Si vous n'avez accès à internet qu'à travers un proxy, il faut activer le support proxy pour pouvoir installer les mises à jour de sécurité Ubuntu.

Voici comment procéder :

Proxy avec Synaptic

Lancez Synaptic :



Menu Catégories > Préférences :



Onglet "Réseau" et entrez l'adresse et le port de votre proxy :



A partir de là, le proxy sera utilisé, y compris par le gestionnaire de mises à jour standard.

Proxy avec apt-get et aptitude

Editez le fichier /etc/profile (gksudo gedit /etc/profile) et ajoutez la ligne :

export "http_proxy=http://proxy.monfai.com:3128"

ATTENTION : Veillez bien à ce que la syntaxe de la ligne précédente soit correcte (tapez la dans un terminal pour tester).

Remplacez proxy.monfai.com:3128 par l'adresse et le port du proxy que vous voulez utiliser.

Vous pouvez également utiliser la notation [http://]login:motdepasse@proxy.monfai.com:3128
si votre proxy réclame un mot de passe.

Si les mises à jour ne fonctionnent toujours pas, créez un fichier de configuration pour "forcer" l'utilisation du proxy :

sudo echo 'Acquire::http::Proxy "http://proxy.monfai.com:3128";' > /etc/apt/apt.conf.d/proxy

ATTENTION : Veillez bien à ce que la syntaxe de la ligne précédente soit correcte (tapez la dans un terminal pour tester).
Les :: sont volontaires, veillez bien à ce qu'ils soient présents.

Remplacez proxy.monfai.com:3128 par l'adresse et le port du proxy que vous voulez utiliser.

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Activer tous les dépôts »

Par défaut, Ubuntu ne vous proposera qu'une sélection limitée de logiciels (logiciels sur lesquels l'équipe Ubuntu a pris un soin tout particulier). Mais il est possible d'accéder à bien plus de logiciels, y compris non-libres en activant des dépôts supplémentaires.

Note: Cette manipulation n'est plus nécessaire pour Ubuntu 7.04 ("Feisty Faun") car ces dépôts sont activés par défaut. Elle est nécessaire seulement pour les versions précédentes (6.10, etc.)

Pour cela, allez dans le menu "Système" > "Administration" > "Gestionnaire de paquets Synaptic"



Entrez votre mot de passe:



Dans le gestionnaire de paquets, allez dans "Catégories" > "Dépôts":



Cochez toutes les cases pour les sources et cliquez sur "Fermer":



Une fenêtre vous prévient qu'il est nécessaire de faire une mise à jour:



Il suffit alors de cliquer sur le bouton "Recharger":



Et d'attendre le rechargement de la liste des logiciels:



Le nombre de paquets disponibles devrait passer de 4000 (et quelques) à plus de 20000:




Désormais, dans le gestionnaire de paquets Synaptic ainsi que dans la liste "Ajouter/enlever" des applications, vous aurez plus de logiciels disponibles.

Notez que vous avez également la possibilité d'ajouter les dépôts de votre choix.

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Lire tous les formats vidéo, les MP3 et les DVD »

Par défaut, le support des DVD et certains formats vidéo est inactif dans Ubuntu (pour des raisons légales).
Mais il est très facile de les activer.

Pour Ubuntu 7.10

• 1. Tapez: sudo aptitude install linux-restricted-modules ubuntu-restricted-extras ffmpeg libdvdnav4
• 2. Tapez : sudo /usr/share/doc/libdvdread3/install-css.sh

Pour Ubuntu 7.04

• 1. Tout d'abord, activez les dépôts Univers et Multiverse. (Opération inutile pour Ubuntu 7.04 et suivants)
• 2. Tapez : sudo aptitude install ffmpeg gstreamer0.10-ffmpeg gstreamer0.8-ffmpeg gstreamer0.8-misc mplayer vlc mozilla-mplayer xine xine-ui libdvdread3 libdvdplay0 libdvdnav4 flashplugin-nonfree
• 3. Tapez : sudo /usr/share/doc/libdvdread3/install-css.sh

Vous serez alors capable de lire les DVD et les vidéos et musiques aux formats MPEG, AVI, DivX, QuickTime (mov), RealVideo (rm), 3GP, Windows Media Video (wmv), Matroska (mkv), asf, mp3, wma... y compris dans Firefox !

Vous aurez même le choix entre plusieurs lecteurs vidéo (utilisez celui qui vous plaît le plus): Totem, Xine, VLC ou MPlayer.

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Installer Flash (SWF) dans Firefox »

Par défaut, Firefox n'est pas fourni avec le plugin Flash, ce qui est gênant pour voir certains sites (comme YouTube par exemple).

Voici comment procéder:

Installation automatique

Ouvrez un terminal (Menu Applications > Accessoires > Terminal) et tapez:
sudo aptitude install flashplayer-nonfree

(Entrez votre mot de passe (password) s'il vous est demandé. Répondez "oui" si une question vous est posée.)

Note: Cette installation ne peut pas fonctionner si vous utilisez un proxy. Dans le cas d'un proxy, procédez à une installation manuelle (voir ci-dessous).

Installation manuelle

1) Téléchargez macromedia flash player

2) Fermez votre navigateur (Firefox).

3) Décompressez le fichier téléchargé (double-cliquez dessus pour l'ouvrir avec le gestionnaire d'archive, puis cliquez sur "Extraire")

4) Dans le dossier ainsi créé (install_flash_player_9_linux), lancez flashplayer-installer en double-cliquant dessus.
(cliquez sur le bouton "Lancer dans un terminal").

5) Dans la fenêtre qui apparaît, pressez simplement sur ENTREE
A la question "Proceed with the installation (y/n/q)?", répondez y et pressez ENTREE.
"Perform another installation": répondez n et pressez ENTREE.

Vous devriez dès lors être capable de voir les animations et les vidéo Flash dans Firefox.

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Installer Java sous Ubuntu »

Par défaut, Firefox n'est pas fourni avec Java.

Voici comment procéder pour l'installer:

Ouvrez un terminal (Menu Applications > Accessoires > Terminal) et tapez:
sudo aptitude install sun-java6-jre sun-java6-plugin
ou, pour une vieille version :
sudo aptitude install sun-java5-jre sun-java5-plugin

(Entrez votre mot de passe (password) s'il vous est demandé.
Une fenêtre de licence va s'afficher: Pressez TAB puis ENTREE.
Si une question vous est posée, répondez "oui" (en utilisant les flèches et la touche ENTREE))


Vous devriez dès lors pouvoir lancer les programmes Java et voir les applets Java dans le navigateur Firefox. Ce document intitulé « Installer Java sous Ubuntu » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Il est possible de profiter des polices TrueType Microsoft sous Linux sans problème (Arial, Times New Roman, Courrier, Impact, Trebuchet MS...)


Pour cela, il suffit de taper: sudo aptitude install msttcorefonts

C'est tout !


Liste des polices contenues dans ce package:

• Andale Mono
• Arial Black
• Arial (Bold, Italic, Bold Italic)
• Comic Sans MS (Bold)
• Courier New (Bold, Italic, Bold Italic)
• Georgia (Bold, Italic, Bold Italic)
• Impact
• Times New Roman (Bold, Italic, Bold Italic)
• Trebuchet (Bold, Italic, Bold Italic)
• Verdana (Bold, Italic, Bold Italic)
• Webdings

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Installer un firewall sous Ubuntu (Firestarter) »

Avec l'installation par défaut, Ubuntu n'a pas le moindre port ouvert, ce qui est très sûr. Le risque est donc très faible. Vous ne devriez donc pas avoir besoin d'un firewall.

Si toutefois vous en voulez un, vous pouvez utiliser Firestarter. Il est très simple à utiliser.
(Firestarter est en réalité une interface graphique qui permet de piloter le firewall intégré à Linux).


Firestarter est disponible dans la plupart des distributions Linux. C'est un peu le "ZoneAlarm" de Linux.

Il simplifie également le partage de connexion internet en paramétrant tout le nécessaire pour vous (serveur DHCP, etc.)


Sommaire:

Installation de Firestarter

1. Activer les dépôts

Tout d'abord, activez les dépôts Universe et Multiverse.
(Opération inutile pour Ubuntu 7.04 ("Feisty Fawn") et suivants).

2. Télécharger et installer Firestarter

Dans un terminal, tapez: sudo aptitude install firestarter (si votre mot de passe est demandé, entrez-le) et attendez la fin de l'installation.

3. Lancez Firestarter

Allez dans le menu Système > Administration et lancez Firestarter:



Votre mot de passe admin vous sera demandé: Entrez-le.

4. Configuration initiale

Dans "Périphériques détectés", sélectionnez le périphérique auquel est reliée votre connexion internet (par exemple eth0 s'il s'agit d'une connexion internet par Ethernet.)
Cochez les deux cases et cliquez sur "Avancer"



Dans l'écran suivant, ne cochez pas la case "Partage de connexion".
(Note: Si vous utilisez un routeur ou une "box" avec le mode routeur pour partager votre connexion, vous n'avez aucun besoin de cocher cette case.)



Cochez ensuite "Démarrer le pare-feu" et cliquez sur "Enregistrer".



Voilà !
Le firewall est actif et vous protège dès à présent.
Vous pouvez voir son icône dans la barre des tâches, ainsi que sa fenêtre.
Vous pouvez fermer la fenêtre de Firestarter: Le firewall sera toujours actif.

FAQ

Je viens d'installer Firestarter et je n'ai configuré aucune règle. Comment me protège-t-il ?

Après avoir effectué le wizard initial de configuration, Firestart vous protège de la manière suivante:

• Toutes les tentatives de connexion entrantes sont bloquées.
• Toutes les connexions sortantes sont autorisées.

Ce qui offre déjà une très bonne protection.

Libre à vous d'ajouter des règles plus spécifiques.

J'ai besoin d'ouvrir un port !

Certains logiciels se comportent en mode "serveur" pour recevoir des connexions. Cela concerne les logiciels de Peer-to-peer, Téléphone sur IP, chat, jeux en ligne...
Il est nécessaire d'ouvrir ces ports dans le firewall.

Cela n'est pas compliqué. Par exemple pour BitTorrent:

Affichez la fenêtre de Firestarter, onglet "Politique", sélectionnez "Politique du traffic entrant".
Dans la partie basse, faites un clic-droit et choisissez "Ajouter une règle".



Sélectionnez "BitTorrent": les ports sont automatiquement renseignés. Cliquez sur "Add".
(Note: vous pouvez entrer un nouveau nom et des numéros de port au choix pour un logiciel particulier.)



Vous pouvez voir la règle que nous venons de créer. Cliquer sur "Appliquer Politique" pour demander à Firestarter d'appliquer ces nouvelles règles.



Les numéros de ports à ouvrir dépendent de chaque logiciel.

Et pour un même protocole, il est possible que le port soit différent d'un logiciel à l'autre (par exemple, BitTorrent est habituellement sur les ports 6881 à 6889, mais rien n'empêche d'avoir un logiciel BitTorrent fonctionnant sur des ports totalement différents).

Le firewall ne permet pas de filtrer les applications comme ZoneAlarm !

Oui, c'est une des limitations de Firestarter.
Ce n'est malgré tout pas un problème majeur, étant donné que les logiciels malveillants sous Linux sont très rares.

Le firewall n'est pas actif quand je redémarre !

Pas de panique: Firestarter n'est que l'interface graphique qui permet de piloter le firewall intégré à Linux.

Même si vous ne voyez pas l'icône de Firestarter, le firewall de Linux - lui - est actif à tout moment et vous protège.

Ne démarrez Firestarter que si vous avez besoin de modifier la configuration ou voir les statistiques.

Démarrer automatiquement Firestarter quand je me connecte

Ne plus faire pour l'instant: source de conflit

Éditez le fichier /etc/sudoers (en tant que root) et ajoutez la ligne:

votrelogin ALL=NOPASSWD: /usr/sbin/firestarter 

puis ajoutez Firestarter à la liste des programmes à démarrer.

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Texte trop gros sous Ubuntu »

Pour Ubuntu

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais par défaut le texte dans Ubuntu est un peu trop gros.
On a l'impression de gaspiller de la place.

Voici comment corriger:

(1) Allez dans le menu Système > Préférences > Polices
- Sélectionnez "Meilleur contraste" (ce qui donne une meilleure lisibilité quand les polices sont un peu plus petites)
- Cliquez sur le bouton "Détails"

(2) Dans la fenêtre qui apparaît, remplacez la valeur 96 (Résolution) par 80 (ce qui donne une taille acceptable).
Plus la valeur entrée est petite, plus les polices seront petites.

Pour Xubuntu

Xubuntu n'utilisant pas Gnome, la configuration est différente.
XFCE n'offre pas d'écran de configuration pour les DPI.

Prenez un éditeur de texte et créez un fichier nommé .Xresources dans votre répertoire home.
Mettez dedans la ligne suivante:
Xft.dpi: 90

Déloguez et reloguez-vous pour en voir les effets.
Vous pouvez également diminuer la valeur pour des polices encore plus petites.

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Se loguer automatiquement »

Bien que cela ne soit pas recommandé (pour des raisons de sécurité), il est possible de demander à Ubuntu de vous loguer automatiquement. Cela vous évitera d'avoir à entrer votre identifiant et mot de passe au démarrage.

Voici comment procéder:

Allez dans le menu Système > Administration > Fenêtre de connexion



Entrez votre mot de passe s'il vous est demandé.



Allez dans l'onglet Sécurité et cochez la case "Activer les connexions automatiques" et sélectionnez l'utilisateur à utiliser.




Dès lors, vous n'aurez plus à entrer l'identifiant et mot de passe pour vous connecter.

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Lire et écrire les partitions Windows (NTFS) »

Ubuntu est parfaitement capable de lire et écrire les partitions Windows, qu'elles soient FAT32 ou NTFS. Cela inclut les partitions de Windows 95, 98, ME, NT, 2000, XP, 2003 et Vista.

Mais par défaut, Ubuntu (et Linux en général) peut lire et écrire sur les partitions FAT32, mais ne peut que lire les partitions NTFS.

Cependant, on peut activer l'écriture sur les partitions NTFS.

Note: Le support NTFS est activé par défaut dans Ubuntu 7.10. La manipulation ci-dessous n'est donc utile que pour les versions antérieures (Ubuntu 7.04 et précédents).

Installation automatisée (simple)

Tapez dans un terminal: sudo aptitude install ntfs-config

Ensuite, allez simplement dans le menu Applications > Outils système > Outils de configuration NTFS



et cochez les deux cases:




Vous pourrez alors accéder aux partitions NTFS, aussi bien sur les disques internes que sur les disques externes.
(Note: Pour les disques internes, Ubuntu vous proposera de choisir le nom sous lequel le disque doit apparaître dans le système.)

Installation manuelle

Installer le support NTFS

Cette opération est nécessaire pour que Ubuntu sache gérer correctement les partitions NTFS.

• 1. Activez tous les dépôts
• 2. Installez le support NTFS: sudo aptitude install ntfs-3g ntfsprogs ntfstools

Après l'installation de ces modules, vous serez en mesure de lire et écrire sur toutes les partitions Windows (FAT32 et NTFS).

Comprendre les partitions

Tout d'abord, il faut comprendre comment Linux nomme les disques.

• Le premier disque dur physique IDE sera nommé hda.
• Le second disque dur physique IDE sera hdb.

Ensuite, dans chaque disque dur, les partitions sont numérotées :

• hda1, hda2, hda5... sont les partitions contenues dans le premier disque dur (hda).
• hdb1, etc. sont les partitions contenues dans le second disque dur (hdb).

Pour savoir quel est le nom de votre partition NTFS (Windows), tapez : sudo fdisk -l
(l est un L minuscule)

Ce qui donne par exemple:


On voit ici que la partition NTFS (Windows) est /dev/hdb1 (C'est-à-dire la première partition du second disque dur).
C'est donc /dev/hdb1 que nous voulons utiliser.

(ext3 et swap sont des partitions Linux.)

Lire et écrire dans une partition NTFS

Voici comment accéder à vos partitions Windows dès le démarrage d'Ubuntu.

Vous avez besoin de 2 informations :

• Quelle est le nom de votre partition ? (En utilisant sudo fdisk -l, nous savons que c'est /dev/hdb1 dans notre cas.)
• Où voulez-vous y accéder ? Nous allons choisir /media/windows, c'est facile à retenir.

Nous allons donc rendre la partition /dev/hdb1 accessible dans /media/windows

• 1. Créez le point de montage: sudo mkdir /media/windows
• 2. Faites une copie de sauvegarde de votre fichier fstab: sudo cp /etc/fstab /etc/fstab.old
• 4. Ouvrez votre fichier fstab: gksu gedit /etc/fstab
• 5. Ajoutez une ligne à la fin du fichier pour votre partition Windows (/dev/hdb1 dans notre cas):

/dev/hdb1 /media/windows ntfs-3g defaults,locale=fr_FR.utf8 0 0
(attention aux espaces)
Explications :
/dev/hdb1 : le fichier spécial correspondant à la partition
/media/windows : l'endroit où l'on va monter la partition
ntfs-3g : le système de fichiers de la partition. Avec une partition NTFS, le type est ntfs, mais dans ce cas on ne pourrait pas écrire sur la partition. On met donc ntfs-3g, et le logiciel va s'occuper du reste.
defaults,locale=fr_FR.utf8 : les options de montage. defaults regroupe plusieurs options, et locale définit le langage et l'encodage des caractères utilisés.
0 : mettre à 1 si la partition est sauvegardée via dump (ce qui n'est pas le cas)
0 : définit si la partition doit être vérifiée au démarrage : 1 pour la partition mère (chaque démarrage), 2 pour les autres partitions linux (de temps en temps), 0 pour les autres.

Ce qui donne :



Au prochain redémarrage, la partition Windows sera immédiatement accessible dans Ubuntu.
(Pour rendre la partition disponible immédiatement sans redémarrer, tapez: sudo mount /media/windows)

Périphériques externes en NTFS

Pour monter les périphériques externes formatés en NTFS sans être root, il faut appartenir au groupe fuse, ce qui est normalement fait par défaut.

• Tapez dans une console groups pour voir les groupes auxquels vous appartenez.
• Tapez sudo adduser utilisateur fuse pour ajouter un utilisateur au groupe fuse.

Si vous voulez que le périphérique soit monté dans un dossier spécifique (par exemple /media/Clef USB), et pas /media/disk, il faut spécifier le point de montage de la partition dans /etc/fstab (en utilisant /dev/disk/..... comme chemins pour identifier les disques), et il est également nécessaire que l'exécutable de ntfs-3g soit suid root. C'est-à-dire qu'un utilisateur qui exécute ce fichier l'exécute avec les droits root. Pour ceci, tapez en console : sudo chmod 4755 /bin/ntfs-3g.

Limites

• NTFS-3G ne gère pas les fichiers chiffrés (EFS).
• NTFS-3G ne gère pas les fichiers compressés.
• NTFS-3G ne gère pas les permissions NTFS.
• Les dates de modification ne sont pas toujours fiables.

Conseil: Evitez d'utiliser le chiffrement et la compression dans vos partitions NTFS.

Astuce: Cela vous permet - en bootant sous Ubuntu - de supprimer un fichier que Windows ne vous laisse pas supprimer (par exemple un spyware).


Note: Je déconseille d'utiliser une partition TrueCrypt formattée en NTFS dont le fichier .tc est stocké également dans une partition NTFS. J'ai constaté des plantages du système lors d'importants trafics disque.
En revanche, une partition TrueCrypt FAT dont le fichier .tc est stocké dans une partition NTFS n'a jamais posé le moindre problème.

Liens

Voir également:

• HowTo NTFS-3G sur le site francophone d'Ubuntu

Lire la suite

Xubuntu: Linux avec seulement 64 Mo de RAM »

Sommaire:

Les vieux PC

Que faire des vieux PC ? Les jeter ou les donner ?
Si on les donne, quoi mettre dessus ?

• Windows 2000, XP ou Vista ? Impossible, ces machines ne sont pas assez puissantes.
• Windows 98 ? Non plus:
  • Il n'est plus vendu.
  • Il n'est plus supporté par Microsoft: Donc plus de mises à jour de sécurité. C'est dangereux.
  • L'installation d'un antivirus, antispyware et firewall reste indispensable, ce qui alourdit une machine déjà peu puissante.
  • De toute façon tous les nouveaux logiciels Windows ne fonctionnent plus sous Windows 98.

Alors pourquoi pas Linux ?

Xubuntu

Xubuntu est une distribution Linux dérivée d'Ubuntu.

Xubuntu est conçue pour les petites configurations: Elle fonctionne avec seulement 64 Mo de mémoire vive et 2 Go de disque dur.
Soyons clair: Xubuntu ne transformera pas un vieux PC en fusée, mais il permet de profiter d'un environnement graphique confortable et d'applications modernes sur les ordinateurs modestes. C'est un excellent moyen de recycler de vieux PC pour la famille, les amis, des associations, des écoles... en proposant tout le nécessaire pour une utilisation courante (web, chat, traitement de texte, photos...).

Xubuntu est simple à utiliser même pour les débutants, et le système est quasiment insensible aux virus, spywares et cheveaux de Troie, ce qui en fait un excellent choix pour les utilisateurs non expérimentés.

Ce que contient Xubuntu 7.10 (Gutsy Gibbon)

On trouve parmi les logiciels fournis dans l'installation de base:

• Les classiques: calculatrice, éditeur de texte, gestionnaire de fichiers, archiveur (zip, etc.)...
• Logiciel de gravage (Brasero)
• Traitement de texte (AbiWord)
• Tableur (Gnumeric)
• Retouche photo (Gimp)
• Visionneuse/Gestionnaire d'images (GQview)
• Visionneuse de documents PDF, Postscript et DVI.
• Lecteur audio et vidéo (Totem)
• Navigateur (Firefox)
• Email (Thunderbird)
• Messagerie instantanée (chat) (Pidgin)
• etc.

Ces centaines de logiciels supplémentaires sont disponibles en quelques clics si vous avez un accès internet: Images de synthèse, Peer-to-peer, conversion DVD-->DivX, serveur web, agenda, carnet d'adresse, gestion de compte bancaire, montage vidéo, édition musicale, édition de diagrammes, généalogie, PAO, animation, gestion de projets, programmation, radio en ligne, jeux...
Tout ça sans avoir à aller manuellement télécharger et installer ces programmes et sans risque de spyware.

Choix du CD d'installation

Xubuntu peut s'installer avec seulement 64 Mo de RAM, mais il y a quelques astuces.
(Note: L'installation n'est pas abordée en détail. Seuls quelques points d'achoppement sont détaillés.)

