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Professionnels




Sujet 14174 - Publier du contenu professionnel avec les outils Google

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Être présent sur internet est aujourd'hui essentiel pour faire connaître votre entreprise et pour vous assurer la confiance de vos clients et collaborateurs.
Google dispose d'outils d'édition de contenu pour vous permettre en tant qu'entreprise d'avoir un espace professionnel personnalisé et de qualité sur le toile.
Picasa, Google vidéo, You tube, Blogger... pourquoi et comment utiliser ces outils ?

Sommaire




Pourquoi utiliser ou ne pas utiliser ces outils Google ?


Google a de nombreux concurrents sur le marché des outils de publication de contenu sur internet :
Outils Google --> Autres outils
Blogger --> Blogspot, Blogspirit, Wordpress, Skyblog, Hautetfort, Myspace, Canalblog, ...
YouTube --> DailyMotion, Revver, MsnVidéo, Kewego, MySpace, ...
Google vidéo --> Yahoo!vidéo
Picasa -->iphoto, Fotoalbum, gThumb, album Shaper, Gkviez, jbrout, Imgseek, ...

L'utilisation de ces outils Google est simple et gratuite. Une adresse Gmail suffit souvent pour s'inscrire ou télécharger les outils. A noter : pour publier des textes, vidéos ou images dont vous n'êtes pas l'auteur, vous devez obligatoirement obtenir les droits d'auteurs.

Blogger : bloguez comme un pro




Voici les fonctionnalités de Blogger qui permettent de professionnaliser votre blog et de le personnaliser à l'image de votre entreprise :

Blogger est très simple d'utilisation. Moins de cinq minutes suffisent à créer un blog professionnel : connectez-vous à la page d'accueil de Blogger, cliquez sur Créer votre blog, renseignez vos coordonnées, choisissez le nom de votre blog, choisissez un template. Pour rédiger votre premier message, cliquez sur Premiers pas avec les blogs. Vous avez bien sûr la possibilité d'insérer des images, du son, des vidéos.

Pour en savoir plus sur l'utilité des blogs en entreprise, consultez l'article Lancer et animer un blog en entreprise.

Youtube : animez votre communication




Diversifier vos supports de communication est un atout considérable pour accrocher l'attention des internautes qui découvrent votre entreprise sur internet ou s'informent à propos de votre entreprise. Déposer des vidéos sur une plateforme de vidéos en ligne, en intégrer sur votre blog et être présent dans un moteur de recherche vidéos peut améliorer votre visibilité et votre réputation sur internet auprès de vos clients et collaborateurs potentiels.

Fonctionnalités de YouTube :

Pour poster des vidéos et accéder aux différentes fonctionnalités, commencez par créer un compte depuis la page d'accueil de YouTube ou identifiez-vous avec votre adresse Gmail.

Google Vidéo : assurez votre référencement




Les vidéos que vous postez sur YouTube peuvent apparaître sur Google Vidéo, de la même manière que votre blog peut apparaître dans les résultats de recherche Google.

Pour mettre en ligne des vidéos et les voir apparaître dans les résultats de Google Vidéos, vous pouvez tout simplement les télécharger depuis Google Vidéo :

Si vous ne souhaitez pas que votre vidéo apparaisse dans le moteur de recherche Google Vidéos, vous avez la possibilité de la rendre privée. Votre vidéo aura un lien propre que vous pourrez transmettre aux personnes que vous voulez.

Picasa : soignez votre image




Picasa permet de rechercher, modifier et partager des photos. La première étape pour accéder à cet outil Google, c'est de télécharger Picasa.


Les fonctionnalités de Picasa :

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Assurez une veille professionnelle avec Google »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 6 novembre 2009 à 12:32 par marlalapocket




Sujet 14175 - Assurez une veille professionnelle avec Google

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=Assurez une veille professionnelle avec Google=

Pour rester concurrentiel, il est indispensable d'être la pointe de l'actualité de son secteur professionnel. Pour vous faciliter cette veille professionnelle, Google dispose d'outils spécifiques : Google News, Google Alertes, Google Reader, iGoogle. On vous explique pourquoi et comment les utiliser dans le cadre de votre entreprise.



Veille concurrentielle : Google essentiel ?


Pour connaître les bases de la veille concurrentielle sur internet, consultez l'article utiliser internet pour sa veille concurrentielle.

Les avantages des outils de veille Google sont leur gratuité et leur compatibilité. Chaque outil fonctionne de manière indépendante, mais vous obtiendrez une veille plus substantielle en les utilisant tous.

Leur prise en main ne nécessite pas de connaissance particulière, il suffit généralement d'indiquer votre adresse Gmail et de se laisser guider par les popup explicatives ou les pages d'aide facilement accessibles dans l'interface des outils Google.

Une fois mis en place, ces outils vous font gagner un temps précieux au quotidien dans votre recherche d'informations professionnelles, puisque vous n'avez justement plus à rechercher l'information.

Google n'est pas le seul à proposer ce type d'outils, si vous n'êtes pas partisan du tout Google, voici leurs équivalents :

Outils Google --> Autres outils
Google News --> Yahoo Actualités
Google Alertes --> Yahoo Alerts
Google Reader --> RSS Reader, RSS Owl, FeedReader
iGoogle -->Netvibes, MyYahoo, WindowsLive

Google News, pour suivre l'actualité en continu


http://news.google.fr: c'est à cette adresse que vous pouvez consulter les derniers articles d'actualité publiés sur plus de 500 magazines et journaux en ligne !

L'atout de Google Actualités réside dans son fonctionnement. Lorsque vous recherchez une information sans outil particulier, vous choisissez un site d'information, puis la rubrique et enfin le sujet susceptible de vous intéresser. Avec Google Actualités, vous choisissez un sujet, puis Google Actualités vous propose plusieurs sources. Il suffit de cliquer sur l'article qui vous semble le plus pertinent.

Vous pouvez bien sûr personnaliser la page Google Actualités, en choisissant de recevoir par exemple uniquement les actualités d'un magazine économique ou les actualités traitant des nouveautés de votre secteur :

Pour faire une recherche d' actualité précise (c'est la spécialité de Google), Google dispose d'un outil de recherche avancée. Date de publication, source d'information (Le Monde, L'express,...), le pays de diffusion, l'emplacement du ou des mots-clés dans l'article (titre, corps ou url de l'article) font partie des critères de recherche.

Autre fonctionnalité de Google Actualité : vous pouvez aussi recevoir votre actualité personnalisée sur votre téléphone portable.

Google Alertes, pour recevoir l'actualité par mail


Avec Google Alertes, ce n'est pas vous qui allez à l'information, c'est l'information qui vient à vous !

www.google.fr/alerts : c'est à cette page que vous pouvez vous abonner aux Google Alertes. Vous choisissez un mot-clé et renseignez votre email. Vous recevrez ensuite directement les informations liées au mot-clé sélectionné dans votre boite mail, sous le nom Alerte Google - votre mot-clé.

Par exemple si vous voulez recevoir l'actualité concernant une entreprise concurrente, il vous suffit d'écrire le nom de l'entreprise concurrente dans le champ Termes recherchés et votre adresse mail. Vous recevez une Google Alerte dans votre boite mail à chaque fois qu'un article concernant l'entreprise concurrente paraitra.

Google Reader, le lecteur de flux RSS Google


Si vous ne connaissez pas le principe et fonctionnement des flux RSS, consultez l'article les flux rss pour l'entreprise.

En bref, il s'agit d'un autre moyen d'être informé presque instantanément de la parution de nouveaux articles sur les sites que vous aurez sélectionnés. En vous abonnant aux flux rss de ces sites, vous n'avez qu'à consultez une page, votre page personnalisée Google Reader.

Cela vous fera gagner du temps dans le cas où vous consultez régulièrement un ou plusieurs même sites pour lire les nouveaux articles.

Pour s'abonner à un flux, connectez vous au site qui vous intéresse, cliquez sur le bouton s'abonner au flux RSS, choisissez Google Reader en lecteur de flux, le flux s'ajoute automatiquement à votre liste de flux sur votre page personnalisée.

iGoogle, pour centraliser les informations





iGoogle est une page d'accueil personnalisable. Elle comprend une barre de recherche classique Google plus les flux RSS, widgets et outils en tout genre que vous aurez sélectionnés en fonction de vos centres d'intérêt en tant que chef d'entreprise. iGoogle englobe donc tous les avantages de Google News et Google Reader, avec de nombreuses options supplémentaires.


Comment utiliser iGoogle :

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Green IT : Economiser de l’énergie grâce à son parc informatique »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 10 novembre 2009 à 15:33 par marlalapocket




Sujet 15823 - Green IT : Economiser de l’énergie grâce à son parc informatique

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Le Green IT ou Green computing est une tendance technologique qui consiste à tenir compte des consommations énergétiques des parcs informatiques. C’est actuellement une tendance lourde en informatique, puisqu’elle permet d’économiser d’autant plus d’énergie que le parc informatique (ordinateurs et serveurs) est important. Les objectifs du Green IT sont donc de mesurer et d'améliorer la performance énergétique des outils de production informatique. Mais le Green IT, c’est aussi de nouveaux modes d’organisations managériaux dans l’entreprise.






