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Professionnels - e-communication




Sujet 9093 - Trouver ses cadeaux d'entreprise avec Internet

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Pourquoi effectuer ses cadeaux d'entreprise en utilisant Internet ? Les offres en ligne couvrent tous les domaines imaginables (vêtements, gastronomie, bureautique et bien d'autres encore) ainsi qu'une large gamme de produits high-tech très appréciés (tapis de souris, webcam, lecteurs MP3, etc.). Avantage majeur : Internet vous laisse disposer d'outils de recherche permettant de réduire considérablement les délais.

Connaître les critères à prendre en compte


L'objectif du cadeau d'entreprise est d'associer votre nom ou votre logo au quotidien de vos clients afin qu'ils le mémorisent durablement. Vous devez pour cela choisir des objets pertinents en fonction de votre activité et de votre cible.

Exemple : Une clé USB offerte par une société de maintenance de matériel informatique au responsable du parc d'ordinateurs d'une entreprise.

Les professionnels en ligne du cadeau d'entreprise vous apportent des outils de recherche fonctionnant selon plusieurs critères dont vous devez tenir compte :

Bien choisir une technique de marquage


Le type de marquage est lié à trois facteurs:
1. La quantité d'objets commandés
2. Le support offert par l'objet choisi
3. L'aspect de votre logo

L'impression numérique
Procédé pour imprimer toutes sortes d'informations (photo, logo, texte, etc.)
Avantage : Simple et rapide, cette technique peut prétendre rivaliser en qualité avec l'impression offset.
Inconvénient : Coût de fabrication élevé et inadapté aux très grandes quantités.

La sérigraphie
Technique d'impression en couleur par dépôt d'encre
Avantage : Permet l'impression d'images composées de plusieurs couleurs, pour un coût inférieur à la technique du flocage.
Inconvénient : Ce procédé nécessite plus de temps que les autres techniques de marquage et ne convient que pour les moyennes et grandes séries (au delà de 50 unités).

La gravure laser
Procédé permettant de creuser la surface du matériau grâce à un faisceau laser.
Avantage : Assurer la pérennité de l'information gravée sur n'importe quel type de support (plastique, bois, verre, métal, etc.)
Inconvénient : Technique onéreuse qui suppose une contrainte de quantité pour amortir le coût de fabrication.

La gravure mécanique
Système de marquage industriel pour creuser un support afin d'y graver une information inaltérable.
Avantage : Peut s'employer pour de très petites séries.
Inconvénient : Les manipulations mécaniques employées ne conviennent pas à tous les supports. Cette technique s'emploie essentiellement sur du laiton, du cuivre, du plexiglas ou de l'aluminium.

La tampographie
Impression en couleur sur des supports réguliers ou irréguliers.
Avantage : S'utilise aussi bien pour une ou plusieurs couleurs.
Inconvénient : Nécessite une certaine quantité de production pour être rentable.

Profiter intelligemment du cadre législatif



Exemple : Vous effectuez un cadeau d'entreprise d'une valeur inférieure à 60 € TTC.

Exceptions



A consulter : l'arrêté officiel publié au journal officiel du 20 Octobre 2005

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Lancer et animer un blog »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 6 novembre 2009 à 14:19 par marlalapocket




Sujet 9199 - Lancer et animer un blog

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Lancer et animer un blog



Dans l'esprit du Web 2.0, le blog d'entreprise permet une communication moins officielle qu'un site Internet traditionnel, libre, réactive et interactive.
Vous souhaitez augmenter votre visibilité sur internet, vous rapprocher de vos clients, créer un espace d'échange pour vos salariés, disposer d'un outil de communication direct et rapide ? Le blog s'avère un moyen de communication efficace, à condition de respecter quelques règles simples : un contenu de qualité, une mise à jour régulière, un référencement efficace...




Un blog, qu'est ce c'est ?


Le blog est un site web composé généralement de textes courts (appelés billets ou posts), classés par ordre antéchronologique à la manière d'un journal de bord, et souvent enrichis de liens, d'images de sons.

4 bonnes raisons de créer un blog professionnel

Bon à savoir
Créer un blog est simple et rapide, le faire vivre, accroître et maintenir une bonne fréquentation demande du temps. La popularité de votre blog dépendra en grande partie de sa mise à jour régulière et de la qualité de son contenu. Pour voir augmenter significativement la courbe des visites, consacrez environ 30 minutes par jour à votre blog, et soyez vigilant : un blog peut rapidement devenir une passion chronophage !

Définir les objectifs du blog


Avant de se lancer dans la création d'un blog, il est indispensable de définir à qui il s'adresse et quel type d'informations vous souhaitez mettre en ligne. Selon qu'il s'adresse aux salariés ou aux clients, le blog prend diverses formes :
Le blog est une plateforme d'échanges entre les employés, destinée à lancer de nouveaux débats, idées au sein de votre entreprise et à faciliter la mise en œuvre de nouveaux projets.
Le blog devient l'outil de transmission des informations. Il rend accessible les informations et améliore leur circulation, notamment grâce aux liens vers des documents ou des sources externes.
Le blog permet de recueillir les réactions et les avis des salariés concernant la vie de l'entreprise, il encourage leur participation et les fédère autour du blog.
Le blog joue un rôle de diffusion d'informations. Il est support de communication pour présenter la philosophie de l'entreprise, son activité, son actualité.

Le blog invite à un échange direct et convivial avec les clients. Par le biais des commentaires, les internautes ont la possibilité de réagir au contenu du blog et poster leur avis, leurs critiques concernant l'entreprise, ses projets.

Choisir le nom et la plateforme d'hébergement du blog


Le nom de domaine de votre blog doit refléter clairement son contenu et si possible contenir les mots clés sur lesquels vous souhaitez communiquer. Choisissez aussi un nom qui fasse l'objet de nombreuses recherches dans Google, le nom de domaine est une des clés d'un bon référencement naturel.

Le plus simple pour créer son blog est d'utiliser une plateforme d'hébergement de blog. Le choix est vaste. Voici quelques unes des plateformes les plus connues : blogger.com, wordpress.com, typepad.com, blogspirit.com.

Choisissez notamment la plateforme en fonction des possibilités graphiques qu'elle offre, pour que la charte graphique de votre blog soit le plus en adéquation avec votre activité.

A savoir, certaines plateformes de blog sont payantes. Elles proposent des options supplémentaires commme la publication en temps différé, l'ajout de liens sponsorisés ou le trackback. Utile seulement lorque votre blog est très visité.

Créer son blog


Une fois la plateforme de blog choisie, quelques clics suffisent pour créer son blog :
création du compte (nom, adresse mail, mot de passe)
choix du nom de votre blog
choix du modèle de page

Les plateformes de blog, très intuitives, rendent la création de blog accessible au plus grand nombre.

Cliquez sur nouveau billet

Ecrire, animer et faire évoluer son blog


Un bon blog est un blog riche de contenu, quelques conseils pour attirer et fidéliser les internautes :

Insérer des widgets


Un widget est un petit module d'information : météo, actualité, dictionnaire, flux RSS, carte routière, pense-bête, traducteur, calendrier, convertisseur, etc. Widget signifie "machin", c'est aussi la contraction de "Windows Gadget". Ce petit programme, destiné à la base à compléter votre bureau Windows, est apparu ensuite sur les blogs et autres espaces personnels.

Pourquoi insérer des widgets sur votre blog professionnel ?

Comment insérer des widgets ?

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Prendre un nom de domaine »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 21 mai 2009 à 13:41 par crapoulou




Sujet 9244 - Prendre un nom de domaine

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Prendre un nom de domaine pour son entreprise


Un nom de domaine est une adresse Internet qui permet d'accéder à un site web. C'est un nom alphabétique associé à une extension. L'adresse du site de votre entreprise prend la forme de : www.votre-nom-de-domaine.extension

Exemple avec http://www.commentcamarche.net

Un nom de domaine évite l'affichage numérique de l'adresse Internet du site dont la forme technique est l'adresse IP constituée d'une suite de chiffres.




Comment choisir un nom ?


Il est simple pour une entreprise de choisir un nom d'adresse Internet. Il s'agit le plus souvent du nom de l'entreprise, de la marque ou d'un produit particulier.

Trois vérifications à faire :

1. La longueur


2. La forme


3. La disponibilité


Pour vérifier la disponibilité d'un nom de domaine (nom + extension) il faut faire un Whois (contraction de l'anglais who is ?, signifiant littéralement qui est ?). C'est un service de recherche fourni par les registres Internet qui permet également de connaître le nom de l'administrateur d'un site (la personne physique ou morale ayant acquis le nom de domaine).

Vérifier la disponibilité

A savoir :

Consulter la liste des registrar agréés

Quelques registrar en français :
Gandi
OVH
Nom Domaine

Quelle extension choisir ?


Le choix de l’extension de votre nom de domaine est très important. En effet, toutes les extensions ne se valent pas : certaines sont mieux connotées que d’autres. Un .com fera toujours meilleur effet à vos clients qu’un .biz qui peut faire un peu clandestin. D’autre part, une immense majorité d’internautes a tendance à taper le .com lorsqu’ils cherchent à se remémorer l’adresse de votre site internet.

Voici les différentes extensions qui existent.

.fr


Extension officielle française, elle implique d'être géographiquement situé sur le territoire français. Toute personne identifiable en ligne sur les bases de données des Greffes, de l'INPI et de l'INSEE peut enregistrer les noms de son choix sous .fr.

La création du domaine doit être validée par l'AFNIC, le centre d'information et de gestion des noms de domaine Internet .fr (France) et .re (Île de la Réunion). Le domaine doit respecter la charte de nommage.

Consulter la charte de nommage pour les noms de domaine .fr

.eu


Extension officielle des pays de l'Union Européenne. Ouverte à toute personne ou entreprise justifiant d'une adresse valide dans l'un des pays membres.

.com


Extension internationale, elle concerne d'abord les sites à vocation commerciale. C'est l'extension la plus vendue dans le monde.

.org


A l'origine prévue pour les sites d'organisations ou d'associations, elle est désormais généralisée.

.net


Extension pour sites geek (passionnés d'informatiques), elle est est devenue depuis très répandue.

.info


Elle désigne les sites d'information mais peut aussi s'utiliser pour tous les types de site.

.biz


Abréviation de "business", cette extension a été créé pour les entreprises, le commerce et les affaires.

Protéger son nom de domaine


Quand une entreprise réserve son nom de domaine, elle doit se poser la question de la frontière de protection donnée à la marque et aux noms avoisinants. Tout est fonction de sa stratégie de communication. Une société qui possède des marchés à l'étranger doit par exemple songer à prendre également l'extension géographie des pays concernés.

Une entreprise française qui acquiert un nom de domaine en .fr a tout intérêt à le faire également dans les extensions courantes (.com, .net, .biz, .org, .eu) :

Une entreprise en voie de création ne doit pas attendre le démarrage de son activité pour choisir son nom en ligne et ses extensions. Le dépôt du nom de domaine peut s'effectuer en nom propre (celui du gérant). Plus tard, le gérant peut s'il le souhaite transférer son titre de propriété au nom de l'entreprise.

Pour assurer une protection optimale, l'entreprise peut déposer sa marque à l'INPI. Ce qui permet d'éviter le cybersquatting (achat de noms de domaines afin de les revendre aux ayants droit). L'OMPI (Organisation mondiale de la propriété intellectuelle) enregistre chaque année une hausse conséquente du nombre de plaintes pour cybersquatting.

Lutter contre le cybersquatting


1. A l'amiable


Via une transaction financière satisfaisante pour les deux parties.

2. Par la procédure de médiation UDRP (Uniform Domain Name Dispute Resolution Policy)


Le litige est soumis à l'arbitrage de l'OMPI

3. Par procédure judiciaire


En soumettant sa plainte à un tribunal (si les deux parties sont dans le même pays)

Voir aussi

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Les liens sponsorisés (Google AdWords, AdSense, etc.) »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 13 novembre 2009 à 14:25 par marlalapocket




Sujet 9464 - Les flux RSS pour l'entreprise

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Usages des flux rss pour l'entreprise



Le développement du Web 2.0 (un Internet plus participatif et réactif), offre aux entreprises avec les flux RSS un outil majeur dans leurs stratégies marketing. Les flux RSS sont également des éléments pratiques de veille et de travail collaboratif.

Sommaire:



Fonctionnement d'un flux RSS


Le format RSS (Really Simple Syndication) est un standard utilisé pour obtenir les mises à jour (textes, son, images, vidéo, etc.) d'un site web au format XML. Un fil RSS contient le titre de l'information, sa brève description et un lien pour la consulter.

Avantage :
Consulter en un seul lieu les dernières mises à jour de dizaines ou de centaines de sites web sans avoir à les visiter. L'utilisateur choisit parmi ses centres d'intérêt et ses sites web préférés.