Il est impératif de prendre la version "alternate" du CD d'installation de Xubuntu: xubuntu-7.10-alternate-i386.iso
( MD5: 8a6e05a36ff5098ece6e3d28ad3b279a )
(Autres sites miroir: http://www.xubuntu.org/get )

Vous ne pourrez pas installer Xubuntu avec 64 Mo avec le CD standard.
Vous devez impérativement prendre le CD "alternate" (car l'installeur consomme moins de mémoire).

Au début de l'installation

Après avoir choisi le français avec la touche F2, choisissez "Installer sur le disque dur".

Il est recommandé d'avoir une connexion internet active pendant l'installation afin que le téléchargement des modules supplémentaires soit automatique (meilleures traductions, par exemple). Toutefois, ceci n'est absolument pas obligatoire et l'ajout des modules supplémentaires peut se faire après coup (voir plus loin).

Message au début de l'installation

Vous verrez un message vous avertissant du fait qu'il y a très peu de mémoire ("Entering low memory mode").
Ce n'est pas un problème.
L'installeur sera en anglais, mais il se poursuivra sans problème.

Les paramètres de l'installation

Quelques indications:

• Choose language: Dans la liste, trouvez "France" (pressez la touche F plusieurs fois pour le trouver plus rapidement.)
• Encoding on the console: Choisissez "UTF-8", et dans l'écran suivant sélectionnez "# Latin1 and Latin5 - ..."
• Vous pouvez librement choisir le nom de la machine (Hostname) ainsi que le nom de l'utilisateur.
• Si vous avez une carte Ethernet, la configuration réseau sera automatique si l'ordinateur est relié à une "box" (FreeBox, LiveBox...) ou à un réseau local possédant un serveur DHCP. Dans le cas contraire, vous pouvez entrer l'adresse IP 192.168.0.1 (laissez les autres paramètres par défaut). Ce paramètrage peut se modifier plus tard sans problème.
• Xubuntu peut utiliser tout le disque dur automatiquement, ou bien une partie. Dans ce second cas, il vous suffit de libérer au moins 2 Go (3 Go recommandé): Laissez cet espace non partitionné, et l'installeur de Xubuntu se chargera de partitionner cet espace libre (voir l'option correspondante dans l'installeur). Vous pouvez utiliser le LiveCD Knoppix 5.1.1 (ou supérieur) pour redimensionner des partitions existantes sans perdre les données.
• Si une question concernant la synchronisation UTC vous est posée, répondez "Oui" (c'est pour le réglage de l'horloge).

Pendant l'installation

Pendant l'installation, il est possible que l'installeur reste longtemps sur certains paquets (comme zlib1g). C'est tout à fait normal: Vous devez juste attendre.

Il est possible que l'installeur reste un long moment sur "Configuring anthy...".
Vous pouvez le laisser faire (c'est long !) ou bien passer cette partie pour gagner un peu de temps.

• Aller à la seconde console avec ALT+F2 et pressez ENTREE pour ouvrir une ligne de commande.
• Tapez ps | grep anthy pour voir les PID correspondant à la configuration de anthy.
• Tuez-les avec kill x (où x est le numéro du PID).
• Revenez à l'installeur avec ALT+F1

anthy est un programme qui aide à la saisie des caractères chinois.
Passer sa configuration ne pose pas de problème et n'empêche pas de terminer correctement l'installation de Xubuntu.

Après l'installation

Sources de mise à jour

Dans la liste des sources de mises à jour, je vous recommande de décocher le CD d'installation. Ainsi, toutes les mises à jour se feront par internet et Xubuntu ne réclamera plus le CD.
Menu "Applications" > "Système" > "Sources de mises à jour", onglet "Logiciels de tierces parties" : décochez les cdroms.

Mettre à jour la liste des paquets disponibles

(Connexion internet nécessaire)

Taper dans un terminal: sudo apt-get update

Améliorer le support du français

(Connexion internet nécessaire)

Si l'accès internet n'était pas actif lors de l'installation, le support du français est incomplet.
Pour un meilleur support du français, allez dans le menu "Applications" > "System" > "Language support"
Dans la liste, cochez "French" et cliquez sur OK. Laissez l'installation se faire, puis fermez les fenêtres.

Déloguez-vous (Menu "Applications" > "Quit" > bouton "Logout").
Dans l'écran de login, cliquez sur "Language" et sélectionnez "French (UTF-8)" et cliquez sur "Change language".
Ensuite, entrez login et mot de passe.
Une fenêtre va apparaître: Cliquez sur "Make default" (afin de faire du français la langue par défaut).

Note: Le fait d'installer les traductions françaises va également installer OpenOffice.Writer. Mais n'utilisez pas OpenOffice.Writer avec seulement 64 Mo de mémoire vive. Vous ne pouvez pas non plus dé-installer OpenOffice.Writer sans que cela ne supprime les traductions françaises. Ce problème est lié à une dépendance des paquets.

Mises à jour

(Connexion internet nécessaire)

Après installation, il est fortement recommandé d'installer toutes les mises à jour de sécurité.

Menu "Applications" > "Système" > "Gestionnaire de mises à jour" > cliquer sur "Installer les mises à jour" et attendre.

Réduire la taille des polices

Les polices par défaut de Xubuntu (et Ubuntu) sont un peu grosses, surtout sur les vieux PC qui ne sont qu'en 800x600.
La raison est que dans la majorité des cas la résolution par défaut est réglée à 96dpi.
Voici comment corriger: Prenez un éditeur de texte et créez un fichier nommé .Xresources dans votre répertoire home.
(Pressez CTRL+H dans le navigateur de fichiers pour voir les fichiers cachés)
Mettez dedans la ligne suivante:
Xft.dpi: 90

Déloguez et reloguez-vous pour en voir les effets.
Vous pouvez également diminuer la valeur pour des polices encore plus petites.

Il arrive que certains logiciels aient leurs propres réglages de DPI. Vous devrez les configurer à la main.

Réduire la taille du menu

Allez dans le menu "Applications" > "Paramètres" > "Gestion des paramètres de Xfce".
Cliquez sur "Panneau" (icône avec une souris noire).
Pour chacun des panneaux (Panneau 1 et Panneau 2), sélectionnez la taille en pixels (par exemple 26 au lieu de 32).

Installer codecs vidéo, audio, Flash, Java...

Tapez dans un terminal:
sudo aptitude -y install linux-restricted-modules xubuntu-restricted-extras ffmpeg libdvdplay0 libdvdnav4
sudo /usr/share/doc/libdvdread3/install-css.sh

Avec ceci, vous pourrez:

• Lire pratiquement tous les formats audio et vidéo (DivX, MPEG4, MP3...)
• Lire les DVD
• Voir les animations Flash dans les pages web
• Les applets et programmes Java fonctionneront
• Vous aurez également les polices Windows (Times New Roman, Arial, Courrier New...)

Note: Il est possible qu'il y ait un problème lors de l'installation du paquet linux-restricted-modules ("ld_static: final link failed no space left on device"). Il existe un moyen de contourner le problème: Voir cet article. (Merci à florentx pour avoir signalé le bug et fourni le contournement.)

Autres installations

Vous pouvez également installer un firewall et d'autres logiciels.
Voir: 477 ubuntu
(Ces instructions sont pour Ubuntu, mais c'est pratiquement la même chose sous Xubuntu.)

Après les installations

Une fois que tous les logiciels que vous souhaitiez sont installés, vous pouvez gagner un peu de place sur disque en faisant:
sudo aptitude clean

Cela va supprimer les packages compressés téléchargés (c'est sans risque: si un paquet est à nouveau nécessaire, il sera tout simplement re-téléchargé).

Notes

OpenOffice.org

Ne vous fatiguez pas à faire fonctionner OpenOffice.org avec seulement 64 Mo de mémoire vive: C'est impossible.
Même si on peut l'installer et le lancer, il ne fonctionnera pas correctement avec aussi peu de mémoire.

En remplacement, utilisez AbiWord comme traitement de texte et GNumeric comme tableur.

Pour les PC qui ne peuvent pas démarrer sur CD-Rom

Il vous suffit d'utiliser la disquette: http://linux.simple.be/tools/floppy/sbm.img (environ 110 ko)
(Utilisez RawWriteWin pour écrire cette disquette.)

Démarrez sur cette disquette et sélectionnez "CD-Rom" pour démarrer le CD-Rom.

Capacité mémoire

• Moins de 64 Mo: N'espérez pas installer Xubuntu. Essayez peut-être avec d'autres distributions.
• 64 à 256 Mo: Xubuntu est un excellent choix.
• 256 Mo ou plus: Vous pouvez si vous le voulez utiliser Ubuntu ou Kubuntu (qui sont plus gourmands), mais Xubuntu sera très rapide et agréable avec ces machines.

Pour les ordinateurs portables

Pour les ordinateurs portables - même puissants - Xubuntu peut être un bon choix par rapport à ses homologues Gnome (Ubuntu) et KDE (Kubuntu) car il est plus économe en CPU... et donc aussi en batteries !

Sans compter que Xubuntu démarre plus vite que ses compères et qu'il n'empêche pas de faire fonctionner les applications conçues pour KDE et Gnome.

Liens

Voir aussi l'article Linux sur de petites configurations.

Voici d'autres distributions destinées aux vieux ordinateurs:

• DeLi Linux (Config minimale: un 486, 16 Mo de RAM et 350 Mo de disque dur)
• Damn Small Linux (LiveCD ; Config minimale: un 486, 16 Mo de RAM )
• Feather Linux (LiveCD ; Config minimale: un 486, 24 Mo de RAM pour le mode graphique)
• VectorLinux (Config minimale: 32 Mo de RAM, 950 Mo de disque dur)
• PapugLinux (LiveCD)
• SaxenOS (Config minimale: 128 Mo de RAM, 2 Go de disque dur)
• Puppy Linux (LiveCD ; Config minimale: 128 Mo de RAM ; 64 Mo seulement si partition swap présente)
• Fluxbuntu (LiveCD expérimental ; Config minimale: 96 Mo de RAM et 2 Go de disque dur))

Note: Certaines de ces distributions ne supportent pas le français.

Par rapport à ces distributions, Xubuntu a quelques avantages:

• Bon support du français.
• Mises à jour de sécurité suivies au jour le jour.
• Bonne intégration des applications dans Xubuntu.
• Installation simplifiée des logiciels.
• Dépôts bien fournis.
• Communauté très active.

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Installer un serveur proxy HTTP (Squid) »

Sommaire :

1. Installer le proxy

Pour installer Squid tapez dans un terminal :

sudo aptitude install squid

2. Configurer le proxy

La configuration de Squid se fait en éditant le fichier /etc/squid/squid.conf

Pour éditer ce fichier, tapez Alt+F2 et :

gksu gedit /etc/squid/squid.conf

2.1 Nommer le proxy

Squid a besoin de connaître le nom de la machine. Pour cela, repérez la ligne visible_hostname.
Par exemple, si la machine s'appelle 'ubuntu', mettez:

visible_hostname ubuntu

2.2 Choisir le port

Par défaut, le serveur proxy sera en écoute sur le port 3128. Pour choisir un autre port, repérez la ligne:

http_port 3128

et changez le numéro de port, par exemple:

http_port 3177

2.3 Choisir l'interface

Par défaut le serveur proxy sera en écoute sur toutes les interfaces. Pour des raisons de sécurité, il ne faut le mettre en écoute que sur votre réseau local.
Par exemple si la carte réseau reliée à votre LAN a l'IP 10.0.0.1, modifiez la ligne:

http_port 10.0.0.1:3177

2.4 Définir les droits d'accès

Par défaut, personne n'est autorisé à se connecter au serveur proxy, sauf votre machine elle-même.
Il faut créer une liste d'autorisations.
Par exemple, on va définir un groupe englobant tout le réseau local.

Repérez la ligne du fichier commençant par acl localhost...
A la fin de la section, ajoutez:

acl lanhome src 10.0.0.0/255.255.255.0

(lanhome est un nom arbitraire que nous avons choisi).

2.5 Autoriser le groupe

Maintenant que le groupe est défini, nous allons l'authoriser à utiliser le proxy.
Repérez la ligne http_access allow...
et ajoutez en dessous (avant la ligne http_access deny all)

http_access allow lanhome

2.6 Autoriser les ports non standards

Par défaut, Squid n'autorise le traffic HTTP que sur certains ports (80, etc.)
Cela peut poser problème pour certains sites utilisant d'autres ports.
Exemple: http://toto.com:81/images/titi.png serait bloqué par Squid.

Pour éviter ce blocage, trouvez la ligne:
http_access deny !Safe_ports

et commentez-la:
#http_access deny !Safe_ports

3. Démarrer le proxy

(re)démarrez le proxy pour qu'il prenne en compte la configuration que nous venons de modifier.
Tapez:

sudo /etc/init.d/squid restart

A partir de là, le proxy devrait fonctionner. Il suffit de configurer les différents logiciels pour qu'ils l'utilisent.

Informations

Logs du serveur

Les logs du proxy sont situés dans /var/log/squid/access.log

Changer la taile du cache

Par défaut, le cache de Squid est activé, ce qui permet d'accélérer le chargement de certaines pages.
La taille par défaut est de 100 Mo (situé dans /var/spool/squid).

Pour changer sa taille, modifiez le fichier /etc/squid/squid.conf
Trouvez la ligne:
# cache_dir ufs /var/spool/squid 100 16 256

Et décommentez-la. Vous pouvez changer la valeur 100 par ce que vous voulez (par exemple 200 pour 200 Mo):
cache_dir ufs /var/spool/squid 200 16 256

Fonctions et modules supplémentaires

Squid possède plein d'options et modules :

• préfetch (pour précharger les pages et ainsi accélérer la navigation)
• filtres antivirus, antipopups, etc.
• contrôle d'accès au proxy par login et mot de passe.
• contrôle d'accès en fonction des heures.
• etc.

Pour cela, ouvre Synaptic, et cliquez sur le bouton "Rechercher" et entrez "squid" pour trouver les modules en relations avec Squid.
Consultez la documentation de chaque module et la documentation de Squid pour plus d'informations.

Liens

Voir également: Installer un proxy-cache HTTP facilement (polipo)

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Installer un serveur FTP sous Ubuntu »

Sommaire:

Installer le serveur FTP

Pour installer le serveur FTP, tapez:

sudo aptitude install vsftpd

Configurer le serveur FTP

La configuration du serveur FTP se fait en éditant le fichier /etc/vsftpd.conf

Pour éditer ce fichier, faites:

gksu gedit /etc/vsftpd.conf

Interdire le FTP anonyme

Changez la ligne:

anonymous_enable=YES

en:

anonymous_enable=NO

Autoriser les utilisateurs locaux à se connecter

Ajoutez:

local_enable=YES

Cela permettra aux utilisateurs déclarés dans Ubuntu d'utiliser le même login/mot de passe pour accéder au serveur FTP.

Autoriser les utilisateurs à uploader des fichiers

Ajoutez:

write_enable=YES

Choisir l'interface

Par défaut le serveur FTP sera en écoute sur toutes les interfaces. Si vous voulez restreindre - par exemple - uniquement à votre réseau local en 10.0.0.x, ajoutez la ligne:

listen_address=10.0.0.1

Si l'adresse de IP LAN votre serveur FTP est 10.0.0.1

(re)Démarrer le serveur FTP

(re)démarrez le serveur FTP pour qu'il prenne en compte la configuration que nous venons de modifier.
Tapez:

sudo /etc/init.d/vsftpd restart

Notes

Pour plus d'informations, consultez doc.ubuntu-fr.org Ce document intitulé « Installer un serveur FTP sous Ubuntu » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Quels sont les ports ouverts sur mon ordinateur ?

Tapez: sudo netstat -lp --inet

Exemple:

Connexions Internet actives (seulement serveurs) 
Proto Recv-Q Send-Q Adresse locale          Adresse distante        Etat       PID/Program name    
tcp        0      0 *:ssh                   *:*                     LISTEN     4140/sshd            
tcp        0      0 localhost:ipp           *:*                     LISTEN     4179/cupsd           
tcp        0      0 localhost:smtp          *:*                     LISTEN     4440/exim4           
udp        0      0 *:32768                 *:*                                4498/avahi-daemon:   
udp        0      0 *:mdns                  *:*                                4498/avahi-daemon:   

ou bien:

sudo netstat -lp --inet

pour avoir les numéros de port (21) à la place du nom du protocole associé (ftp).

Comment interpréter les adresses

Un port ouvert ne signifie pas forcément qu'il est accessible d'internet.
Voici quelques exemple:

• localhost:ftp signifique que le port ftp (21) est accessible uniquement de votre ordinateur lui-même. Ce n'est donc pas un risque de sécurité.
• 10.0.0.1:ftp signifique que le port ftp (21) est ouvert uniquement sur l'adresses 10.0.0.1, c'est à dire de votre réseau local. Il n'est pas accessible d'internet.
• 192.168.0.1:ftp signifique que le port ftp (21) est ouvert uniquement sur l'adresses 10.0.0.1, c'est à dire de votre réseau local. Il n'est pas accessible d'internet.
• En fait, les adresses IP 10.0.0.1 à 10.255.255.254, 172.16.0.1 à 172.31.255.254 et 192.168.0.1 à 192.168.0.254 ne sont pas routables sur internet. Cela veut dire que si un port est ouvert sur ces addresses, il n'est pas accessible depuis internet.
• *:ftp signifie que le port est ouvert sur toutes vos interfaces (adresses IP). Tout le monde peut y accéder, depuis internet ou bien votre réseau local.

En règle générale, à moins d'en avoir besoin, il faut éviter d'avoir un serveur ouvert sur les adresses internet (* par exemple). C'est un risque de sécurité.
Il faut aller voir la configuration de chaque serveur pour lui demander de n'ouvrir que sur certaines IP (par exemple, c'est dans /etc/vsftpd.conf pour le serveur ftp vsftpd)

Installer un firewall

Si vous voulez installer un firewall, voir cet article.

Note

il y a un regroupement des options qui peuvent permettre une mémorisation plus facile pour l'utilisation de netstat :

netstat -taupe --inet

Ce document intitulé « Quels sont mes ports ouverts sous Ubuntu ? » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Quand vous utilisez Nautilus (gestionnaire de fichiers du GNOME utilisé par Ubuntu), il serait parfois bien pratique de pouvoir ouvrir un terminal directement dans un répertoire précis.

C'est tout à fait possible. Faites: sudo aptitude install nautilus-open-terminal
(Il est nécessaire de vous reloguer).

Vous pouvez désormais ouvrir un terminal en faisant un clic-droit sur un dossier "Ouvrir dans un terminal":



ou bien ouvrir le dossier actuel dans un terminal en allant dans le menu "Fichier" > "Ouvrir dans un terminal":

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Déclencher des actions sur les coins de l'écran »

Installer et utiliser BrightSide

Vous pouvez déclencher des actions quand le curseur est dans un des coins de l'écran: désactiver ou lancer l'économiseur d'écran, changer de bureau virtuel, couper le son ou même lancer un programme de votre choix.

Ce programme vous permet également de passer automatiquement d'un bureau virtuel à l'autre quand le curseur arrive aux bords de l'écran (et d'en paramétrer le délais).

Pour l'installer, faites: sudo aptitude install brightside

puis allez dans le menu "Système" > "Préférences" > "Screen Actions":



Vous pouvez alors paramétrer à votre convenance:

Lancer BrightSide au démarrage

Par défaut, BrightSide ne démarre pas avec votre session. Vous pouvez l'ajouter:

Allez au menu "Système" > "Préférences" > "Sessions", onglet "Programmes au démarrage" et cliquez sur "Nouveau":



Entrez un titre ("BrightSide") et la commande ("brightside &") et validez.



A partir de maintenant, BrightSide sera présent à chaque fois que vous vous connecterez.

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Editer le menu contextuel de Nautilus (navigateur de fichiers) »

Il est facile d'ajouter des éléments dans le menu clic-droit de Nautilus (l'explorateur de fichiers d'Ubuntu).

Il existe deux méthodes:

• avec nautilus-action
• avec nautilus-scripts

Chacun a ses avantages:

• Les plus de nautilus-actions:
  • On peut définir des actions sur certains types de fichiers uniquement, ou certains noms (aa*.png), ou certains types de supports (local, ftp, ssh...)
• Les plus de nautilus-scripts:
  • Plus facile à mettre en place (un fichier à copier)
  • Permet d'utiliser des scripts ou programmes plus complexes au lieu d'une simple ligne de commande.
  • Nombreux scripts prédéfinis disponibles sur http://g-scripts.sourceforge.net/
  • Possibilité de classer les scripts par dossiers.

A vous de choisir.

Il est possible, dans les deux cas, de mettre une icône sur chaque action.

Avec nautilus-actions

1. Installer le nécessaire

Tapez: sudo aptitude install nautilus-actions

2. Configurer une action

Par exemple, nous allons ajouter une action "Editer avec Inkscape" pour les fichiers .svg.

Allez dans le menu "Système" > "Préférences" > "Configuration des actions de Nautilus".



Cliquez sur "Ajouter".



Entrez les informations. Les plus importantes sont:

• Le libellé (c'est le texte qui sera affiché)
• chemin (le nom du programmé qui sera lancé)
• paramètres (pour transmettre le nom du fichier au programme)

Dans l'onglet conditions, indiquez sur quels types de fichier cela doit s'appliquer, par exemple, *.svg

Le type MIME est un autre moyen de décrire un type de fichier.

• Par exemple, les fichiers .jpeg, .jpg et .jpe ont tous le type MIME "image/jpeg".
• Pour les fichiers .htm et .html, c'est "text/html"
• Pour les fichiers SVG, c'est image/svg+xml
• Si vous ne le connaissez pas, laissez */*

Dans le troisième onglet, vous pouvez indiquer si cette action doit être disponible uniquement sur les fichiers locaux, ou sur les fichiers situés sur des serveurs FTP, partage Windows, partage NFS, etc.



Validez le tout.

3. Tester !

Voici un fichier SVG. Faisons un clic droit: Notre action est bien présente.



Et voilà, notre fichier est ouvert dans Inkscape.

Avec nautilus-scripts

Il vous suffit de créer votre script dans ~/.gnome2/nautilus-scripts et de le rendre exécutable.
Relancer alors un nouveau navigateur Nautilus: En faisant un clic droit sur un fichier, vous verrez alors le menu "Script" apparaître avec votre script dedans.


Note: Le menu contextuel "Script" apparaîtra automatiquement dès qu'il y aura au moins un script placé dans ~/.gnome2/nautilus-scripts

Exemple 1: Calculer le hash MD5 d'un fichier

Tapez: gedit ~/.gnome2/nautilus-scripts/Calculer\ la\ MD5
et entrez dedans:

#!/bin/bash
result=`md5sum -b "$@"`
zenity --info --text="Hash MD5:\n$result" 

Nous lançons juste le programme md5sum pour calculer la MD5, puis nous utilisons zenity pour afficher le résultat dans une boite de dialogue.