Quantifiez votre consommation


La part de la consommation énergétique des parcs informatiques est estimée à environ 10% des budgets des directions informatiques. Les matériels les plus gourmands sont les serveurs, dont la consommation électrique a augmenté de 10% en 2008. Si bien que l’on estime qu’aujourd’hui, qu’en considérant la durée de vie d’un parc informatique, la facture électrique est plus coûteuse que l’achat du parc en lui-même !
Bien quantifier sa consommation et définir les besoins en matière de parc informatique est le premier pas pour réaliser des économies sur la facture énergétique. De plus, l’analyse des besoins informatiques permettre de mieux cibler la stratégie d’équipement au sein de l’entreprise.

Rénovez votre parc informatique


Acheter un nouveau parc


Les fabricants proposent aujourd’hui des gammes d’ordinateurs et de serveurs moins gourmands en électricité. Ne vous fiez pas forcément au prix d’achat « brut » du matériel, mais voyez à plus long terme en calculant sa consommation électrique. La plupart des ordinateurs et des serveurs économes en énergie sont labellisés. Deux principaux labels font référence en la matière : Energy Star et Epeat. Privilégiez donc l’achat d’ordinateurs labellisés, vous serez sans aucun doute gagnant au bout du compte.

En 2007, environ 109 millions d’ordinateurs certifiés Epeat ont été vendu à travers le monde. L’économie d’énergie liée à l’utilisation a été estimée à 42 milliards de kWh. Sur l’ensemble du cycle de vie de ces ordinateurs, une économie totale de 3,2 milliards de dollars pourra être réalisée.
Autre astuce pour économiser de l’énergie : lors du renouvellement de votre parc, étudiez avec précision les besoins de chaque utilisateur. Tous vos collaborateurs n’ont pas forcément besoin d’ordinateurs ultra-puissants. Assurez-vous donc de bien définir l’adéquation utilisateur/ordinateur.

Louez un parc d’ordinateurs


C’est l’autre solution pour réduire sa note d’énergie. Elle est particulièrement bien adaptée aux TPE/PME, puisqu’elle leur permet de garder leur capacité d’autofinancement. La location d’un parc informatique permet à l’entreprise d’avoir à sa disposition un matériel récent, le plus souvent moins gourmand en énergie, sans grever sa trésorerie. Le plus souvent, la maintenance informatique est comprise dans le prix de la location. La location permet aussi une plus grande flexibilité, puisque vous ne louez que le nombre de postes utilisés : en cas de départ de l’un de vos collaborateurs, vous pouvez tout à faire rendre l’ordinateur qui ne vous sert plus.

L’autre gros avantage de la location de parc informatique c’est bien sûr de pouvoir profiter d’un parc renouvelé tous les deux ans, en moyenne et donc de profiter d’appareils de plus en plus économes.
Le loyer est calculé, par poste, comptez environ 25 à 30 euros par poste pour un PC et 45 à 60 euros pour un serveur.

Virtualisez vos serveurs


La virtualisation des serveurs consiste à partager un serveur physique en plusieurs serveurs virtuels. On considère que la plupart du temps, les serveurs ne sont utilisés qu’à seulement 20 % de leur capacité. La virtualisation des serveurs permet donc d’utiliser au maximum un serveur physique, en faisant l’économie de serveurs supplémentaire. Cette technique permet d’économiser sur les coûts d’achats et de maintenance des serveurs, mais aussi sur les coûts énergétiques induits par la multiplication de ces serveurs.

Microsoft, Sun ou encore Novel proposent des services de virtualisation des serveurs.

Favorisez les vidéo-conférences


Utiliser la vidéo-conférence permet d’organiser une réunion en économisant des frais liés au trajet pour s’y rendre. De plus en plus d’entreprises utilisent aujourd’hui des solutions de vidéo-conférence pour conduire des réunions dont les acteurs sont distants. Outre de supprimer les frais de trajets, elles permettent aussi de consommer moins de papiers, puisque l’impression de documents n’est plus nécessaire. Enfin, ce type de réunion nécessite un très faible investissement puisque il suffit simplement d’un ordinateur, d’une webcam et éventuellement d’un grand écran.
De nombreuses solutions gratuites ou payantes existent pour mener des réunions grâces à la vidéo-conférence. Du côté des solutions gratuites, Skype et Windows Live Messenger peuvent permettre la tenue de réunions en vidéo-conférence, mais vous risquez d’être vite limités par ces solutions. Du côté des solutions payantes, WebEx, Cisco ou encore Orange Business Service proposent elles aussi des solutions de vidéo-conférence

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Créer sa carte de visite en ligne »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 8 avril 2009 à 18:36 par zora3




Sujet 17557 - Créer sa carte de visite en ligne

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Grâce aux outils de création en ligne de cartes de visite, vous pouvez créer vous-même votre carte de visite en quelques clics.


La carte de visite : mode d'emploi

Pourquoi ?


La carte de visite est un excellent outil de promotion. C'est un document de communication à ne pas négliger car il offre l'opportunité de valoriser l'identité et l'image de son entreprise tout en véhiculant ses services, ses activités etc. Elle doit à la fois refléter l'image de l'entreprise mais aussi diffuser un message. Bien plus utile et pérenne qu'un petit bout de papier, la carte de visite doit pouvoir se ranger très facilement.

Le format


Le format traditionnel d'une carte de visite est de 80x126mm néanmoins le format standard le plus couramment utilisé est 85x54mm. Il correspond environ à la taille d'une carte bancaire, idéal donc pour la glisser dans un portefeuille. Si vous optez pour une ergonomie classique, sachez que les formes carrées sont plus prisées que les arrondies.

Le papier


Pour obtenir un rendu imprimé plaisant et esthétique, choisissez plutôt un papier couché, brillant ou mat. Les papiers bas de gamme sont définitivement à bannir car ils dégageront un résultat décevant bien loin de vos attentes. Enfin, un papier trop fin sera trop fragile et souple, par conséquent optez pour un papier d'au moins 300g.

La typographie


L'utilisation d'un trop grand nombre de polices différentes affectera la lecture de votre carte. Il est important en effet de conserver la même typographie pour tout ce que vous comptez écrire. En revanche, vous pouvez très bien jouer sur la taille (pas moins de 7pt) et l'aspect (gras, italique) pour mettre en avant certaines informations.

L'impression


Si vous pensez ne pas avoir assez de place pour rentrer et placer correctement toutes les informations sur le recto, vous pouvez très bien utiliser le verso de votre carte. Car attention, vous ne devez en aucun cas encombrer votre carte de visite sinon elle deviendra vite illisible. Le recto servira principalement à noter des informations complémentaires d'ordre pratique (un plan d'accès, des tarifs, des horaires d'ouverture etc.).

Le design


Comme pour tous vos documents professionnels, la carte de visite doit respecter une charte graphique commune, c'est-à-dire qu'il va falloir que vous privilégiiez l'utilisation du même code couleur (1 à 2 couleurs maximum). La présence de votre logo sera bien évidemment indispensable pour que vos partenaires puissent vous identifier mais pensez aussi éventuellement à un slogan pour donner un certain ton à votre document.

L'originalité


Si vous avez l'âme créative, vous pouvez aussi tenter votre chance avec des logiciels de création graphique de type Illustrator, Publisher ou Photoshop. Au lieu d'adopter un style standard vous pourrez obtenir un design plus recherché et plus original, comme il en question ici. Il existe même des logiciels libres, comme Scribus, permettant de faire vous même vos cartes de visites.

Que dois-je y renseigner ?


Pour qu'une carte de visite soit à la fois complète et efficace il faut savoir y renseigner les informations essentielles, c'est-à-dire ce qui sera le plus pertinent pour le correspondant qui détiendra votre carte.

Généralement, on y trouve :
Si vous en jugez la nécessité, vous pouvez bien évidemment y ajouter d'autres informations susceptibles d'être pertinentes mais n'oubliez pas que votre carte de visite doit rester claire, sobre et lisible d'un seul coup d'oeil.

Combien ça coûte ?


Plusieurs sites Internet proposent de personnaliser vous-même votre carte de visite gratuitement. C'est le cas notamment de Free PDF Cards, un site anglophone, très pratique et simple d'utilisation, qui vous propose de compléter et d'insérer vos informations personnelles dans les champs prédéfinis puis d'ajouter votre propre logo en haut à gauche. Une fois votre carte terminée, validez votre sélection puis téléchargez le fichier au format PDF.

Dans le même style, Business Card Star, présente les mêmes fonctionnalités cependant il faudra vous inscrire sur le site si vous souhaitez enregistrer votre projet ou bien même télécharger la maquette sur votre ordinateur.