Le standard RSS est utilisé pour la diffusion d'alertes, d'actualités, de mises à jour de blogs, etc. Des millions d'informations sont disponibles à l'utilisateur en flux RSS, comme par exemple :
La liste est infinie...


Pour recevoir un fil RSS sur son ordinateur, l'utilisateur s'abonne au flux. Un agrégateur téléchargeable en ligne joue le rôle d'interface (ainsi que les versions les plus récentes de navigateurs). On peut aussi suivre un flux RSS depuis un téléphone mobile doté d'une connexion Internet.

Agrégateurs de flux RSS



Pour syndiquer son contenu (et accroître sa notoriété), un site web publie un flux RSS en créant un script récupérant les informations à publier dans le flux dans un fichier XML au format RSS.

Outil de mise en place d'un flux RSS



A noter :
Un format similaire mais alternatif, Atom, est soutenu par Google. La plupart des agrégateurs de flux sont compatibles avec ces deux formats.

Lamoooche, portail français leader de flux RSS

Moteurs de recherche de flux RSS


retronimo
plazoo

Générateur de flux RSS
Indexweb

Le flux RSS comme outil marketing


Si l'installation d'un flux RSS ne pose aucun problème technique, l'entreprise qui entend en faire un outil marketing doit prendre en compte deux aspects :

1. Le Permission marketing


Stratégie marketing basée sur le consentement du consommateur à recevoir des informations en provenance d'une marque, d'une entreprise. L'entreprise qui y recourt pratique le marketing direct.

2. Le RSS marketing


Avec l'outil RSS, il faut maîtriser quatre étapes dont les performances individuelles conditionnent le succès de la stratégie mise en oeuvre :

Ainsi, de nombreux marchands utilisent encore presque exclusivement le RSS comme un outil de référencement, sans profiter de ses autres avantages marketing.

En ouvrant un blog, l'entreprise facilite les échanges et la relation marque-clients. Le flux RSS permet aux abonnés de ne rien rater des dernières publications. Une mise à jour régulière du blog (et donc du flux) favorise un bon référencement auprès de Google. Le pouvoir viral très développé d'un flux RSS en fait un moyen de fidélisation très efficace.

A noter :
L'utilisateur peut anonymement et automatiquement s'inscrire à un flux RSS pour en évaluer la qualité, sans avoir été visé par un vendeur, un site web, etc. Pour l'entreprise, la qualité du contenu diffusé dans le flux s'ajoute donc à la maîtrise du programme marketing RSS en soi.

Sessions de formations RSS en inter-entreprise

Le flux RSS comme outil de collaboration et de veille


L'utilisation de flux RSS simplifie la veille marketing, stratégique, concurrentielle, en automatisant les actions. Un gain de temps qui permet de réaliser des économies.


Les intranets peuvent s'ouvrir aux flux RSS pour optimiser les méthodes de collaboration dans l'entreprise :

Il existe des solutions en mode hébergé ASP (Application Service Provider, location de logiciels).
Viabloga, prestataire blogs

Le flux RSS comme outil de CRM


Grâce à sa souplesse, le flux RSS agit en complémentarité des emailings et newsletters. L'accès à un flux RSS peut-être réservé. Dans le cadre du CRM, (Customer Management Relationship), l'entreprise rencontre différentes applications avec les flux RSS. Elle peut diffuser ses informations vers :

Les flux RSS peuvent être utilisés sur des besoins très concrets comme par exemple :

Flux RSS et responsabilité


Dans quelle mesure êtes vous responsable des informations publiées sur votre site professionnel via la syndication de contenus ? Quelle peine pouvez-vous encourir si vous publiez un flux RSS diffamant ou portant atteinte à la vie privée ?

Le 28 février 2008, le tribunal de grande instance de Nanterre donnait raison à Olivier Dahan, le réalisateur du film La Môme. Olivier Dahan reprochait à Eric Duperrin, le responsable du site lespipoles.com d'avoir mis en ligne sous forme d'information RSS un article concernant sa supposée liaison avec une actrice américaine. Le lien RSS renvoyait vers le site Gala.
Consulter l'ordonnance de référé du tribunal de Grande Instance de Nanterre du 28 février 2008.

Conclusion : La syndication d'un flux RSS peut entraîner la responsabilité de l'éditeur du site si les flux RSS portent atteinte à la vie privée d'un tiers.
Les dommages et intérêts sont calculés en fonction de la gravité de l'atteinte, et du contenu visible (s'il s'agit d'un simple lien, il y a peu de risques, s'il est accompagné d'un titre et un chapeau, le flux est susceptible de comporter plus de risques).

A vous, en tant que webmaster et éditeur de votre site professionnel de surveiller les informations véhiculées par les flux RSS. Et pour limiter les risques, ne syndiquez que les flux de sources officielles : CCI de votre région, syndicat de votre profession, ...

A voir aussi

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Le cahier des charges d'un site Web »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 12 novembre 2009 à 13:59 par marlalapocket




Sujet 9660 - Le cahier des charges d'un site Web

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Le cahier des charges


Vous avez compris pourquoi créer un site internet pour votre entreprise, mais vous devez maintenant vous attarder au cahier des charges. Le cahier des charges d'un site Internet définit les spécifications du service à réaliser. Ce document conçu par l'entreprise permet ensuite de sélectionner un prestataire (une web agency) puis d'organiser la relation avec ce dernier (le cahier des charges sert alors de référentiel contractuel).


Sécuriser son projet


Bien que n'étant pas un document juridique, le cahier des charges possède toutefois une valeur juridique en cas de conflit avec le prestataire. Selon la jurisprudence, l'absence de ce cahier empêche de déterminer les responsabilités de chacune des deux parties.

Document contractuel, le cahier des charges aide à remplir l'obligation générale d'information du vendeur ou du prestataire envers son client (code de la consommation, Livre Ier, titre Ier, chapitre Ier). Le cahier pourra ensuite être annexé au contrat juridique liant le client et le prestataire.

Consulter l'article du code de la consommation

Pourquoi privilégier une rédaction en interne ?



L'entreprise peut externaliser la rédaction du cahier si elle s'adresse à un rédacteur spécialisé, travaillant généralement sous la forme de l'entreprise individuelle. Avantage : bénéficier de l'aide et des conseils d'un spécialiste indépendant des prestataires.

Qui doit réaliser le cahier dans l'entreprise ?



Avant de le remettre au prestataire, il convient de faire valider le cahier auprès du juriste de l'entreprise ou d'un avocat.

Comment rédiger son cahier des charges ?


- La qualité du cahier des charges influence directement la réponse du prestataire. Un cahier peu détaillé ne favorise pas une offre complète. A l'inverse, un cahier trop précis risque de limiter la force de conseil du prestataire.
- Il n'est pas nécessaire d'être un expert du Web pour rédiger un cahier des charges, on peut parfaitement utiliser ses propres mots. Ce qui compte pour le client, c'est de savoir ce qu'il veut.
- Dans la forme, le cahier des charges d'une entreprise doit compter au moins une quinzaine de pages et ne pas excéder 20 ou 25 pages.

Cahier des charges de site web à compléter en ligne

Le contenu du cahier des charges


Dans son ensemble, le cahier doit présenter l'entreprise, son mode de communication sur Internet (site plaquette, événementiel, e-commerce, etc.), ses souhaits en termes de contenus et de fonctionnalités sur le site, ainsi qu'un planning de réalisation (par exemple lié au lancement d'une gamme, d'un produit, d'une campagne publicitaire, etc.)

Les éléments préalables :
Il est lié à la complexité du site voulu et peut être exprimé avec une fourchette de prix.
Prévoir des délais de livraison intermédiaires pour surveiller l'avancement du site.
Tout ce que le prestataire est appelé à remettre au client pendant et après la conception du site (engagement sur les délais, arborescence détaillée, fichiers informatiques source, codes FTP, déclarations officielles type CNIL, etc.)
Elle conditionne la relation future entre le client et le prestataire. Si elle appartient au prestataire, le client profite seulement d'une licence d'utilisation (inconvénient : le client perd tout s'il change de prestataire en route).

Les éléments essentiels :
Informer le public ou les partenaires commerciaux, faire connaître l'entreprise, vendre ses produits en ligne, etc.
Les documents fournis par le client (photos, images, données, etc.). Préciser également le nombre de pages estimé pour le site.
L'architecture du site voulu par le client, présentée sous forme schématique en citant les rubriques et menus principaux, ainsi que les liens qui les relient.
Tonalité éditoriale et graphique du site.
Le type de nom de domaine voulu (.fr, .com, .net, etc.) à faire acheter par le prestataire ou à transférer si le client le possède déjà.

Les éléments techniques :
Le client mentionne ses souhaits particuliers en la matière et/ou exige l'emploi de langages standards, afin d'éviter d'éventuels coûts ultérieurs de migration technique.
Elle concerne la mise à jour du site quand il est opérationnel (accès FTP, module d'administration en ligne, etc.). Par souci d'économies, l'entreprise devra pouvoir réaliser ses mises à jour. Autrement elle devra employer un webmaster.
Il peut être externalisé ou assuré par le prestataire. Dans ce cas le client exigera le détail de l'infrastructure d'hébergement.

Important à savoir :
Après réception du cahier des charges, le prestataire doit fournir un cahier des spécifications. C'est un document confirmant ou déclinant la faisabilité du projet. Il doit intervenir avant l'offre commerciale.

Exemple de plan détaillé de cahier des charges

A savoir pour obtenir un site de qualité

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Bien choisir une web agency »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 15 décembre 2010 à 13:38 par alex59fr




Sujet 9661 - Bien choisir une web agency

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Bien choisir une web agency


Une web agency (agence web en français) est une entreprise dont le métier consiste à gérer l'intégralité d'un projet web (design de logo, conception de site, hébergement, référencement, etc.). Le budget Internet d'une PME ou TPE ne constitue pas le seul critère pour sélectionner une web agency.


Savoir ce que l'on veut


L'entreprise doit établir ce document en fonction de ses besoins Internet pour s'adresser aux agences web. Objectif : délimiter exactement les besoins à développer pour obtenir une réponse complète.
Voir tutoriel cahier des charges
L'entreprise doit considérer ses ressources internes pour animer le projet. Allouer des ressources humaines à la hauteur de son projet pour dialoguer correctement avec l'agence web.
Le cahier des charges notifie les budgets autorisés mais il faut aussi inclure le coût futur de maintenance et d'animation du projet Internet une fois abouti. Posséder une vision budgétaire à moyen et long terme pour éviter les mauvaises surprises en cours de route. Objectif : cerner l'ambition Internet de l'entreprise sans la surévaluer.

Les agences aussi font leur choix :
Bien choisir une agence, c'est se tourner vers celle qui aura le plus confiance dans le projet présenté. Certaines agences peuvent décliner une mission pouvant nuire à leur réputation. Surtout dans le cas de projets Internet mal définis.

Démarrer la présélection


- L'intérêt de l'entreprise : s'adresser à plusieurs agences web en les mettant en concurrence.

- L'erreur à ne pas commettre : contacter un trop grand nombre de prestataires.
Prévoir qu'il faut prendre le temps d'étudier chaque réponse d'agence. Un nombre trop élevé de réponses empêche toute comparaison.

Quand le projet Internet a une dimension stratégique importante, l'intérêt de l'entreprise est de s'entourer d'un conseil pour juger parfaitement de la solidité du prestataire.
Avant de remettre son cahier des charges, l'entreprise doit effectuer une première sélection :

En dessous de deux à trois semaines, l'agence n'a pas le temps suffisant pour cerner les enjeux du projet. Eliminer les agences qui répondent dans un délai trop rapide (une semaine). SI vous êtes à Lille : Agence Web à Lille, pour Paris : Web Agency Paris.

Zaneo
Oiseau de nuit
Eddika

Bien évaluer les réponses


Pour attribuer son budget à un prestataire, l'entreprise doit d'abord comparer les réponses obtenues, en fonction de la nature de son projet Internet.
La création et l'aspect graphique sont à privilégier

Agence Homofuturis , services dédiés aux TPE/PME
L'aspect le plus important tient à la conception technique du module de vente (programmation de la boutique)

Création site web - E-commerce

Une agence peut proposer à son client d'assurer une sous-traitance. C'est un signe de sérieux et de professionnalisme pouvant entrer en compte dans le choix d'un prestataire.

Comprendre le prix demandé par l'agence


En fonction du budget de l'entreprise et des ressources à mettre en oeuvre pour réaliser son projet, la web agency inclut un prix dans ses réponses.

Ne pas retenir automatiquement le moins disant :
L'entreprise doit s'interroger sur les raisons des coûts avancés par les prestataires. Se demander : pourquoi celui ci est-il plus cher que celui là ?