Maintenant, sélectionnez un ou plusieurs fichiers dans Nautilus, et faites un clic droit > "Scripts" > "Calculer la MD5":



Et voilà le résulat:




Notez que Nautilus passe aux scripts plusieurs variables d'environnement que vous pouvez utiliser.
Voir http://library.gnome.org/...

Exemple 2: Scanner avec ClamAV

Si vous avez l'antivirus ClamAV installé, voici le script pour scanner n'importe quel fichier ou dossier:

Scanner avec ClamAV:

#!/bin/sh
/usr/bin/clamscan --stdout -r $@ | zenity --text-info --title="Réultats du scan de $@ avec ClamAV"

On peut alors scanner facilement un dossier ou un fichier:



Une fenêtre apparaîtra montrant les fichiers scannés par ClamAV, ainsi qu'un résumé.
(Notez que ClamScan peut être assez long à démarrer)


Voilà... "Infected files:0", tout semble net.

Astuce

Nous avons créé un script shell bash, mais rien ne vous empêche de placer directement un script perl ou Python dans le répertoire nautilus-scripts !
Potentiellement, n'importe quel script ou programme prenant un fichier ou répertoire en ligne de commande peut être utilisé ainsi.

De nombreux exemples de scripts sont disponibles dans cette archive:
http://g-scripts.sourceforge.net/nautilus-scripts.tar.gz (68 ko)

Vous pouvez également créer des sous-répertoires dans votre dossier de script afin de créer des catégories.

Open terminal

Une commande toute prête pour ouvrir un terminal par le menu contextuel est disponible dans Ubuntu.
Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 6346 ouvrir un terminal ici

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Comment paramétrer l'économiseur d'écran ? »

Paramétrer les économiseurs d'écran

Vous l'aurez peut-être remarqué, sous Ubuntu 7.04 (Feisty) vous pouvez paramétrer le délai de déclenchement de l'économiseur d'écran... mais pas l'économiseur d'écran lui-même !

Voici comment corriger le problème:

Téléchargez et installez xFx ScreenSaver Settings de cette page

et lancez xfx-screensaver-settings

Vous pourrez alors modifier les paramètres de chaque économiseur d'écran en cliquant sur "Settings"




Note : cette astuce fonctionne aussi avec Ubuntu 8.04 (Hardy) mais pas avec 9.04 (Jaunty)

Plus d'économiseurs d'écran !

Si vous voulez beaucoup plus d'économiseurs d'écran, installez tous les paquets commençant par xscreensaver (lancez Synaptic pour les trouver).

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Compresser/Décompresser les archives rar, 7z, arj, lzh »

Tapez: sudo aptitude install p7zip-full rar arj lha

Vous serez en mesure de compresser/décompresser les formats .7z, .rar, .arj et .lzh
(Clic droit > "Créer une archive" et Clic droit > "Extraire ici")

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Ubuntu - Avoir la corbeille sur le bureau »

Si vous préférez avoir la corbeille sur le bureau plutôt que dans la barre des tâches, faites:

• 1. Faites un clic-droit sur le bureau, "Créer un lanceur"

• 2. Entrez:

Type: Fichier (ou emplacement)
Nom: Corbeille
Emplacement: trash: (n'oubliez pas les deux point (:) après le mot "trash")



Pour l'icône, cliquez sur le cadre en haut à gauche, et entrez le chemin
/usr/share/icons/Human/scalable/places
Vous pouvez alors sélectionner l'icône de la corbeille:

• Remarque : vous pouvez remplacer Human (le thème par défaut d'Ubuntu) dans le chemin par le style que vous utilisez, par exemple UbuntuStudio si vous avez opté pour ce thème, afin d'avoir l'icône relative à celui-ci.
• Validez le tout.

Et voilà !
Vous avez la corbeille sur le bureau:

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Installer Google Earth sous Ubuntu »

Deux méthodes pour installer Google Earth

Avec le fichier .bin de Google

Installer Google Earth

Téléchargez Google Earth

Téléchargez (un peu moins de 25 Mo)
et placez-le dans votre répertoire home.

Rendre le fichier exécutable

Tapez chmod +x ./GoogleEarthLinux.bin

Lancez l'installation

Tapez: sudo ./GoogleEarthLinux.bin
et suivez l'installation (Vous pouvez laisser les répertoires par défaut)

Ajouter un raccourci dans le menu principal

Menu "Système" > "Préférences" > "Menu principal".
Choisissez un des menus (par exemple "Education") et cliquez sur "Nouvel élément".

Type: Application
Nom: Google Earth
Commande: /usr/bin/googleearth


Pour l'icône, cliquez sur "Aucune icône" et entrez: /opt/google-earth/googleearth-icon.png
Validez le tout.

Et voilà : Google Earth a été ajouté à notre menu.

.Désinstaller Google Earth

• Supprimez le répertoire /opt/google-earth et tout ce qu'il contient.
• Supprimez le raccourci /usr/bin/googleearth
• Supprimez le répertoire des préférences ~/.googleearth

Avec les dépôts

Google Earth n'est pas disponible dans les dépôts par défaut de Ubuntu, mais dans les dépôts Medibuntu

Ajouter les dépots Medibuntu aux sources de logiciels

Ajoutez cette source de logiciel. Vous devez prendre celle qui correspond à votre distribution (Hardy (8.04), Intrepid (8.10), ou Jaunty (9.04)) :

deb http://packages.medibuntu.org/ hardy free non-free

deb http://packages.medibuntu.org/ intrepid free non-free

deb http://packages.medibuntu.org/ jaunty free non-free

via "Système" > "Administration" > "Sources de logiciels"

Il faut ensuite importer la clé d'authentification : pour cela, tapez dans un terminal, en administrateur :

wget -q http://packages.medibuntu.org/medibuntu-key.gpg -O- | sudo apt-key add -

Finalement, actualisez le liste de logiciel : sudo aptitude update

Installer Google Earth

• Sous Hardy et Intrepid, ouvrez un terminal et tapez : sudo aptitude install googleearth-4.3
• Sous Jaunty (version 5 de google earth): sudo aptitude install googleearth

Quand l'installation est finie, le raccourcis se trouve dans le menu "Application" > "Internet".

Désinstaller Google Earth

Tapez simplement sudo aptitude remove googleearth-4.3
ou sudo aptitude purge googleearth-4.3 pour supprimer les fichiers de configuration du dossier personnel.
(supprimez le "-4.3" dans Jaunty) Ce document intitulé « Installer Google Earth sous Ubuntu » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Modifier le menu application de Xubuntu

Contrairement à Ubuntu, Xubuntu ne possède pas d'éditeur de menu.

Le seul moyen d'éditer le menu est d'aller modifier des fichiers texte à la main.

Pour cela, ouvrez un terminal (n'utilisez pas le gestionnaire de fichiers Thunar), et allez dans /usr/share/applications

En tapant la commande ls, vous y trouverez des tas de fichiers avec l'extension .desktop.
Chaque fichier correspond à une entrée du menu: Il vous suffit alors de l'éditer avec mousepad.

Par exemple: sudo mousepad gxine.desktop

Vous pouvez ainsi ajouter des entrées aux menus ou changer un logiciel de catégorie.

Supprimer une entrée du menu

Il suffit de renommer le fichier .desktop.

Par exemple, pour retirer le traitement de texte OpenOffice du menu, faites:
mv ooo-write.desktop ooo-write.desktop.disabled

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Modifier l'application par défaut à l'ouverture d'un fichier »

Quand vous double-cliquez sur un fichier, une action par défaut est exécutée.
(Par exemple, si vous double-cliquez sur un fichier .jpg, c'est la visionneuse d'image "Eye of Gnome" qui est lancée).

Il est très facile de changer les actions par défaut.

1) Faite un clic-droit sur un fichier du type (ici, un .jpg) et choisissez "Propriétés"



2) Allez dans l'onglet "Ouvrir avec" et choisissez le programme à utiliser (par exemple The Gimp).



Notez que vous pouvez utiliser le bouton "Ajouter" pour utiliser le programme de votre choix.

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Backups automatisé de la configuration »

Il est toujours préférable de faire des backups réguliers de certains dossiers, au cas ou ils seraient perdus ou endommagés.
Par exemple de votre répertoire personnel, ou encore de la configuration de tous les logiciels et du système d'exploitation.

Sous Linux, il y a plusieurs solutions pour automatiser cette tâche et ne plus avoir à y penser.

Logiciel en ligne de commande : backup-manager

backup-manager (Site Officiel) est un programme simple et léger, qui permet de faire des sauvegardes automatiques et régulières (tous les x jours) de dossiers choisis.

Pour l'installer, tapez : sudo aptitude install backup-manager backup-manager-doc dans un terminal.
Vous pouvez également essayer de l'installer depuis votre navigateur : [apt://backup-manager installer backup-manager] et [apt://backup-manager-doc installer la documentation], ou avec le navigateur konqueror : [apt:/search?backup-manager recherche des paquets]

Entrez votre mot de passe, et suivez l'installation.

Vous allez préciser où les backups doivent être faits:


Ensuite, précisez à quel utilisateur et groupe appartiendront les fichiers de backup.
Les backups contiennent des informations sensibles (liste des utilisateurs, contenu des répertoires personnels...). Il est important que n'importe qui ne puisse pas les lire. Laisser 'root' est une bonne idée.





Maintenant, précisez quels répertoire sauvegarder.
/etc et /home sont proposés par défaut, mais je vous recommande d'ajouter /boot.



C'est tout !

A partir de maintenant, un backup quotidien de ces répertoires sera effectué automatiquement et sauvegardé dans le répertoire que vous avez spécifié.
Les sauvegardes des cinq derniers jours seront conservées.

Vous n'avez plus à vous en occuper.

Notes

• backup-manager est automatiquement lancé tous les jours (regardez dans /etc/cron.daily).
• Vous pouvez modifier la configuration des backups en modifiant /etc/backup-manager.conf (par exemple le nombre de jours à conserver).
• La documentation de backup-manager est située dans /usr/share/doc/backup-manager-doc/html/
• Certains dossiers peuvent être très lourds, comme les dossiers de vidéos, de musiques... Il peut être préférable de les exclure de la sauvegarde. Pour cela, il faut éditer le fichier /etc/backup-manager.conf, et modifier la variable BM_TARBALL_BLACKLIST, en mettant un espace entre chaque dossier à exclure (ex : "/home/toto/Vidéos /home/toto/Musiques ...")

Logiciel avec une interface graphique : Keep

Keep est un logiciel disposant de fonctionnalités proches, avec une interface graphique, ce qui est plus abordable pour les débutants.

Installer Keep : sudo aptitude install keep dans un terminal
ou [apt://keep installer keep dans un navigateur] ou encore [apt:/search?keep keep dans Konqueror]

Lancement du logiciel

Une fois le logiciel installé, lancez-le en tant qu'administrateur : Alt+F2 et gksu keep (ou kdesu keep si vous utilisez KDE), puis entrez votre mot de passe.

Le logiciel s'ouvre :


Vous pouvez ajouter des répertoires à sauvegarder via le premier bouton. Une fois une sauvegarde faite, vous pourrez la restaurer avec le deuxième bouton. Le quatrième bouton vous permet de modifier les paramètres des sauvegardes prévues, et le journal de sauvegarde enregistre les éventuelles erreurs recontrées lors d'une tentative de sauvegarde.

Il est nécéssaire que le démon de sauvegarde soit chargé afin d'effectuer les sauvegardes automatiquement. Cliquez simplement sur "Charger".

Planifier une sauvegarde

Pour planifier une sauvegarde automatique, utilisez le permier bouton (Ajouter des répertoires à sauvegarder).

Une fenêtre s'ouvre, et vous demande quel dossier vous voulez sauvegarder. Sélectionnez par exemple /boot :

Ensuite, cliquez sur suivant, et sélectionnez un dossier ou sauvegarder le répertoire. Dans cet exemple, j'ai une partition dédiée pour cela, qui est montée sur /mnt/backup. Keep ne compresse pas les fichiers, mais les copie directement. Il vaut donc mieux sauvegarder chaque dossier dans un dossier du même nom.

Après avoir choisi le dossier de destination, cliquez sur suivant.


Dans "Interval de sauvegarder" (sans doute une erreur de traduction ;-) ), choisissez le nombre de jours entre chaque sauvegarde. Un est le minimum.
La case suivante permet de choisir pendant combien de jours les sauvegardes seront conservées. Une valeur entre 5 et 10 jours est appropriée.
Utiliser la compression rendra les fichiers crées plus légers.
La configuration vous permet de choisir les options de la ligne de commande.

Cliquez sur terminer, et la sauvegarde est planifiée.

Exclure des répertoires d'une sauvegarde

Il est également conseillé de sauvegarder le dossier /home, qui contient les préférences et fichiers personnels de tous les utilisateurs.
Mais certains fichiers comme les vidéos ou les musiques prennent beaucoup de place, et il vaut mieux les exclure.

Pour cela, ajoutez un autre répertoire à sauvegarder, mais indiquez /home :

Ensuite, cochez la case "utiliser la liste des inclusions/exclusions", et éditez cette liste en cliquant sur le bouton à côté.
Une fenêtre s'ouvre et vous permet de spécifier certains répertoires à ne PAS sauvegarder.
Vous pouvez y ajouter /home/toto/Musique, /home/toto/Vidéos, /home/tata/Musique, etc...
Vous pouvez également utiliser le caractère "*" pour spécifier "n'importe quel dossier" :

Ainsi, en spécifiant /home/*/Musique, /home/*/Vidéos à exclure, aucun utilisateur n'aura ses dossiers "Musique" ou "Videos" de sauvegardés.

Restaurer une sauvegarde

Si vous avez un problème, il suffit de lancer Keep et de cliquer sur le deuxième bouton : restaurer la sauvegarde, puis de sélectionner le dossier que vous voulez restaurer.

Il est également possible d'aller directement dans le dossier de sauvegarde, d'y récupérer les fichiers et de les copier sur les répertoires initiaux.
Ceci est utile si vous ne pouvez plus du tout accéder au système ni a Keep, il suffit d'utiliser un Live CD.

Notes

• Keep utilise le logiciel rdiff-backup (regardez dans le menu configuration>Vérifier la sauvegarde rdiff). C'est en quelque sorte une interface graphique pour ce logiciel.
• Pour sauvegarder automatiquement les fichiers/dossiers, keep n'utilise pas de cron, mais son propre service. Il faut donc vérifier qu'il se lance au démarrage. En principe, il suffit qu'il soit lancé lors de l'enregistrement d'une session à la deconnexion.

Notes

• Par défaut, backup-manager crée des fichiers compressés (.tar.gz), et Keep copie simplement les fichiers et dossiers, en les modifiant à chaque nouvelle sauvegarde (c'est une sauvegarde incrémentale).
• Il est recommandé d'effectuer le backup sur une autre partition (par exemple votre partition Windows, ou mieux, une partition dédiée à cet usage).
• A propos des dossiers sauvegardés :
  • /boot contient les fichiers nécessaires au démarrage du système, ainsi que la configuration de certains logiciels (GRUB, lilo...)
  • /etc contient la configuration de tous vos logiciels et services du système.
  • /home contient les fichiers personnels de tous les utilisateurs ainsi que leur préférences
• Les autres dossiers, non sauvegardés (/bin /dev /lib /sbin /usr), ne contiennent pas de configuration particulière, ils diffèrent seulement en fonction des programmes installés. Si vous réinstallez un système, ainsi que les programmes que vous aviez avant, il n'y aura qu'a remplacer les fichiers /etc, /boot et /home par les sauvegardes pour retrouver son système initial.
• Pour restaurer votre configuration en cas de problème, vous pouvez prendre un LiveCD (comme celui d'Ubuntu, ou encore Knoppix) et copier les fichier créés dans le répertoire initial correspondant.

Voir aussi

• rdiff-backup: Des backups efficaces et incrémentaux

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Ubuntu - Arrêt et démarrage plus rapides grâce à l'hibernation »

Pour démarrer plus vite une machine sous Ubuntu, il suffit... de ne pas l'arrêter !

Ou pour être plus précis: Au lieu de choisir "Arrêter", choisissez "Hiberner".



Le résultat sera le même: La machine sera physiquement éteinte (courant coupé, disques durs arrêtés, etc.), mais lorsque vous la rallumerez, elle sera dans l'état où vous l'aviez laissée ! (applications et fenêtres).


Avantages:

• Vous n'avez plus besoin de sauvegarder vos documents et de les fermer avant d'arrêter la machine.
• Vous n'avez plus besoin de fermer vos logiciels et de les relancer.
• Vous retrouvez vos applications et fenêtres dans l'état exact où vous les aviez laissées (comme si vous n'aviez pas éteint l'ordinateur)
• Votre système démarre plus vite. (Testé sur un Pentium 4 3GHz: Entre le moment où le bouton "Power" est pressé et le moment où le bureau est prêt à l'emploi: 45 secondes)
• En plus d'être pratique (système plus rapidement prêt), c'est écologique !

Notes:

• Le mode "hibernation" est très différent du mode "Veille". En mode veille, l'ordinateur n'est pas vraiment éteint: le processeur et la mémoire continuent de consommer du courant. Le mode "hibernation" d'Ubuntu éteint réellement l'ordinateur.
• Le mode hibernation d'Ubuntu est disponible sur toutes les machines, même celles qui ne sont pas des ordinateurs portables.
• Les connexions réseau seront coupées. Si vous étiez en train de télécharger par Peer-to-peer (BitTorrent et autres), le téléchargement reprendra automatiquement. Dans le cas de téléchargements HTTP et FTP, il suffit de prendre un gestionnaire de téléchargements qui est capable de reprendre un téléchargement interrompu.
• Astuce: C'est très pratique en dual-boot avec Windows. Si vous avez quelque chose à faire sous Windows, choisissez "Hiberner", redémarrez sous Windows puis revenez à Linux: C'est comme si vous n'aviez pas quitté Linux ! Bien pratique.
• Sauvegardez quand même vos fichiers avant d'hiberner, on ne sait jamais ;-)
• Sous Ubuntu Feisty Fawn 7.04 il semble y avoir un problème au redémarrage si vous utilisez Beryl. Si cela vous arrive, coupez Beryl avant d'hiberner et relancez-le après le redémarrage.
• Les données des programmes en cours sont stockées sur la partition de swap. Donc plus il y a de swap, mieux c'est. Il faut au minimum un Go de swap pour être sûr de retrouver toutes ses applications une fois le PC rallumé.
• Pour la même raison, il est possible que l'utilisation de la même partition swap avec un autre système (système installé sur le disque dur, live-CD...) efface certaines données et empêchent la récupération lorsque l'on réutilise le système qui hiberne.

Ayez le réflexe "Hiberner" au lieu d'"Arrêter" !

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Créer des PDF sous Ubuntu »

Pour Ubuntu 7.10 (Gutsy Gibbon)

(1) Allez dans le menu "Système" > "Administration" > "Impression"



(2) Cliquez sur "Nouvelle imprimante":



(3) Choisissez "Print into PDF file" et cliquez sur "Suivant":



(4) Sélectionnez "Generic" et cliquez sur "Suivant":



(5) Sélectionnez "PDF Generator" et "Generic PDF file generator (recommended)" et cliquez sur "Suivant":



(6) Entrez simplement le nom "PDF" et cliquez sur "Appliquer":



(7) Maintenant, vous pouvez créer des PDF de n'importe que logiciel (par exemple ici, Firefox) en sélectionnant CUPS/PDF comme imprimante.



Les fichiers PDF seront créés automatiquement dans le sous-répertoire "PDF" de votre dossier personnel.
(Dans de rares cas, le répertoire PDF n'est pas créé: Dans ce cas, créez-le vous-même.)

Pour Ubuntu 7.04 (Feisty Fawn)

(1) Installez le module cups-pdf. Tapez dans un terminal: sudo aptitude install cups-pdf

(2) Allez dans le menu "Système" > "Administration" > "Impression"



(3) Dans la fenêtre qui s'affiche, allez dans le menu "Imprimante" > "Ajouter une imprimante"



(4) Une fenêtre s'affiche. Dans "Utiliser une imprimante détectée" vous devriez voir "PDF Printer (Virtual Printer)". Cliquez simplement sur "Suivant".



(5) Dans la fenêtre suivante:
Pour "Fabricant", choisissez "Generic".
Pour le "Modèle", choisissez "PostScript".
Cliquez sur "Suivant".



(6) Dans l'écran suivant, entrez le nom et la description de l'imprimante (par exemple "PDFPrinter") et cliquez sur "Appliquer".



Et voilà ! Votre nouvelle imprimante est prête.

Vous pouvez désormais créer des PDF à partir de n'importe quelle application en choisissant "CUPS/PDFPrinter" comme imprimante.

Un répertoire PDF sera créé dans votre répertoire personnel et les PDF y seront automatiquement déposés.
(Dans de rares cas, le répertoire PDF n'est pas créé, dans ce cas, créez-le vous-même.)


(Article fortement inspiré de http://www.arsgeek.com/?p=1720)


Note: Pour une raison inconnue, il arrive que cette manipulation échoue (imprimante non créée après l'appui sur "Appliquer"). Dans ce cas, recommencez jusqu'à ce que ça fonctionne :-(

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Créer des volumes chiffrés (TrueCrypt) »

TrueCrypt est un logiciel qui vous permet de garder vos fichiers à l'abri des regards indiscrets.
L'avantage de TrueCrypt - en dehors d'une conception solide - est que les volumes TrueCrypt sont utilisables sous Linux et sous Windows.

Sommaire:

Installer TrueCrypt

TrueCrypt n'est pas disponible dans les dépôts Ubuntu.
Allez le télécharger sur http://www.truecrypt.org/

Prenez le package correspondant à votre distribution.



Récupérez le fichier truecrypt-4.3a-ubuntu-7.04-x86.tar.gz et décompressez ce fichier (clic-droit, Extraire ici).
Ouvrez le répertoire créé et double-cliquez sur le fichier .deb et cliquez sur "Installer le paquet":

Créer un volume chiffré

Tapez: truecrypt -c mondisque.tc

• Volume type: Pressez Entrée
• Filesystem: Pressez Entrée
• Hash algorithm: Pressez Entrée
• Encryption algorithm: Pressez Entrée
• Enter password for new volume 'mondisque.tc': Entrez le mot de passe de votre choix.
• Re-enter password: Entrez à nouveau le mot de passe
• Enter keyfile path [none]: Pressez Entrée
• Please type at least 320 randomly chosen characters and then press Enter: TrueCrypt a besoin de hasard: Pressez des touches au hasard et pressez Entrée. (S'il n'y a pas assez de caractères, TrueCrypt vous en demandera encore).
• Ensuite, le disque sera créé.