Avec ces deux premières solutions économiques et rapides, vous pourrez donc aisément imprimer chez vous vos propres cartes de visite sur le papier de votre choix, en raison d'environ 8 à 12 cartes par feuille.

Du côté des sites français, vous pouvez vous rendre sur Vista Print, un site qui vous propose un large panel de thèmes déjà créés. Après inscription, vous pouvez choisir parmi les 42 thèmes gratuits disponibles ou bien vous diriger vers la seconde solution qui offre un service de plus haute qualité. Pour cette méthode, le prix global variera alors en fonction du format, de la qualité du papier, des couleurs, de l'impression (recto/verso), de la quantité voulue ainsi que des options que vous choisirez d'y inclure.

Attention tout de même, car si vous commandez les 250 cartes de visite, dites gratuites, vous devrez néanmoins régler les frais de port et de traitement !

D'autres ressources



Crédit photo : L.S. - Fotolia.com
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 2 mai 2011 à 20:19 par Jeff
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Sujet 17875 - 6 applications professionnelles pour votre iPhone

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6 applications professionnelles pour votre iPhone


Pratique et au design séduisant, l’iPhone d’Apple est entré en été 2007 sur le marché avec un très grand succès. Avec déjà des fonctionnalités pré-intégrées performantes, Apple propose en plus sur son AppStore des applications typiquement professionnelles qui peuvent vous être utiles.



Télécharger une application sur l’AppStore puis l’installer


Depuis un ordinateur


Depuis l'iPhone


Les applications à tester pour votre business


Documents To Go : lecture, édition et création d’un document


Cette suite bureautique est en fait le portage de la version Microsoft Office incluse dans les ordinateurs Windows. Proposant pratiquement les mêmes fonctionnalités que la version originale, Documents To Go peut satisfaire et convenir parfaitement pour un usage professionnel mobile afin de lire, éditer et créer entre autre des documents Word. Les formats de compatibilité des fichiers sont plutôt larges puisqu’ils prennent en charge tous les documents aux formats PDF, Excel, PowerPoint et HTML depuis la version 97. Documents To Go est en plus aussi compatible avec les formats de documents de la suite iWork 08 d’Apple. Enfin, des mises à jour gratuites sont d’ores et déjà prévues pour améliorer l’application et la rendre encore plus fonctionnelle.

Prix : 7, 99 €

File Magic : transfert de documents


Application qui permet de transférer d’un simple glisser-déposer n’importe quel fichier de votre ordinateur vers votre iPhone pour pouvoir ensuite y accéder via ce dernier. La seule condition réside dans le fait que pour transférer un fichier, vos deux appareils doivent absolument être reliés au même réseau sans fil pour pouvoir se synchroniser. En plus de l’application disponible sur l’AppStore, un petit utilitaire gratuit, de type gestionnaire de transfert, doit être téléchargé puis installé sur votre ordinateur. Très simple d’utilisation, le programme supporte et lit les documents (Word, Excel, Power Point, HTML, PDF), les images (JPEG, GIF, PNG, TIFF), les vidéos (M4V) et les sons (mp3, aac, wav).

Prix : 3,99 €

OneTeam : communication en temps réel


Développée par l’éditeur français ProcessOne, OneTeam est une application client qui gère les fonctionnalités de messagerie instantanée. Interopérable avec les messageries les plus proposées sur le marché (MSN, GoogleTalk, AIM, Yahoo), le service propose la possibilité de se connecter avec un compte et des identifiants Jabber/XMPP. Bénéficiant d’une interface claire et simplifiée, la messagerie peut à la fois être utilisée en interne via un propre serveur XMPP mais aussi en externe pour communiquer avec des contacts utilisant éventuellement d’autres messageries.

Prix : 4, 99 €

Mes Congés : calcul et gestion des congés


Comme l’intitulé de l’application l’annonce si brillamment, cette application offre le moyen de gérer les jours et périodes de congés. Conforme au code du travail, ce programme permet entre autre de simuler une période de congés, établir un décompte légal des jours ouvrés ou bien ouvrables en fonction des jours fériés, vérifier et comprendre vos droits en matière de congés . Un petit attelage technologique plutôt pratique pour voir quand est-ce que vous aurez droit à du repos ! En voir plus

Prix : 1,59 €

Microsoft Exchange : gestion de votre messagerie


Bien que ce ne soit pas réellement une application mais plutôt une fonctionnalité pré intégrée depuis la sortie de l’iPhone 3G, Microsoft Exchange est quasi indispensable pour une personne mobile qui doit rester en relation permanente avec des contacts professionnels. Avec Exchange, l’utilisateur est en mesure de gérer et d’accéder à son carnet de contact, à son agenda et à ses mails depuis l’iPhone, en ayant préalablement synchronisé son compte et sa base de données au serveur Exchange de l’entreprise avec le logiciel ActiveSync. En revanche, pour ceux qui utilisent le logiciel professionnel de messagerie Lotus Notes, sachez qu’une application baptisée iNotes Ultralite a été mise à disposition gratuitement par IBM notamment pour concurrencer Microsoft.

Prix : Gratuit

Pocket Money : contrôler ses finances


Une petite application qui permet d’effectuer une gestion financière simplifiée sur son terminal. Avec la chance de pouvoir manipuler un nombre de compte illimités, le programme peut notamment établir un suivi des dépenses des cartes de crédit et des comptes bancaires en vérifiant les soldes. Pocket Money génère des rapports détaillés et peut même interpréter les données en utilisant des représentations graphiques. Importer ou exporter des données depuis un ordinateur sous Mac ou Windows est aussi possible via les logiciels Mac Money et Microsoft Money.

Prix : 3,99 €

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Les tables tactiles »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 3 novembre 2009 à 11:58 par marlalapocket




Sujet 18514 - Les tables tactiles

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Les tables tactiles


Véritable technologie du moment, les tables tactiles sont peut-être en train de bouleverser les interactions entre l'homme et la machine. Pas encore destinées au grand public, elles commencent néanmoins à bien s'adapter à certains milieux professionnels qui n'hésitent pas à les utiliser.


Qu'est ce que c'est ?


Les tables tactiles sont des appareils sophistiqués permettant une interaction avancée et intelligente entre l'humain et la machine.

Un peu comparables aux téléphones mobiles nouvelle génération (iPhone, BlackBerry), elles disposent d'un écran tactile sur lequel l'utilisateur interagit à l'aide de ses doigts, de ses mains ou même d'objets. Elles possèdent aussi un logiciel qui interprète les déplacements, ou plus exactement les contacts, que l'utilisateur effectue via la surface de la table.

Au-delà de la possibilité d'interagir avec la surface tactile avec plusieurs doigts en même temps, certaines tables autorisent plusieurs personnes à l'utiliser simultanément. D'autres, à défaut d'être des tables, sont des murs ou des vitrines utilisant le même principe de fonctionnement.

Comment ça marche ?


Les tables tactiles peuvent être développées selon deux technologies bien distinctes :

Pourquoi utiliser une table tactile ?

L'avantage


Au-delà de l'apport technologique, la table tactile peut devenir une véritable valeur ajoutée pour un professionnel. Vous allez pouvoir proposer au client une vision simple, concrète et interactive de votre produit ou service. Par exemple, lors d'un achat, en plus des conseils que vous donnez, vous pouvez discuter autour de la table en vous appuyant sur des démonstrations, du son, etc.

L'inconvénient


Le principal inconvénient reste bien évidemment le prix qui peut s'avérer à première vue dissuasif. Pour la table de Microsoft, baptisée Surface, comptez par exemple 11 000 €. Les prix varient en fonction du modèle de la table, les écrans tactiles mais aussi en fonction des applications que l'on souhaite intégrer au logiciel qui gère et conduit l'interactivité de la table.

Quelques principales caractéristiques


Les utilisations professionnelles

Pour le tourisme


Les applications orientées tourisme sont les illustres exemples de ce qui fait la force de la table tactile. Une utilisation dans une agence de voyages, va permettre au client de consulter les offres de manière détaillées et interactives (vidéos, diaporama, visites virtuelles, ambiance et sons songeurs), de façon à ce qu'il se sente plongé dans son voyage. Il conduit en quelque sorte sa propre visite, c'est un peu comme s'il y était réellement ; de quoi créer un certain déclic à l'achat.

Pour l'immobilier


Dans une agence immobilière, la table tactile peut venir compléter l'expertise du professionnel en proposant des démonstrations 3D pour illustrer le projet d'achat. L'accès à Internet depuis la table permet de naviguer sur le site web de l'agence en accédant aux mêmes fonctionnalités : recherche d'offres, création d'un compte, sauvegarde des annonces intéressantes. Les logiciels peuvent donner l'opportunité là aussi de visiter la maison pièces par pièces, zoomer sur des photos etc.