Utile :
L'entreprise a intérêt à intégrer le retour sur investissements dans l'évaluation totale de son budget. Par exemple en intégrant la réduction des coûts engendrés par le projet Internet comme la diminution ou suppression de présentations papiers.

Pour ne pas payer trop cher :
- Ne pas dévoiler à l'agence l'intégralité de son modèle économique online. Sinon c'est s'exposer à des demandes de rallonge de la part du prestataire. A ce titre le cahier des charges doit être clair et ferme.

- Faire auditer son cahier des charges et la réponse de l'agence par un expert. Un moyen parfois d'économiser à l'arrivée plus que ce que l'audit aura coûté.

Comparer des devis

Attention, ne cédez pas à la tentation d'opter pour l'agence web la moins chère. Certains proposent des prix défiants toute concurrence, mais ne vous leurrez pas.
Concevoir un bon site internet demande du temps, de la réflexion et du travail. Ceux qui vous demandent un prix très bas seront en général à éviter car leur compétitivité laisse présager un service incomplet ou de qualité insuffisante.
Considérez la réalisation de votre site et le prix que vous y mettez comme un important investissement stratégique qui produira de bons retours si le projet est bien fait. Vous en ressortirez gagnant si votre projet est bien défini, donc n'hésitez pas à y mettre le prix.

Ne pas agir dans l'urgence


Se méfier des délais trop courts ou trop globaux. L'entreprise n'a pas intérêt à vouloir réduire les délais sous peine de remettre en cause la qualité de la réalisation.

3 paramètres pour bien gérer le facteur temps :

1. Respecter les délais de réalisation (entre un et trois mois).

2. Comprendre que l'agence a des délais incompressibles (pour la conception par exemple)

3. Privilégier un contrat stipulant des étapes intermédiaires pour garder le contrôle de la réalisation

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Créer son site Internet : les questions à se poser avant »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 7 février 2011 à 21:30 par alex59fr




Sujet 9727 - Créer son site Internet : les questions à se poser avant

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Être présent sur la toile est devenu un véritable enjeu pour les entreprises. Le Web procure une vitrine, de la visibilité, mais pas seulement. En effet, Internet est aussi un espace où se rencontrent l'offre et la demande pour conclure des affaires. Il est donc logique que les professionnels, PME comprises, l'investissent. Cependant, créer son site Web peut vite devenir un casse tête pour un entrepreneur qui ne dispose pas de compétences spécifiques en interne. Voici les bonnes questions à se poser pour se lancer dans la création d'un site Web professionnel.

Sommaire



Qu'attendez-vous de votre site ?


Il s'agit de se fixer des objectifs et d'établir une stratégie Internet. Les décisions prises lors de la phase de conception conditionnent toutes les étapes de la création d'un site.

Être visible


En communication, il est indispensable d'occuper l'espace. Si un client potentiel effectue des recherches sur le Web, il doit pouvoir vous trouver ou bien il trouvera un de vos concurrents. On se rend ainsi accessible au monde entier 24 heures sur 24 surtout avec un référencement pertinent. Le site vitrine présente les activités de l'entreprise et ses produits. Ce genre de site est assez facile et rapide à réaliser. Pensez dès à présent à créer un site web optimisé pour les smartphones

Prendre des contacts, constituer une base de données


Complémentaire de la vitrine et indispensable à la vente, la prise de contact par Internet est souvent assez efficace et valorisable. Les visiteurs de votre site éprouvent très certainement un intérêt pour votre activité. Il est donc intéressant de prendre leurs coordonnées via un formulaire de contact. Cela peut se faire à travers une demande d'envoi de brochure, de devis ou simplement pour une inscription à la newsletter. Les données ainsi recueillies peuvent permettre de mieux cibler ses actions de marketing direct.

Vendre


On peut aussi envisager de vendre en ligne. Cela requiert un site plus élaboré avec un module de commande et de paiement. Il faut également adapter la logistique de l'entreprise pour assurer les livraisons. La gestion de stocks est également impactée si l'on ne veut pas subir de ruptures ou imposer des délais trop longs à ses clients. Il s'agit d'un travail plus complexe et surtout plus long que pour une simple vitrine.

Quels prestataires choisir ?

Une agence Web


Une agence Web est une société spécialisée dans la conception et la réalisation de sites Internet. Elle prend généralement en charge tout le projet en partant d'un cahier des charges fourni par son client. C'est la solution la plus sécurisante, mais elle peut aussi être la plus chère en fonction de la demande. Certaines agences vendent des forfaits comprenant la conception/réalisation du site, l'achat du nom de domaine et l'hébergement. Cette solution permet de déléguer entièrement la création de son site.

Bien choisir sa web agency

Un développeur indépendant


Vous habitez à Lille, plutôt que de confier votre site internet à une agence web à Lille, vous pouvez faire appel à un développeur indépendant pour créer votre site Web. Cette solution offre l'avantage d'être plus flexible. Il est parfois plus facile de dialoguer avec une seule personne. Dans le cadre d'un site professionnel, on veillera à bien choisir ce prestataire essentiel. On peut lui demander une liste des sites qu'il a réalisés et ainsi vérifier ses compétences.

L'inconvénient de cette solution est que contrairement à une web agency qui rassemblera généralement tous les talents nécessaires à la conception d'un site efficace et complet, un développeur indépendant pourra parfois présenter des lacunes sur certains aspects de la création web : il pourra être plus fort en design et en ergonomie qu'en programmation, ou bien pas très au faîte des techniques de webmarketing dont votre site a besoin, ou encore très pointu sur la programmation mais moins spécialisé dans le graphisme ... bref : un bon développeur indépendant qui maîtrise bien son métier et tous ses aspects se paie, de même qu'une web agency.

Les hébergeurs


Bien choisir son hébergeur est essentiel. L'hébergeur est un prestataire qui s'assure que les pages de votre site sont accessibles en ligne. Un mauvais hébergeur est synonyme de pannes intempestives et de site fréquemment inaccessible, ce qui pourrait être plutôt dommageable à votre activité. Votre prestataire agence ou indépendant saura vous conseiller. Il pourra également obtenir des conditions plus intéressantes du fait des volumes qu'il traite.

Combien ça coûte ?


Les coûts de réalisation sont très variables en fonction de la nature de votre projet tout d'abord, mais aussi du prestataire que vous aurez choisi. Dans tous les cas, il est bon de faire plusieurs demandes de service et de comparer les prix.

Un bon graphiste se paye et plus votre projet sera complexe et visuellement élaboré, plus il vous en coûtera. L'analyse des coûts doit également tenir compte de ce que votre site va vous rapporter en prospects, clients ou ventes directes. C'est un investissement à part entière.

On peut trouver des sites complets pour 300€. Mais attention, à ce prix-là, il s'agit plutôt d'un kit graphique. C'est-à-dire que, comme pour un blog tout fait, on a le choix entre plusieurs designs, plusieurs architectures déjà établies que l'on remplit avec ses informations. Cette solution peut éventuellement être intéressante pour un site vitrine mais est à proscrire si vous souhaitez un site complet et original.

N'oubliez pas de prendre en compte les frais de gestion du site, de mise à jour, d'animation et de référencement, s' ils ne sont pas inclus dans l'offre des prestataires.


Bien souvent, il sera tentant de vouloir faire appel à des prestataires dont les prix sont très attractifs, mais ne vous leurrez pas : un site efficace et bien conçu est bien plus qu'un simple « design ». Il y a beaucoup de facteurs à prendre en compte et un véritable professionnel passera du temps à réfléchir à votre site et à la bonne stratégie à mettre en oeuvre pour maximiser votre retour sur investissement... et ce genre de prestation à haute valeur ajoutée se facture.
Ceux qui vous proposent les prix les plus attractifs seront généralement des amateurs ou des développeurs peu expérimentés qui cherchent à se lancer et qui risquent de vous fournir un site incomplet, mal conçu ou inadapté à vos besoins et difficile à faire évoluer.
Bref, créer un bon site qui soit capable d'assurer votre présence sur internet de manière efficace est un réel travail, aussi bien intellectuel que technique : ne cherchez pas à économiser sur la création de celui-ci, voyez cela comme un investissement important qui, de toute façon, ne pourra qu'avoir des retours positifs... s'il est bien fait.


Quelques informations sont disponibles à ce sujet sur le forum Comment Ça Marche :

Créer son site soi-même


L'apparition d'outils de CMS, notamment les moteurs de blog de plus en plus puissants et simples d'utilisation, permet dans une certaine mesure de créer soi-même son site.
Wordpress est le moteur de blog qui rencontre le plus de succès en raison de sa puissance et des nombreuses possibilités qu'il permet de mettre en oeuvre, ainsi que son extrême simplicité d'utilisation. On citera également Dotclear, également très populaire.

Ces outils se présentent sous la forme de scripts à installer sur son serveur - l'opération est ultra simple et intuitive, elle prend généralement moins d'une minute.

Vous disposez alors d'un blog facilement personnalisable, que vous pourrez remplir à votre guise; l'idéal pour qui souhaite s'offrir un site vitrine à peu de frais.

Attention cependant, si vous nourrissez l'ambition de bien référencer votre site afin de recevoir beaucoup de visiteurs, il vous faudra faire appel aux services de professionnels du webmarketing et des techniques de référencement.

Cette solution intéressera donc surtout les petits budgets qui veulent assurer leur présence sur internet, qui n'ont pas besoin d'un site ultra pointu ou très bien référencé et à qui un site discret -mais bien conçu- convient.

Quelles sont les obligations légales ?


Afficher les mentions légales du site :

Pour vous guider dans la rédaction de vos mentions légales, les exemples ne manquent pas sur internet ! Les mentions légales sont accessibles généralement en bas de page des sites.

Pourquoi mettre des mentions légales sur votre site ?


Après avoir bien réfléchi sur tous ces points, vous voilà prêt(e) à créer techniquement votre site ! Plein de tuyaux dans cette astuce CCM.

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Créer une boutique en ligne »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 16 décembre 2010 à 17:12 par alex59fr




Sujet 9729 - Créer une boutique en ligne

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Créer une boutique en ligne




Envisager de se lancer dans la vente sur Internet à travers une boutique en ligne demande de la réflexion et l'étude précise de votre projet.



Avantages d'une boutique en ligne


Ouvrir une boutique en ligne, c'est s'affranchir des frontières physiques, votre clientèle devient internationale et votre boutique est ouverte 24/24h.

Avec une boutique en ligne, aucune charge d'implantation de fond de commerce, pas besoin d'étude de marché sur le lieu d'implantation du site.

Vous réduisez aussi vos coûts d'information et de communication, la publicité en ligne étant souvent moins coûteuse.

Contraintes d'une boutique en ligne


Sur internet, la concurrence est rude. Les internautes acheteurs ont la possibilité de comparer très facilement les prix et se dirigent évidemment vers l'offre la plus intéressante.

Pour rester concurrentiel, plusieurs solutions :

Il vous faudra aussi gagner la confiance des clients :

Création d'une boutique en ligne, étape par étape

Étude de marché


Avant de se lancer dans la création d'une boutique en ligne, il est indispensable de réaliser un bilan prévisionnel pour évaluer les coûts, les marges, bref la rentabilité de votre future boutique en ligne.

Recherche des fournisseurs


Des moteurs de recherche existent pour trouver un fournisseur :

Choisir la rubrique qui vous intéresse (par exemple : chaussure, informatique, mobilier, alimentation, médical, cosmétique, bâtiment,...), sélectionner un lot de produits, puis envoyer un email directement au vendeur à l'aide du formulaire.

Création du site de vente


Pour lancer votre activité en ligne, vous pouvez faire le choix des sites de vente aux enchères, comme eBay. Sur eBay il est possible d'ouvrir un compte professionnel.
Pour en savoir plus : ebay.fr/professionnels
L'inscription est gratuite, rapide et facile
Vous n'avez pas ou peu besoin de faire de publicité
Vous n'avez pas de site à créer, votre espace eBay est facile à gérer, l'interface très intuitive


Seconde possibilité : Créer sa propre boutique en ligne
De nombreuses solutions e-commerce "prêtes à fonctionner" sans connaissance technique requises existent :

Pour savoir quels éléments doivent absolument apparaître dans une boutique en ligne, consultez l'article "E-business - Introduction au commerce électronique"


Vous pouvez aussi vous adresser à une agence web ou un développeur indépendant pour la réalisation de votre boutique en ligne.
En savoir plus sur la création d'un site internet et le choix d'une agence web.


Si vous ne souhaitez pas faire appel à un professionnel, il existe aussi des CMS Open Source pour créer une boutique en ligne. RBS Change 3.0 et Webagoo en font partie.
L'administration de ce CMS ne requiert pas de compétences techniques particulières.
Le site Webagoo vous propose d'essayer gratuitement cet outil en ligne.

