le coller sur votre site à l'emplacement où vous souhaitez afficher le bouton de partage.

Voici un exemple de code:

<a href="http://www.wikio.fr/sharethis?url=&title=" class="wikio-share-popup-button">Wikio</a>

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Créer une galerie de photos sur son site en deux minutes »

Créer une galerie de photos sur son site est très facile. Minigal Nano permet de créer très rapidement et facilement une galerie de photos. Il ne nécessite qu'un hébergement web supportant php (aucune base de données nécessaire).

Voici comment procéder :

Installation de Minigal Nano

• Téléchargez Minigal Nano (version 0.3.5 SSE2) : http://sebsauvage.net/temp/MiniGal_Nano_0.3.5_SSE2.zip
• Dézippez et copiez les fichiers sur votre espace web par FTP, par exemple dans un sous-répertoire (/magalerie).
• Envoyez vos photos par FTP dans le répertoire /magalerie/photos.
• C'est tout ! Vos photos sont publiées, vous pouvez les consulter :

Vous pouvez sans problème créer des sous-répertoires dans /magalerie/photos pour classer les photos.

Notez que la galerie sera parfaitement consultable même si l'internaute a désactivé Javascript dans son navigateur.

Modification

Vous pouvez modifier l'apparence de la galerie ou les titres en modifiant le fichier config.php :

• Titre : Modifiez $title = "My Gallery" ;
• Auteur : Modifiez $author = "Me :)";
• Apparence : Modifiez $templatefile = "darkgold2" ;

Les apparences disponibles sont : mano, darkgold2, exhibition.

Icône des dossiers

Si une image folder.jpg est présente dans un dossier, elle sera utilisée comme icône du dossier. Dans le cas contraire, la première image trouvée sera utilisée.

Commentaire des dossiers

Si un fichier comment.html est présent dans un dossier, le texte sera affiché au dessus des miniatures.

Exemples

Exemples de galeries créées avec Minigal Nano:

• http://sebsauvage.net/minecraft
• http://www.webgirondins.com/photos.php
• http://artisabella.com/galleries/

En savoir plus

Voir sur sebsauvage.net

Prérequis

Tout d'abord avant d'aborder ce tutoriel, vous devez disposer de solide connaissance en PHP et en JavaScript puisque ces APIs se laissent difficilement appréhender. Ce tutoriel est jeune et peut donc contenir des imperfections, merci de faire part de vos remarques dans les commentaires. Les commentaires ne sont pas un lieu de support, pour cela vous disposez du forum. Lisez bien ce tutoriel dans son intégrité.

Enregistrer son Application

Pour bénéficier des APIs de Facebook, vous devez enregistrer une application. Une fois cette application enregistrée, elle vous fournira une clé secrète et une ID d'application qui sont indispensable pour interagir avec Facebook.

• Créer mon Application Facebook

Récupérer PHP SDK

Cette librairie de fonction vous mâchera une bonne partie de votre boulot :

• Télécharger Php SDK

Uploadez sur votre serveur /src/facebook.php

Intégrez Facebook connect

Installez le bouton

Facebook vous propose deux manière de construire votre bouton : La méthode xfbml et l'autre méthode. Nous étudierons l'autre méthode, plus souple je pense.

L'autre méthode est assez simple, ce n'est qu'un simple bouton auquel nous associons des fonctions issues de la librairie JavaScript SDK.

Je vous donne un code JavaScript, qui réunit l'essentiel de ce qu'on a besoin pour faire notre bouton :

<script type="text/javascript">    
function fblogout() {    
          FB.logout(function () {    
     window.location.reload(); });    
    }    
      window.fbAsyncInit = function() {    
        FB.init({    
          appId   : '<?php echo $facebook->getAppId(); ?>',    
          session : <?php echo json_encode($session); ?>,    
          status  : true,    
          cookie  : true,    
          xfbml   : true    
        });    

        FB.Event.subscribe('auth.login', function() {    
          window.location.reload();    
        });    
      };    

      (function() {    
        var e = document.createElement('script');    
        e.src = document.location.protocol + '//connect.facebook.net/fr_FR/all.js';    
        e.async = true;    
        document.getElementById('fb-root').appendChild(e);    
      }());    
          //your fb login function    
          function fblogin() {    
     FB.login(function(response) {    
              //...    
            }, {perms:'read_stream,publish_stream,offline_access'});    
   redir();    
          }    
        </script>

A ce niveau-là c'est très simple, pour vous connecter vous appelez la fonction fblogin() lors de l'évènement "clic" (onclick). Pour vous déconnecter il vous suffira d'appeler fblogout().
Concrètement elles vont faire quoi ces fonctions ?

fblogin() : vérifie que l'utilisateur est connecté à facebook, si vous êtes connecté elle vérifiera que vous disposez des droit nécessaire. Les droits sont personnalisable : perms:'read_stream,publish_stream,offline_access' à modifier avec cet article de référence.

fblogout() : Cette fonction déconnectera l'utilisateur de Facebook.

Récupérer les données

Il va falloir dans un premier temps récupérer les données, le code suivant va donc vérifier que le visiteur est bien connecter à Facebook, si c'est bien le cas et si vous avez les permissions dans ce cas les données sont automatiquement enregistré dans un tableau ($me). Notez que vous devez noter votre appid et votre clé secrète ainsi que changer le chemin de votre fichier facebook.php.

require 'function/facebook/facebook.php';    
$facebook = new Facebook(array(  'appId'  => '',  'secret' => '',  'cookie' => true,));    
$session = $facebook->getSession();    
$me = null;    

if($session){    
 try {    
  $uid = $facebook->getUser();    
  $me = $facebook->api('/me');    
 }    
 catch(FacebookApiException $e){    
  error_log($e);    
 }    
} 

remarque : if($session) pour tester la présence de session facebook et if($me) pour savoir si vous disposez des données de l'utilisateur.

Donc une fois les données récupérées, vous allez devoir les utiliser différemment selon votre site : créer un compte membre lors de la connexion ou s'en servir uniquement de connexion.
Si vous disposez de votre propose système d'inscription et de connexion alors il ne servira que de connexion sinon vous pouvez l'utiliser comme système d'inscription.

Admettons que vous en servez seulement comme un système de connexion, à la réception des données vous devez vérifier si vous connaissez ce membre, et la méthode la plus simple est de vérifier l'existence du mail dans votre base. Si l'utilisateur est inscrit alors vous avez plus qu'à créer vos variables de sessions comme vous l'aurez fait avec votre propre système de connexion.

• Cet article vous présente les étape essentiel à votre système de connexion.

Problèmes que vous risquez rencontrer

"Comment savoir que l'utilisateur s'est déconnecté de Facebook ?"
Dans un monde parfait on testerait seulement la présence de la variable $me et si elle n'existe pas on détruit les variable de session. Sauf que la vie est mal faites et que vous avez décidé d'avoir 2 système de connexion et qu'en faisant ça vous déconnecterez les utilisateurs qui se sont connecté sans facebook (puisque $me n'existe pas dans ce cas). Donc le plus simple est de créer une variable de session $_SESSION['facebook'] qui attesterait que vous vous êtes bien connecté à l'aide de facebook. Et là si cette session existe mais que la variable $me non, ça voudra dire que l'utilisateur s'était connecté à l'aide de facebook et s'est déconnecté depuis donc on le déconnecte.

__ à compléter __

Ressources

Facebook développeur Ce document intitulé « Intégrer Facebook Connect sur son site » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

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