Pour la restauration


Dans la restauration, la table tactile peut permettre de consulter les menus, les images des plats et les caractéristiques des produits (prix, provenance, ingrédients) mais aussi et surtout de commander depuis la table. Même principe pour les bars où le client peut demander au serveur de lui apporter un cocktail à sa table sans avoir à quitter sa place.

Pour la grande consommation


En France, quelques grandes entreprises commencent à adopter les tables tactiles. C'est le cas par exemple de France Télécom, Renault ou bien encore la SNCF qui cherchent en effet à développer des applications spécifiques qui puissent correspondre et s'adapter à leurs activités et leurs objectifs commerciaux.

Et les autres domaines ?


D'autres secteurs d'activités pourront être en plus concernés par cette technologie à l'avenir. C'est le cas de l'éducation par les jeux, de la médecine, de la sécurité ou encore du secteur financier.

En somme, on peut facilement percevoir que grâce à cette technologie, les relations client/entrepreneur sont dynamisées, beaucoup plus vivantes, intéressantes et attractives.

Où trouver des tables tactiles ?


Stantum
After Mouse
Domoneo
Immersion
Intuilab

Crédit photo : Berekin - Fotolia.com
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 11 avril 2011 à 11:16 par Jeff
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Sujet 19643 - Choisir son logiciel ERP

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Les logiciels ERP (Entreprise resource planning en anglais) ou logiciels de gestion de projets permettent de centraliser sur un même planning les différentes phases de production au sein d’une entreprise. Les logiciels ERP sont en quelques sortes l’aboutissement des modèles MRP (Manunfacturing resource planning) que l’on connaissait dans les années 70.



A quoi sert un logiciel ERP ?


Le logiciel d’ERP permet de structurer et d’optimiser le déroulement d’un projet de la conception à la finalisation du produit. Pour ce faire, il regroupe sur un même système d’information les différentes grandes étapes du projet, ainsi que les ressources (humaines et matérielles) et les différentes contraintes liées aux développements du projet. En intégrant ces différentes données, le logiciel propose alors un planning de production intégrant les différentes zones critiques du projet, les différents délais de production etc. Le logiciel ERP est donc un outil de planification des différentes tâches nécessaires à la bonne marche d’un projet.

A qui s’adresse les logiciels ERP ?


Les logiciels ERP sont très prisés des entreprises des secteurs industriels et de services. Ils sont particulièrement adaptés aux PME-PMI qui veulent maîtriser et optimiser leur chaîne de production et avoir de la visibilité sur le projet qu’elles veulent concevoir et développer. De même, les entreprises du domaine des services, et particulièrement des domaines de l’informatique et de l’Internet qui doivent gérer des projets sur le long terme.
D’une manière générale, les logiciels ERP s’adressent aux entreprises menant des projets nécessitant de multiples compétences et devant coordonner le travail de plusieurs équipes ou au moins de plusieurs personnes. On peut considérer qu’un logiciel ERP est nécessaire pour conduire un projet nécessitant l’intervention d’une dizaine de personne.

Fonctionnalités et avantages d’un ERP


Les avantages du logiciel ERP sont multiples et permettent globalement un meilleur suivi de l’avancée du projet mais permet aussi de chiffrer le coût d’un projet ou d’éviter que les budgets ne dérapent. En ce sens, il va plus loin que le simple rétroplanning avec lequel on le compare parfois, à tort !

Les fonctionnalités


Selon le logiciel choisi, les fonctionnalités proposées par le logiciel ERP sont plus ou moins poussées. D’une manière générale, pour être efficace, le logiciel doit au mois pouvoir être en charge d’intégrer les ressources (humaines et matérielles), les différentes tâches liées à la gestion de projet, les zones critiques (les étapes qui peuvent aboutir à l’échec du projet) c’est le minimum que l’on doit attendre afin de pouvoir réaliser un planning sérieux et de pouvoir optimiser son projet. Certains logiciels poussent plus loin encore les fonctionnalités en budgétisant le projet, au jour le jour et/ou en aidant le chef de projet dans sa prise de décision en fonction des différents éléments du projet mais aussi en fonction de l’environnement extérieur.
Enfin, aujourd’hui, quasiment tous les logiciels ERP intègrent la possibilité de générer un diagramme de Gantt et un réseau Pert.

Les avantages


Les avantages des logiciels sont non-négligeables et les entreprises peuvent facilement calculer leur ROI grâce à ces applications.

Quelques éléments avant d’intégrer un ERP dans son entreprise


Si les logiciels ERP sont d’une aide très utile à la conduite de projet, leur utilité doit pourtant être comprise de tous les acteurs du projet. Aussi l’adhésion des collaborateurs à ce nouveau système d’information doit être acquise… au risque de faire « dérailler » le projet. Il faut que chacun soit mobilisé sur le logiciel afin de renseigner à la fois l’avancement des tâches qui lui incombent mais aussi de renseigner les événements qui viennent ponctuer la vie du projet.
Le deuxième point à ne pas négliger est le coût et l’amortissement de l’utilisation d’un logiciel ERP, qui peut peser la première année jusqu’à 20% du coût total du projet si l’on compte l’achat et le temps humain nécessaire à le mettre en œuvre. Malgré tout, on peut considérer que selon leurs tailles, le retour sur investissement peut se faire sur 2 à 3 projets.

Les logiciels


Nombre de logiciels ERP sont à la disposition des entreprises qui souhaitent s’équiper. Nous vous proposons, ci-dessous, une liste non exhaustive de logiciels gratuites et payants à destination des entreprises.

Les gratuits


Les payants

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Sécurité des smartphones : bientôt de la friture sur les ondes ? »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 29 octobre 2009 à 17:19 par marlalapocket




Sujet 24500 - Sécurité des smartphones : bientôt de la friture sur les ondes ?

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Alors que les vers et autres malwares arrivent à la porte des smartphones, les utilisateurs ne semblent pas encore bien conscients des risques qui les guettent. Ils sont pourtant nombreux : du vol de coordonnées à l’espionnage industriel : l’intrusion d’un programme malveillant peut coûter cher





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Les iPhones dans la tourmente


Le ver est dans le fruit. Depuis le 9 novembre, les propriétaires d’iPhones jailbreakés (débridés en quelques sortes) dont le mot de passe n’a jamais été modifié peuvent se faire attaquer par un ver. Baptisé Ikee, ce ver a commencé à inquiéter les propriétaires australiens. Pas d’inquiétude, ce ver ne faisait que remplacer le fond d’écran de l’utilisateur par une photo du chanteur Rick Astley, auteur du célèbre tube « Never gonna give you up » dans les années 80. Pas de quoi fouetter un chat. Sauf que le code source de ce ver a été dévoilé et pourrait bien être repris par des hackers bien plus virulents. Bref, si l’anecdote prête à sourire, elle relance aussi le débat sur la sécurité des smartphones.

Et pourtant ça n’est pas la première ! Androïd, le célèbre OS de Google avait déjà été victime d’une faille de sécurité : un logiciel baptisé SexyView avait lui aussi profité d’une faille dans l’OS, corrigée depuis. Il faudra sans doute s’y faire, les smartphones tendent à être plus ou moins vulnérables aux attaques.

L’arrivée du m-commerce pourrait booster les attaques


Le développement de la 3G et la mise à disposition massive de smartphones est l’une des principales raisons. Les smartphones sont devenus des hybrides entre les téléphones et les PDA. A ce titre, ils sont susceptibles de contenir des informations sensibles pour les entreprises (contacts, mails etc.). A l’instar des ordinateurs, cibles d’attaques depuis longtemps, les smartphones pourraient bien devenir la cible d’attaques virulentes dans les années à venir. Si jusqu’à présent, la diversité des plateformes avait rebuté les hackers à développer des programmes malicieux, l’arrivée du m-commerce pourrait bien bouleverser la donne : en donnant la possibilité aux utilisateurs de payer via leurs mobiles, on attire leur convoitise.

E-mails, fichiers d’installation de programmes, bluetooth et wifi : les moyens ne manquent pas pour que les programmes malveillants s’installent tranquillement dans les mobiles. Le mobile risque peu à peu de devenir un ordinateur comme les autres. Les autorités sont d’ailleurs sur le pied d’alerte, comme nous l’indiquait le Lieutenant –Colonel Fohrer, lors d’une interview il y a quelques mois.

Mais des réflexes simples comme l’installation d’un antivirus pour mobiles et vérifier la présence d’un certificat lors de l’installation d’un programme sont possibles. Les pros porteront une attention toute particulière à ne pas garder dans leurs téléphones des e-mails et documents contenant des informations sensibles pour leurs entreprises ou leurs clients.

Quelles menaces guettent votre téléphone ? Le point par OS.