Traitement des commandes


Pour fidéliser ses clients, le traitement de leurs commandes doit-être irréprochable, du paiement jusqu'à la livraison et l'éventuel retour/échange produit.

Gestion des stocks


Plusieurs solutions :

Paiement sécurisé sans contrat de vente à distance (VAD)


Proposer à vos clients plusieurs types de paiements : paiement en ligne, virement bancaire, chèque.

Dans le cas d'un paiement en ligne, il est indispensable de sécuriser les transactions. Les solutions de création de boutique en ligne incluent généralement cette option dans leur offre.

Si vous débutez votre activité, vous pouvez passer par des prestataires qui n'exigent pas la signature d'un contrat de vente à distance. Ces solutions de paiement en ligne sont simples à installer et conviennent particulièrement aux e-commerçants dont le volume de ventes n'est pas très important :

À savoir :

Paiement sécurisé avec contrat de vente à distance


Le contrat monétique VAD (vente à distance) vous permet de mettre en place un mode de paiement par carte bancaire sur votre site. C'est un gage supplémentaire du sérieux de votre activité. Dans le cadre d'un VAD, vous déléguez à votre banque le droit de percevoir le montant des achats faits par vos clients sur votre site marchand.

Votre banque prélève en général un pourcentage du montant de la transaction, ainsi qu'une commission fixe par vente. Elle vous restitue ensuite la différence sur le compte bancaire dédié à votre activité.

Conditions d'obtention d'un VAD
Le VAD est assez difficile à obtenir, surtout si vous débutez votre activité. La banque examine votre dossier en tenant compte de plusieurs critères :
- L'ancienneté de votre compte marchand
- Votre solvabilité
- Le type de produit que vous vendez par internet
- Votre chiffre d'affaire
- Les modes de ventes alternatifs que vous proposez (ex : ventes directes)

Si le contrat VAD vous est refusé, vous pourrez renouveler votre demande ultérieurement en faisant valoir la pérennité de votre activité.

Avantages du VAD
- Avec un contrat VAD, vous pourrez utiliser le terminal de paiement électronique en ligne fourni par la banque.
- C'est votre banque qui assure le bon déroulement du paiement en ligne. Le client est redirigé sur le serveur de la banque, les données confidentielles échangées sont cryptées.
- Grâce au VAD, vous pourrez installer des solutions complémentaires permettent d'assurer la fiabilité des transactions. À l'image des service de labellisation contre les détournements bancaires de type Fia-Net.
- Les logos de ces labels sont un gage de crédibilité pour votre e-boutique.

Livraison


Pour commencer, et si les commandes ne sont ni trop nombreuses ni trop encombrantes, postez vous même les colis. Quand votre boutique gagnera en notoriété, faites appel à un transporteur (Collissimo, TNT, FedEx, DHL,...) et mettez en place un suivi des colis sur votre site, pour que l'internaute sache où en est sa commande.

Estimer aussi le montant des frais de port selon :

le poids des articles
le nombre d'articles commandés
la zone de livraison
le type de livraison : expresse, normale

Publicité


Pour faire connaître votre boutique en ligne et augmenter rapidement votre chiffre d'affaires, faites vous connaître :

À lire pour en savoir plus : "La publicité en ligne"

Obligations légales

Pour votre e-boutique


Enregistrer un nom de domaine
Vous devez formuler votre demande auprès de l'Association Française pour le Nommage Internet en Coopération ou de l'Internic. Vérifiez grâce à l'INPI que le nom de domaine n'est pas déjà utilisé. Vous pouvez aussi, auprès de l'INPI, déposer votre marque et nom de domaine.

Déclarer votre site à la CNIL
Si vous êtes propriétaire d'une boutique en ligne, vous aurez obligatoirement à traiter des données à caractère personnel. C'est pour cette raison que vous devez déclarer votre boutique en ligne auprès de la CNIL.

Afficher les informations légales
Voici les informations qui doivent apparaître sur votre site :
- nom du responsable éditorial
- nom et coordonnées de l'hébergeur
- nom du webmaster
- note sur les droits d'auteur / propriété intellectuelle (image et texte)
- note sur la gestion des données personnelles (conforme à la loi Informatique et Liberté)

Mettre votre contenu en conformité avec la loi, respecter :
- la loi sur la liberté de la presse, qui interdit tout contenu diffamatoire, raciste ou révisionniste
- l'article 227-24 du Code Pénal, qui interdit la mise en ligne de contenu violent pornographique ou portant atteinte à la dignité humaine
- le code de la propriété intellectuelle, qui interdit la reproduction de contenu sans l'accord de l'auteur

Vis à vis de vos e-clients


Depuis le 1er juin, date de mise en application de la loi Chatel :
- vous avez l'obligation d'annoncer une date limite de livraison à vos clients
- le client doit disposer d'un numéro de téléphone non surtaxé pour vous joindre
- vous devez informer le client de l'existence de son droit de rétractation sous sept jours à compter de la date de livraison
- votre boutique en ligne doit obligatoirement comporter une adresse mail ou un formulaire de contact

À lire pour en savoir plus : Loi pour la Confiance dans l'Economie Numérique (LCEN) du 21 juin 2004, notamment l'article 14.

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L'affiliation »
Publié par RégisG - Dernière mise à jour le 30 novembre 2010 à 14:49 par Ohm-WorK




Sujet 12444 - L'affiliation

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


L'affiliation


L'affiliation est un système d'échange entre un affilieur (annonceur) et un affilié (diffuseur) qui accepte d'afficher sur son site les offres commerciales de l'affilieur contre une rémunération.

Un système « gagnant – gagnant » : l'affilié gagne de l’argent avec son site Internet et l'affilieur bénéficie augmente ses ventes grâce à cette publicité.



L'affiliation : principes


Les liens


Les liens vers l'affilieur apparaissent sous forme d'éléments visuels (bannières, boutons, gratte-ciels, formulaires de recherche de produits, ...) ou de liens texte (liens contextuels ou nom de la marque) vers le site affilieur.

La rémunération


La rémunération est variable, elle se fait :

Les ratios de transformation des visiteurs en acheteurs atteignent rarement plus de 1%. Malgré ce faible pourcentage, l'affiliation reste un outil marketing performant car sans risque.
Certaines plateformes d'affiliation annoncent jusqu'à 70%, mais les commissions sont plus fréquemment autour des 1 à 20%.

Etre affilieur


Etre affilieur permet de faire connaître son produit ou service sans investissement préalable et donc sans risques puisque vous rémunérez l'affilié uniquement si l'internaute visite votre site ou si sa visite aboutit à une vente (selon le type de rémunération).

Et si l'affiliation ne vous apporte pas les clients que vous attendiez, vous aurez finalement peu dépensé par rapport à de la publicité traditionnelle.

Etre affilié


Pour l'affilié, aussi appelé éditeur, c'est un bon moyen de rentabiliser un site internet ou blog. Certaines personnes en ont fait leur métier, mais il est possible de faire de l'affiliation avec modération au moins pour rentabiliser la mise en ligne et la mise à jour de votre site professionnel.

Attention, il est plus facile d'être affilieur qu'affilié, car l'offre est tout simplement inférieure à la demande pour les affiliés.

A noter : plus votre site est bien référencé, plus vous aurez de propositions d'affiliation, les affilieurs sont à la recherche de sites très visibles pour y déposer leurs liens publicitaires et faire connaître leurs produits ou services. Et plus vous aurez de propositions d'affiliation, plus vous pourrez imposer vos pourcentages de commission.

Apport et investissement


Attention à bien mesurer ce que l'affiliation vous coûte et ce qu'elle vous rapporte en temps et en argent que vous soyez affilié ou affilieur. Si nécessaire, vous devrez vous diriger vers un autre mode de rémunération pour votre site ou de publicité pour votre boutique. Et si malgré tout vous souhaitez conserver votre programme d'affiliation, pensez à adapter vos pourcentages de commission pour équilibrer votre budget.

L'affiliation : fonctionnement


Les plateformes d'affiliation


La mise en relation entre affiliés et affilieurs se fait le plus souvent sur des plateformes d'affiliation, sorte d'annuaires professionnels.

Plateformes d'affiliation les plus actives :
Zanox
Commission Junction
TradeDoubler
affili.net et son programme affilimatch
Net Affiliation
PublicIdées
Effiliation
Leadium
1tpe
affiliatis

Web affiliations est le portail de l'affiliation. Vous pouvez y trouver de nombreux conseils et une liste des plateformes d'affiliation existantes.

Les étapes de l'affiliation pour l'affilié


Les étapes de l'affiliation pour l'affilieur


Choisir la bonne affiliation


Les affiliations charme et jeux sont celles qui rapportent le plus, mais le mieux pour votre site est de choisir des affiliations en lien avec le thème de votre site, c'est ce qu'on appelle la publicité contextuelle.

Par exemple : votre site présente votre activité d'artisan maçon, les liens affiliés peuvent être des agences immobilières, ou des fournisseurs de matériaux pour le bâtiment.

Cela donne une valeur ajoutée à votre site, un complément d'information ; le programme d'affiliation n'est alors plus un simple lien publicitaire.

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Communiquer et travailler en groupe avec les outils Google »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 13 novembre 2009 à 13:34 par marlalapocket




Sujet 14172 - Communiquer et travailler en groupe avec les outils Google

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Pour faciliter les échanges en groupe en entreprise, Google propose différents outils de communication et de partage : groupes de discussions, réseaux socio-professionnels, documents partagés...
Quels outils Google choisir ou ne pas choisir dans le cadre de votre activité professionnelle ? Où les trouver et comment les utiliser pour augmenter l'efficacité de votre travail et celui de vos collaborateurs et optimiser les échanges entre chacun ?



Google Document : optimiser la collaboration en entreprise




Lorsque plusieurs personnes doivent travailler sur un même document en même temps, Google Document est une bonne solution.

Les documents Word et Excel ne sont pas adaptés à cette situation, car une personne seulement peut modifier le document, tandis que les autres peuvent uniquement le visualiser en lecture seule sans pouvoir effectuer de modifications.

Les fonctionnalités de Google Document :

Comment utiliser Google Document :
les personnes n'ont qu'à cliquer sur le lien reçu dans le mail pour accéder au Google Document partagé

Orkut : créer on line son réseau socio-professionnel


A lire : les réseaux sociaux professionnels, avantages, inconvénients et fonctionnalités en entreprise.


Comment utiliser Orkut :

Même s'il est de qualité, le réseau Orkut a eu un succès mitigé et seulement 18% des utilisateurs en ont un usage professionnel. Orkut n'étant pas très fréquenté, la probabilité de trouver des collaborateurs ou clients potentiels est plus faible que sur des réseaux nettement plus fréquentés et spécialisés dans les rencontres et échanges professionnels tels que Viadeo ou Linked In.

Ce qui différencie Orkut des autres réseaux, c'est son système de recrutement par invitation : vous ne pouvez rencontrer d'autres membres que si vous êtes invité par un membre existant. En jouant la carte du « club privé », ce système de recrutement contribue à la qualité de la communauté Orkut.

Google Groupes : échanger sur un forum


Si vous communiquez régulièrement par mail avec le même groupe de personnes dans le cadre professionnel, l'outil Google Groupes peut vous intéresser. Contrairement à Google Talk, la messagerie instantanée de Google, les discussions, davantage réflexions, s'effectuent en différé.

Pour utiliser Google Groupes, il suffit de se connecter aux Google Groupes en indiquant simplement votre Gmail.

Deux possibilités pour utiliser Google Groupes :
Dans un groupe de discussion rassemblant des personnes de votre secteur professionnel, de votre région, de vos anciennes entreprises ou écoles, pour trouver ou partager des informations, des actualités, susceptibles de vous intéresser professionnellement et d'intéresser d'autres personnes.
Pour trouver le groupe qui vous correspond, vous avez plusieurs critères de sélection : langue, sujet, région, nombre de message postés par mois, nombre de membres du groupe. Puis rejoignez la discussion après y avoir préalablement été invité s'il s'agit d'un groupe privé.
Un groupe uniquement accessible aux personnes à qui vous donnerez l'autorisation : clients, prospects, collaborateurs.

Vous n'êtes pas un pro-Google ?