Monter un disque chiffré

Créez le point de montage, puis tapez: truecrypt -u disqueTrueCrypt pointDeMontage

Entrez ensuite votre mot de passe (ou celui de root), puis le mot de passe du volume chiffré.

Exemple:

john@ubuntu:~$ mkdir mesfichiers 
john@ubuntu:~$ truecrypt -u mondisque.tc ~/mesfichiers 
Enter john's or root's system password:  
Enter password for '/home/john/mondisque.tc': 

Et voilà !
Vous pouvez lire et écrire des fichiers dans ~/mesfichiers: Ils seront à l'abris des regards indiscrets.

Démonter le disque chiffré

Tapez truecrypt -d ~/mesfichiers

Vous pouvez aussi démonter d'un coup tous les volumes TrueCrypt d'un coup: truecrypt -d

Notes

• Si par hasard vous montez un volume TrueCrypt contenant un système de fichiers NTFS, on peut le monter quand même sous Ubuntu. Commencez par installer le module ntfs-3g, puis faites: truecrypt -u --filesystem ntfs-3g disqueTrueCrypt pointDeMontage
• Attention à l'option -p de TrueCrypt ! Certes vous pouvez spécifier le mot de passe dans la ligne de commande, mais n'oubliez pas que tout est enregistré dans .bash_history, y compris le mot de passe. Évitez donc d'utiliser l'option -p

Ce document intitulé « Créer des volumes chiffrés (TrueCrypt) sous linux » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

Un serveur ssh vous permet d'accéder à distance à votre machine.
Vous aurez ainsi accès à la console distante (équivalente à telnet, mais sécurisée) et au transfer de fichiers (équivalent à FTP, mais sécurité également).

Installation

On ne peut pas faire plus simple: sudo aptitude install ssh

Et c'est tout !
Vous pouvez désormais vous connecter à distance de manière sécurisée.

Utilisez les logins/mot de passe des utilisateurs déclarés dans Ubuntu.

Connexion

Vous pouvez utiliser ssh en ligne de commande: ssh monlogin@adresseip

Vous pouvez également y accéder depuis Windows:

• avec Putty pour avoir la ligne de commande
• avec WinSCP pour transférer des fichiers

Utilisation de SSH à travers un proxy

Installez tout d'abord le paquet proxy-connect :

sudo aptitude install proxy-connect

Modifiez le fichier /etc/ssh/ssh_config pour permettre l'utilisation de SSH en passant par le proxy :

sudo echo 'ProxyCommand /usr/bin/connect-proxy -4 -S monproxy.domaine.com:port %h %p' >> /etc/ssh/ssh_config

Veillez à bien remplacer "proxy.domaine.com" et "port" par le nom de votre proxy et son numéro de port.

Astuce

Pour faire fonctionner le serveur ssh sur un autre port quel le port 22 standard:

1. Ouvrez le fichier de configuration: sudo gedit /etc/ssh/sshd_config
2. Repérez la ligne Port 22 et remplacez par la valeur de votre choix (par exemple Port 741)
3. Redémarrez le serveur ssh: sudo /etc/init.d/ssh restart

Cette petite astuce permet d'éviter que le serveur soit repéré par un scan de plages d'adresse IP, et donc de réduire un peu les risques.

Liens

Voir également:

• Se logguer à distance avec ssh (linux)
• Se logguer à distance avec ssh ( Windows )
• Transferer des fichiers via ssh
• NX est un moyen performant d'accéder à distance à votre ordinateur qui utilise SSH. Voir ces deux articles.

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Accéder à un serveur FTP comme si c'était un répertoire local »

1. Installez curlftpfs: sudo aptitude install curlftpfs

2. Créez le répertoire où apparaîtra le serveur ftp: mkdir pointdemontage

3. Ajoutez les utilisateurs autorisés à utiliser le logiciel au groupe fuse : sudo adduser username fuse

4. Montez le serveur FTP: curlftpfs login:motdepasse@monserveurftp.com pointdemontage

Et voilà !

Vous pouvez accéder au contenu de votre serveur FTP comme si c'était un simple répertoire local !

Pour démonter l'accès: fusermount -u pointdemontage

Pour plus d'informations, voir la documentation ubuntu

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Accéder à un serveur ssh comme si c'était un répertoire local »

1. Installez sshfs: sudo aptitude install sshfs

2. Créez le répertoire où apparaîtra le serveur ssh: mkdir pointdemontage

3. Ajoutez les utilisateurs autorisés à utiliser le logiciel au groupe fuse : sudo adduser username fuse

4. Montez le serveur ssh: sshfs login@monserveurssh: pointdemontage
(N'oubliez pas les deux points (:) après le nom ou l'adresse du serveur ssh)

Et voilà !

Vous pouvez accéder au contenu de votre serveur ssh comme si c'était un simple répertoire local !

Pour démonter l'accès: fusermount -u pointdemontage
Pour plus d'informations, voir la documentation ubuntu : http://doc.ubuntu-fr.org/sshfs

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Empêcher la récupération des fichiers effacés »

Tout comme sous Windows, il est parfois possible de récupérer des fichiers effacés.
Voici comment procéder pour empêcher cela:

1. Vider les corbeilles

Tout d'abord, assurez-vous que la corbeille de Nautilus (le navigateur de fichiers) est vide.

Cliquez sur la corbeille (en bas à droite de l'écran):



Puis cliquez sur le bouton "Vider la corbeille".




Attention: Si vous accédez à d'autres partitions (FAT, NTFS...), chacune de ces partitions possède sa propre corbeille qui n'apparaît pas dans la corbeille standard.

Pour cela, affichez les fichiers cachés dans Nautilus (CTRL+H) et recherchez, à la racine de chaque partition, les répertoire .Trash ou .Trash-nomdepartition et supprimez-les.

2. Ecraser l'espace libre

Pour éviter la récupération des fichiers effacés, utilisez le package secure-delete.

Commencez par installer ce package: sudo aptitude install secure-delete

Puis tapez: sudo sfill -l -l -v /

Si vous êtes vraiment parano et que vous préférez 38 passes un au lieu d'une seule, faites: sudo sfill -v /

Notes

• A cause des particularités de certains systèmes de fichiers (tels que ext3), il est impossible de garantir un effacement à 100%.
• Pour qu'un fichier ne soit jamais écrit en clair sur disque, vous pouvez utiliser des systèmes de fichiers chiffrés tels que TrueCrypt.
• Voir aussi les autres programmes fournis avec secure-delete: srm (effacement d'un fichier), smem (effacement de la mémoire), sswap (effacement de la partition swap).

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Installer NX Server »

Qu'est-ce que NX ?

NX vous permet d'utiliser votre ordinateur à distance, tout comme on le ferait avec VNC ou Windows Remote Desktop.
Mais NX a plusieurs avantages.

Pourquoi NX ?

• NX est gratuit
• Il est bien sécurisé (il utilise ssh)
• Il ne nécessite pas de service spécial à démarrer (il n'est activé que lors d'une connexion)
• Il utilise les utilisateurs et mots de passe déclarés sur le système.
• Il est très performant (l'affichage est beaucoup plus réactif que VNC ou X sur ssh seul.)
• On peut redimensionner l'écran (les barres de menu s'adaptent)
• On peut fermer une session et la reprendre plus tard, même à partir d'une autre connexion internet (vous retrouvez vos fenêtres telles qu'elles étaient)

Télécharger et installer SSH

NX Server a besoin de ssh pour fonctionner (NX utilise ssh pour sécuriser la connexion).
Le serveur ssh doit être installé et démarré (Il doit être sur le port standard 22).

Pour installer et démarrer le serveur ssh: sudo aptitude install ssh

(Vous n'avez rien à faire de plus pour que le serveur ssh soit en état de marche.)

Télécharger et installer NX Server

Note: Il existe 3 versions du serveur NX: NX Server, FreeNX et 2X. Nous allons installer NX Server.

Note: Le serveur NX Server est limité à 2 utilisateurs max et 2 connexions simultanées max. Si vous voulez dépasser cette limite, vous pouvez installer le serveur FreeNX à la place.)

Téléchargez:

• NX Client
• NX Node
• NX Free Edition

Vous obtenez les 3 fichiers suivants:

• nxclient_2.1.0-17_i386.deb
• nxnode_2.1.0-22_i386.deb
• nxserver_2.1.0-22_i386.deb

Installez chacun de ces packages dans cet ordre en double-cliquant dessus et en cliquant sur "Installer le paquet".

Tester

Lancez /usr/NX/bin/nxclient

Au premier lancement, un assistant vous aidera à créer la connexion.



Entrez un nom pour cette session et l'adresse du serveur ssh:



Le curseur vous permet de choisir le taux de compression en fonction du type de connexion que vous utilisez.

Vous pouvez également choisir le gestionnaire de fenêtres (Gnome, KDE...):



Je vous recommande chaudement de cocher la case "Enable SSL encryption of all traffic" afin de sécuriser toutes les communications.



Vous n'avez plus qu'à entrer login et mot de passe:



Attendez que la connexion s'établisse:



Et voilà !

Vous pouvez accéder à votre bureau.

Notes

• Le client NX est présent sur le CD de Knoppix. Autrement dit, cela vous permet d'accéder à votre ordinateur depuis n'importe quelle connexion internet en démarrant sur le CD. Non seulement la connexion NX est sécurisée (grâce à ssh), mais en prime le fait d'utiliser Knoppix vous protège contre d'éventuels keyloggers. Vous pouvez utiliser votre ordinateur à distance en toute sécurité.
• Vous pouvez créer un lien symbolique pour lancer plus facilement le client: sudo ln -s /usr/NX/bin/nxclient /usr/bin/nxclient
• Le client NX existe aussi en version pour Windows. Vous pouvez donc utiliser la version Windows de NX pour vous connecter sur des serveurs NX, Windows TSE, VNC et autres.
• Le serveur NX n'existe pas pour Windows (car le serveur NX se base sur le protocole X de Linux/Unix).
• Vous ne verrez pas le serveur NX avec la commande ps: Il n'est lancé que lorsqu'une connexion NX arrive.
• Des raccourcis clavier sont disponibles, par exemple CTRL+ALT+F pour basculer le mode plein écran.
• Vous pouvez fermer une session et la reprendre plus tard telle quelle : fermez la fenêtre de NX et cliquez sur "Suspend"

Si votre serveur ssh n'est pas sur le port 22

Modifiez le fichier /usr/NX/etc/server.cfg: sudo gedit /usr/NX/etc/server.cfg
Décommentez les lignes:
#SSHD_PORT = "22"
et
#SSHD_AUTH_PORT = "22"
et indiquez le numéro de port de votre serveur ssh.

De même, modifiez le fichier /usr/NX/etc/node.cfg: sudo gedit /usr/NX/etc/node.cfg
Décommentez la ligne:
#SSHD_PORT = "22"
et indiquez le numéro de port de votre serveur ssh

Notez qu'il est conseillé d'avoir le serveur ssh sur le port 22 lors de l'installation de NX pour simplifier les choses (Le programme d'installation effectue une vérification du bon fonctionnement de NX.). Vous pouvez changer le port après installation de FreeNX.

Les différents serveurs NX

Il existe différents serveurs NX:

• L'original, NX Server de la société NoMachines. Le serveur est gratuit mais limité à 2 users max et 2 connexions simultanées. Des versions payantes non limitées sont disponibles.
• 2X vend également des serveurs NX, et une version gratuite est également disponible, sans limite de nombre de clients.
• Et enfin la version opensource, FreeNX. Elle n'est pas limitée. Voir le guide d'installation correspondant.
• Un autre serveur NX libre: NeatX : http://code.google.com/p/neatx/

Pour les clients, tous les clients NX de la société NoMachine sont gratuits

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Partager un dossier avec Windows sous Ubuntu »

Dans Ubuntu, il n'est pas très difficile de partager un dossier avec Windows.


Sommaire:

Mettre en place le partage

(1) Faites un clic droit sur le dossier à partager > "Dossier partagé"



(2) Si Samba n'était encore installé sur votre ordinateur, Ubuntu vous propose de l'installer.
Ne cochez que la case "Installer le support des réseaux Windows (SMB)" et cliquez sur "Installer des services"
(Le mot de passe administrateur vous sera peut-être demandé).



(3) Laissez l'installation se faire:



(4) Choisissez alors le nom sous lequel le dossier sera partagé et si l'écriture y sera permise.
Pensez à bien sélectionner "Partage Windows (SMB)" dans "Partager avec:"



(5) Ajoutez un utilisateur (login/mot de passe) qui aura accès aux partages:
sudo smbpasswd -a utilisateur
(L'utilisateur doit être un utilisateur existant sur le système Ubuntu. Vous pouvez choisir votre login ou bien par exemple créer un nouvel utilisateur "reseau-local")
Choisissez alors un mot de passe (qui peut être différent de votre mot de passe Ubuntu)

Accéder au partage depuis Windows

Ouvrez l'explorateur de Windows et affichez la barre d'adresse.
Ensuite, entrez deux anti-slashes (\\) suivis de l'adresse IP de la machine Ubuntu ou bien de son nom (par exemple : \\ubuntu ou \\nestor)



Login et mot de passe vous seront demandés.

Et voilà !
On a accès aux dossiers partagés.

Notes

• L'étape (5) est nécessaire car Samba peut activer/désactiver séparément l'accès aux dossiers partagés pour chaque utilisateur du système, et permet également d'utiliser des mots de passe différents.
  • Pour autoriser un utilisateur supplémentaire à accéder aux partages (et choisir le mot de passe): sudo smbpasswd -a nomUtilisateur
  • Pour interdire à un utilisateur d'accéder aux partages: sudo smbpasswd -x nomUtilisateur
• Si vous devez partager un dossier supplémentaire, vous n'aurez que les étapes (1) et (4) à réaliser.
• Pour voir la liste des dossiers partagés, allez dans le menu "Système" > "Administration" > "Dossiers partagés"

Vous pouvez alors ajouter/supprimer des pages, ou bien changer le mot lecture/écriture, ou encore changer le nom sous lequel un répertoire est partagé.

Désactiver totalement le partage de fichiers

Il est préférable de désactiver totalement le partage de fichiers quand il n'est pas utile.
Pour cela, allez dans le menu "Système" > "Administration" > "Services":



Et dans la liste, décochez "Service de partage de dossiers (samba)":



(Dès l'instant où la case est décochée, le service est arrêté.)

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Installer le serveur FreeNX »

NX est un moyen performant et sûr d'accéder à distance à une machine sous X-Windows.

Il existe différents serveurs NX: Deux commerciaux (NX Server et 2X) et un gratuit (FreeNX).

Cet article va vous expliquer comment installer le serveur FreeNX (qui n'est pas limité à 2 clients simultanés contrairement au serveur gratuit NX de la société NoMachines.)
(Voir également la documentation d'installation du serveur NX Server)

Les instructions suivantes concernent l'installation du serveur FreeNX 0.7.1 sous Ubuntu 7.10 (Gusty Gibbon). Le bon fonctionnement sous les autres distributions n'est pas garanti.

Instructions rapides

• Ajoutez le dépôt: deb http://www.datakeylive.com/ubuntu gutsy main
• sudo aptitude update
• sudo aptitude install expect openssh-server tcl8.4 nxlibs nxagent nxproxy freenx nxclient (Vous aurez un warning concernant des paquets non signés, c'est normal.)
• Ajoutez les utilisateurs autorisés à se connecter en NX: sudo nxserver --adduser toto
• Modifiez le fichier /etc/nxserver/node.conf:
  • Remplacez: #ENABLE_3_0_0_BACKEND="0"
  • par: ENABLE_3_0_0_BACKEND="1"
  • Remplacez: #DISPLAY_BASE=1000
  • par: DISPLAY_BASE=1001
  • Remplacez: #AGENT_EXTRA_OPTIONS_X=""
  • par: AGENT_EXTRA_OPTIONS_X="-fp /usr/share/fonts/X11/misc/,/usr/share/fonts/X11/Type1/,/usr/share/fonts/X11/75dpi/,/usr/share/fonts/X11/100dpi"

Vous pouvez dès lors utiliser n'importe quel client NX 3.0.
(Testé avec succès avec FreeNX 0.7.1-0 sous Ubuntu 7.10 et un client NX 3.1.0-3 sous Windows.)

Note

Les serveurs FreeNX 0.6.x ne sont pas compatibles avec les clients NX 3.x.

Liens

Cet article est basé sur: http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=620057&highlight;=freenx

Si le serveur ssh n'est pas sur le port 22

Éditez le fichier node.cfg: sudo gedit /etc/nxserver/node.conf

Repérez la ligne:
#SSHD_PORT=22
décommentez-la et mettez la valeur de votre choix:
SSHD_PORT=714

Attention: il ne doit pas y avoir d'espaces (Ne faites pas: SSHD_PORT = 714 mais plutôt SSHD_PORT=714)

Clients NX

Vous pouvez utiliser les clients NX gratuits de chez NoMachine: http://www.nomachine.com/download.php
Ils sont gratuits et sans limitations (pour Windows, Linux, MacOSX et Solaris).

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Protéger votre serveur ssh contre les attaques brute-force »

ssh est excellent pour accéder à distance à ses fichiers, ou même utiliser son ordinateur à distance.

Mais que faire contre les attaques de type brute-force ?
(Essai de toutes les combinaisons de lettre pour trouver le mot de passe).

C'est simple: sudo aptitude install fail2ban

Et voilà !

Si quelqu'un fait 6 essais ratés de connexion sur le serveur ssh, son adresse IP sera bannie pendant 10 minutes.
C'est suffisant pour rendre inutile ce genre d'attaque.

Pour voir les actions du programme, faites: sudo cat /var/log/fail2ban.log

Aller plus loin

En fait, fail2ban peut être configuré pour faire plein d'autres choses.
Dans le principe, il surveille les fichiers log de votre choix, et déclenche alors des actions.

Dans le cas de ssh, il surveille /var/log/auth.log et lance des commandes iptables pour bannir les adresses IP.

Regardez le fichier /etc/fail2ban/jail.conf
Il contient déjà les lignes pour bloquer les attaques sur les serveurs ftp (vsftpd, wuftpd, proftpd...), postfix, apache...
Vous pouvez les activer en remplaçant enabled = false par enabled = true.

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Activer/désactiver les services au démarrage »

Méthode simple

Pour voir la liste des services, aller dans le menu "Système" > "Administration" > "Services".



Cochez/décochez les services que vous souhaitez activer/désactiver.



Note: Cette fenêtre n'affiche pas tous les services. Elle n'affiche que les principaux services. Pour voir tous les services, voir ci-dessous.

Méthode plus complète

Pour avoir la liste complète des services, installez sysv-rc-conf: sudo aptitude install sysv-rc-conf

Puis lancez-le: sudo sysv-rc-conf



L'interface est nettement moins sympathique, mais elle permet d'activer/désactiver tous les services au démarrage.

• Chaque ligne représente un service.
• Chaque colonne représente un runlevel (état du système: démarrage, en cours d'utilisation, arrêt, redémarrage...).
• Le runlevel de travail normal sous Ubuntu est 2.
• Utilisez CTRL+N pour passer à la page suivante des services. CTRL+P pour la page précédente.
• Utilisez les flèches pour vous déplacer.
• Utiliser la barre Espace pour cocher/décocher une case.
• Pressez Q pour quitter.
• Généralement, pour désactiver un service du démarrage, décochez ses cases dans les colonnes 2 à 5. Pour le réactiver, recochez ses cases 2 à 5.
• Pour une description humainement compréhensible des services, voir (en anglais): https://wiki.ubuntu.com/InitScriptHumanDescriptions

Exemple:
Service ssh activé:


Service ssh désactivé:

Pourquoi ne pas utiliser BUM ou rcconf ?

BUM et rcconf ne voient pas tous les services, au contraire de sysv-rc-conf.
Par exemple, bum ne voit pas le serveur ssh.

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Accélérer le chargement des programmes »

sudo aptitude install preload

Et voilà !

A partir de maintenant, votre système ne démarrera pas plus vite, mais le lancement des programmes devrait prend un bon coup de boosteur.

La fonction preload correspond à peu près à la fonction de prefetch de Windows:
Preload analyse automatiquement tout nouveau programme lancé, et lors des lancements suivants chargera toutes les librairies nécessaires à ce programme avant même qu'il les demande.

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Modifier le délai d'affichage du menu Gnome »

Tapez simplement: echo "gtk-menu-popup-delay = 0" >> ~/.gtkrc-2.0
puis fermez et ré-ouvrez votre session.

Et voilà: Le petit délai d'affichage du menu Gnome est supprimé: Les sous-menus s'ouvrent plus vite.


(Astuce inspirée de LifeHacker)

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Linux - Ubuntu - Désactiver le support IPv6 »

Avant d'effectuer cette manipulation, assurez-vous d'avoir bien compris le pourquoi du comment en lisant cet article: Désactiver ipv6 permet d'accélérer les connexions Internet.

Désactiver l'IPv6

Pour désactiver le support IPv6 dans Ubuntu, éditez le fichier /etc/sysctl.conf.

net.ipv6.conf.all.disable_ipv6=1
net.ipv6.conf.default.disable_ipv6=1
net.ipv6.conf.lo.disable_ipv6=1

Ces lignes rajoutée désactiveront le support IPv6 en loopback, sur le default et pour toutes les interfaces eth disponibles. Un redémarrage des interfaces réseau est nécessaire :

/etc/init.d/networking restart

Il modifie en réalité les fichiers suivants en modifiant le contenu de 0 à 1 :

/proc/sys/net/ipv6/conf/lo/disable_ipv6
/proc/sys/net/ipv6/conf/all/disable_ipv6
/proc/sys/net/ipv6/conf/default/disable_ipv6

Commandes :

echo '1' > /proc/sys/net/ipv6/conf/lo/disable_ipv6
echo '1' > /proc/sys/net/ipv6/conf/lo/disable_ipv6
echo '1' > /proc/sys/net/ipv6/conf/all/disable_ipv6
echo '1' > /proc/sys/net/ipv6/conf/default/disable_ipv6

En blacklistant l'IPv6

Pour désactiver le support IPv6 dans Ubuntu, éditez le fichier /etc/modprobe.d/blacklist:

gksu gedit /etc/modprobe.d/blacklist.conf

Ajoutez à la fin de ce fichier la ligne:

blacklist ipv6

puis redémarrez votre système.

Pour vous assurer que IPv6 est désactivé, tapez dans un terminal:

ip a | grep inet6

Si cette commande ne retourne aucune ligne, c'est que IPv6 est bien désactivé.