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Sécurité des smartphones: bientôt de la friture sur les ondes(2) »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 3 décembre 2009 à 12:01 par CommentCaMarche




Sujet 24502 - Sécurité des smartphones: bientôt de la friture sur les ondes(2)

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Savez-vous à quels risques vous êtes exposés ? Différents types de menaces guettent les OS, vous ne serez pas mangé à la même sauce selon que vous soyez propriétaire d'un Blackberry ou d'un Windows Phone...





Quels risques pour votre smartphone ?


Les risques ne sont pas toujours les mêmes, selon le système d’exploitation qui équipe votre mobile. Les OS qui équipent le plus de mobiles sont pour le moment plus exposés que les autres. Petit tour d’horizon des principaux risques qui guettent votre mobile.

Chez les pros, le Blackberry en ligne de mire


Alors que c’est l’un des smartphones les plus utilisé en entreprise, le Blackberry, équipé d’un OS Rim est relativement peu vulnérable aux attaques massives. Il est par contre beaucoup plus sensible à des attaques ciblées, comme l’installation de logiciels d’espionnage commercial. Des attaques par des chevaux de Troie ont aussi été recensées.

Symbian, l’un des OS les plus utilisés


Leader dans l’équipement des smartphones, Symbian constitue une cible de choix pour les virus, vers et autres malwares. Ce serait même l’un des OS mobiles les plus attaqués. Attention aussi aux logiciels espions commerciaux, qui font peu à peu leur apparition sur cet OS en présentant une signature officielle ! Bref prudence, heureux possesseurs d’un OS Symbian, le danger vous guette !

Windows Mobile, le digne héritier de Windows


C’est à lui que revient la palme de l’OS le moins sécurisé. Vers, virus et malwares arrivent à entrer dans les arcanes du système sans trop de difficultés. La conception même de l’OS est un véritable hôte pour les programmes malveillants : un programme peut s’auto exécuter via un périphérique du téléphone, la séparation des privilèges est inexistante et la faiblesse des possibilités de synchronisation en font l’un des plus mauvais OS en terme de sécurité. La nouvelle mouture de Windows Mobile pourra-t-elle corriger cette image désastreuse ? On le souhaite vivement aux utilisateurs.

L’avis du pro : 3 questions à Romain Raboin, du pôle d’Audit Atlab


Pour CommentCaMarche, Romain Raboin dresse un rapide état des lieux des menaces susceptibles d’infecter les smartphones.

CCM – Quelles sont les principales menaces actuellement ?

RR – La principale menace à mon avis est le vol d'informations personnelles. E-mails, SMS, carnet d'adresse, tous les moyens sont bons pour infecter un smartphone. Ca l'a toujours été ce n'est pas forcement une menace actuelle qui vient d'apparaitre. Les menaces comme le dernier virus apparu sur l'iPhone n'est pas une vraie menace, car il n'y a pas eu de conséquences pour les utilisateurs.

CCM – Tous les OS sont-ils concernés ?
RR – Oui, mais plus ou moins suivant les conditions. Par exemple un iPhone jailbreaké est beaucoup plus sensible qu'un iPhone d'origine. Il existe aussi des logiciels commerciaux pour l'espionnage qui fonctionnent pour Symbian, iPhone, Windows mobile et Blackberry, et que l’on peut trouver très facilement en ligne.

CCM – Quels partis tirent les hackers de ces attaques ?


RR – Les personnes qui exploitent des téléphones dans un but malveillant le font principalement pour du vol d'information, pour de l'espionnage industriel par exemple. Les personnes qui le font dans le cadre de recherche publique le font pour diverses motivations : améliorer la sécurité des terminaux ou travailler sur un sujet de recherche d'actualité par exemple.

En savoir plus
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Lire l’article de Romain Raboin sur la sécurité des smartphones

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Noël chez les e-commerçants : tous les indicateurs sont au vert »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 2 décembre 2009 à 12:15 par CommentCaMarche




Sujet 24982 - Noël chez les e-commerçants : tous les indicateurs sont au vert

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C’est sans doute la plus grosse période de l’année chez les e-commerçants, qui pour certains d’entre eux peuvent réaliser un tiers de leur chiffre d’affaires, sur un mois. Autant dire que dans une année 2009 bien morose, marquée par les crises financières et économiques, les e-commerçants attendaient Noël au tournant. A moins d’une semaine du réveillon, tous les clignotants semblaient être au vert pour les e-commerçants.


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Les clients au rendez-vous


Les progressions sont impressionnantes. Plus d’un mois avant Noël, les statistiques des sites des plus gros e-commerçants s’affolaient déjà. Au mois de novembre, le site Priceminister enregistrait une hausse des ses visites de plus de 188%. Loin derrière ce train d’enfer, Amazon et Cdiscount.com annonçaient, eux, des visites en hausse de 40% chacun, par rapport aux moyennes de septembre et d’octobre. Globalement, les sites de e-commerce enregistraient des augmentations de visites de 39% en moyenne lors du mois de novembre.
Autant dire qu’au terme d’une année 2009 difficile pour le pouvoir d’achat, les statistiques sont plutôt rassurantes pour les e-marchands. Mieux même, au mois de novembre, selon une étude de la Fevad (Fédération du e-commerce et de la Vente à Distance) et de Médiamétrie/NetRatings, les internautes ont été plus nombreux à déclarer vouloir faire leurs achats de Noël en ligne plutôt qu’en magasin. Alors qu’en 2008, ils étaient 68% à déclarer vouloir faire leurs achats de Noël en ligne, ils sont 70% cette année.

Des dépenses identiques ou supérieures


Cette même enquête révèle que 77% des acheteurs comptent dépenser autant d’argent, voire plus pour l’achat de leurs cadeaux de Noël. Un véritable pied de nez aux mauvaises langues qui prédisaient de mauvais chiffres, liés à une conjoncture économique difficile. Au total, 71% des internautes dépenseront entre 100€ et 500€ chez les e-commerçants pour Noël. La Fevad prévoit même que le volume d’affaires chez les e-commerçants franchirait la barre des 5 milliards d’euros pour la période de novembre à décembre, soit un bond de 25% par rapport à l’an dernier où les achats de Noël en ligne ont généré 4,3 milliards d’euros.
Des chiffres records qui s’expliquent par la bonne image et les prix moins élevés que proposent les e-commerçants. Pour plus de 66% des internautes, le prix est la première motivation pour acheter en ligne. L’aspect pratique n’est pas non plus à négliger puisque 65% d’entre eux estiment plus simple de commander en ligne et de se faire livrer chez soi ou dans un point-relais.
Cette même enquête mettait en avant la confiance dont les e-commerçants jouissent : selon la Fevad, 98% des acheteurs se déclaraient satisfaits de leurs achats en ligne.

Autant dire que pour la majorité des 60 000 e-commerçants français, Noël devrait se présenter sous les meilleurs auspices !

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Noël chez les e-commerçants:tous les indicateurs sont au vert(2) »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 30 décembre 2009 à 04:00 par Bayadère




Sujet 25232 - Noël chez les e-commerçants:tous les indicateurs sont au vert(2)

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Si les sites d’e-commerce connaissent des pics d’audience lors des périodes de Noël, c’est aussi que les consommateurs sont constamment à la recherche de bonnes affaires. Et à ce petit jeu là, les fins-connaisseurs savent bien qu’on fait les meilleures affaires… le lendemain de Noël ! Avec le développement de site mettant en relation des particuliers entre eux, c’est un véritable écosystème du e-commerce qui s’est installé ces dernières années.

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Un nouvel écosystème du e-commerce


Le coup est presque toujours parfait, pour ceux que le Père Noël a déçus. Lorsqu’un cadeau de Noël ne plaît pas, il suffit d’afficher un sourire de circonstance devant la personne qui vous l’a offerte, puis, une fois rentré chez vous, de vous précipiter sur eBay, PriceMinister ou Leboncoin.fr. Une véritable mine pour les consommateurs qui sont à la recherche de bonnes affaires : au lendemain de Noël, les produits d’occasion-neufs sont monnaies courantes sur la toile, et viennent grossir le nombre d’annonces sur les sites de commerce entre particuliers. Autrefois cachée, la revente des cadeaux est de plus en plus assumée par les consommateurs qui y voient l’occasion de récupérer de l’argent sur quelque chose qui ne leur plaît pas et de le réinvestir dans un produit qui leur plaît mieux.