Si vous n'êtes pas partisan du tout Google, voici des outils équivalents :
Outils Google --> Autres outils
Google Groupes --> Newsgroups Usenet, forums sur internet
Orkut --> Linked In, Viadeo, FaceBook
Google Document --> Wikis

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Communiquer en entreprise avec les outils Google »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 10 novembre 2009 à 16:18 par marlalapocket




Sujet 14173 - Communiquer en entreprise avec les outils Google

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Communiquer avec vos collaborateurs et clients via les outils Google


Pour faciliter les échanges de personne à personne, avec vos collaborateurs et clients, Google met à disposition deux outils de communication majeurs en entreprise : le mail et la messagerie instantanée.
Pourquoi les choisir ou ne pas les choisir dans le cadre de votre activité professionnelle ? Où les trouver et comment les utiliser pour augmenter votre efficacité en entreprise ?</gras>



Pourquoi (pas) les outils Google ?


Les principaux avantages des outils Google sont leur gratuité </gras>et leur interopérabilité</gras>. Seuls, les outils Google ne disposent pas de fonctions beaucoup plus avancées que ses concurrents. C'est lorsqu'ils sont associés que leurs fonctionnalités deviennent plus nombreuses et plus intéressantes.

Pour autant, Google n'est pas le seul à proposer ce genre d'outils de communication. Voici leurs équivalents concurrents :
Outils Google --> Autres outils
Gmail --> Yahoo Mail, Caramail, Hotmail
Google Talk --> Microsoft Live Messenger, Skype

Ces outils concurrents disposent globalement des même fonctions. Si vous avez l'un deux, inutile de passer au tout Google, sauf si l'une des options, détaillées ci-dessous vous intéresse en particulier.

Leur utilisation ne nécessite pas d'apprentissage particulier et si vous avez besoin d'aide, les popup informatives et les rubriques d'aides vous guideront dans vos premiers pas.

Gmail : pour envoyer et recevoir des mails


Les avantages du Gmail en entreprise : </gras>

Les inconvénients du Gmail en entreprise :</gras>

Pour ouvrir un compte Gmail : </gras>

Une fois votre compte créé, connectez vous à mail.google.com, pour envoyer et recevoir des mails et gérer les options citées ci-dessus. Si vous avez besoin d'aide pour utiliser votre Gmail, connectez vous à la page d'aide Gmail.

Google Talk : pour discuter en direct


Les fonctionnalités de Google Talk en entreprise :

Il existe deux versions de Google Talk :
Une fois téléchargé, importez vos contacts Gmail ou ajoutez les manuellement et définissez votre profil : statut, avatar, message personnalisé.Gtalk fait partie de la suite de logiciels Google Pack, téléchargeable depuis la page Google Pack.
Elle est intégrée à votre Gmail (boite de dialogue à gauche). Utile si vous êtes en déplacement sur un ordinateur qui ne vous appartient pas.

Gmail + Google Talk : pour augmenter les fonctionnalités


Lorsqu'ils sont utilisés ensemble, leur compatibilité offre de nouvelles fonctionnalités :

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Comment tirer profit des plateformes de partage de vidéos ? »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 11 novembre 2009 à 21:41 par Dora The Explorer




Sujet 14754 - Comment tirer profit des plateformes de partage de vidéos ?

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Aujourd’hui, chacun peut faire des vidéos de qualité avec un simple appareil photo ou un téléphone portable et des outils en ligne sont disponibles pour tous gratuitement. En tant que petite entreprise, vous pouvez aussi être présent sur les plateformes de partage de vidéos.

Est-ce un réel atout pour votre entreprise d'être présent sur les plateformes de partage de vidéos en ligne ? Quelles fonctionnalités peuvent être bénéfiques pour votre entreprise ?




Une plateforme de partage de vidéos ? Pour quoi faire ?


Voici les différentes fonctionnalités des plateformes de partage de vidéos dont vous pouvez tirer profit pour votre entreprise :

Stocker et partager vos vidéos


C’est l’une des premières questions qui vient à l’esprit : quel genre de vidéos mettre en ligne?
Voici des exemples de vidéos qui pourraient intéresser les internautes, potentiels clients ou collaborateurs :

Vous pouvez publier des vidéos dont vous n’êtes pas l’auteur si vous pensez qu’elles peuvent apporter une valeur ajoutée à votre compte ou espace et à ceux qui le consulte. N’oubliez pas de préciser le Copyright.

Une fois vos vidéos téléchargées, vous pouvez choisir de les rendre publiques ou de ne permettre qu’un usage restreint, par le biais d’un accès privé, aux personnes qui auront votre autorisation.

Trouver des informations complémentaires de qualité


Tirer profit des plateformes de partage de vidéos ne signifie pas seulement être présent sur ces plateformes via la mise en ligne de ses propres vidéos. Vous pouvez utiliser les plateformes de partage de vidéos pour diversifier vos supports de veille pour votre entreprise.

Vous pouvez par exemple rechercher « actualité + votre concurrent » ou « nouveauté + pme de votre secteur d’activité » pour trouver des vidéos qui vous permettront de sonder l’actualité et la réputation d’un produit, d’une entreprise, d’un secteur, notamment concurrentiel.

Bénéficier d’une meilleure visibilité sur le net


Pour accroitre votre présence sur le net et vos chances d’être découvert par de nouveaux clients, prospects ou collaborateurs. Cette méthode vient en complément de vos sites et blogs, mais pas en remplacement.

Intégrer des vidéos sur votre site ou blog professionnel


Il s’agit d’une fonctionnalité accessible à tous gratuitement. Cela permet d’animer facilement votre blog ou site internet, de diversifier, de rendre plus vivant et plus percutant leurs contenus.

Quelles plateformes existent ? Laquelle choisir ? Comment les utiliser ?


Il existe plus d’une quarantaine de plateformes de partage de vidéos, You tube et Dailymotion sont les leaders du marché mais de nombreuses autres plateformes se démarquent par leurs innovations, la qualité ou la spécificité de leurs vidéos : Kiwivid, Yahoo Video, Vimeo, Kewego, …

Consulter un tableau comparatif des plateformes de partage de vidéos.
A noter : l’accès et l’utilisation de toutes les plateformes citées ici sont gratuits.

Youtube et Dailymotion


Vous connaissez certainement ces deux plateformes de partage de vidéos, au moins en tant que visiteur. Pour faire partie de ces communautés, il faut vous inscrire ici sur You Tube, là sur Dailymotion. Une fois inscrit, vous pouvez envoyer et partager vos vidéos et discuter avec les autres membres à propos des vidéos que vous regardez.

Pour importer des vidéos sur votre blog ou votre site, vous n’avez pas besoin d’être inscrit. Vous copiez le code html présent sous la rubrique « Intégrer une vidéo sur un site », vous le collez dans le back office de votre site ou blog à l’endroit approprié.

Une plateforme de vidéos pour les pros


Entrepriseo est à You Tube, ce que Viadeo est à Facebook, c'est-à-dire une plateforme de partage de vidéos destinée exclusivement aux entrepreneurs, de tous domaines. Avec cette plateforme, vous pouvez facilement promouvoir votre activité et vos nouveaux produits ou services.

Contrairement à YouTube ou DailyMotion où votre vidéo est rapidement noyée dans la masse, les internautes qui visitent ce site sont forcément à la recherche d’informations spécifiquement professionnelles.

Vous pouvez échanger avec la communauté existante, composée d’entrepreneurs et d’experts, pour rechercher du financement, échanger, partager, entraider, apporter votre expertise.

Une plateforme multifonction


Netineo est une plateforme de diffusion de vidéos HD en instantanée et interactives. A utiliser par exemple dans le cadre d’une webconférence.
Consultez l’espace Pro de Nutineo.

Créer sa propre plateforme de vidéo


Ce service s’adresse aux professionnels qui ont de nombreuses vidéos à diffuser. Ca peut être le cas, par exemple, d'une petite entreprise de production de films ou d'une agence immobilière qui souhaite présenter ses biens immobiliers sous forme de vidéo.

Voici quelques sites pour les professionnels qui souhaitent créer leur propre plateforme de partage de vidéos :
Brightcove Créer une plateforme Brightcove est payant depuis peu, mais vous pouvez essayer gratuitement le service pro pendant 3 mois.
Start Your Tube
Magnily.net

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Facebook : les professionnels doivent-ils y passer ? »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 25 novembre 2008 à 11:57 par Ssylvainsab




Sujet 15638 - Professionnels : optimisez vos campagnes AdWords et AdSense

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Nous vous expliquions dans l’article Les liens sponsorisés ce que sont les AdWords et les AdSense, nous vous précisons ici comment optimiser vos campagnes pour augmenter votre visibilité et vos recettes !



Objectifs des campagnes AdWords et AdSense


Les Google AdWords sont des emplacements publicitaires mis en avant sur le moteur de recherche Google. Vous devez payer pour y être positionné et ainsi augmenter le trafic sur votre site et drainer des clients.

Les Google AdSense sont des annonces Google qui se positionnent dans les encarts « Annonces Google » sur des sites.

Optimisez votre campagne AdWords


Définir le bon prix


Plus vous payez cher le ou les mots clés, mieux vous êtes placé parmi les liens commerciaux de Google. Pour ne pas surpayer les mots clés tout en étant bien placé et attirer un maximum de personnes sur le site de votre entreprise, il vous faut trouver le prix juste.

Il est indispensable de déterminer dans un premier temps un budget maximum par jour afin que votre campagne reste rentable. Voici une fourchette de prix :

Ensuite, augmentez ou baissez le coût au clic et voyez comment votre lien se positionne.

Concevoir une page d’accueil spécifique


Les internautes qui cliquent sur votre annonce doivent être dirigés vers une page qui correspond aux mots clés ciblés par votre campagne AdWords. Objectif : inciter les internautes à rester sur votre site afin que leurs visites soient concluantes pour vos affaires.

Jouer la longue traîne


Acheter par exemple les mots-clés "immobilier paris 20" "immobilier paris 19" etc. plutôt que "immobilier" seul, mot sur lequel il y a plus de concurrence.
De plus, la somme de ces petit mots clés tapés représente plus de trafic que les premiers « gros » mots clés.

Obtenir un trafic ciblé


Pour que votre campagne soit efficace, il vous faut obtenir un trafic ciblé, autrement dit faire en sorte que seuls les internautes intéressés cliquent et que la majorité des visiteurs se transforme en clients, bref avoir un bon taux de conversion.

A ne pas faire : placer une trop longue liste de mots clés dans une seule et unique annonce. Car les internautes, s’ils ne sont pas intéressés par l’offre sur votre site, quittent immédiatement votre page et ignorent votre offre : vous payez des clics qui vous rapportent du trafic sur votre site mais aucun client.

A faire : vous devez cibler précisément les mots-clés de votre campagne. Par exemple : « peintre façade artisan Rhône » au lieu de « peintre » seul.

Utiliser les outils Google


Google AdWords Editor
C’est une application Google gratuite, qui permet de gagner du temps dans l’optimisation de votre campagne. Voici ses principaux fonctionnalités et avantages :

Campaign Optimizer
C’est un outil d’optimisation automatique, idéal si vous avez peu de temps à consacrer à l’optimisation de votre campagne de mots clés, mais il n’égale pas la qualité de l’optimisation manuelle.

Vous devez avoir un compte Google Adwords pour y accéder. Une fois votre compte créé, Campaign Optimizer est accessible sous forme de lien dans l’interface Google AdWords.

Optimisez votre campagne AdSense


Personnaliser les annonces Google


Vous avez la possibilité de modifier :

Blacklister ses concurrents


Autrement dit, interdire l’affichage des annonces de sites concurrents.

Placer des mots clés rémunérateurs


Le prix du clic est variable et dépend de la concurrence sur les mots achetés par l’annonceur. A vous de placer dans votre site des mots qui amèneront des annonces publicitaires rentables, tout en restant contextuelles.

Par exemple, ne placez pas à tout prix des mots clés relatifs à l’immobilier, si vous avez un site de jardinage, même si cela génère de meilleurs revenus publicitaires. Les internautes ne trouveraient pas l’information qu’ils sont venus chercher et repartiraient immédiatement vers d’autres pages.

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Les campagnes mail : de l’utilité en entreprise »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 12 janvier 2009 à 19:49 par Ssylvainsab




Sujet 15745 - Les campagnes mail : de l’utilité en entreprise

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Les campagnes mails sont un outil très efficace, pour diffuser un message professionnel à un grand nombre de personnes, pour acquérir de nouveaux clients ou entretenir des relations avec les clients existants. Les internautes sont généralement plus réceptifs à ce canal de diffusion qu’aux classiques campagnes de phoning.
Consultez ici les conseils pour que votre campagne email rapporte clients et commandes à votre entreprise.

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Avantages de l’e-mailing


Conseils pour réussir sa campagne


Objectifs de l’e-mailing


Définissez dans un premier temps les objectifs de votre campagne mail, cela vous aidera à créer le contenu du mail.

Le titre


Un titre attractif et court, 3 à 7 mots maximum, est indispensable. C’est la première information lue par l’internaute et si cette information n’attire pas son attention, il est susceptible de supprimer votre mail sans même le lire, voire de le classer dans la catégorie spam.