Via le grub

Pour Ubuntu 9.10, IPv6 peux être désactivé par le grub :

<code>gksu gedit /etc/default/grub

</code>

Changer cette ligne :
GRUB_CMDLINE_LINUX_DEFAULT="quiet splash"
en
GRUB_CMDLINE_LINUX_DEFAULT="ipv6.disable=1 quiet splash"

Puis , mettre a jour grub :

sudo update-grub

(Source: Help.Ubuntu.com)
http://ftbeowulf.wordpress.com/...

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Lire des fichiers MP3 avec Amarok »

Amarok est un logiciel de lecture audio très complet fonctionnant sur Linux.
Il est en général installé par défaut si vous utilisez KUbuntu. Il est également possible de l'utiliser sous Ubuntu, moyennant quelques paquets supplémentaires, voir cet article complet pour plus d'informations :
http://doc.ubuntu-fr.org/amarok

Cependant, il ne lit pas immédiatement les fichiers mp3, pour y remédier, il suffit d'un petit paquet à installer, tapez dans une console :

sudo apt-get install libxine1-ffmpeg

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Créer un disque audio avec K3B »

K3B est un utilitaire de gravure fonctionnant sous Linux.
Il est en général installé par défaut si vous utilisez KUbuntu. Il est également possible de l'utiliser sous Ubuntu, moyennant quelques paquets supplémentaires, voir cet article complet pour plus d'informations :
http://doc.ubuntu-fr.org/k3b

Cependant, pour créer un CD Audio (créer un disque lisible par n'importe quel lecteur de CD à partir de fichiers MP3 par exemple) vous devez installer un paquet supplémentaire.

Aussi si vous ne l'avez pas désactivé, au démarrage de K3B, un message d'erreur peut vous annoncer :

Le plugin de décodage Mp3 Audio n'a pas été trouvé.
K3b n'a pas pu chargé ou trouvé le plugin de décodage Mp3. Cela signifie que vous ne devriez pas pouvoir créer de CDs Audio depuis des fichiers Mp3. Beaucoup de distributions Linux n'incluent pas le support Mp3 pour des raisons légales.
Solution: Pour activer le support Mp3, installez la bibliothèque de décodage Mp3 MAD ainsi que le plugin de décodage Mp3 K3b MAD (le dernier doit déjà être installé mais non fonctionnel à cause du manque de la bibliothèque MAD). Quelques distributions permettent l'installation du support Mp3 via un utilitaire en ligne (i.e. SuSE).

Pour pouvoir créer des disques audio avec K3B, tapez la commande suivante dans un terminal :

sudo apt-get install libk3b3-extracodecs

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Faire le ménage dans Ubuntu : résidus de configuration, paquets »

Dans Ubuntu, comme dans tout système, des fichiers obsolètes ou inutiles ne sont pas détruits.
Il est possible de les supprimer pour gagner de la place.

Un logiciel est en cours de développement (encore en version bêta)

Paquets

Supprimer les fichiers de configuration obsolètes

Lorsque vous désinstallez un paquet, les fichiers de configuration ne sont pas détruits, en prévision d'une ré-installation future du paquet.
Pour purger les fichiers de configuration inutilisés, il faut utiliser le code (dans un terminal) :

sudo dpkg --purge $(COLUMNS=200 dpkg -l | grep "^rc" | tr -s ' ' | cut -d ' ' -f 2)

Notez qu'il est également possible de supprimer les fichiers de configuration lors de la désinstallation d'un paquet via synaptic, en cochant "suppression complète", via Adept Manager en utilisant "Request Purge", ou bien en ligne de commande en utilisant l'option --purge :

sudo aptitude remove nom-du-paquet --purge

Supprimer les paquets en cache

Quand vous téléchargez puis installez des paquets, ils restent en cache, pour ne pas avoir à les télécharger à nouveau.

Pour supprimer ces paquets, il existe deux commandes d'aptitude ou apt-get (aptitude est plus performant) :
autoclean supprime les paquets qui ne pourront plus être téléchargés.
clean supprime tous les paquets en cache.
Il faut donc taper :

sudo aptitude autoclean  
sudo aptitude clean

Kernels

Quand le noyau est mis à jour, les anciennes versions restent installés.
Pour supprimer une version d'un kernel, il faut connaitre le nom exact du paquet, qui est

linux-image-version.du.kernel-numérodelimage-generic

Le mieux est donc de chercher puis de désinstaller les anciens kernels via votre gestionnaire de paquets.

Lancez votre gestionnaire en mode root (kdesu adept_manager si vous avez adept et kde, gksu synaptic si vous avez synaptic et gnome (ou xfce)), puis recherchez "linux-image".
Si vous avez adept, décochez "non installé" dans afficher (en dessous de la barre de recherche).
Si vous avez synaptic, triez les paquets installés en premier via la première colonne

Il si vous avez plusieurs versions du kernel, ou que vous avez des images différentes d'un même kernel, vous pouvez désinstaller les plus anciennes.

Il est conseillé de toujours conserver les deux dernières versions au moins. Au cas où une mise à jour fasse planter le dernier Kernel, il est toujours possible de relancer l'ancien, au lieu de passer par un liveCD.

Voici deux captures (de adept et synaptic) :




Sur ces captures, deux versions sont installées. Le kernel est le même (2.6.20) mais le numéro de l'image n'est pas le même (15/16). On peut donc désinstaller le paquet linux-image-2.6.20-15-generic et garder linux-image-2.6.20-16-generic.
Il est possible que le gestionnaire de paquet vous demande de supprimer un autre paquet, commençant également par "linux-" et contenant un numéro de kernel et d'image. Acceptez.

Appliquez ensuite les changements, et vous n'avez que la version la plus récente de votre kernel !

Fichiers logs

Le répertoire /var/log contient les logs de la plupart des services et logiciels.
S'ils sont utile pour résoudre des problèmes, ils s'accumulent.

La plupart des services effectuent une rotation des logs (afin d'en garder un nombre limité) ou limitent leur taille, mais pas toujours.

A compléter (voire supprimer des vieux fichiers de log)

Corbeille

Moins visible que sous Windows, il ne faut pas oublier de la vider régulièrement sous Linux. Pour cela, utiliser la ligne de code suivante :

rm -r -f ~/.local/share/Trash/files/*

Miniatures des images

Lorsque vous vous baladez sur le net, Linux stock des miniatures d'images afin de faciliter leur chargement futur... Et elles ne sont généralement pas supprimées. Le code ci-dessous va permettre la suppression des miniatures de plus de 7 jours.

find ~/.thumbnails -type f -atime +7 -exec rm {} \;

Résidus de configuration dans les répertoires /home

Même désinstallés, même si leurs fichiers de configuration son purgés de /etc, les logiciels peuvent avoir laissé des fichiers de configuration dans le répertoire home de chaque utilisateur.

Par exemple, le logiciel MPlayer laisse des fichiers dans le répertoire ~/.mplayer
Il en va de même pour la majorité des applications.

Pensez à faire le ménage là aussi.

Note: Ces fichiers peuvent prendre des proportions importantes. Par exemple, Google Earth stocke dans le répertoire home de chaque utilisateur son cache qui peut atteindre (en configuration par défaut) 200 Mo.

[à compléter (applis Gnome)]

Autres

Pour gagner encore de la place et supprimer d'autres fichiers inutiles, vous pouvez également vider la corbeille.

Notez que sur les partitions des disques externes (clés USB, baladeurs MP3, partitions NTFS...), Nautilus (le navigateur de fichiers d'Ubuntu) créé un dossier .Trash-username contenant les fichiers effacés.
Pensez à supprimer ce dossier également (Pressez CTRL+H dans Nautilus pour voir les dossiers cachés).
A compléter

Automatiser ces tâches

• Il vous suffit de créer des fichiers contenant (ou un seul regroupant toutes les commandes) :
  • Pour les fichiers de configuration obsolètes : dpkg --purge $(COLUMNS=200 dpkg -l | grep "^rc" | tr -s ' ' | cut -d ' ' -f 2)
  • Pour les paquets en cache : sudo aptitude clean
  • Et de suivre les indications de cette astuce : automatiser des taches avec init et cron

Voir aussi

Un lien intéressant pour supprimer les paquets et librairies inutilisées
Certaines informations de cette astuce sont tirés du forum ubuntu
A propos des fichiers logs : supprimer des vieux fichiers de log
Un tutoriel intéressant

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Où est le compte root sous Ubuntu ? »

Par défaut, le compte root est "désactivé".
Pour être plus précis, on ne peut pas utiliser le compte root pour se connecter localement ou à distance.

Cependant, obtenir un shell avec le compte root est très facile.

Il suffit de taper:

sudo su

ou

sudo -s

et d'entrer votre mot de passe.

Et voilà ! Vous avez un shell avec le compte root.

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Désactiver le démon Avahi »

Avahi est un démon qui permet de découvrir automatiquement les ressources réseau et de s'y connecter.
Avahi s'occupe:

• D'attribuer automatiquement une adresse IP même sans présence d'un serveur DHCP
• De faire office de DNS (chaque machine est accessible par le nom nomMachine.local)
• De publier des services et d'y accéder facilement (les machines du réseau local sont prévenues de l'arrivée ou du départ d'un service).

Cela permet de faciliter le partage de fichier, d'imprimantes, etc.
Avahi est une implémentation du protocole ZeroConf, compatible avec Bonjour/Rendez-Vous d'Apple.


Cependant:

• Il consomme un peu de mémoire (environ 248 ko).
• Il ouvre 2 ports réseau (UDP 32768 et 5353)
• On rapporte dans certains cas un ralentissement réseau.

Sous Ubuntu 7.04

Si vous n'en avez pas besoin et que vous voulez le désactiver, vous avez un soucis:
Même si vous le décochez dans la liste des services (Menu Système > Administration > Services), il continuera à démarrer !

Pour le désactiver vraiment, éditez le fichier /etc/default/avahi-daemon en tant que root: sudo gedit /etc/default/avahi-daemon

Changez la ligne: AVAHI_DAEMON_START=1
en: AVAHI_DAEMON_START=0

Au prochain redémarrage, le démon Avahi ne se lancera pas.

Sous Ubuntu 7.10, 8.04 et 8.10

Vous pouvez passer par le panneau des services pour couper Avahi normalement:
Menu Système > Administration > Services

Sous les autres systèmes Debian et dérivés

Le nom de daemon peut être différent mais la méthode c'est la même pour les systèmes basés Debian

Une autre méthode bien plus simple c'est de lancer une commande qui permettra de supprimer les liens vers le daemon

sudo update-rc.d -f avahi-daemon remove

Pour recréer les liens utilisez la commande

sudo update-rc.d avahi-daemon defaults

Note: Sous Ubuntu 7.04, la commande sudo update-rc.d -f avahi-daemon remove ne suffit pas pour éliminer le démon Avahi: Il démarrera quand même. Utilisez plutôt l'astuce du AVAHI_DAEMON_START=0.

Liens

A propos d'Avahi, il y a quelques paquets debian disponibles:

• L'applet Gnome service-discovery-applet permet de découvrir les services disponibles sur le réseau et de s'y connecter très facilement.
• Le programme avahi-discover permet de parcourir les services disponibles.
• gshare vous permet de partager facilement des fichiers par FTP avec Avahi.
• gnome-user-share permet de partager facilement des fichiers par WebDAV (avec Apache2) avec Avahi.

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Convertir un DVD en DivX sous Ubuntu (avec AcidRip) »

Convertir un DVD en DivX peut être utile:

• Cela évite d'avoir à manipuler le DVD (et donc de l'abimer)
• Cela permet aux enfants de le regarder et le manipuler sans risquer de rayer l'original.
• On peut l'emporter sur ordinateur portable sans avoir à emporter le DVD (et risquer de le perdre)
• Avec les disques durs multimédias, vous pouvez emporter vos films.

Le guide suivant va vous aider à convertir vos DVD en DivX/XVid facilement.

1. Installez les codecs

Commencez par installer les codecs nécessaires à la lecture des DVD et à Xvid.
Suivez ces instructions: lire tous les formats video les mp3 et les dvd

2. Installez AcidRip

Tapez: sudo aptitude install acidrip

3. Lancez AcidRip

Le lecteur de DVD est un périphérique listé dans /dev (par exemple /dev/hdd)
Pour savoir où est votre lecteur, tapez: cat /etc/fstab

Exemple: Dans notre cas, c'est /dev/hdd


Dans AcidRip, entrez cette information dans "Path" et cliquez sur "Load":
Vous devriez voir apparaître plusieurs pistes. Sélectionnez celle dont la durée est la plus longue (ici: 1 heure, 41 min et 42 sec.). La piste la plus longue correspond au film lui-même.



Choisissez ensuite le répertoire de sortie et la taille du fichier désirée (ici: 700 Mo)
Mettez %T comme nom de fichier: Cela mettra automatiquement le titre (ici: the_usual_suspects).



Pour la piste audio, choisissez français:



Dans l'onglet vidéo, choisissez le codec Xvid (il est compatible DivX).
Choisissez 2 passes pour une meilleure qualité.



Assurez-vous que "Crop" est cochée, et cliquez sur le bouton "Detect".
Cela permet de détecter les bandes noires et les éliminer.



Ensuite, cochez "Scale" pour réduire la taille de la vidéo à la taille voulue.
576 est généralement un bon choix. (La hauteur est automatiquement calculée).



Vous n'avez plus qu'à cliquer sur "Start" et l'encodage du film va commencer:



Vous n'avez plus qu'à attendre.
Soyez patient: Cela va durer plusieurs heures.

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Voir ce qui se passe pendant le boot »

Par curiosité ou bien pour faire plus geek, certaines personnes peuvent avoir envie de remplacer le logo Ubuntu avec sa barre de chargement par un superbe défilé de lignes de commandes ;-)
Pour se faire il suffit simplement d'éditer le fichier /boot/grub/menu.lst

1ere étape : sauvegarder ce fichier

Dans un terminal, taper :

sudo cp /boot/grub/menu.lst /boot/grub/menu.bak

En cas de souci ou si ça ne vous plait pas, il vous suffira simplement de taper dans un terminal :

sudo mv /boot/grub/menu.bak /boot/grub/menu.lst

pour remettre comme c'était.

2eme étape : editer ce fichier

Dans un terminal, taper :

sudo gedit /boot/grub/menu.lst

Maintenant faites une recherche pour trouver la ligne

Ubuntu 7.10, kernel 2.6.22-14-generic

Cette ligne se trouve au début d'un paragraphe ressemblant à ça :

title		Ubuntu 7.10, kernel 2.6.22-14-generic
root		(hd0,0)
kernel		/boot/vmlinuz-2.6.22-14-generic root=UUID=e642b466-fb58-4277-c3b6-e083e9cr79g2 ro quiet splash locale=fr_FR
initrd		/boot/initrd.img-2.6.22-14-generic
quiet

Supprimez les mots quiet et splash puis sauvegarder et quitter gedit.

Faites bien attention à ne supprimer que ces 2 mots là !

Voilà, au prochain demarrage, vous n'aurez plus le logo ni la barre de chargement :-)

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[Gutsy] Mettre en français programmes et interface »

Avec l'installation par défaut de la version 7.10 Gutsy Gibbon d'Ubuntu, beaucoup d'applications ne sont pas en français même si c'est la langue que vous avez choisi lors de l'installation.
Pour installer le support de la langue française dans la plupart des applications de base, il est nécessaire d'installer le paquet language-support-fr.
Pour avoir l'interface d'Ubuntu en français, il est nécéssaire d'installer le paquet language-pack-fr


Pour installer les deux paquets, dans un terminal tapez :

sudo aptitude install language-support-fr language-pack-fr

Il faut également installer les paquets de traduction de votre environnement graphique. Il s'agit de :
language-pack-kde-fr pour KDE
language-pack-gnome-fr pour GNOME

Ce n'est pas nécessaire pour XFCE

Vous pouvez également installer ces paquets grâce à l'outil de configuration de votre environnement.

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Profiler le démarrage sous Ubuntu »

Il est possible de demander au système de mesurer le temps pris par les différents composants du démarrage et d'optimiser le tout.

C'est relativement simple à faire:

Lors de l'affichage de Grub, pressez ESC pour afficher le menu:





Placez-vous sur la première ligne (comme ci-dessus) et pressez E pour éditer la ligne:



Placez-vous sur la ligne commençant par "kernel..." (comme ci-dessus) et pressez à nouveau E pour éditer la ligne.

Allez à la fin de la ligne, et ajoutez le mot "profile" (comme ci-dessous):



Pressez ensuite ENTREE pour valider la ligne, puis (tout en restant sur la ligne kernel sélectionnée), pressez B pour démarrer le système.

C'est tout !

Ce démarrage sera plus lent car le système analyse le démarrage des programmes, mais les démarrages suivants devraient être un peu plus rapides.

Vous n'avez pas à retirer le mot "profile" des options de démarrage: Il est supprimé automatiquement.

Note

Cette opération n'est à effectuer qu'après les grosses mises à jour (par exemple la mise à jour du noyaux ou des services (ssh, apache...)).

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Accélérer Ubuntu »

Voici quelques astuces testées qui permettent d'améliorer globalement la vitesse de démarrage et de fonctionnement d'Ubuntu (que ce soit la vitesse réelle ou la vitesse perçue).

Désactiver la date de dernier accès

A chaque accès à un fichier ou un répertoire, la date de dernier accès est enregistrée sur disque et provoque donc une écriture.
C'est une perte inutile de performance. Cela peut se désactiver.
Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 7066 accelerer les acces disque desactiver la date de dernier acces

Note: Depuis Ubuntu 8.10, l'option relatime est utilisée pour monter les disques. La manipulation ci-dessus n'est donc plus nécessaire.

Désactiver IPv6

IPv6 est en théorie mieux que IPv4, mais tant que votre fournisseur d'accès ne le supporte pas, autant le désactiver car il peut dans certains cas provoquer des ralentissements du réseau (délais d'attente, par exemple dans Firefox).
Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 7032 desactiver le support ipv6

Désactiver mdns/Avahi/ZeroConf

ZeroConf est excellent pour auto-configurer un petit réseau local. Mais il peut parfois ralentir les choses, en particulier provoquer des délais dans la résolution DNS.
On peut le désactiver.
Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 7553 desactiver le demon avahi
et
http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 7718 delais lors d une connexion ssh sous linux

Installer preload

Preload permet d'accélérer le démarrage de certains programmes en chargeant des librairies avant que les programmes les demandent.
Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 6788 accelerer le chargement des programmes

Profiler le démarrage

On peut demander au système d'optimiser l'ordre de chargement des programmes au démarrage.
Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 7839 profiler le demarrage

Diminuer le délai d'affichage du menu

Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 6909 modifier le delai d affichage du menu gnome

Désactiver les services inutiles

Moins de programmes lancés au démarrage = machine qui démarre plus vite.

Quelques exemples:

• Si vous ne partagez pas de dossiers avec des machines Windows, désactivez Samba.
• Si vous n'avez aucun périphérique BlueTooth, désactivez le support BlueTooth.
• Si la commande apm vous renvoie No APM support in Kernel, désactivez apmd.
• exim4 est un serveur de mail local utilisé par certains programmes. Inutile dans la majorité des cas.
• apport, qui sert à envoyer des rapports sur les plantages des logiciels à la communauté Ubuntu.
• laptop-mode sert à gérer la fermeture de l'écran sur les ordinateurs portables. Inutile sur une machine de bureau.
• powernowd que vous pouvez désactiver si vous n'avez pas d'ordinateur portable ou si votre processeur ne support pas le frequency scaling.
• etc.

Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 6761 activer desactiver les services au demarrage

Utiliser le mode hibernation

Le mode hibernation permet d'avoir une machine prête à utiliser plus rapidement qu'un allumage normal.
Voir: Arrêter et démarrer plus vite le système

Désactiver l'indexation des fichiers

Depuis Ubuntu 8.04, l'indexation des fichiers est désactivée à l'installation. Cette manipulation n'est donc pas nécessaire.

Dans Ubuntu 7.10, l'indexation et la recherche des fichiers est activée par défaut (tout à fait comme son cousin sous Windows). Cela consomme une quantité non négligeable de ressources.
Heureusement, on peut les désactiver.
Voir: http://www.commentcamarche.net/faq/sujet 7842 desactiver l indexation des fichiers dans ubuntu

Lire la suite

Désactiver l'indexation des fichiers dans Ubuntu »

Désactiver l'indexation automatique

Depuis Ubuntu 7.10, l'indexation automatique des fichiers est activée.
Cela veut dire qu'à intervalles régulier, un programme va lire et indexer le contenu de tous vos fichiers.

C'est utile si vous utilisez le logiciel Tracker ou bien DeskBar, mais cela provoque de nombreux accès disque et une consommation non négligeable de CPU.

Il est possible de le désactiver:
Allez dans le menu Menu Système > Préférences > Préférences d'indexation



Décochez les deux cases "Enable indexing" et "Enable watching":

Désactiver l'applet de recherche

Depuis Ubuntu 7.10, DeskBar est également actif par défaut.
Bien qu'il soit pratique, il consomme une quantité de ressources non négligeables.

Heureusement, il se désactive facilement: Faites un clic-droit dessus et choisissez "Enlever du tableau de bord".

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Lancer un programme automatiquement au login sous Ubuntu »

Lorsque vous ouvrez votre session, vous voulez que des programmes soient lancés automatiquement. C'est facile à faire.

Par exemple, nous allons ouvrir un terminal automatiquement à la connexion:

Allez dans le menu Système > Préférences > Sessions:



Dans l'onglet "Programmes au démarrage", cliquez sur le bouton "Ajouter":



Nom: Entrez le nom du programme.
Commande: Entrez la commande qui sert à lancer le programme (par exemple /usr/bin/gnome-terminal pour la console.)



Désormais, le programme sera lancé au démarrage.
Si vous voulez qu'il ne soit pas lancé, il vous suffit de décocher la case.

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Supprimer sans passer par la corbeille »

Par défaut, quand vous effacez un fichier avec Nautilus (l'explorateur de fichiers d'Ubuntu), les fichiers sont déplacés dans la corbeille.
Ce n'est pas toujours souhaitable, surtout pour les gros fichiers.

Voici comment faire pour effacer réellement les fichiers:

Raccourci clavier

Tapez simplement Maj+Suppr pour supprimer les fichiers sélectionnés.

Menu contextuel de Nautilus

Tapez dans un terminal: gconftool-2 --type bool --set /apps/nautilus/preferences/enable_delete "1"
(Vous pouvez aussi faire cette modification en utilisant le programme gconf-editor)

Vous pouvez maintenant supprimer directement les fichiers:

Note

• Il est tout à fait possible d'utiliser les deux méthodes.
• Vous pouvez supprimer directement un fichier en ligne de commande en tapant rm nomdufichier dans un terminal.
• Attention à ne pas supprimer n'importe quoi, le fonctionnement du système de fichier sous GNU/Linux rendant quasiment impossible la récuperation de fichiers supprimés.