La revente de cadeaux entre dans les mœurs


Une étude menée par le site PriceMinister.com, indique ainsi que près de 43% des personnes interrogées se déclarent prêtes à revendre leurs cadeaux sur le net : et à ce petit jeu, les femmes semblent plus enclines (44%) que les hommes (41%) à franchir le pas. Globalement, la revente de cadeaux de Noël semble être l’apanage des 25-44 ans, à qui ça ne pose pas vraiment de problème de vendre les cadeaux qu’on leur a offerts. Parmi les cadeaux peu difficiles à revendre sur le net, on retrouve aussi ceux des ex-petit(e)s ami(e)s pour 66% des personnes interrogées et ceux de la belle-famille pour 33% d’entre eux... Voilà qui devrait faire jaser dans les chaumières ! En revanche, plus de 90% des sondés se refusent à revendre les cadeaux offerts par leur conjoint.
Il faut dire qu’en temps de crise, les temps sont durs et la mode est à l’économie ! Les revendeurs du lendemain de Noël, qui n’ont pas reçu le cadeau escompté sous le sapin, comptent bien récupérer de quoi s’acheter le cadeau de leur rêve. Autre raison mis en avant par les personnes qui revendent leurs cadeaux, c’est l’écologie ! Au lieu d’entasser des cadeaux dans le grenier, la revente permettrait d’éviter le gaspillage !
Alors la revente, inscrite dans le Grenelle de l’environnement ?

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Bulle internet : 10 ans après »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 30 décembre 2009 à 04:05 par Bayadère




Sujet 27716 - Bulle internet : 10 ans après

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Sommaire
La bulle Internet fête cette année ses 10 ans. Un anniversaire revu et corrigé par nombre d'experts ces derniers temps. A la fin des années 90, le développement de l'Internet a en effet suscité de nouvelles vocations. A l'ère du numérique, l'économie traditionnelle s'est transformée peu à peu en économie immatérielle. Pourtant le passage à cette nouvelle économie s'est révélée fatale à de nombreuses sociétés aux États-Unis, comme en France. Certaines d'entre elles ont su réagir et instaurer de nouvelles stratégies, notamment en matière de financement. Le Web 2.0 a offert un deuxième souffle aux jeunes créateurs d'entreprises. On pense bien évidemment à Facebook et Twitter. Les investisseurs se tournent aujourd'hui de plus en plus vers le green business, allant même jusqu'à parler de bulle verte.

Les origines de la bulle Internet


La bulle Internet ou « dot-com bubble » est une bulle spéculative qui a touché les secteurs de l'informatique et des télécommunications à la fin des années 90. L'arrivée massive des start-ups sur un nouveau marché a directement influé sur la valeur des produits technologiques. Résultat : la valeur des sociétés s'est vite retrouvée surévaluée par rapport au montant réel des biens ou actifs échangés. Le phénomène a débuté aux États-Unis et s'est ensuite propagé en Europe. A la fin des années 90, de nombreuses jeunes sociétés se créent ou se développent grâce à l'intervention d'investisseurs. Ils sont tous biens conscients des opportunités générées par le monde de l'Internet.

L'explosion de la bulle Internet


L'apogée de cette bulle technologique se situe le 10 mars 2000, avec un indice NASDAQ (New York) culminant à 5.048,62 points. Le NASDAQ n'a jamais retrouvé une telle position. La bulle finit par exploser causant la chute de nombreuses entreprises de la «nouvelle économie » à travers le monde, entraînant dans sa chute le Cac40. Secoué, l'indice français enregistre une baisse de 63 % entre septembre 2000 et mars 2003.

Les investisseurs avaient surestimé les retours sur investissements futurs. Aux États-Unis 210 dotcoms ont fait faillite. Mais les rescapés de la bulle se sont révélés être de solides géants, parmi lesquels Google, Yahoo, eBay et Amazon. Mais comment ont-ils pu échapper à un tel effondrement du cours et des investissements ? Quelles sont les entreprises avec un réel potentiel de rentabilité ?

Certaines entreprises ont su profiter de fusion-acquisition ou de simples partenariats pour rester dans la course. D'autres ont eu la chance de vendre leur affaire avant l'explosion de la bulle. Une bonne gestion, l'absence d'investissements hasardeux et la créativité les ont sauvées. Google a développé entre autres sa solution de bureautique en ligne. eBay a fait l'acquisition de Skype et Yahoo utilise aujourd'hui la technologie Bing, développée par Microsoft.

Quelques exemples français


De la start-up aux fonds d'investissement


A la fin des années 90, la majeure partie des start-ups ont eu recours au capital risque. Ce sont donc des investisseurs professionnels qui participent à leur capital. Il s'agit d'une intervention ponctuelle et limitée dans le temps.

Les créateurs de ces start-ups sont aujourd'hui les nouveaux investisseurs présents sur le marché de l'Internet. Ils créent même leur propre fonds d'investissement : Isai Development, Kima Ventures, Jaina Capital, etc.

Zoom sur les business angels


Un business angel est une personne physique qui souhaite investir une partie de son patrimoine financier dans des entreprises innovantes à fort potentiel. Il est bien souvent un ancien auto-entrepreneur. Ils peuvent intervenir à différentes étapes du projet et de la vie de l'entreprise. Le fait d'être positionné dans une niche bien spécifique et prometteuse est un élément clé pour bénéficier de l'aide d'un business angel. Le réseau FranceAngels répertorie d'ailleurs les acteurs de la création d'entreprise.

Le financement pour l'innovation en France


En dehors des réseaux traditionnels d'entrepreneurs, il existe aujourd'hui des structures prêtes à accompagner les porteurs de projets innovants, sans oublier les mesures engagées par le gouvernement français.

Il est également recommandé pour une PME de se rapprocher des structures publiques ou privées implantées sur la région, telles que les Chambres de Commerce et d'Industrie et les Agences Régionales de l'Innovation - leurs appellations varient d'une région à l'autre. Elles sont en relation directe avec l'ensemble des acteurs économiques.
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 9 avril 2011 à 14:15 par Jeff
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Sujet 27857 - Mettre en place un système de veille de son e-réputation

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Avec l'explosion des contenus sociaux sur internet, la réputation numérique ou e-réputation est devenue un paramètre incontournable pour la gestion de l'image de marque des entreprises et de leurs produits/services. En effet, les opinions et commentaires négatifs publiés par les internautes anonymes et/ou clients sur internet peuvent nuire à la notoriété d'une entreprise et détourner ses prospects ou partenaires potentiels. Ce phénomène est amplifié par le référencement naturel de ces nouvelles « tribunes », qui concurrence les contenus officiels mis en ligne par les entreprises. Pour organiser une réponse, rétablir le dialogue avec les e-consommateurs, et/ou simplement prendre le pouls de sa cyber-réputation, la mise en place d'un système de veille s'avère d'une grande utilité. En détails, voici les principaux avantages et outils pratiques pour bien démarrer dans la veille sur son e-réputation.


Qu'est ce que l'e-réputation ?

Définition


L'e-réputation (web-réputation ou réputation numérique) d'une marque ou d'une entreprise repose sur l'ensemble des commentaires et opinions des internautes (clients, employés, concurrents, etc) publiés sur internet, qui ont trait à ses produits, activités et services. Ces opinions -neutres, positives ou négatives- sont notamment exprimées à travers les blogs, forums de discussion, sites d'avis de consommateurs, réseau sociaux, etc.

Quels professionnels sont concernés ?


Les professionnels de la vente en ligne sont particulièrement exposés aux commentaires de leurs clients sur les différent supports d'expression du web social. Ces messages peuvent être positifs et donc servir les intérêts de l'entreprise (ex : l'internaute relaie un événementiel, comme l'organisation d'une vente-flash ou indique un lien vers un produit en promotion) ou exprimer une évaluation négative (ex : retard de commande ou non conformité d'un produit). Dans ce dernier, cas, les commentaires peuvent porter atteinte à la notoriété de l'entreprise (ce phénomène est également appelé « bruit », c'est-à-dire une opinion négative exprimée avec virulence et/ou exagérée).

Plus généralement, les professionnels qui misent sur le bon référencement de leur marque/produit/service sur internet afin de communiquer sur leurs produits/services, qu'ils aient une approche B2B ou B2C, sont directement concernés par les enjeux de la réputation numérique : notamment si des commentaires négatifs contenant le/les mot(s)-clé(s) qui correspondent au nom de la marque apparaissent dans les premières pages des moteurs de recherche.

Les avantages d'un système de veille de sa réputation numérique


La mise en place d'un système de veille de l'e-réputation de son entreprise ou de sa marque a plusieurs applications concrètes :
A noter : l'utilisation d'un compte Twitter d'entreprise -grâce à une veille exercée sur les flux Twitter publiés par les internautes- permet d'engager un dialogue avec les micro-blogueurs qui citent la marque ou les produits de l'entreprise.
Enfin, la veille permet de mesurer les retombées et le succès d'une campagne de communication.

Quelques outils de veille gratuits

Les métamoteurs sociaux


Grâce à ces outils, il est possible de lancer des recherches par mots-clés (ex : nom d'une marque) et en temps réel, et de collecter les commentaires et contenus publiés sur les principaux médias et réseaux sociaux du web : flux Twitter et Facebook, forums et groupes de discussions, blogs, réseaux sociaux professionnels, et contenus éditoriaux (via Yahoo News et Google News notamment). Les métamoteurs sociaux indiquent également les vidéos les plus récemment publiées sur les plateformes vidéos comme Youtube et Dailymotion, les résultats étant là aussi générés par le choix d'un mot-clé. Ce sont des outils « à large spectre » car ils collectent des contenus très variés.