L’objet doit refléter le contenu de votre mail, soyez honnête, pas de phrases bateaux ou de promesses de fortune facile : les internautes ne sont pas dupes !

Le contenu


L’envoi


Analyse des retours de campagne


Avec l’e-mailing, vous avez la possibilité de connaître immédiatement et facilement les statistiques de votre campagne et les retombées pour votre entreprise :

Statistiques :

Ces données vous permettent de cibler plus précisément les destinataires (supprimer les adresses rejetées, sélectionner les destinataires réactifs, etc.) et le contenu (succès d’un type d’offre en particulier après l’envoi de votre e-mailing) pour augmenter le retour sur investissement de vos prochaines campagnes mails.

Obligations et erreurs à ne pas commettre



Dans le cas contraire, vos mails sont considérés comme des spams et votre campagne mail aura l’effet contraire de l’effet escompté : image de marque de votre entreprise compromise, taux de réponse de votre campagne faible, nombre important de désabonnements.

Il est interdit de prospecter à partir d’e-mails collectés sur des espaces publics du web.

Pour connaître tous vos droits et devoirs en matière d’e-mailing, consultez la loi pour la confiance dans l’économie numérique.

Les prestataires spécialisés


Dolist, Netmessage, Active Trail, Express Mailing, Alteo, Agence MD, Email cible, etc.

Leurs prestations :

Les prix :

A noter : le coût de l’intervention d’un professionnel est à prendre en compte dans vos retours sur investissement. Les retombées économiques de votre campagne e-mail doivent rester supérieures au coût en temps et en argent de votre campagne d’e-mailing.

La notion de délivrabilité


Elle s’impose dans le secteur de l’emailing et se définit comme la capacité d’un email à être reçu et lu dans de bonnes conditions par ses destinataires. Aujourd’hui, il est fortement recommandé de monter ses campagnes d’emailing en pensant à sa délivrabilité : quels freins à la réception des mails, quelles méthodes pour maximiser son taux de délivrabilité… la notion englobe tout ce qu’il faut maîtriser, du cadre juridique aux données techniques en passant par le contenu.

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Professionnels : augmentez les ventes de votre e-boutique »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 28 décembre 2009 à 15:47 par CommentCaMarche




Sujet 15872 - Professionnels : augmentez les ventes de votre e-boutique

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Vous avez créé votre boutique en ligne professionnelle, mais malheureusement les ventes ne sont pas à la hauteur de vos espérances ?
Voici quelques astuces pour augmenter le chiffre d’affaires de votre e-boutique professionnelle, gagner des clients, les fidéliser, augmenter le prix moyen de leurs paniers, etc.



Présenter avantageusement les produits et services


Fidéliser les clients


Pour fidéliser vos clients, voici nos conseils :
Élaborez pour cela une page qui sera accessible, après inscription, avec un identifiant et un mot de passe.

Bien référencer votre boutique en ligne professionnelle


Pour augmenter le nombre de visiteurs sur votre site et proportionnellement le nombre de clients, votre boutique doit être visible, notamment sur les moteurs de recherche. Voici nos conseils pour faire connaître votre e-boutique sur la toile :
Des logiciels vous permettent de mesurer l’efficacité de vos actions de référencement et d’adapter vos actions à ces résultats : XiTi, Médiamétrie-eStat, Weborama. Si vous constatez par exemple qu’une campagne d’e-mailing présentant un nouveau produit a généré un nombre important de ventes, privilégiez alors ce type d’action.

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Augmenter la visibilité de son entreprise sur Internet »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 5 novembre 2009 à 18:53 par marlalapocket




Sujet 16451 - Comment réaliser une vidéo d'entreprise ?

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]



La vidéo est un outil de promotion moderne des services et produits de votre entreprise. En diffusant votre vidéo d'entreprise sur internet, vous pouvez attirer de nouveaux clients et partenaires. Vous fédérez également les collaborateurs de l'entreprise autour d'un projet valorisant.



Pourquoi réaliser une vidéo d'entreprise ?


Quel matériel pour tourner une vidéo d'entreprise ?


Réaliser une vidéo d'entreprise ne nécessite pas une grande connaissance technique. Avec un équipement adapté, vous pouvez tourner votre spot sans aide extérieure. Il est aussi possible de faire appel à un prestataire pour un rendu plus professionnel.

Choisir le bon équipement


Vous avez besoin de deux outils :

Réaliser une vidéo d'entreprise


Une vidéo d'entreprise se prépare : vous pouvez vous inspirer de ces conseils et astuces avant de vous lancer.

Rédiger un scénario : contenu et forme


Vous devez choisir un "angle", c'est-à-dire le thème de votre vidéo : produits et services, innovation, locaux de votre entreprise, méthode de recrutement, qualités de votre personnel. Les vidéos trop généralistes sont à éviter. Trois questions à se poser :

- A qui s'adresse la vidéo d'entreprise ?
- Quels sujets / lieux filmer ?
- Quelles personnes faire participer ? (personnel, partenaires)

Le Lip Dub, vidéo "play-back" en vogue


Le Lip Dub (chanson en play-back) est une présentation vidéo très populaire. Il s'agit de faire chanter "en play-back" les collaborateurs de l'entreprise sur une chanson.
- Avantage : c'est une méthode de présentation humoristique très appréciée des internautes.
- Inconvénient : Le tournage et le montage de ce type de vidéo est compliqué. Il faut découper le film en plusieurs plans et mobiliser le personnel de l'entreprise pendant plusieurs heures.

Publier et promouvoir sa vidéo d'entreprise sur internet


Une fois votre vidéo réalisée, il faut la promouvoir. Soit de manière qualitative (cibler des communautés d'internautes), soit de manière quantitative (rendre accessible au plus grand nombre)

Youtube et Dailymotion : créer le buzz


Publier une vidéo sur ces deux plateformes de diffusion est un moyen efficace de faire connaître votre entreprise au grand public. Un atout supplémentaire si vous ne disposez pas d'un site internet professionnel. Votre vidéo finalisée devra être convertie au format .flv (Flash vidéo) adaptée à une diffusion en streaming (voir ce site internet pour réaliser la conversion). Les internautes pourront évaluer la vidéo, la commenter, et améliorer son référencement.

Publier une vidéo d'entreprise sur un site ou un blog pro


En page de garde du site de l'entreprise, vous pouvez afficher la vidéo de présentation. Les visiteurs découvrent ainsi votre entreprise de manière ludique.

Promotion : liens, blogs, réseaux sociaux professionnels


Pour mieux cibler votre audience, vous pouvez utiliser des moyens de promotion plus qualitatifs :

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Optimiser son site professionnel avec les outils Google »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 5 novembre 2009 à 11:51 par marlalapocket




Sujet 16662 - Optimiser son site professionnel avec les outils Google

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Un site internet professionnel est un support attractif pour "convertir" les internautes en clients potentiels. Pour cela, le référencement de votre site est important, mais pas suffisant. Vous devrez également fournir aux internautes un contenu conforme à leurs attentes. Certains outils de Google vous aident dans cette démarche, à l'image de Google Analytics.



Quels "outils Google" pour améliorer son site internet professionnel ?


On compte trois outils dits "qualitatifs" (pour optimiser la qualité des visites) :

Google Analytics


Il donne des statistiques précises sur les visites (nombre, pages vues, sources du trafic, taux de rebond) du site internet. Il faut interpréter ces statistiques pour améliorer la qualité des visites.

Google Optimizer


Associé à Analytics. Il est plus complexe et teste le "taux de conversion" de votre site internet. Le taux de conversion d'un site professionnel, c'est sa capacité à "transformer les visiteurs en clients" (ex : achat en ligne, clics sur les Adsense : voir notre article).

L'outil Google Optimizer vous proposera notamment des actions de promotions des pages web "rentables" : la même page sera ainsi agencée sous plusieurs "versions" visibles sur internet, et testée. Vous pourrez alors savoir quelle forme (design et contenu) a le plus taux de conversion le plus élevé.

Moteur interne Google


Vous pouvez l'intégrer à votre site web professionnel. L'internaute entre une requête : seules les pages indexées sur votre site internet apparaissent. Une façon simple pour le client d'accéder au contenu qui l'intéresse sur votre site.

Pourquoi utiliser les outils Google pour son site professionnel ?


L'objectif est d'accroître le nombre de clients et/ou d'augmenter les revenus de (ou grâce à) votre site internet. Les outils Google vous permettent entre autres :

- De faciliter l'accès au contenu qui intéresse l'internaute
- D'augmenter le nombre de pages vues, et de limiter le taux de rebond (visite insignifiante)
- D'identifier les mots-clés dans les pages qui génèrent du trafic
- De repérer les pages web les plus rentables et de mieux les exploiter
- De dresser un profil de visiteur (temps de visite moyen, localisation géographique, loyauté)
- D'établir une chronologie des visites sur plusieurs semaines/mois/années

Comment augmenter le nombre de visiteurs/clients grâce à Google Analytics


Pour commencer, ouvrez un compte Google et inscrivez votre site sur Google Analytics. Un délai de quelques heures est nécessaire pour que le service identifie votre site.

Lire et interpréter les courbes statistiques de Google Analytics


Avant d'apporter des actions de corrections à votre site web (contenu, utilisation de mots-clés), il est important d'interpréter les courbes statistiques sur plusieurs mois. En particulier si le nombre de pages web est volumineux.

Chronologie des mots-clés et valorisation du contenu


Les internautes tapent des requêtes dans les moteurs de recherche. Si ces requêtes mènent à votre site Web, vous pouvez les considérer comme des "mots-clés".

- Sélectionnez dans Google Analytics une période à analyser. Ex : mars 2008 – mars 2009
- Une liste de mots clés tapés (par ordre décroissant) apparaît.
- Vous utilisez ces mots-clés pour les placer dans de nouveaux contenus (référencement, gain de visiteurs). Vous augmentez ainsi les chances de "conversions". Ex: dans la page, indiquez un lien sur les services que vous proposez en ligne : demande de devis, contacts de l'entreprise, formulaire d'achats, etc.
- Vous pouvez éditer les pages contenant ces mots-clés de la même façon.

Surveillez également la progression des mots-clés tapés (chaque mois). Les termes utilisés peuvent changer et de nouvelles requêtes apparaître. Utilisez ces mots-clés dans les nouveaux contenus que vous proposerez.

S'appuyer sur le contenu des pages les plus vues


Le principe est similaire à celui indiqué précédemment. Sur une période de temps analysée, les "pages les plus vues" s'affichent par ordre décroissant. Elle sont un indicateur encore plus fiable que les mots-clés. Car plusieurs requêtes ont permis d'arriver à la même page.

Augmenter/rétablir le nombre de pages vues


Pour juger de la qualité d'un site professionnel, un autre critère entre en jeu : c'est la moyenne du nombre de pages vues. Si le nombre croît, cela signifie, entre autres, que le contenu de votre site est jugé attractif par l'internaute. Et les chances de réussir une "conversion" sont donc plus grandes. S'il baisse, cela peut-être dû à un contenu moins pertinent, ou à l'absence de "liens" entre les pages de votre site.

Corriger le contenu inadéquate


Un indicateur vous permet d'évaluer la pertinence du contenu proposé sur votre site : c'est le "taux de rebond". c'est-à-dire, le pourcentage de visites insignifiantes (ex : temps minimal passé sur une page). S'il augmente sur une période donnée, cela veut sans doute dire que l'internaute "ne trouve pas" ce qu'il cherche.

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Créer une identité visuelle pour l'entreprise »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 4 novembre 2009 à 17:10 par marlalapocket




Sujet 16822 - Créer une identité visuelle pour l'entreprise

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]



L'identité visuelle est au cœur des stratégies de communication. Cette "carte d'identité graphique" véhicule l'image de l'entreprise grâce à différents supports visibles (ex : enveloppes, dossiers de presse).
C'est un moyen d'attirer l'attention des clients, bien sûr, mais aussi d'asseoir sa notoriété et sa crédibilité auprès des partenaires commerciaux ou institutionnels.

Sommaire




Qu'est-ce qu'une identité visuelle ?


L'identité visuelle est l'ensemble des signes graphiques (couleurs, formes, mots) qui symbolisent l'entreprise. Elle est diffusée au moyen de différents supports de communication (ex: cartes de visites, journaux, site web). À ce titre, elle sert à vous distinguer de vos concurrents (voir aussi : augmenter la visibilité de son entreprise sur internet). La forme la plus connue est le logo. L'identité visuelle occupe avant tout une fonction publicitaire : elle véhicule l'image de votre entreprise, ses services et éventuellement ses valeurs.