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Dérivées : La corbeille et le bureau ne sont pas au même endroit »

Certaines dérivées d'Ubuntu existent : Kubuntu, Xubuntu, Edubuntu...
Il est possible d'installer toutes ces dérivées sur un seul système d'exploitation, en installant les paquets kubuntu-desktop, xubuntu-desktop, edubuntu-desktop...

Cependant, les dossiers correspondant à la corbeille ne sont pas les mêmes dans toutes les dérivées, et il en est de même pour le dossier correspondant au bureau.
Pour remédier à cela, il y a un moyen très simple et efficace :

Les liens symboliques

Comme leur noms l'indique, les liens symboliques servent à créer un fichier ou un dossier qui sera en fait un lien vers un autre fichier ou dossier.
On pourra donc utiliser le dossier qui est en fait un lien comme s'il s'agissait d'un dossier, et comme s'il contenait les mêmes fichiers et dossiers que le dossier vers lequel il pointe.

En clair :
- si /dossier est un dossier, qui contient /sous-dossier, fichier1 et fichier2
- si /lien est un dossier qui est en fait un lien vers /autredossier
Il sera possible de travailler sur /lien/sous-dossier, /lien/fichier1, /lien/fichier2... en travaillant en fait sur /dossier/sous-dossier, /dossier/fichier1, /dossier/fichier2...

Résolution du problème

Bureau

Sous Ubuntu, le dossier du bureau correspond à /home/user/Bureau, mais sous Kubuntu et Xubuntu, il correspond à /home/user/Desktop
Pour résoudre ce problème, il suffit de remplacer le dossier Desktop/ par un dossier du même nom qui sera un lien vers le dossier Bureau/ (n'oubliez pas de déplacer le contenu de Desktop/ dans Bureau/ avant d'enlever Desktop/ !).
Pour ceci, ouvrez un terminal et tapez cd pour aller dans votre répertoire personnel, puis validez par Entrée, puis tapez ensuite :
rm -r Desktop && ln -s Bureau Desktop
et validez par entrée.
Explications :

• rm est la commande unix pour supprimer des fichiers ou dossiers (il faut supprimer Desktop avant de créer un nouveau dossier du même nom, qui sera le lien)
• l'option -r est nécessaire car on supprime un répertoire
• Desktop est le répertoire que l'on supprime
• && permet d'exécuter une deuxième commande si la première a réussi
• ln -s permet de créer un lien symbolique
• Bureau est le nom du dossier vers le quel le lien doit être créé
• Desktop est le nom du lien qui sera créé

Corbeille

Sous Ubuntu, le dossier de la corbeille correspond à /home/user/.Trash, mais sous Kubuntu et Xubuntu, il correspond à /home/user/.local/share/Trash

Il faut donc créer de la même manière un lien symbolique de /home/user/.Trash vers /home/user/.local/share/Trash.
Cependant, il y a deux sous-dossiers dans /home/user/.local/share/Trash : files/, qui contient les fichiers et dossiers effacés, et info/, qui contient des informations sur les fichiers effacés (leur répertoire d'origine par exemple). Le lien symbolique doit donc être créé vers le sous-dossier files/.
De la même façon que pour le dossier correspondant au bureau, il faut donc ouvrir un terminal dans son répertoire personnel et taper :
rm -r .Trash && ln -s .local/share/Trash/files .Trash

Notes importantes :

• Etant donné que le gestionnaire de fichiers d'Ubuntu (Nautilus) ne note pas le répertoire d'origine du fichier/dossier supprimé, il sera impossible de restaurer un fichier supprimé avec Nautilus.
• Les gestionnaires de fichiers de KDE (Konqueror et Dolphin) n'affichent que les fichiers/dossiers de la corbeille dont ils trouvent les ficihers correspondants dans le dossier /home/user/.local/Trash/info Un fichier supprimé avec un logiciel GNOME ne sera donc pas affiché avec les gestionnaires de fichiers KDE. Ils ne seront pas non plus supprimés en vidant la corbeille.

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Installer smartmontools sous Ubuntu »

La majorité des disques durs récents sont équipés de la technologie SMART.
Ce système permet de surveiller les paramètres du disque dur (temps de mise en rotation, température, taux d'erreur, etc.) et de prévenir à l'avance d'une panne disque quand une dégradation du fonctionnement du disque est détectée.

Si cette technologie n'est bien entendue pas fiable à 100%, elle fonctionne malgré tout relativement bien.

Note de sebsauvage: Cette technologie m'a déjà sauvé deux fois la vie. La première fois, SMART m'a prévenu d'un problème imminent, et le disque dur est mort deux jours après. Dans le second cas, le disque dur est mort 6 jours après. En ce qui me concerne, je considère que SMART est fiable !


Sous Linux, il existe un programme capable de surveiller les paramètres SMART et vous prévenir d'éventuels problèmes.

Pour l'installer, tapez: sudo aptitude install smart-notifier

Et c'est tout !

Le service de surveillance disque (smartd) est alors actif: Vous pouvez le voir dans les services:



La partie graphique (qui vous affichera une alerte) est visible dans les programmes lancés lors de la session:



Ce programme restera invisible tant que tout va bien, et vous affichera une alerte en cas de problème.

Si vous voyez une alerte SMART, faites immédiatement une copie de vos fichiers ailleurs (clé USB, disque dur externe, gravage sur CD/DVD...).

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Installer un client DynDns »

DynDns (ou autres services similaires tels que No-ip.com, etc.) permettent d'accéder à votre ordinateur par un nom fixe (toto.dyndns.org) même si vous avez une adresse IP dynamique. Ces services sont gratuits.

La plupart des services de DNS dynamique supportent le protocole DynDns.
Voici comment installer un client DynDns simple sous Ubuntu/Linux.

Installation

sudo apt-get install inadyn

Configuration

Créez le fichier /etc/inadyn.conf: sudo gedit /etc/inadyn.conf

Pour DynDns.org

--username votrelogin
--password votremotdepasse
--dyndns_system dyndns@dyndns.org
--alias votrealias.dyndns.org
--background

Pour DNS-O-Matic (OpenDNS)

--username votrelogin
--password votremotdepasse
--alias all.dnsomatic.com
--dyndns_server_name updates.dnsomatic.com
--dyndns_server_url /nic/update?
--background

Automatisation

Modifiez votre fichier /etc/rc.local et ajoutez la ligne suivante (avant le exit 0):
/usr/sbin/inadyn

Inadyn sera lancé automatiquement à chaque démarrage de la machine et fonctionnera en tâche de fond.
Toutes les minutes, il vérifiera si l'adresse IP a changé (en appelant http://checkip.dyndns.org/ ). En cas de changement, il enverra votre nouvelle adresse IP au service que vous avez spécifié.

Pour voir si tout se passe bien, faites: grep INADYN /var/log/syslog

Si vous voulez modifier le délai de vérification de l'adresse IP ajoutez à votre fichier /etc/inadyn.conf:

--update_period_sec 600

600 correspond à 600 secondes (10 minutes). Vous pouvez bien entendu choisir une autre valeur.

Autres clients DynDns sous Linux

Voir également: ddclient, ez-ipupdate, ipcheck.

Astuce

https://www.dnsomatic.com/ vous permet de mettre à jour d'un seul coup plusieurs services de DNS dynamiques.
DNS-O-Matic supporte de nombreux services, dont DynDns, OpenDNS, NoIP, DynIP, CJB.net, etc. La liste complète est là: https://www.dnsomatic.com/wiki/supportedservices
DNS-O-Matic est gratuit.

Il vous suffira alors de mettre à jour votre IP sur DNS-O-Matic pour qu'elle soit à jour dans tous les autres services.

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Compiler/tester en 32 bits sur Ubuntu x86-64 »

Imaginons que vous ayez un code source que vous voulez compiler pour le tester ou l'utiliser en tant que binaire 32 bits.

Le problème c'est que les headers de la librairie standard ne sont pas adaptés à celà et vous aurez aussi besoin d'une version de la librairie standard en 32 bits. Enfin, vous aurez besoin d'une librairie spécifique de gcc compilée en 32 bits.

Pour installer ces paquets, tapez cette commande:

sudo apt-get install gcc-multilib libc6-i386 lib6-dev-i386 

Pour compiler votre programme il suffira donc d'y joindre l'option -m32:

gcc -m32 test.c -o test

Celà suffira pour un programme simple n'utilisant que la librairie standard mais ce sera probablement plus difficile pour des programmes utilisant d'autres librairies. Il faudra certainement recompiler ces librairies en 32 bits également.

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Installer des polices TrueType sous Ubuntu »

Voici la procédure à suivre pour installer des polices TrueType (.ttf) supplémentaires sous Ubuntu:

Installation pour tous les utilisateurs

Les polices installées par cette méthode seront accessibles par tous les utilisateurs du système.
 

• (1) Copier les polices à installer dans /usr/share/fonts (Il est recommandé de créer un sous-répertoire dans ce répertoire afin d'y placer vos fichiers .ttf)
• (2) Tapez: fc-cache -fv

Installation pour un seul utilisateur

Les polices installées par cette méthode seront accessibles par un seul utilisateur.
Cette manipulation peut être effectuée sans les droits admin. Chaque utilisateur peut ainsi avoir ses propres polices.
 

• (1) Copier les polices à installer dans ~/.fonts
• (2) Tapez: fc-cache -fv

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Problème entre les réglages clavier Gnome/X-Windows »

Il arrive qu'il y ait une différence entre la configuration du clavier entre Gnome et X-Windows.
Gnome le détecte et vous affiche ce message:

Les réglages du clavier du système X diffèrent des réglages actuels du clavier GNOME.



Ce message s'affiche à chaque démarrage.

Cela se corrige facilement: Allez dans le menu Système > Préférences > Clavier



Dans l'onglet "Agencements", cliquez sur "Choisissez" pour re-sélectionner le même clavier, et re-cliquez ensuite sur "France" pour le re-sélectionner.
Fermez ensuite la fenêtre.

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Cours Informatique Ubuntu »

• Plutôt bien fait et pas rébarbatif
• Le livre "Simple comme Ubuntu"
• Le site de documentation Ubuntu francophone
• Le forum Ubuntu francophone, une mine d'informations

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Surfer plus vite »

On ne fait pas de miracles sur le débit des connexions internet, mais avec quelques astuces on peut améliorer de manière importante la vitesse d'affichage des pages.

Cette notice n'est pas pour les débutants.

Elle est donnée pour Ubuntu 7.10, mais devrait fonctionner sur la plupart des distributions Linux.

1. Désactivez IPv6

• Dans Ubuntu
• Dans Firefox: Tapez about:config dans la barre d'adresse, tapez en dessous ipv6. Trouvez le paramètre network.dns.disableIPv6 et double-cliquez dessus pour faire passer sa valeur à true.

(Note: IPv6 ne provoque pas de manière systématique des ralentissements. Cette manipulation n'est donc pas forcément nécessaire chez vous.)

2. Passez à OpenDNS

opendns un dns rapide et utile

3. Installez Squid

Squid est un proxy-cache HTTP. Il pourra garder en cache les pages et images les plus souvent consultées.
Résultat: Quand vous consultez une page que vous avez déjà visitée, ou des sites sur lesquels vous allez souvent, une bonne partie de la page sera lue du cache (sur votre disque dur) au lieu d'être récupérée d'internet.

installer un serveur proxy http squid

Ensuite, configurer Squid pour utiliser OpenDNS: Dans squid.conf:
dns_nameservers 208.67.222.222 208.67.220.220

(Vous pouvez éventuellement demander à Squid d'utiliser plus d'espace disque et de cache mémoire.)

4. Reconfigurez Firefox

• Configurez Firefox pour utiliser le proxy-cache Squid (généralement localhost:3128)
• puis modifiez les paramètres de Firefox: ameliorer les performances
• Ainsi que (en tapant about:config dans la barre d'adresse):
  • network.http.proxy.pipelining = true
  • network.http.max-persistent-connections-per-proxy = 8

5. Installer AdBlockPlus

Beaucoup de sites web affichent dans leurs pages des publicités: bannières sous forme d'image, Flash... tout ceci prend du temps à charger. AdBlockPlus peut éliminer de manière efficace ces publicités.
Comme elles ne sont plus du tout chargés, cela fait des requêtes HTTP en moins à faire pour les pages, donc accélère le chargement.

Et c'est même encore pire: beaucoup de site utilisent des analyseur de traffic comme xiti.com : Il suffit qu'un de ces sites soit long à répondre, et c'est le chargement de toute la page qui se trouve ralenti.
AdBlockPlus permet également de bloquer ces éléments.

cet article Voir.

6. Installer un cache DNS local

à faire ! (bind, polipo, etc.)

Comment ça marche ?

• La désactivation d'IPv6 évite que Firefox tente de faire des résolutions DNS en IPv6 (plus d'attente du timeout et de renvoie de la requête DNS en IPv4: La requête DNS est forcément toujours envoyée en IPv4).
• OpenDNS offre une résolution DNS généralement plus rapide que celle de votre FAI.
• Squid garde en cache les pages/images/éléments les plus demandés par le navigateur.
• Quelques options de Firefox permettent de faire plus de connexions simultanées et d'utiliser le pipelining (ce qui permet de faire passer plusieurs requêtes HTTP dans une même connexion TCP avec HTTP/1.1, et évite donc de refaire une négociation TCP pour chaque requête HTTP.)

Ces modifications n'améliorent pas le débit, mais améliorent de nombreux autres points (résolution DNS, cache, réduction des négociations TCP, etc.) qui globalement améliorent la vitesse d'affichage des pages et la réactivité.

Note

Ce genre de manipulation est faisable également sous Windows, mais avec des logiciels différents.

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[Ubuntu] MAJ de version (migration) sans interface graphique »

Cette astuce explique comment migrer vers la prochaine version d'Ubuntu en ligne de commande, sans nécessairement passer par l'interface graphique. Il est toutefois possible d'utiliser cette méthode pour migrer même si l'on dispose d'une interface graphique.

Vous êtes obligé de migrer vers la version qui est sortie après la vôtre, ou dans le cas où vous avez une version LTS, la version LTS qui est sortie après la vôtre. Par exemple, vous ne pouvez pas migrer vers la version 8.04 depuis la 7.04, il faut d'abord migrer vers la 7.10.

Par contre, vous pouvez migrer vers la 8.04 depuis la 6.06, car ce sont toutes les deux des versions LTS sorties à une version LTS d'intervalle.

Cette astuce peut être utile dans le cas d'un serveur.

Autres articles sur le même sujet :

• http://doc.ubuntu-fr.org/migration
• http://www.ubuntu.com/getubuntu/upgrading
• Etape 1 : Mettez à jour vos logiciels déjà installés avec :
  • sudo apt-get update puis sudo apt-get upgrade si vous utilisez apt-get.
  • sudo aptitude update puis sudo aptitude safe-upgrade si vous utilisez aptitude.
  • Si vous ne savez pas lequel utiliser, utilisez apt-get (la première série de commandes).

Il y a ensuite deux méthodes pour migrer :

Depuis les dépôts

• Installez le paquet update-manager-core (sudo aptitude install update-manager-core)
• Lancez la commande do-release-upgrade et répondez aux quelques questions qui vous seront posées pendant l'installation.

Avec l'alternate CD

Téléchargez l'alternate CD de la distribution vers laquelle vous voulez migrer.
Ensuite, gravez-le et mettez-le dans votre lecteur, ou bien montez directement l'image iso.
Puis, exécutez le script cdromupgrade contenu dans le CD.
Par exemple, si votre CD est monté dans /media/CD :
sudo /media/CD/cdromupgrade

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Ma clé USB est reconnue comme un Digital Audio Player »

Problématique

Certaines clés USB sur Ubuntu ne sont pas détectées comme des clés USB "classiques", mais comme des lecteurs de musique type iPod. Cette erreur provoque le lancement d'un lecteur de musique (à moins que vous n'ayez décoché la case "Lire les fichiers musicaux lors de leur connexion" dans Système / Préférences / Périphériques et médias amovibles), et attribue à la clé une icône ne représentant pas une clé USB mais un lecteur multimédia.

Comment faire reconnaître alors la clé USB comme une vraie clé USB ?

Manipulation à effectuer

Insérez votre clé USB défectueuse.

Ouvrez un terminal, et faites :

lsusb

Vous devrez avoir une réponse de ce genre :

Bus 005 Device 006: ID 090c:1000 Feiya Technology Corp. Memory Bar
Bus 005 Device 001: ID 0000:0000
Bus 004 Device 001: ID 0000:0000
Bus 003 Device 006: ID 046d:c03e Logitech, Inc. Premium Optical Wheel Mouse
Bus 003 Device 001: ID 0000:0000
Bus 002 Device 001: ID 0000:0000
Bus 001 Device 001: ID 0000:0000

Le "Feiya Technology Corp. Memory Bar" est la ligne qui nous intéresse. Retirez la clé USB.

Pour corriger ce problème, nous allons intervenir sur un fichier. Mesure de précaution : sauvegardons ce fichier.

sudo cp /usr/share/hal/fdi/information/10freedesktop/10-usb-music-players.fdi /usr/share/hal/fdi/information/10freedesktop/10-usb-music-players.fdi.bak

(en une seule ligne)

Ensuite, éditions le fichier :

sudo gedit /usr/share/hal/fdi/information/10freedesktop/10-usb-music-players.fdi

Et supprimons le contenu correspondant (ici en gras) :

<append key="portable_audio_player.input_formats" type="strlist">audio/x-ms-wma</append>
</match>
</match>

<!-- Feiya Technology Corp Memory Bar -->
<match key="@storage.originating_device:usb.vendor_id" int="0x090c">
<match key="@storage.originating_device:usb.product_id" int="0x1000">
<merge key="portable_audio_player.type" type="string">generic</merge>
<merge key="portable_audio_player.access_method" type="string">storage</merge>
<append key="portable_audio_player.input_formats" type="strlist">audio/mpeg</append>
</match>
</match>

<!-- Peak Digital Audio Player -->
<match key="@storage.originating_device:usb.vendor_id" int="0xd7d">

Enregistrez, fermez, branchez votre clé USB : elle est désormais reconnue comme une vraie clé USB.

Source

Cette astuce provient du forum officiel anglophone Ubuntu :

http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=443674&page;=2

Merci à son auteur.

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Xubuntu - Nautilus change l'apparence du bureau »

Si vous utilisez Nautilus (l'explorateur de fichiers de GNOME) avec Xubuntu, il est probable que lors du lancement de Nautilus, le bureau ne soit plus géré par XFCE, mais par GNOME.

Pour modifier ce comportement et conserver l'apparence du bureau XFCE en lançant Nautilus, il faut utiliser l'option --no-desktop de nautilus.

C'est à dire que pour lancer Nautilus, il ne faut plus utiliser la commande nautilus mais nautilus --no-desktop.

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Changer l'image de Grub »

Pour changer l'image de fond de Grub il faut installer 2 paquets:

sudo aptitude install startupmanager grub-splashimages

Ensuite allez dans Système >> Administration >> Gestionnaire de démarrage Start-Up Manager >> Apparence et cochez la case: Utiliser l'image d'arrière plan pour le menu de démarrage puis choisissez une image.

Si vous souhaitez mettre votre image personnelle il faut qu'elle remplisse 3 conditions:

• l'image doit être de type « xpm.gz » ;
• la taille doit être 640x480 ;
• et elle doit être en 14 couleurs seulement.

Commencez par l'installation de paquet imagemagick:

sudo aptitude install imagemagick

Supposons que votre image se nomme monimage.png et qu'elle est dans le répertoire Images.
Ouvrez une console et tapez:

cd /home/aruju/Images

Remplacez aruju par votre login, ensuite tapez:

convert -resize 640x480! -colors 14 monimage.png monimage.xpm && gzip monimage.xpm

Puis déplacez-le:

sudo mv -v monimage.xpm.gz /boot/grub/splashimages

Vous pouvez la retrouver dès maintenant dans Startupmanager.

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Installer un firewall sous Ubuntu (gufw) »

Linux possède un firewall puissant (netfilter) qu'on peut configurer avec un outil en ligne de commande (iptables). Mais ce n'est pas très intuitif.

Ubuntu 8.10 (Intrepid Ibex) est fourni avec un outil simplifié de configuration du firewall, gufw (Graphic Uncomplicated Firewall).

Installer gufw

Tapez dans un terminal: sudo apt-get install gufw
ou passez par Synaptic pour installer le paquet gufw.

Démarrer le firewall

Allez dans le menu Système > Administration > Firewall configuration.



Entrez le mot de passe administrateur s'il est demandé.



Et cochez la case "Pare-feu activé".



Ça y est ! Vous êtes protégé(e).
Personne ne peut se connecter sur votre ordinateur à distance.

Notez que vous êtes protégé(e) même quand la fenêtre de gufw n'est pas là.
(Vous n'avez besoin de lancer gufw que pour modifier la configuration du firewall.)

Le firewall sera toujours actif, même après le redémarrage de l'ordinateur.

Ouvrir un port

Si vous avez besoin d'ouvrir un port, c'est très simple:

• Entrez le numéro de port à ouvrir
• Indiquez si c'est en TCP, UDP ou les deux.
• Cliquez sur "Ajouter".

Par exemple, pour BitTorrent, il faut ouvrir le port 6881 en TCP et en UDP:



Vous pouvez alors voir que les ports sont ouverts:



L'ouverture des ports prend effet immédiatement et cette configuration sera retenue au redémarrage de l'ordinateur.
Vous pouvez fermer la fenêtre de gufw.

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Adresse IP statique sous Ubuntu 8.10 »

Ubuntu 8.10 est fourni avec NetworkManager, un gestionnaire de réseau assez agressif qui essaie à tout prix trouver et maintenir une connexion internet.
Le but de NetworkManager est de fournir une connexion internet simplifiée.

Le problème c'est que à vouloir être tout automatique, il vous donnera du fil à retordre si vous souhaitez utiliser une adresse IP fixe. En effet, la plupart des réglages de NetworkManager seront "oubliés" lors des redémarrages suivants. Vous pouvez attribuer une adresse IP fixe dans NetworkManager, mais ce réglage sera oublié au prochain redémarrage.

Voici comment avoir une IP fixe persistante:

Désinstallez NetworkManager

C'est une solution radicale, mais efficace:
sudo apt-get remove network-manager network-manager-gnome

Configurez à la main vos interfaces

Modifiez le fichier /etc/networks/interfaces. Ce n'est pas très compliqué.
gksudo gedit /etc/network/interfaces

Laissez toujours les lignes suivantes:

auto lo
iface lo inet loopback

Pour une adresse IP fixe (par exemple 10.0.0.1 sur votre interface eth1), utilisez:

auto eth1
iface eth1 inet static
address 10.0.0.1
netmask 255.255.255.0

Vous pouvez également continuer à utiliser une IP dynamique (par exemple sur eth0):

auto eth0
iface eth0 inet dhcp

Faites ensuite: sudo /etc/init.d/networking restart
pour prendre en compte les modifications.