Exemples de métamoteurs sociaux :
Socialmention : il est doté d'un tableau d'analyse qui donne une estimation générale de l'opinion des internautes (positive, négative, neutre) exprimée dans les discussions et pointe vers les commentaires d'un blog contenant le mot-clé choisi lors de la recherche. Socialmention permet d'effectuer des recherches jusqu'à un mois en arrière.
Whostalking : il sonde les digg-likes, réseaux sociaux et professionnels, blogs et tags qui correspondent au mot-clé de la recherche. Son ergonomie est fluide et permet à l'utilisateur de sélectionner rapidement les critères de recherche qui l'intéresse.

A noter que Google permet également de suivre les contenus sociaux à partir de mots-clés via la fonction « Mise à jour » qui figure dans les options de recherche.

Moteurs de blogs et micro-blogs, et suivi des commentaires


Ces moteurs effectuent une recherche ciblée sur des contenus actualisés en permanence. Ils permettent à l'utilisateur d'être plus attentif et réactif en cas de remontée d'un problème fonctionnel lié aux services/produits de l'entreprise (ex : messages sur flux twitter), ou à la parution d'un billet par un blogueur influent par exemple, et des réactions/opinions émises par les internautes dans les blogs.

Exemples de moteurs de blogs et micro-blogs
BlogPulse : c'est un agrégateur de contenus de blogs. il génère les résultats en fonction du/des mot(s)-clé(s) utilisés. Parmi ses avantages : exhaustivité des résultats, analyse de tendance des mots-clés tapés (fréquence d'apparition sur une période de temps définie).
Icerocket : Il repère les « buzz » (articles de blogs les mieux notés par les internautes) liés au mot-clé de la recherche. Affichage clair des résultats contenant le mots-clé, par hashtag, présence du mot-clé dans un lien, ou mention textuelle de celui-ci.
Twitter Search : l'outil de recherche par mots-clés intégré à Twitter.
TweetBeep : Outil professionnel de suivi de mots-clés apparaissant dans les messages Twitter, avec mise à jour toutes les heures. Il permet de retrouver un mot-clé dans les liens raccourcis (like bit.ly or tinyurl.com)

Les agrégateurs de contenus/flux RSS


Les agrégateurs de contenus permettent à la fois de récupérer des contenus de blogs/sites de référence mis à jour régulièrement (veille thématique) et d'organiser une veille sémantique en récupérant les flux RSS associés à un ou plusieurs mots-clés (ex : Flux RSS de Google blogs).

Parmi les agrégateurs de contenus les plus populaires : BlogLines, FeedAgent, FeedDemaon, FeedReader, Google Reader, GreatNews, RssOwl, Netvibes.

A noter : Netvibes vient de lancer Instant Dashboard, un tableau de bord modulable pré-paramétré qui regroupe les résultats générés à partir d'une recherche par mots-clés sur les différents médias/réseaux sociaux et fils d'actualité (Google/Yahoo). Les résultats obtenus sont actualisés en continu.

Les moteurs de forums de discussions


Ils permettent de suivre les discussions publiées et actualisées dans les forums sur des mots-clés définis. Parmi les moteurs de forums de discussion : Boardtracker, Omgili, Boardreader, etc.

Crédit photo : © Dark Vectorangel - Fotolia.com

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Correcteurs orthographiques : bien les choisir et les utiliser »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 1 mai 2010 à 15:14 par lami20j




Sujet 28500 - Correcteurs orthographiques : bien les choisir et les utiliser

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En tant que chef d'entreprise, la relecture des documents n'est pas chose aisée. Cela demande une concentration particulière et du temps qu'il faut pouvoir dégager de ses activités.

Aucun programme n'égale les services d'un correcteur relecteur professionnel, mais, à défaut, des logiciels à l'efficacité croissante peuvent assurer la relecture de vos écrits professionnels !



Rapports, courriers professionnels, interventions sur les réseaux sociaux professionnels... sans être rédacteur, nombreuses sont les occasions de faillir à la langue française !
Le risque : que vos documents et interventions professionnels perdent en crédibilité à cause de fautes d'orthographe, grammaire ou syntaxe.

Les correcteurs gratuits

Correcteurs intégrés aux navigateurs


Si vous intervenez fréquemment sur des forums, sites web, réseaux sociaux professionnels pour discuter avec vos clients, collaborateurs et prospects ou si vous animez un blog professionnel, les correcteurs des navigateurs peuvent vous prêter main forte lors de vos relectures.

Correcteurs intégrés aux suites bureautiques


Pour tous vos rapports, comptes-rendus de réunion, appels d'offres réalisés par exemple sous Word ou PowerPoint si vous êtes équipé de la suite Microsoft, un correcteur orthographique intégré dans la suite vous signale erreurs et fautes de frappe en temps réel.
Pas d'installation à faire pour utiliser le correcteur orthographique des suites bureautiques Microsoft, il est automatiquement intégré et activé.
Installez les dictionnaires (cliquer sur Fichier > Assistant > Installer de nouveaux dictionnaires), pour rendre plus performant le correcteur orthographique d'Open Office.
Notez qu'il ne corrige pas les erreurs grammaticales, à moins d'installer l'extension LanguageTool.

Correcteurs en ligne


Contrairement aux correcteurs intégrés aux navigateurs, les sites de correction demandent une petite manipulation, c'est-à-dire copier coller le texte à vérifier. Plus contraignant, mais aussi plus efficace.
Le risque : les données restent enregistrées sur des serveurs.
Sélectionner la langue, copier le texte à vérifier, cliquer sur « Spell Check Your Text Now. Les erreurs sont en rouges, en cliquant dessus, une liste de corrections vous est proposée.
Même fonctionnement pour ces correcteurs en ligne : il suffit de coller le texte à vérifier, de contrôler, puis de sélectionner parmi les propositions de correction pour chaque erreur.

Certains d'entre eux fonctionnent pour plusieurs autres langues. L'anglais bien sûr, mais pas seulement !

Les logiciels


Plus d'options et plus sûrs, les logiciels de correction vérifient à la fois l'orthographe, les anglicismes, la syntaxe, et bien d'autres choses : plus complets et donc plus efficaces que les logiciels gratuits !

Antidote


Il fait partie des logiciels les plus plébiscités dans son domaine, pour son correcteur, mais aussi pour ses nombreux dictionnaires qui apportent un bon éclairage à l'utilisateur : dictionnaires des définitions, des locutions, des synonymes, antonymes, conjugaison, citation, etc.
Antidote n'est donc pas seulement un correcteur, mais aussi une aide à la rédaction.

Cordial 10 Pro




Crédit photo : Corwinsg - Dreamstime.com

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Email marketing : tendances et nouveaux outils »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 6 juillet 2010 à 16:51 par krazykat




Sujet 29176 - Email marketing : tendances et nouveaux outils

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En quelques années, l'email s'est affirmé comme le moyen de stratégie favori des annonceurs on-line et un élément indispensable dans la besace du marketer moderne. Que ce soit pour les newsletters, les annonces promotionnelles ou le lancement d'un produit, ils sont appréciés pour la faiblesse de leur coût et la malléabilité du support.
L'email marketing est devenu un levier majeur sur le web 2.0 pour fidéliser sa clientèle et conquérir de nouveaux marchés. C'est un secteur dynamique, en pleine expansion et dans une spirale évolutive. Quelles sont les tendances en cours et à venir ? Quels produits et quelles pratiques sont à la mode dans le secteur ?

L'art de la cible : vers une restriction raisonnée


Terminé le temps où l'on pensait que l'envoi massif de mails permettraient de toucher au milieu du tas la clientèle tant attendue. L'utilisation de l'email en tant qu'outil stratégique a beaucoup évolué. Désormais l'heure est au ciblage de précision. Privilégier donc les clients dont vous avez reçu l'autorisation pour envoyer des mails : l'opt-in. Rappelons au passage les objectifs de base:
En faisant preuve de discernement dans l'envoi, vous obtiendrez des avantages non négligeables :
L'idée générale est de personnaliser vos campagnes, comme si vous vous adressiez à chaque client sur un ton ou une note qui lui correspondent. Par exemple, le nom en entête est devenu une pratique courante. Le stade suivant est dans le formatage et la fréquence des envois en fonction des qualités du client. Pour cela, la segmentation de votre base de données tend à devenir un impératif de gestion et d'optimisation.

Mesurer les résultats : faites parler les chiffres !