Les qualités de l'identité visuelle


Pour avoir un impact, l'identité visuelle doit rassembler un certain nombre de qualités. On pourrait les résumer en trois points :
- Simplicité et clarté : l'identité visuelle doit être identifiable (et mémorisable) en une seconde.
- Représentativité : elle se rapporte de manière explicite à votre domaine d'activité.
- Cohérence : l'identité visuelle sera la même sur tous les supports de diffusion utilisés.
- Différence : elle est unique et doit permettre de distinguer votre entreprise des autres acteurs du marché.

Les éléments de l'identité visuelle


Plusieurs éléments, dont certains se chevauchent, constituent l'identité visuelle : le nom de marque, le slogan, le logo (confondu aujourd'hui avec la griffe et l'emblème), la couleur, la police et la taille des caractères.

Créer une identité visuelle : les critères


Choisir les bons interlocuteurs


Selon la complexité de vos besoins (taille de l'entreprise, secteur d'activité), vous pourrez faire appel à une agence conseil en communication ou à un bureau d'audit. En effet, vous devrez faire un diagnostic approfondi (positionnement sur le marché, cible de communication, etc) avant de créer votre identité visuelle.

Définir une problématique de communication


Pour créer une identité visuelle ou en changer, il est utile d'observer le positionnement de votre entreprise sur le marché et de tenir compte des nouvelles tendances. En d'autres termes, le choix du logo doit coïncider avec votre projet d'entreprise. Par exemple, si vous développez des services/produits liés au développement durable, vous aurez intérêt à prendre en compte cette donnée pour la phase de création.

Choisir un public cible


L'identité visuelle est destinée à l'ensemble des acteurs avec lesquels vous communiquerez. Tous ne seront pas réceptifs au même type de logo, de couleurs, etc. Vous devrez toutefois définir votre identité visuelle en sélectionnant un public en particulier. Par exemple, certains clients (services à domicile) seront plus sensibles aux informations pratiques (contact, slogan) contenus dans l'identité visuelle. Il s'agira donc de mettre ces éléments en valeur.

Choisir le bon support de diffusion


Votre identité visuelle peut être déclinée en autant de supports imaginables : flyer, dossier de presse, carte de visite, site web, logo, panneau publicitaire, emballages (audit visuel), véhicules utilitaires. Pour choisir le support le plus pertinent, vous devez prendre en compte les deux éléments précédents : le public cible et la nature de votre projet de communication. Le processus de création de l'identité visuelle sera influencé par le type de supports sélectionnés. Par exemple, si votre activité concerne le le commerce en ligne, vous devrez respecter certaines règles de webdesign.

Réalisation et utilisation de l'identité visuelle


Évaluation des croquis


La réalisation de l'identité visuelle se fait le plus souvent en concertation avec l'agence de communication que vous avez choisie. Sur la base des critères cités plus haut, des croquis/ébauches sont réalisés. Soumettre le prototype aux collaborateurs de l'entreprise est un bon moyen de parvenir à un consensus et d'opérer des modifications.

Impression de l'identité visuelle


L'agence de communication prend généralement en charge l'impression de l'identité visuelle en série sur des petits supports (cartes de visites, cartes de correspondances, en-tête de lettres, enveloppes). Pour des travaux plus importants (ex : panneaux publicitaires), il faudra s'attacher les services d'imprimeurs spécialisés (sérigraphie, gravure, marquage de véhicule).

Charte d'utilisation


Pour l'utilisation de l'identité visuelle dans l'entreprise (impression de factures, courriers) vous devrez définir des conditions d'utilisation : elle seront consignées dans une charte communiquée aux collaborateurs. Elle énonce certaines règles (formats requis pour le logo, supports d'impression autorisés) et pose des restrictions (ex : destinataires interdits).

Identité visuelle et propriété intellectuelle


À l'achat de votre identité visuelle, vous devrez vous assurer que vous devenez propriétaire des droits de reproduction (par cession, mention figurant dans la facture). Vous devrez également déposer votre logo auprès de l'Institut National de la Propriété Intellectuelle (INPI). Cette démarche vous fournit une protection juridique contre le risque de plagiat.

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Choisir une image et savoir l’optimiser pour son site pro »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 5 avril 2009 à 08:11 par fleursdespyrenees




Sujet 17625 - Choisir une image et savoir l’optimiser pour son site pro

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Choisir une image et savoir l’optimiser pour son site professionnel


Pour rendre un affichage optimal des images de votre site Internet professionnel, le choix du format doit être impérativement réalisé en fonction de son utilisation.



Choisir un format


Sur Internet, seulement trois formats sont actuellement reconnus et correctement affichés par les navigateurs : le JPEG, le GIF et le PNG. Pour un meilleur rendu visuel, certains de ces formats d’images sont plus recommandés selon l’utilisation que vous souhaitez en faire (logo, photo, icône) ainsi que les caractéristiques de votre image (taille, qualité, poids).

Pour une image comprenant du texte : le PNG


Ce format fournit une image parfaitement claire qui ne comporte pas de détérioration, même si vous décidez de la réduire. Au contraire, le format JPEG va rendre une image plutôt baveuse, parfois floue sur les bords, car le passage précipité d’une couleur à une autre produit un effet de dégradé sale relativement visible. Du côté du GIF, bien que l’image propose un bon rendu, le poids trop disproportionné condamne son utilisation.

Pour une image avec transparence : le PNG


La transparence correspond à l’opacité de l’image. Cette technique offre la possibilité de distinguer d’éventuels autres éléments graphiques présents en arrière plan. L’utilisation du PNG est à favoriser pour ce type d’image car il propose un résultat plutôt satisfaisant. Le GIF déçoit très largement par la qualité médiocre qu’il affiche étant donné qu’il supporte très peu l’effet de transparence. Enfin, le format JPEG est incompatible avec la transparence.

Pour un logo, une icône, un dessin, un graphique : le PNG voire le GIF


Le PNG offre une image de très bonne qualité. La restriction des couleurs imposées par le format n’a pas d’effet négatif sur l’image. Mêmes remarques pour le GIF qui peut être également utilisé pour ce type d’image. Quant au JPEG, il retranscrit lui aussi une image propre, bien finalisée mais son poids est un peu trop important par rapport aux deux précédents.

Pour une photographie, une image haute qualité : le JPEG


Le JPEG est incontestablement le format à privilégier. Du fait de son large panel de couleurs (16,7 millions), il offre à la fois une qualité parfaite et un poids optimal pour le web. Le GIF est à proscrire car il va dégrader considérablement la qualité de l’image. Le PNG peut donner une image de bonne qualité néanmoins son poids sera bien trop lourd pour envisager de l’insérer sur une page web.

Pour une animation : le GIF


Seul le GIF supporte les images animées.

Optimiser le poids de son image pour le web


Au-delà de la représentation visuelle, bien optimiser votre image va vous permettre de gagner un temps conséquent lors de l’affichage d’une page Internet et va réduire la place que prend l’image sur votre serveur. Pour vous aider à manipuler vos images, voici quelques conseils pratiques que vous pourrez réaliser avec le logiciel de retouche gratuit The Gimp.

Changer de format


Une fois que vous avez ouvert The Gimp, cliquez sur « Fichier » puis « Ouvrir ». Sélectionnez votre image et validez. Cliquez une nouvelle fois dans l’onglet « Fichier », puis « Enregistrer sous ». Une fois la boîte de dialogue ouverte, cliquez sur « Sélectionner le type selon l’extension » puis dans la liste déroulante choisissez le format que vous souhaitez.

Compression


Qu’est ce que c’est ? La compression d’une image permet de rendre celle-ci beaucoup plus légère que son poids initial en supprimant des données inutiles ou redondantes, tout en conservant les mêmes dimensions.

Pourquoi ? Une image trop lourde sur votre site web ralentira l’affichage et augmentera le temps de chargement d’une page sur un navigateur. Avant de commencer, sachez que la compression d’une image JPEG peut parfois être destructrice pour sa qualité. A l’inverse, le PNG et le GIF supportent la compression sans perte de qualité.

Comment ? Après avoir suivi la même procédure que précédemment, en fonction du format que vous avez choisi la méthode de compression est un peu différente :
Le JPEG : déplacez le curseur « Qualité ». En cochant l’option d’aperçu, une fonction vous permet de voir les modifications apportées en temps réel. Pratique pour juger la qualité et déterminer votre choix.
Le PNG : déplacez le curseur « Niveau de compression ». Plus le taux est important, plus l’image sera compressée.
Le GIF : pas de fonctionnalité prévue. Le GIF ne se compresse qu’en diminuant la taille et la résolution de l’image.

Résolution et taille


Qu’est ce que c’est ? La taille correspond à la largeur et la hauteur de votre image. La résolution d’une image correspond quant à elle au nombre de points par unité de surface de l’image, soit le rapport entre le nombre de pixels et les dimensions.

Pourquoi ? Puisque votre image est destinée au web une résolution de 72 pixels par pouce suffit amplement. La taille dépend en revanche de l’utilisation que vous voulez en faire.

Comment ? Une fois que vous avez ouvert The Gimp, cliquez sur « Fichier » puis « Ouvrir ». Sélectionnez votre image et validez. Cliquez ensuite dans l’onglet « Image », puis « Echelle et taille de l’image ». Une fois la boîte de dialogue ouverte, choisissez la taille que vous souhaitez donner à votre image en vérifiant que celle-ci est exprimée en pixels. Dans les deux champs suivants, insérez la résolution de 72 pixels/in pour les axes X et Y. Avant de valider, vérifiez bien si elle est bien exprimée en pixels/in.

Autres outils gratuits


MS Paint
Paint Net

Crédit photo : SSilver - Fotolia.com

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La clé 3G : l'outil indispensable pour rester connecté »
Publié par RégisG - Dernière mise à jour le 3 novembre 2009 à 16:12 par marlalapocket




Sujet 17672 - La clé 3G : l'outil indispensable pour rester connecté

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La clé 3G : l'outil indispensable pour rester connecté


De plus en plus séduits par la clé 3G, beaucoup de chefs d'entreprises affirment être aujourd'hui tentés par cette technologie qui offre le moyen de travailler à distance, depuis un ordinateur portable, tout en restant connecté à Internet.


Qu'est ce que c'est ?


Semblable à une clé USB, la clé 3G est un petit gadget qui propose à un utilisateur d'accéder à Internet via son ordinateur portable lorsqu'il ne dispose d'aucune connexion Internet ou bien qu'il ne se trouve pas à proximité d'un point d'accès Wi-Fi.

Comment ça marche ?


Comparable à une sorte de modem sans fil de type Wi-Fi, la clé 3G utilise les réseaux des opérateurs téléphoniques pour pouvoir se connecter à Internet. Tout comme les téléphones portables, les clés 3G sont composées d'un emplacement réservé aux cartes SIM. Pour les faire fonctionner, il faut préalablement avoir souscrit à un forfait chez un opérateur (SFR, Bouygues, Orange, M6 Mobile).

Pourquoi se procurer une clé 3G ?


Si vous êtes du genre nomade, souvent amené à vous déplacer à droite et à gauche dans le cadre de votre travail, la clé 3G est quasi indispensable pour que vous puissiez poursuivre vos tâches tout en étant à distance.

Grâce à cette technologie, vous allez pouvoir être plus réactif vis-à-vis de votre activité. Vous pourrez, par exemple répondre instantanément à un email, rechercher une information dont vous avez besoin immédiatement ou encore échanger et communiquer sur une messagerie avec vos salariés.

Vous allez sûrement être aussi plus productif du fait que vous allez pouvoir travailler n'importe où et n'importe quand, y compris dans les transports, à l'étranger, en week-end etc.

Enfin, vous serez systématiquement connecté à votre entreprise en temps réel. Naviguer sur votre Intranet, interroger votre base de données et partager des documents avec des collègues sur une plate forme communautaire, transforment ainsi votre ordinateur portable en un véritable bureau.

Installer sa clé 3G


Pour installer votre clé 3G, rien de plus simple : trois étapes suffisent !

- Insérez la carte SIM, que vous avez obtenue auprès de votre opérateur, à l'intérieur de la clé 3G, à l'emplacement prévu à cet effet.
- Contacter votre opérateur pour activer votre carte SIM
- Branchez ensuite la clé 3G au port USB de votre ordinateur portable.
- Lancez votre navigateur et surfez !

Durant les manipulations aucune installation de périphérique ne vous sera en principe demandée et aucun paramétrage particulier n'est nécessaire. Suivant votre offre et votre fournisseur, un assistant de connexion s'affichera peut être sur votre écran lorsque vous aurez relié la clé au port USB. Celui-ci vous fournit toutes les informations relatives à votre compte tout au long de votre connexion (temps, débit, signal, outils etc.).