DNS

Si vous souhaitez utiliser des DNS spécifiques, c'est le fichier /etc/resolv.conf qu'il faut modifier.
Toutefois, si vous utilisez dhcp sur une de vos interfaces, le contenu de ce fichier sera écrasé par le client dhcp.

Pour forcer le client dhcp à utiliser des DNS particulier, modifiez le fichier /etc/dhcp3/dhclient.conf:
gksudo gedit /etc/dhcp3/dhclient.conf

Ajoutez la ligne suivante (par exemple pour les DNS d'OpenDNS):

prepend domain-name-servers 208.67.222.222,208.67.220.220;

Les DNS retournés par DHCP seront ajoutés après les DNS que vous avez spécifiés.

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Installer un serveur proxy HTTP léger (TinyProxy) »

Squid est un serveur proxy conçu pour les gros réseau (entreprises, etc.). Bien qu'on puisse l'installer sur son petit réseau local, c'est souvent trop.

TinyProxy est un proxy léger et très rapide qui le remplace très bien.
Il ne fait pas cache comme Squid, mais il ne consomme que 2 Mo de mémoire et il est parfait pour un petit réseau interne.

Installation

sudo apt-get install tinyproxy

C'est tout !

Configuration

Editez le fichier /etc/tinyproxy/tinyproxy.conf:
gksudo gedit /etc/tinyproxy/tinyproxy.conf

N'oubliez pas, après tout changement de configuration, il faut redémarrer le proxy:
sudo /etc/init.d/tinyproxy restart

Port

Ajoutez la ligne:

Port 3128

(pour que le proxy se mettre en écoute sur ce port).

Adresse

Par mesure de sécurité, il vaut mieux que le proxy ne soit en écoute que sur l'adresse IP du réseau interne.
Vous pouvez la spécifier si vous le voulez avec la ligne:

Listen 192.168.0.1

Autorisation

Vous pouvez autoriser des adresses IP spécifiques ou des réseaux spécifiques à utiliser le proxy en ajoutant des lignes Allow. Par exemple pour autorise votre réseau local:

Allow 192.168.0.0/24

Logs

Le fichier /var/log/tinyproxy.log contient le détails de tous les accès au proxy.
Il est très verbeux et va remplir le disque. On peut changer ça:
Remplacez la ligne:

LogLevel Info

par

LogLevel Error

afin qu'il n'enregistre une ligne qu'en cas d'erreur.

Autres

Il existe d'autres options: Il vous suffit d'explorer le fichier tinyproxy.conf qui contient le descriptif des options.

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Ubuntu - Gagner de la place à l'écran »

Méthode 1 : Changer les polices

Par défaut, Ubuntu utilise des polices assez larges, ce qui donne l'impression de perdre de la place:



Mais on peut faire mieux:



Voici comment procéder:

Installez les polices Liberation

Ce sont des polices plus compactes et bien "hintées" (modifiées pour améliorer l'affichage à l'écran);
Tapez dans un terminal : sudo apt-get install ttf-liberation

Configurez les polices

Allez dans le menu Système > Préférences > Apparence, puis dans l'onglet "Polices".
Pour chaque police, sélectionnez à la place Liberation comme suit, et choisissez "Meilleur contraste":



Cliquez ensuite sur le bouton "Détails" et entrez la valeur 80:



Et validez le tout.

Comparaison

Avant:


Après:

Méthode 2 : Configurer Gnome/GTK

La seconde méthode (qui peut s'ajouter à la première) consiste à modifier la configuration de Gnome.

Installez le paquet gnome-color-chooser: sudo apt-get install gnome-color-chooser
Allez dans le menu Système > Préférences > Gnome Color Chooser.
En bas de la fenêtre : Profil > choisir « compact » et cliquer sur « appliquer ».



Comparaison:
Avant:


Après:

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Installation d'un thème sur Ubuntu Ultimate/Mint... »

Il n'est vraiment pas évident de trouver un tutoriel sur cette question, comme sur bien d'autres...





Pourtant quand on sait comment faire, on se dit : Avons-nous vraiment besoin d'un tutoriel ?

C'est tellement simple de changer de thème , alors qu'en télécharger un est souvent un grand mystère pour nombre d'entre nous.

Je vous montre ici ce premier volet exclusif aux thèmes et à http://www.gnome-look.org

Avant de commencer, nous allons créer un dossier Thèmes sur le bureau, que nous "déménagerons" plus tard.

Cliquez droit sur le bureau et créez un dossier nommé Thèmes GTK/GDM

• 1: Rendez-vous sur le site : http://www.gnome-look.org et sélectionnez 'GDM Themes'
• 2: Choisissez un ou plusieurs thèmes qui vous accrochent.
• 3: Vérifiez le nom du thème puis, 'Download'.
• 4: Téléchargez-le sur le bureau

Ne pas "extraire" donc ne pas ouvrir avec le gestionnaire d'archives.

Enregistrez simplement sur le bureau.

• 5: Ouvrez maintenant par le menu : Préférences/Apparences/Thèmes.

Cliquez sur ''Installer''.

• 6: Parcourir jusqu'à l'emplacement du fichier sur le bureau et ouvrir.

Et voici un nouveau thème.

Vous aimez ? Vous aimez pas ? Alors bien simple, il y en a 200 pages.

Vous voulez revenir à un autre thème?

C'est simple .

Cliquez sur "Personnaliser"





Ayant noté le nom du thème préféré, ou d'un autre, faites votre choix , puis "fermer"




Donc vos thèmes seront stockés dans le gestionnaire et seront interchangeables.

Une fois tous vos thèmes préférés installés, coupez et collez votre dossier Thèmes GTK/GDM dans votre dossier personnel et voilà!

Admirez le nouveau look, qui, comme vous le voyez plus haut, pourra être modifier encore plus si vous installez GTK.

Vous pouvez aussi personnaliser ce thème et l'enregistrer.

Voici un exemple de visualisation :



Sur ce gestionnaire, vous pouvez aussi changer de souris, de polices, styles, d'arrières plans ... tout quoi !

Et le plus beau dans tout ça, c'est que ça se fait en un temps record et quelques clics ;-)

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Installer un programme sur Linux Ubuntu »

Installer un programme avec Linux Ubuntu

Ce qui suit s'applique aux distributions Ubuntu récentes

Pour la plupart d'entre-nous, nous ne connaissons que Windows XP ou Vista et un minimum Mac.

Ceci est normal dans les circonstances.

Car les machines naissent directement 'équipées' avec ces systèmes 'imposés' par le marché...

Aujourd'hui seulement , nous voyons dans certains pays, une ouverture au systèmes 'Open Source', qui percent en imposant non pas un 'monopole', mais une autre philosophie, respect réciproque et une fiabilité incontestable.

Sans compter la gratuité, la liberté, la beauté, l'implication de toute une communauté, l'avant-garde, le défi, le partage, l'universalité des langues et l'effort énorme de faire de Gnu/Linux un système 'friendly users'

Certains fabricant d'ordinateurs comme quelques marchants, offrent maintenant cette 'alternative' aux clients. Dell par exemple offre des machines munies de Linux

Mais il est entendu que cet élan n'en est qu'à ses balbutiments !

Des ajustements s'imposent , et le temps corrigera les choses.

Premier embarquement sur Linux

Quel monde étrange !
Oufff ! C'est pas pareil ?
Non !
Vraiment pas très différent au premier regard d'un bureau Linux vs Vista ou XP remanié, mais la composition et les menus sont tout autres.

Linux est encore plus facile si on ne connais pas Windows

Pour la simple raison que sous Windows, nous apprenons par 'imitations' de ce que l'on a vu ailleurs ou entendu parler ou lu ou expérimenté plus ou moins nous-même.

Windows est un système 'friendly user' en ce sens.

En premier: 'Comment ne pas tenter d'installer un logiciel'

Nous avons l'habitude et souvent à notre plus grand malheur (à cause des dangers d'infections), d'aller rechercher sur le net un programme que l'on désire.

Souvent aussi le désir nous entraine vers une version payante , plus complète en 'shareware' , puis nous mettons 'volontairement' ou par ignorance nos machines à hauts risques.

Mais telle est la façon populaire et imposée de faire.
Sauf que nous pouvons et devons le faire de façon intelligente, éclairée et protégée.

N'allez pas rechercher ailleurs ce que vous avez déjà

Avec Linux nous changeons nos mentalités et nous 'ne devons pas associer des gestes communs à Windows sur Linux'.

Mais voici quelques façons de faire

Les centaines de distributions Linux disposent de programmes en 'dormance' et actifs.

Simplement sur un cd live Linux, le 'potentiel' de programmes est là d'office.

NB: Les cd/dvd live ne fonctionnent que sur la 'mémoire virtuelle, mais avec un support, (disque dur, usb), vous pouvez installer de tout de façon permanente.
Mais non sur une session live sans mettre sur un support quelquonque.

Car ce qui est en live et virtuel disparait aussitôt la session fermée.

Selon la distribution, elle disposent de 4.000 à 30.000 logiciels divers qui ne demandent qu'une simple 'activation'.

Sur un Linux Ubuntu installé sur le disque dur

Voici:
Il existent plusieurs façons ou manipulations possibles pour installer un logiciel sur Linux.

On va se limiter aux plus appropriées pour un débutant.

Ajouts et suppressions de programmes, est-ce commun?

Il y a beaucoup à dire sur ce point.
Remarquez que dans le gestionnaire d'ajouts /suppressions, vous avec un menu déroulant.

Les diverses sources de logiciels sont interchangeables.

Brièvement, pour obtenir une grande quantité de logiciels disponibles, vous sélectionnez: 'Toutes les applications disponibles'.








Écrivez simplement dans la section 'Rechercher', les premières lettres du logiciel désiré.
Ex: ici Nexuiz qui est un jeu.













Cliquez sur installer et appliquer les changemants









Validez avec votre mot de passe. (Oui les manipulations se font que sous les ordres du patron)! Une autre force de Linux...

Ce mot de passe, justement si inconnu des enfants permet aussi de conserver la totale sécurité et l'intégrité de votre machine.

Vous pouvez même laisser un enfant de 3 ans jouer sur votre machine pendant que vous vous faite cuire à la piscine ;-)

Alors...
L'intelligent gestionnaire va automatiquement installer tout ce dont vous avez besoin pour utiliser votre nouveau jeu. ;-)
Y compris un raccourci dans le menu 'Applications/Jeux'.

NB: Le plus beau dans tout ça, en plus de la facilité déconcertante est que: Seulement en installant votre programme, le système vous reconnait comme un utilisateur de ce logiciel.

Ce qui vous offre l'avantage que si les concepteurs du jeu ou du logiciel x que vous venez d'activer sur votre machine, ajoutent ou améliorent des fonctionnalités, vous en bénéficierez lors de mise à jour !

Autre méthode simple

Le gestionnaire de paquets 'Synaptic', directement.









Hihi ! Vous arrivez au même endroit !

sudo apt-get install 'nom du logiciel'

Cette méthode est à proscrire aux nouveaux utilisateurs.
Pour 2 raisons.

1: L'utilisation du terminal sous Linux est vu comme un 'bug' à corriger sur les versions justement 'friendly users' plus adéquates aux nouveaux venus.

2: La puissance et la facilité de communication de la console (terminal) avec le noyau Gnu/Linux est immense.
Ce qui fait sa force.

Mais aussi assez 'extra-terrestre' comme premier contact avec la Bête !
Vous apprendrez à connaitre ceci plus tard... Quand vous vous sentirez prêts ;-)


Concrètement, vous allez procéder 'naturellement' en recherchant sur Google ou sur les forums Linux à satisfaire vos besoins en logiciels, puis découvrirez ces noms 'exotiques' avec lesquels vous apprendrez très rapidement et vous vivrez de belles aventures.

Vous lirez que tel ou tel logiciel fait ceci ou cela et vous le rechercherez avec ce qui est indiqué plus haut.

Il va sans dire que sur une distribution du style Linux Ultimate 2.0 Ibex 8.10, vous aurez l'embarras du choix en matière de logiciels déjà installés et sélectionnés.

Parcontre sur une Debian (pour utilisateurs avancés), vous devrez vous dépasser pour atteindre la maîtrise de la Bête. ;-)

Mais les possibilités et la satisfaction sont les plus belles récompenses de vos efforts de lectures et de réflections dans le monde Linux.

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Mettre Amarok en français sous Ubuntu »

Amarok est un logiciel de lecture audio très complet fonctionnant sur Linux.

Comment mettre Amarok en français ?

• Vérifier que les paquets suivants sont installés sinon il faut les installer :
  • kde-i18n-fr
  • language-pack-kde-fr
  • language-pack-kde-fr-bas
• Lancer Amarok, aller dans Help puis Switch application language...
• Choisir French puis valider avec OK.

• Fermer Amarok puis le relancer et il sera en français ;)

Si vous n'arrivez pas à lire des mp3, regarder cette astuce : Lire des fichiers MP3 avec Amarok

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Changer les langues du système dans Ubuntu »

Changer la langue du système

Vous venez d'installer Ubuntu sur votre ordinateur, et à votre grande surprise, le système n'est pas totalement en français! Vous êtes pourtant certains d'avoir mis la langue sur français lors de l'installation... Sous Ubuntu 8.04 Hardy Héron, ce problème n'est pas si grave : le système est bien en Français, mais sous Ubuntu 8.10, la prise en charge en Français n'est que partielle.
Ici, je vous montrerai comment mettre la langue en français pour tout le système, et si vous le voulez, choisir d'installer plusieurs langues.

Installer la prise en charge complète du français

Version Graphique

Allez dans "Système" > "Administration" > "Prise en charge linguistique" (ou "Langage support" en Anglais).
Vous vous retrouvez avec cette fenêtre :


Recherchez la ligne "français" (french) et cliquez sur la case à cocher jusqu'à obtenir un "tic" au lieu du tiret :


Ensuite, rendez vous en face de "langue par défaut" et choisissez "français".


Faites alors "Appliquer" pour que les paquets de langues soient téléchargés et installés. Puis "OK" une fois l'installation terminée. Ubuntu vous prévient qu'il faut redémarrer le système pour appliquer les changements. Faites-le.

Comme vous avez mis "Français" en défaut pour l'ouverture des sessions, lorsque votre mot de passe et le login auront été saisis, le système sera entièrement en Français!

Version en commandes

Ouvrez un terminal, et tapez :

sudo aptitude install language-support-fr language-pack-fr language-pack-gnome-fr-base language-pack-gnome-fr

Cela installera tous les paquets pour avoir le système ainsi que l'aide en français.

Remarque

Il se peut que vous n'ayez pas de connexion internet pour installer les paquets de langue. Si vous pouvez vous procurer le DVD d'Ubuntu, le problème est réglé : les supports de langues sont dessus.

Installer une autre langue

De la même manière que vous aviez installé la langue Française, vous pouvez, si vous le souhaitez installer plusieurs langues. Il suffit de cocher la case correspondant dans la fenêtre de la prise en charge linguistique.

Changer la langue

Maintenant que vous avez installé plusieurs langues, vous voulez avoir le choix et pouvoir changer de langue facilement.
Le changement se fait à l'écran de connexion : Il faut cliquer en bas à gauche, sur "options" :


Cliquez sur "sélectionner la langue", ensuite vous avez le choix parmi les langues disponibles : choisissez celle que vous voulez, et cliquez sur "changer la langue".

Remarque : les langues disponibles sont ceux dont les paquets sont installés.

Il se peut alors qu'il demande si vous voulez redémarrer l'écran de connexion avec la langue sélectionné : faites "OUI".

Tapez votre login et votre mot de passe puis ENTRÉ. On vous demande si vous voulez mettre la langue choisis en défaut (si vous voulez que cette langue soit choisie automatiquement par la suite). Faites votre choix puis validez.

Lorsque le bureau a fini de charger, on vous pose une dernière question : "Mettre à jour les dossier standards vers la langue actuelle ?" :



En fait, les dossiers standards comme le dossier Musique ou Bureau portent des noms différents suivant les langues (Music et Desktop en anglais, ou Muziek et Bureaublad en néerlandais). Ici il vous demande de changer le nom de ces dossier en fonction de la langue. Si vous n'avez changé la langue que temporairement, choisissez "conserver les anciens noms", à l'inverse si vous voulez garder cette langue pour un long moment, faites "mettre à jours le nom des dossiers".

Remarques

• L'installation d'un support complet pour une langue requiert plusieurs centaines de méga-octets par langue.
• Les applications comme votre lecteur de vidéos ou le traitement de texte verront aussi leurs langues changés.
• Bien que le support des langues soit presque totale pour toutes les applications, certaines pourront ne pas être totalement dans votre langue favorite. L'anglais sera alors la langue par défaut. D'où, je pense, l'utilité de laisser les paquets de langue anglais installé sur votre ordinateur. Mais rassurez-vous, le support de la langue français est quasiment totale.

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Accéder à distance à sa machine (VNC+ssh) »

L'astuce suivante vous permettra d'accéder à distance à votre machine de manière graphique.
Nous allons utiliser le serveur VNC inclu dans Ubuntu (Vino) en le sécurisant par ssh.

Vous pourrez alors accéder à distance à votre PC avec ssh et vnc (Par exemple sous Windows en emportant putty et tvncviewer sur clé USB).

L'avantage d'utiliser VNC à travers ssh est que les communications sont chiffrées, et l'authentification est faite par ssh (et non par VNC).
(En effet, le protocole d'authentification de VNC est faible est il est possible de "sniffer" les informations de connexion. VNC ne devrait jamais être utilisé tel quel sur internet.)

Configuration sur le serveur (machine qui sera accédée à distance)

Installez le serveur ssh

sudo apt-get install openssh-server

Changez le port par défaut du serveur ssh

(Cela réduit les risques d'attaques)
Modifiez le fichier /etc/ssh/sshd_config

Changez: Port 22
par: Port 11122

Changez: PermitRootLogin yes
Par: PermitRootLogin no

(Vous pouvez bien entendu utiliser le port de votre choix.)

Redémarrez ensuite le serveur ssh:
sudo /etc/init.d/ssh restart

Configurez Vino

Lancez gconf-editor et modifiez les valeurs suivantes:

• authentication_methods: none
• enabled: cocher
• network_interfaces: lo (IMPORTANT!)
• prompt_enabled : décocher

Ainsi, on peut se connecter sur le serveur VNC directement sans mot de passe, mais uniquement localement (à partir de la machine elle-même).
(Avec network_interfaces=lo, il est impossible de se connecter à distance au serveur VNC.)

Configurez votre session

Note: le serveur Vino ne démarrera que pour votre utilisateur.
Il faut donc qu'une session soit préalablement ouverte pour pouvoir vous connecter à distance.
Vous pouvez activer le login automatique: Menu Système > Administration > Fenêtre de connexion


Cochez "Activer la connexion différée" et choisissez votre utilisateur.



Ainsi même si vous redémarrez à distance l'ordinateur, vous pourrez à nouveau vous connecter dessus.

Firewall

Si vous avez un firewall, pensez à ouvrir le port que vous avez choisi pour votre serveur ssh (11122 dans notre exemple).
Il est inutile (et déconseillé) d'ouvrir le port spécifique à VNC (5900).

Configuration sur le client

Essayons maintenant de nous connecter dessus. Nous allons prendre pour exemple un client sous Windows.
Il suffit de prendre Putty (comme client ssh) et tvncviewer (comme client VNC).

Ces deux logiciels ne nécessitent pas d'installation et peuvent être emportés sur clé USB.

Note: Nous utilisons le client TightVNC et non simplement VNC, car il supporte de meilleurs algorithmes de compression (JPEG, etc) supportés par le serveur Vino (comme la compression JPEG).

Configurer Putty

Configurez votre connexion Putty: Entrez l'adresse IP de votre machine, le port:


Ajoutez ensuite un tunnel: port local 5900 vers port 5900 de votre machine:

• Source port: 5900
• Destination: localhost:5900
• Cliquez sur le bouton "Add"

Et n'oubliez pas de sauvegardez ces paramètres (entrez un nom et cliquez sur "Save"):


Vous n'aurez plus à refaire cette manipulation.

Connexion à distance

Lancez Putty et double-cliquez sur votre session ("mon ordinateur" dans notre exemple):


Entrez login et mot de passe de votre utilisateur.



Vous pouvez maintenant lancer VNC et vous connecter sur localhost


Et voilà, vous avez accès à votre bureau.



VNC n'est pas très rapide, mais c'est bien pratique de pouvoir accéder à distance à sa machine.

Notes

Sécurité:Cette méthode introduit 3 risques potentiels:

• Serveur ssh ouvert: Il est impératif de choisir un mot de passe difficile à deviner (plus de 8 caractères (lettres, chiffres, symboles)).
• Serveur VNC ouvert en local: Toute personne qui a un accès local à la machine peut se connecter sur le serveur VNC (pas de mot de passe). (La connexion à distance sur le serveur VNC reste impossible).
• Le login automatique permet à une autre personne d'utiliser votre compte sans le mot de passe, du moment qu'elle a un accès physique à l'ordinateur.

En conséquence, cette méthode ne devrait être mise en oeuvre que si:

• Le PC n'est physiquement accessible que de vous-même.
• Si vous êtes l'unique utilisateur(trice) de l'ordinateur (ou si vous faites totalement confiance aux autres utilisateurs).

En outre, il est fortement recommandé d'installer un firewall. Sous Ubuntu 8.10 et suivants, vous pouvez installer gufw et autoriser uniquement en entrée le port de votre serveur ssh (11122 dans notre exemple).

Pour vous connecter sur votre PC, vous devez connaître son adresse IP.
Si elle change trop souvent, vous pouvez installer un client dyndns.

Astuces

Configurer Vino en ligne de commande

Pratique à travers une session ssh sans X11:

sudo su utilisateur 
gconftool-2 --type list --list-type string /desktop/gnome/remote_access/authentication_methods --set "[none]" 
gconftool-2 --type string /desktop/gnome/remote_access/network_interface --set "lo" 
gconftool-2 --type bool /desktop/gnome/remote_access/prompt_enabled --set false 
gconftool-2 --type bool /desktop/gnome/remote_access/enabled --set true

Notez que ces modifications ne seront prises en compte que lors du prochain login de l'utilisateur.
(Si l'utilisateur est déjà connecté, cela ne démarrera pas le serveur Vino).