Pour réaliser une bonne campagne marketing, il ne suffit pas de soigner ses efforts en amont; il faut aussi travailler sur les chiffres obtenus en aval. Après chaque opération, il est désormais nécessaire de passer au crible les chiffres et d'analyser les succès et les réussites.
Impossible de se passer des solutions d'optimisation et de la palette d'outils qu'elles offrent. Des suites comme Mailbox Monitor déclinent l'ensemble des problématiques que vous pouvez être amener à rencontrer dans une campagne de mailing :

L'e-mailing en full service fait son chemin


De plus en plus d'annonceurs optent pour déléguer le pilotage de leur opération de mailing à un routeur. Cela consiste à confier au prestataire de routage toute la partie technique de la campagne. Existant depuis plusieurs années, ce type d'externalisation rencontre un succès grandissant car le canal du mail est arrivé à maturité. Deux offres sont à distinguer :
Parmi les avantages qu'on peut tirer de cette pratique, notons :
Il est évident que pour tout bien faire fonctionner, la stratégie doit être définie en amont avec beaucoup de précision. Elle nécessite un échange de qualité, en toute confiance avec le prestataire. Les tarifs sont très aléatoires car les offres et les options foisonnent : un atout pour trouver une solution sur mesure.

Média sociaux, mailing et A/B testing


Profitant du succès des réseaux sociaux (RS), il est tendance de faire apparaître dans les mails des liens pour accéder au compte Facebook ou Twitter de l'entreprise. Ce raccordement de deux méthodes complémentaires est une évolution logique et beaucoup d'annonceurs ont bien compris la prise de relais que présentait le mélange de ces deux moyens.
Cette tactique d'email marketing reconnu pour étendre une clientèle existante a vu son utilisation croître fortement en 2009 et est susceptible d'exploser au cours des années à venir. Elle possède pour principal intérêt de faciliter les opérations de marketing viral et/ou de marketing tribal. Le partage de contenu prend ainsi dans l'essor.
Grâce aux techniques marketing d'automatisation, les marketers peuvent aisément perfectionner leurs landing pages pour donner du sens à un lien menant à la lecture d'une page et de là, augmenter le nombre de conversions. Beaucoup d'outils d'email marketing offrent maintenant des techniques d'A/B testing, permettant de multiplier les essais de variations de pages et de mesurer la performance de chacune.
Une chance mais aussi une nécessité. Devant l'inflation du mailing (qu'il s'agisse du privatif, des SPAMS ou d'envois marketing), de nombreux consommateurs et chefs d'entreprises ont réagi en créant une liste noire. Ce comportement défensif est susceptible de menacer la réussite du mailing marketing. La redirection vers les RS deviendrait dès lors un levier de substitution et le profil se transformerait en catalyseur exclusif (et pour quoi pas en émetteur ?) du relationnel.

Vers de nouvelles pratiques ?


Difficile aujourd'hui de se contenter d'un seul canal : les avancées technologiques démultiplient les vecteur de diffusion. Difficile aussi d'anticiper sur les tendances à venir. Voici quelques lignes directrices sur lesquels se portent les réflexions des marketers :



L'email marketing est parvenu au coeur des stratégies marketing. Les budgets augmentent de façon significative et la créativité prend peu à peu le pas sur les contraintes techniques. L'implication du client, la collecte d'informations et le respect de son espace privé permettent d'établir une relation de confiance impactant la réussite des campagnes. Ciblage, personnalisation et réseaux sociaux rencontrent aujourd'hui les faveurs des marketers. Mais la flexibilité du marché augure de nouvelles formes d'approches client et d'une recomposition intelligente du mailing.

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Green IT : les astuces simples pour l'entreprise »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 30 juillet 2010 à 12:42 par CommentCaMarche




Sujet 29438 - Green IT : les astuces simples pour l'entreprise

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Green IT : les astuces simples pour l'entreprise




Le Green IT a le vent en poupe! Selon une étude Forrester, 59% des entreprises prennent en compte le critère écologique lors de la mise en place d'équipements informatiques. Maîtrise de la consommation d'électricité, incitation à l'économie d'énergie, recyclage du matériel usagé... Les astuces ne manquent pas pour que les entreprises soient écoresponsables. Quelques astuces qui vont des gestes simples du quotidien à la politique de l'entreprise sur le long terme.



1/ Evaluer la consommation de son parc informatique


Pour limiter sa consommation d'énergie, il est nécessaire de mesurer les besoins de son parc informatique. Chaque composant d'un ordinateur est à prendre en compte.
- Le processeur. Plus ce composant est puissant, plus il chauffe et consomme de l'énergie.
- La carte graphique. Choisissez-là en fonction de l'activité de votre entreprise ! Les cartes graphiques « de base » conviennent pour la bureautique. Les activités PAO nécessiteront des cartes plus performantes.
- L'écran. Préférer les écrans LCD à plus faible consommation d'énergie.
- Limiter les périphériques et composants en fonction des besoins (enceintes, scanner, imprimantes...).

2/ Des logiciels « écolos »


Quelques logiciels facilement téléchargeables qui réduisent la consommation des ordinateurs :
- Edison est un programme qui permet de configurer la mise en veille (Sous Windows XP et Vista, payant pour les entreprises).
- CO2 Saver indique comment limiter la consommation de l'ordinateur (Sous Windows XP et Vista, gratuit).
- PowerOff programme l'arrêt ou le démarrage de votre ordinateur à des heures déterminées (De Windows 95 à XP, gratuit).
- Pour les ordinateurs portables, Notebook Hardware Control propose à l'utilisateur des astuces pour économiser l'énergie (Gratuit et disponible de Windows 95 à XP).

3/ Maîtriser la mise en veille des ordinateurs


Il est conseillé de paramétrer la mise en veille de chaque ordinateur en fonction d'un timing précis :
- Mise en veille après 10 minutes d'inactivité.
- Mise en veille prolongée après 30 minutes. Elle permet de mettre en sommeil le système d'exploitation du PC tout en sauvegardant les données sur le disque dur.

4/ Imprimantes : les comportements éco-responsables


Selon une étude IPSOS de 2008, 16% des pages imprimées ne sont jamais lues ! Quelques réflexes pratiques :
- Bannir l'usage systématique de l'imprimante.
- Paramétrer les modes noir/blanc et recto/verso de l'imprimante par défaut.
- Systématiser les aperçus avant impression.
- Préférer un système d'imprimantes collectives plutôt que les imprimantes individuelles.
- Réutiliser le papier imprimé sur une face comme brouillon.

5/ Gérer le papier et l'encre des impressions


Les pratiques Green IT pour économiser le papier :
- Utiliser un papier issu des forêts gérées de manière durable. Il existe des labels comme FSC ou PEFC.
- Préférer le papier recyclé ! Plusieurs labels existent sur le marché : l'écolabel européen, NF Environnement, Blue Angel, APUR...
- Instaurer une véritable politique de tri du papier. Des prestataires comme l'ELISE prennent en charge le tri du papier.
- Limiter sa consommation de papier grâce à des logiciels libres comme Printfriendly ou Printgreener qui aident à réduire le volume d'impression.

L'encre :
- Utiliser des encres « alternatives » comme l'encre solide ou l'encre végétale.
- Recycler les cartouches d'encre usagées. Il existe des prestataires spécialisés comme l'INNOTEC ou Carte Verte Environnement.

6/ Les achats de matériels écolos


Pour tout achat de matériel informatique (ordinateurs, scanners, imprimantes...), vous pouvez choisir des fabricants labélisés "Ecoconception". En bref, ces fournisseurs s'engagent à respecter certaines normes environnement dans la fabrication de leurs produits. Exemples :
- Brother qui a mis en place sa charte des 5R.
- Le programme environnemental deDell, qui respecte la norme ISO 14001.
- HP, avec son programme « Design for Environment »
En savoir plus sur le site de l'ADEME

Certains fabricants de matériel informatique respectent les écolabels. Le plus connu : Energystarqui garantit des appareils conçus pour économiser l'énergie. Il en existe bien d'autres ! EPEAT et TCO concernent tout le cycle de vie du produit, de la fabrication à son recyclage.

7/ Le travail à distance


Des solutions comme le travail à domicile, un système de clients légers, la virtualisation du poste client ou les visioconférences limitent les déplacements, surtout si l'entreprise possède des collaborateurs à l'international. Par exemple, EDF a choisi d'installer des salles de téléprésence afin de réunir tous ses partenaires au même moment, quel qu'en soit leur lieu de travail !

8/ Instaurer une politique de recyclage des déchets


Si le matériel informatique est fonctionnel mais n'est plus adapté à vos besoins, il est possible de faire appel à des entreprises spécialisées dans la collecte et le reconditionnement. Par exemple, http://www.destock-info.com/.
Si votre matériel est inutilisable, vous devrez faire appel à des prestataires spécialisés dans la filière DEEE (Déchet d'équipement électronique et électrique). Leur objectif est de recycler les déchets électroniques parfois considérés comme toxiques à cause de leurs composants.

Trouvez les prestataires proches de chez vous grâce à ces annuaires en ligne :
- Ordi 2.0
- Don Ordi
- Recyclage-informatique.net

Sources : EcoInfo
Green IT

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Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 2 septembre 2010 à 10:08 par CommentCaMarche





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