Pour forcer l'utilisateur à se déconnecter (et donc forcer le démarrage de Vino), faites:
sudo /etc/init.d/gdm restart

Activer le login automatique

Modifiez le fichier /etc/gdm/gdm.conf

Repérez les lignes:

TimedLoginEnable=false 
TimedLogin= 
TimedLoginDelay=30

Remplacez par:

TimedLoginEnable=true 
TimedLogin=pierre 
TimedLoginDelay=30

puis forcez le redémarrage de session:
sudo /etc/init.d/gdm restart

(cela va déconnecter l'utilisateur s'il était connecté.)

Vous devriez maintenant voir le serveur Vino:


Vous pouvez remarquer que Vino n'est en écoute que sur les interfaces locales (127.0.0.1 (ipv4) et ::1 (ipv6)): Il n'est donc pas possible de se connecter sur votre Vino à distance, même si votre firewall est désactivé.
C'est une sécurité. Ce document intitulé « Accéder à distance à sa machine (VNC+ssh) » issu de CommentCaMarche.net (CCM) (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.

FreeNX permet d'accéder à sa machine à distance à travers ssh. L'affichage est particulièrement performant (surtout comparé à X11 sur ssh). C'est l'équivalent des Terminal Services de Windows.

FreeNX est un serveur NX gratuit utilisant le protocole NX (Il existe aussi des serveurs commerciaux).

Voici comment installer FreeNX sous Ubuntu 9.04.

Installez le serveur ssh

(Si ce n'est pas déjà fait) :

sudo apt-get install openssh-server

Ajoutez les dépôts FreeNX

Dans votre fichier /etc/apt/sources.list ajoutez :

deb http://ppa.launchpad.net/freenx-team/ubuntu jaunty main

Installez FreeNX

sudo apt-get update
sudo apt-get install freenx

(vous aurez un warning car la clé des dépôts launchpad n'est pas installée, c'est normal).

Vous pouvez dès lors accéder à votre serveur NX avec n'importe quel client NX (vous pouvez trouver des clients NX pour Linux, Windows et MacOSX gratuits sur le site de NoMachine.com).

Le serveur fourni par ce dépôt a été testé avec succès avec le client NX de NoMachine version 3.3.0-6.

Note

Si vous faites tourner le serveur ssh sur un port différent de 22, modifiez la configuration de FreeNX :
Fichier /etc/nxserver/node.conf, mettez :

SSHD_PORT=11122

Pensez à redémarrer votre serveur NX :

sudo /etc/init.d/freenx-server stop
sudo /etc/init.d/freenx-server start

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Planifier un message visuel - Ubuntu 9.04 »

Planifier un message visuel dans Ubuntu

Depuis Ubuntu 9.04, une nouvelle application gère les notifications systèmes !
C'est notify-osd :

Ce tutoriel vous permettra d'afficher des messages visuels à l'heure que vous voulez en utilisant notify-osd.

Préparation

Il faut d'abord installer le paquet libnotify-bin. Pour cela, tapez dans un terminal :

sudo apt-get install libnotify-bin

Pour voir si cela fonctionne, tapez dans le terminal :

notify-send Test "Ceci est un test"

Normalement, un message devrait apparaitre :

Préparation du script

Maintenant que le logiciel est opérationnel, on crée un script avec le message que l'on exécutera à l'heure souhaitée :
Dans votre dossier personnel, créez un fichier vierge que vous nommerez par exemple "rappel.sh" (à la place de "rappel", vous pouvez mettre ce que vous voulez)

Dans ce fichier, écrivez :

#!/bin/bash 
notify-send "Titre du message" "Message"

et enregistrez.

Lancement et planification du script

Maintenant, il faut lancer une commande qui va planifier l'apparition du message à l'écran.
La commande "at" nous sera utile.
Attention : le service "atd, planificateur d'évènement" doit être démarré !

Il suffit de taper dans un terminal :

at -f rappel.sh 19:30

Ceci, exécutera le script à 19h30 de la journée en cours.

Si vous voulez l'exécuter un jour particulier, tapez :

at -f rappel.sh  19:30 Jul 10

Là, il sera exécuté le 10 Juillet à 19h30 (les abréviations des mois de l'année sont en Anglais, ne vous trompez pas !).
(D'autres syntaxes de la date sont disponibles ici )

Ajout d'une icône à l'affichage du message

Il vous faut une image du genre "icône" (format PNG), puis modifiez le fichier rappel.sh :

notify-send -i /chemin/de_l'image/image.png "Titre du message" "Message"

Ce tuto s'est en partie inspiré de cette page

Attention, la commande at ne permet que d'exécuter une commande une unique fois ! Si vous voulez qu'une tache soit exécutée régulièrement, par exemple tous les jours, il faut utiliser cron : Automatiser des tâches avec init et cron

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Tutoriel Shutter »

Shutter

Téléchargement

• Le téléchargement s'effectue depuis le site de l'éditeur, il est présent sur Ubuntu Ultimate 2.2.
• Pour certaines versions d'Ubuntu, sur le site du concepteur du logiciel.
• Tutoriaux d'installation dans la documentation Ubuntu et en vidéo.

Autres distributions :

• • Archlinux
  • Fedora
  • Mandriva

Présentation

• Shutter est un logiciel de capture permettant de modifier les images prises, à l'aide d'outils tels que cadres, trait, texte, crayon, etc. dans le but d'en faire un tutoriel par exemple.
• Il intègre plusieurs façons de capturer l'écran.

Démonstration en image :

• La navigation se fait à l'aide d'onglets.
• On peut enregistrer le fichier dans le dossier de son choix.
• Il est possible de faire un aperçu avant impression, de chercher une image ou autres afin de les modifier avec le logiciel.

Voici une présentation en image des différent onglets :

L'onglet "Fichier"

L'onglet "Édition"

L'onglet "Capture d'écran"

L'onglet "Aller à"

• Shutter, via le menu " Édition " > " Préférence ", permet d'avoir plusieurs profils : pratique pour éditer plusieurs images sur le même principe d'action.

Présentation des différents onglets avec leurs commentaires

L'onglet "Principal"

L'onglet "Avancé"

L'onglet "Comportement"

L'onglet "Émission"

L'onglet "Greffons"

Présentation de l'interface en mode de création d'un tutoriel

• L'interface propose plusieurs options de gestion de fichiers, d'icônes ou de flèches dans un menu déroulant.
• On a aussi la possibilité d'importer une autre image.
• On dispose d'outils tels que le zoom, copier/coller et le défilement, qui permettent de faire défiler les onglets de captures avec une petite flèche aux extrémités de l'interface.

Résumer des applications en image

• Voilà comment la plupart des outils s'utilisent, cette image montre comment insérer l'outil et changer la couleur puis le style d'écriture.
• Pour agrandir ou diminuer, il suffit de jouer avec les petits carrés autour du cadre " New Text ".

Exemple d'utilisation d'un "greffon"

• Voici comment utiliser les greffons: aller dans " Capture d'écran ", puis glisser sur " Exécuter un greffons ", choisir le greffon dans le menu déroulant et " Exécuter ".
• Il y a plusieurs options sur les greffons qui permettent, comme sur la capture, de réaliser de petites choses sympa et aussi de créer un format Pdf.

Conclusion

• Shutter est performant et conserve dans les onglets, même fermés, tout votre travail, de plus il est facile à prendre en main.
• Seul petit bémol, dommage que les flèches noires ne soient pas disponibles en couleur, ce qui m'a obligé à changer de thème pour le tuto , mais ça viendra je pense. ;)
• En se créant quelques icônes ou flèches soit même et en les important, c'est aussi une personnalisation de plus.
• Je trouve pratique le fait de pouvoir insérer directement, sans avoir a utiliser The Gimp, des images comme ccm, qui empêche le clic-droit des voleurs d'images de tutoriels.
• Remerciement pour leur participation, initials 76 et vil coyote

Cordialement tomy ;)

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Gnome - changer rapidement de fond d'écran »

Changer rapidement de fond d'écran

Vous l'avez peut être remarqué : pour changer le fond d'écran de Nautilus, vous devez ouvrir l'image avec le visionneur, puis faire "image > définir comme papier peint". Ce n'est, ni très pratique, ni très rapide…

Il existe pourtant deux moyens de mettre une image en fond d'écran du bureau:

Par le menu contextuel de l'image

Pour ajouter la fonction, il suffit d'installer le paquet nautilus-wallpaper.

Les sources sont disponibles sur gnomefiles.org, mais la plupart du temps, le paquet est dans les dépôts de la distribution, ainsi, sur Ubuntu il suffit d'ouvrir un terminal et de taper :

sudo aptitude install nautilus-wallpaper

Puis de redémarrer Nautilus.

Voila! Vous changerez de fond d'écran aussi facilement que de chemise!

Par glisser-déposer sur le bureau

Vous pouvez aussi glisser une image (depuis Nautilus) vers votre bureau en utilisant le troisième bouton: il suffit alors de choisir "Définir comme arrière-plan".

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Linux - Ubuntu - Installer Firefox 3.5 »

Ubuntu 9.04 est fourni avec Firefox 3.0.x. Canonical n'envisage pas de mettre automatiquement Firefox 3.5.

Cependant, il est facile de profiter de Firefox 3.5: Il est en effet présent dans les dépôts.

Note: Dans Ubuntu 9.04, Firefox 3.5 s'appelle Shiretoko. La raison est que "Firefox" est une marque déposée, et Canonical n'a pas le droit de compiler les sources de Firefox et les distribuer sous la marque "Firefox". C'est aussi pour cette raison qu'il n'utilise pas le logo officiel de Firefox.



Ils ont donc compilé à partir des sources officielles Firefox 3.5 pour créer Shiretoko.
Pas de panique, il s'agit bien de Firefox 3.5, et toutes les extensions sont compatibles.

Installation

L'installation vous permettra de conserver tous vos marque-pages et vos extensions (pour peu qu'elles soient compatibles avec Firefox 3.5).

sudo aptitude install firefox-3.5 firefox-3.5-gnome-support
sudo rm /usr/bin/firefox
sudo ln -s /usr/bin/firefox-3.5 /usr/bin/firefox

puis lancez Firefox 3.5 et allez sur ce lien pour installer le support français.

Au premier lancement de Firefox 3.5, vous aurez sans doute un avertissement concernant certaines extensions incompatibles (comme xulrunner). C'est sans importance.

En cas de problème

Sur certains sites (très rares) qui détectent mal les navigateurs (ceux qui testent "Firefox" au lieu de tester "gecko"), vous pouvez modifier l'user-agent:

Dans la barre d'adresse, tapez about:config et cliquez sur "Je ferai attention, promis !":



Dans "Filter", tapez agent, puis changez la valeur de general.useragent.extra.firefox de "Shiretoko/3.5" en "Firefox/3.5.6".



Voilà désormais comment votre navigateur s'identifiera auprès des serveurs web (faites "à propos"):

Mozilla/5.0 (X11; U; Linux i686; fr-FR; rv:1.9.1.6) Gecko/20091215 Ubuntu/9.04 (jaunty)Firefox/3.5.6

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[Ubuntu 9.04] Installer VLC 1.0 »

sudo apt-key adv --recv-keys --keyserver keyserver.ubuntu.com 7613768D
sudo bash -c 'echo "deb http://ppa.launchpad.net/c-korn/vlc/ubuntu jaunty main" > /etc/apt/sources.list.d/launchpad_vlc.list'
sudo apt-get update
sudo apt-get install vlc vlc-plugin-esd mozilla-plugin-vlc

C'est tout.

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Installer les packs de thèmes Bisigi et Gnome-colors »

Si les thèmes par défaut d'Ubuntu ne vous plaisent pas, voici deux packs de thèmes faciles à installer : Bisigi et Gnome-colors.
Ces thèmes sont très soignés.

Installation

sudo apt-key adv --recv-keys --keyserver keyserver.ubuntu.com 881574DE
sudo bash -c 'echo "deb http://ppa.launchpad.net/bisigi/ppa/ubuntu jaunty main" > /etc/apt/sources.list.d/themes_bisigi.list'
sudo apt-key adv --recv-keys --keyserver keyserver.ubuntu.com E8D31A30
sudo bash -c 'echo "deb http://ppa.launchpad.net/gnome-colors-packagers/ppa/ubuntu jaunty main" > /etc/apt/sources.list.d/themes_gnomecolors.list'
sudo aptitude update
sudo aptitude install zgegblog-themes gnome-colors arc-colors shiki-colors

Utilisation

Appliquer un thème

Menu Système > Préférences > Apparence et choisissez un thème:

Appliquer un fond d'écran

Certains thèmes sont proposés avec des fonds d'écran: cliquez sur le bouton "Appliquer l'arrière-plan".



Pour d'autres thèmes, il faut aller cliquer le fond d'écran manuellement (onglet Arrière-plan).
Par exemple, pour le thème Shiki-brave (bleu), il faut prendre l'arrière-plan "Arc-brave":

Appliquer une fenêtre de login

Ces packs de thème sont également fournis avec des écrans de login assortis.

Menu Système > Administration > Fenêtre de connexion, onglet Locale, puis choisissez l'écran de login correspondant à votre thème.

Exemples

Thème Shiki-colors Brave:





Wildshine:





Exotic:

Autres thèmes

Si vous voulez encore d'autres thèmes, lisez cet article.

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Script au démarrage et à l'arrêt d'Ubuntu »

Faire exécuter un script au démarrage d'Ubuntu

Modifiez le fichier /etc/rc.local et ajoutez vos commandes.
Le script doit toujours se terminer par un exit 0

Faire exécuter un script au redémarrage

Placez votre script dans /etc/rc0.d
et rendez-le exécutable (sudo chmod +x monscript)

Note: Les scripts dans ce répertoire sont exécutés dans l'ordre alphabétique.
Le nom de votre script doit commencer par K99 afin de s'exécuter au bon moment.

Faire exécuter un script à l'extinction

Placez votre script dans /etc/rc6.d
et rendez-le exécutable (sudo chmod +x monscript)

Note: Les scripts dans ce répertoire sont exécutés dans l'ordre alphabétique.
Le nom de votre script doit commencer par K99 afin de s'exécuter au bon moment.

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Linux – Ubuntu – Activer le compte root »

Sur Ubuntu l’accès via l’utilisateur root est généralement bloqué seul l’utilisation des commandes sudo/gksu permettent d’activer les fonctionnalités superusers.
Pour activer le compte root et accéder ainsi directement via la console en mode root, il faut taper la commande :

$ sudo passwd root

Cette commande permet de mettre en place le mode passe pour l’utilisateur root ce qui l’activera pour les sessions consoles uniquement (pas pour l’interface graphique). Une fois le mot de passe initialisé, il sera possible d’ouvrir une session console avec l’utilisateur root.
Pour activer l’accès en mode graphique de l’utilisateur root, il faut aller à Système->Administration->Fenêtre de connexion, cliquer sur l’onglet Sécurité, ensuite cocher la case Autorise la connexion locale de l’Administrateur Système.
Déconnecter et reconnecter avec le compte root.
Il est à noter que l'interface root est critique point de vue fonctionnalités et sécurité c'est pour cela qu'il faut faire attention car sa désactivation par défaut n'a pas été faite par hasard.

Accès au compte root sans l'activer

Toutefois, vous devez garder présent à l'esprit qu'ouvrir le compte root augmente les risques (par exemple un attaquant distant essaiera toujours d'attaquer le compte root en priorité).

Vous pouvez accéder au compte root sans l'activer (et donc sans lui attribuer de mot de passe) en tapant:

sudo -i

Vous aurez ainsi une ligne de commande avec le compte root, mais le compte root ne possèdera toujours pas de mot de passe et il est toujours impossible de l'utiliser pour se connecter à distance.

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Linux – Ubuntu – Accéder à une image ISO »

Lorsqu’on dispose d’un fichier .ISO et que l’on veut voir ce qu’il y’a dedans au niveau d’un Linux il suffit de :

• En mode graphique : simple, il suffit d’utiliser un gestionnaire d’archive pour soit ouvrir le .ISO et voir ce qu’il y’a dedans soit le décompresser et exploiter son contenu.
• En mode console : il faut monter le fichier fichier.iso que nous supposerons se trouver au niveau du répertoire /tmp. Il faut
• Commencer par créer le répertoire de montage

$ sudo mkdir /media/ISO

• Ensuite monter le fichier .ISO

$ sudo mount -o loop /tmp/fichier.iso /media/ISO

• Pour démonter le fichier il suffit de lancer

$ sudo umount /media/ISO

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Linux – Ubuntu – Réparer les erreurs du système de fichiers »

En supposant que vous avez installé Linux Ubuntu sur votre PC et sur la partition /dev/sdaX. Si jamais il arrivait que le système de fichier soit endommagé ou détérioré, il est possible de le réparer. Il suffit :

• de démarrer avec le CD d’installation d’Ubuntu :
• de choisir l’option tester Ubuntu
• de lancer en ligne de commande :

$ sudo fsck.ext3 -f /dev/sdaX

Si des erreurs subsistent et peuvent être réparées, elles le seront.

Notez que vous pouvez également demander au système de vérifier le système de fichier au prochain redémarrage en tapant: sudo touch /forcefsck

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Linux - Ubuntu - Convertir un DVD en DivX (avec HandBrake) »

HandBrake est un bon logiciel pour convertir des vidéos, par exemple des DVD en DivX.

Note: Il semble que depuis la version 0.9.4, Handbrake ne supporte plus les conteneurs AVI et OGG, et ne supporte plus le codec Xvid. Voir cet article.

Voici comment procéder sous Ubuntu:

Ajouter les dépôts pour Handbrake

sudo apt-key adv --recv-keys --keyserver keyserver.ubuntu.com 62D38753
sudo bash -c 'echo "deb http://ppa.launchpad.net/handbrake-ubuntu/ppa/ubuntu jaunty main" > /etc/apt/sources.list.d/launchpad_handbrake.list'

(Jaunty est pour Ubuntu 9.04. A vous d'adapter selon votre distribution.)

Installer HandBrake

sudo apt-get update
sudo apt-get install handbrake-gtk

Utilisation

Insérez le DVD à convertir dans votre ordinateur et lancez HandBrake. Cliquez sur le bouton "Source":



Cochez sur "Open VIDEO_TS folder", puis sélectionnez votre DVD et cliquez sur le bouton "Open".



Laissez ensuite HandBrake scanner le DVD.


En principe, HandBrake sélectionne automatiquement la séquence la plus longue (le film). Cela devrait être automatique. Vérifiez que la durée est cohérente.



Dans la destination, choisissez le conteneur AVI et indiquez ensuite le fichier destination. Utilisez un disque avec beaucoup d'espace libre (plus de 10 Go).



Dans l'onglet "Video":

• Choisissez le codec MPEG-4 (Xvid) (qui correspond à du DivX)
• Cochez "2-Pass encoding" pour une meilleure qualité d'image finale.
• Choisissez la taille finale du fichier (ici: 700 Mo).

Dans l'onglet "Audio/Subtitles", choisissez la piste en français et utilisez le codec MP3 (lame). Vous n'avez rien d'autre à modifier.



Vous pouvez maintenant lancer la conversion en cliquant sur le bouton "Start".



Il suffit ensuite d'attendre (un bon moment). Vous aurez au final votre fichier AVI de 700 Mo.

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Installer Opera 10 dans Ubuntu 9.04 (Jaunty) »

Si vous aviez déjà une ancienne version d'Opera, commencez par la supprimer: sudo apt-get remove opera
(vous ne perdrez pas votre configuration ni vos bookmarks.)

Puis faites:

sudo wget -O - http://deb.opera.com/archive.key | sudo apt-key add -
sudo bash -c 'echo "deb http://deb.opera.com/opera/ sid non-free " > /etc/apt/sources.list.d/opera.list'
sudo apt-get update
sudo apt-get install opera

Il s'agit des dépôts officiel d'Opera: Vous bénéficierez donc des mises à jour automatiques pour les nouvelles versions.

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Ubuntu - Un copier coller rapide »

Un copier-coller ultra-rapide

Sous Ubuntu, Linux, il est très simple de faire un copier coller, encore plus simple qu'un “Ctrl + C” “Ctrl + V” :

Il suffit de sélectionner le texte (juste le sélectionner) pour le mettre en mémoire puis de cliquer avec le bouton 3 de la souris (généralement le clic de la molette) pour le coller.

Sélectionner => copier
Clic 3 => coller

 

• Suggestions :
  • C'est extrêmement pratique pour copier-coller dans un terminal (pas besoin de rajouter le “Shift” au Ctrl+V habituel).
  • Comme le texte mis en mémoire de cette façon ne remplace pas celui mis en mémoire par le Ctrl+C, vous pouvez copier-coller 2 choses différentes en même temps !! (faire le Ctrl+C, sélectionner ensuite le second texte, coller le deuxième texte avec le bouton 3, puis effectuer un Ctrl+V.)

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Linux - Ubuntu - Hardy Heron - Installer tomcat6 »

Pour installer de façon automatique Tomcat 6 sous Ubuntu il faut procéder comme suit

Pré-requis

Il faut commencer par installer un machine virtuelle

#apt-get install sun-java6-jdk

Configuration de apt-get

Pour automatiser l'installation de tomcat6 via apt-get il faut mettre à jour les fichiers de configuration :

• Ajouter au fichier /etc/apt/preferences les lignes suivantes:

Package: *
Pin: release a=hardy
Pin-Priority: 900

Package: *
Pin: release a=intrepid
Pin-Priority: 90

• Ajouter les lignes de sources suivantes dans le fichier /etc/apt/sources.list :

deb http://archive.ubuntu.com/ubuntu intrepid main restricted universe multiverse
deb-src http://archive.ubuntu.com/ubuntu intrepid main restricted universe multiverse

• Lancer une mise à jour:

#apt-get update

Installation

Il faut lancer :

#apt-get install tomcat6

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Installer pilotes NVidia sous Ubuntu »

Sommaire

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Introduction

Vous êtes sous Ubuntu et vous voulez installer manuellement les pilotes de votre carte graphique NVidia ?

Cette astuce est utile si les logiciels automatisés ne sont pas efficaces ou pour d'autres raisons.

Téléchargement

• Télécharger le pilote par rapport à votre carte graphique ici : Site NVidia
• Enregistrer le fichier (.run) dans votre dossier personnel et nommez le "NVIDIA" (sans les guillemets)

Installation

• Redemarrez votre ordinateur, et executez Ubuntu en mode sans echec en ligne de commande.
• Tapez ensuite :

  telinit 3

• Loginez-vous et tapez :

  sudo sh ./NVIDIA.run

L'installation va commencer, donc accepter le contrat de licence, et enfin, on va vous demander la mettre à jour le fichier xorg.conf, mettez le à jour.

Redemarrez, et normalement avant l'écran du login, vous aurez un logo NVidia en plein écran, mission accomplie !


Valable pour Ubuntu 9.10 (testé).

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Ouvrir et fermer le lecteur CD en ligne de commande [Ubuntu] »