Notez enfin que les clés 3G sont en principe compatibles avec tous les systèmes d'exploitation et tous les types d'ordinateurs. Certains PC sont mêmes parfois d'ores et déjà dotés de modem 3G directement intégré dans leur système. Cette configuration vous permet ainsi d'éviter de brancher une clé 3G en USB. Par conséquent, pensez bien à vérifier si vous ne disposez pas déjà de cette fonction cela évitera de vous procurer une clé.

Choisir son forfait 3G


Désormais, tous les opérateurs de téléphones portables proposent leur propre clé 3G associée à une offre. Devant le large choix de formules proposées, il est impossible de toutes les lister ici par conséquent il va falloir choisir celle qui semble la plus adaptée à vos besoins. Pour vous aider, voici quelques recommandations.

- les forfaits heures (sans engagement) : ce sont des forfaits qui peuvent s'échelonner de 20 min à 8 heures selon les opérateurs. Le crédit que vous choisissez vous donne le droit de vous connecter pendant le temps déterminé par le forfait.
Prix : de 3 à 26 €.

- les forfaits journées (sans engagement) : forfaits pour lesquels vous pouvez vous connecter n'importe quand durant toute la journée, à partir de votre première connexion et ce jusqu'à minuit.
Prix : de 2 à 12 €.

- les forfaits par mois ajustables (avec engagement 12 ou 24 mois) : ce forfait vous permet de choisir une formule au mois (de 2h à 12h selon les opérateurs). Si vous dépassez le nombre d'heures, une surtarification sera décomptée.
Prix : de 9,9 à 36 €.

- les forfaits par mois illimités (avec engagement 12 ou 24 mois) : avec ce type de forfait vous pouvez naviguer pour un nombre d'heures illimitées. Cependant, au-delà d'une certaine limite d'échange de données, variable en fonction des opérateurs, votre débit sera limité.
Prix : de 29,90 à 79,9 €.

Remarque : Les deux premières formules sont idéales pour les utilisateurs ponctuels qui ont besoin d'un accès Internet à un moment précis. Les deux suivantes sont plutôt à privilégier pour les utilisateurs ayant besoin d'une connexion plus fréquente.

Recommandations importantes


Ce que les opérateurs ne disent pas, c'est qu'il se cache derrière toutes ces offres, beaucoup de paramètres importants à ne pas négliger.

Premièrement, si vous souhaitez vous connecter depuis l'étranger, sachez que les prix du mégaoctet sont largement plus élevés à l'international, du fait que les opérateurs doivent passer par un système de reroutage pour vous fournir la connexion. La facture peut très vite s'enflammer si vous ne faites pas attention !

Deuxièmement, il est vivement conseillé de bien veiller au volume de données que vous échangez en étant connecté. Le fait de naviguer sur des sites, lire ses mails, regarder une vidéo ou télécharger un document sont des tâches qui augmentent vite l'envoi et la réception de données. Par conséquent, renseignez vous auprès de votre opérateur pour connaître exactement le volume de données dont vous disposez avec votre forfait.

Le dernier point concerne la couverture géographique. Bien que le 3G se démocratise un peu plus aujourd'hui, il n'est pas accessible partout. Les zones un peu à l'écart des grandes villes ne réceptionnent pas forcément le haut débit. Dans ce cas, il est plus intéressant de se rapatrier sur la technologie EDGE, voire GPRS, pour profiter correctement (mais plus lentement) d'Internet.

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Les tablettes électroniques »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 25 février 2010 à 22:30 par lami20j




Sujet 18663 - Utiliser Twitter pour son business

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Utiliser Twitter pour son business


Réseau social et communauté virtuelle rassemblant quelques millions d’utilisateurs, Twitter est devenu en peu de temps une plate forme incontournable du web sur laquelle il est très intéressant d'être présent pour promouvoir son business.



Se créer un réseau et élargir son champ d’action


Le premier élément, qui fait de Twitter une application indispensable pour développer son activité sur Internet, est sa capacité à former et à regrouper un réseau.

Ce principal atout permet de concentrer vos clients sur une même plate forme mais il offre aussi et surtout la possibilité d’en trouver d’autres. Une façon comme une autre de se faire connaître et d’élargir son champ d’action, d’autant plus que lorsqu’une nouvelle entreprise/marque débarque sur le réseau, les utilisateurs s’empressent en général de transmettre l’information.

Astuce : pour informer vos clients de votre présence sur Twitter, pensez à mettre en avant votre compte sur votre site en y ajoutant une icône ou un bouton pointant vers votre profil.

Renforcer votre identité et votre présence sur Internet


Si Twitter peut être un bon outil pour une campagne de communication, il faut savoir maîtriser auparavant l’identité de votre entreprise et veillez à soigner votre empreinte sur le réseau. Remplir correctement votre profil avant toute forme d’action est ainsi primordial. Pour cela, rendez vous dans les paramètres de votre compte en cliquant sur la rubrique « Settings », dans le menu horizontal du haut.

• Dans un premier temps, allez dans l’onglet « Account » et suivez les conseils ci dessous :

• Dans un second temps cliquez sur « Picture » et choisissez une photo de profil représentant au mieux à votre entreprise. Bien évidemment si vous avez un logo n’hésitez pas à l’utiliser, il permettra de vous identifier au premier coup d’œil.

• Dans un troisième temps, rendez vous dans l’onglet « Design ». Cette option vous permet de personnaliser votre page Twitter. Veillez bien à ce que le code couleur de votre page soit en rapport avec celui de votre site car cela fait aussi partie de votre identité numérique. La meilleure solution est de travailler avec votre graphiste pour obtenir un résultat optimal car vous pourrez y ajouter en plus des informations importantes (adresse, contact etc.).

Dialoguer et communiquer en temps réel avec vos clients


Au-delà des fonctionnalités et des avantages que peuvent apporter un blog d’entreprise ou un profil Facebook, Twitter met considérablement l’accent sur l’information en temps réel et l’instantanéité, l’objectif étant de favoriser l’interaction avec vos contacts. En réalité c’est un excellent moyen d’instaurer le dialogue avec un client.

Sur Twitter vous pourrez ainsi lancer en quelques minutes un sondage pour tester un concept, un produit voire mesurer et évaluer le degré de satisfaction de vos clients concernant un de vos produits en recueillant des feedbacks. Vous pourrez aussi réagir aux messages de vos followers, résoudre éventuellement leurs problèmes en privé et pourquoi pas lancer de temps en temps des offres exclusives.

Le fait de réagir aux commentaires des utilisateurs renforce ainsi votre image de marque. Partager et relayer des liens, des articles, des idées satisferont vos contacts car ils auront l’occasion de communiquer directement avec vous.

Dans tous les cas, nous vous recommandons de poster des messages de façon régulière. Trouver un juste milieu est important car poster peu ou trop peut nuire à votre image. Mais dans tous les cas, rappelez-vous qu’un profil actif, vivant et attractif est la clé numéro 1 !

Faire de la veille


Puisqu’il est indispensable pour une entreprise d’effectuer quotidiennement une veille, Twitter est l’un des services incontournables pour voir ce qu’il se passe sur la toile. En réalité, il vous met au courant de l’actualité souvent bien plus rapidement que n’importe quelle autre source.

Sur Twitter, vous pouvez éventuellement suivre les activités de vos entreprises concurrentes afin de connaître leur stratégie, d’être tenu au courant de leurs offres, de leurs programmations d’événements etc. En fonction de leurs positionnements, vous pourrez réagir quasi immédiatement en lançant de votre côté un plan de contre d’attaque.

En plus de suivre vos concurrents, vous pouvez par exemple utiliser Twitter Search, un moteur de recherche par mots clés qui indexent tous les « tweets ». Un excellent moyen pour surveiller ce qu’il se dit de vous sur le réseau.

C’est aussi une bonne opportunité pour trouver et construire de nouvelles relations avec des personnes que vous ne connaissiez pas auparavant. Entrer en contact avec des journalistes pour diffuser des communiqués, rencontrer de nouveaux partenaires, demander la promotion d’un produit ou d'un événement auprès de blogueurs etc.

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Comment utiliser Twitter ? »
Publié par josephine33 - Dernière mise à jour le 30 juillet 2009 à 12:14 par josephine33




Sujet 18775 - Comment utiliser Twitter ?

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Avec plus de 10 millions d'utilisateurs à travers le monde, le réseau social Twitter fait et défait les buzz sur la toile. Des révoltes en Iran au marketing en passant par l'actu du web 2.0 : rien n'échappe à Twitter. Mais au fait, comment ça marche ?



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Qu'est ce que c'est ?


Concrètement, Twitter est une plate forme gratuite de micro-blogging permettant la diffusion de messages courts (140 caractères) à une liste de contacts personnels. Autrement dit c'est une plate forme d'échanges populaire où se concentre une importante communauté virtuelle ce qui permet ainsi de se créer facilement un réseau en ligne.

Tout comme Facebook, Twitter permet en effet de se créer une liste d'amis, plus communément appelés « followers ». Une fois que ces derniers vous ont ajouté à leur propre liste de contacts, ils pourront suivre vos activités, c'est-à-dire tous les messages que vous posterez sur Twitter. Vous ne souhaitez pas que des inconnus puissent voir ce que vous publiez ? Pas de problème, Twitter permet de restreindre l'accès à votre profil, via l'option « Protect my updates ».

A l'inverse, de votre côté vous pouvez vous créer votre propre liste de contacts personnels, appelés « following ». Pour cela, il faut partir recherchez des contacts dans le moteur de recherche intégré de Twitter .
Remarque : bien que le service soit uniquement en anglais (ou en japonais), son utilisation est très simple et elle permet en plus de renforcer sa présence de son entreprise sur Internet.

Comment s'inscrire ?


Pour pouvoir vous inscrire à Twitter, rendez vous sur la page d'inscription. Pour créer votre profil vous devez bien évidemment renseigner une adresse mail valide, un mot de passe et deux identifiants particuliers. Pour ce dernier point, nous vous proposons de suivre les deux conseils suivant.
Full Name : c'est le nom que vous porterez sur Twitter. Pour cela, nous vous recommandons fortement de choisir le nom de votre entreprise ou celui de votre marque car vous serez nettement mieux identifiable.
Username : l'username est en réalité le nom qui apparaitra dans l'URL de votre profil Twitter. Là aussi nous vous conseillons d'opter pour le nom de votre entreprise Utiliser Twitter pour son business ou de votre marque si ceux-ci sont encore disponibles !

Comment ça marche ?


Une fois votre compte correctement paramétré, vous êtes fin prêt à utiliser Twitter. Avant de commencer quoi que ce soit, dans le menu horizontal situé en haut à droite, cliquez sur « Home ». La page qui s'affiche alors sera votre page d'accueil : c'est la page principale de Twitter, celle qui vous permettra de taper vos messages et lire ceux des autres.

Composer son message


Pour composer vos messages, il vous suffit de cliquer dans le champ « What are you doing ? ». Rappelez vous que vous n'avez droit qu'à 140 caractères par conséquent tachez d'être bref. Une fois votre message rédigé, cliquez sur « Update ». Le message est alors envoyé et il apparaît de ce fait, au dessous, dans la page centrale. Cela signifie ainsi que votre message est désormais visible par tous ceux qui suivent vos activités. Ces messages sont appelé « tweets » (gazouillis en anglais)

Remarque : la partie centrale est aussi l'espace dans lequel vous trouverez les messages envoyés par vos contacts, c'est-à-dire les personnes que vous aurez choisi de suivre. Si vous souhaitez que votre message soit mieux référencé, faîtes précéder vos mots-clés de #

Rechercher des contacts


Passé l'étape de l'inscription, Twitter va vous demander si vous voulez ajouter des amis à votre réseau, en vous en proposant automatiquement ou en allant chercher des adresses dans votre carnet d'adresse mail. A vous de voir si vous souhaitez que Twitter accède à votre boîte mail !

Vous n'êtes pas obligés de suivre vos amis réels mais vous pouvez suivre des marques pour obtenir des informations exclusives ou des blogueurs dont vous appréciez les publications !
Pour rechercher des amis, vous pouvez utiliser la fonction « Find people », située dans le menu du haut.

Fonctions avancées

Les « Direct Messages »


Comme le nom l'évoque déjà un peu, lorsque vous cliquez sur « Direct Messages », dans le menu vertical de droite, vous accédez à l'équivalent de ce que peut être votre boîte mail personnelle sur Twitter.
Lorsqu'un contact vous enverra un message personnel sur Twitter, c'est donc la que vous devrez aller le consulter. De votre côté, si vous voulez répondre à ce correspondant ou bien vous aussi envoyer un message personnel à quelqu'un, il suffit de faire la même manipulation que pour un message classique sauf qu'il vous faut ici choisir le contact en question dans la liste déroulante.

Répondre à un message : @


Lorsque que vous voulez répondre à un tweet, vous avez la possibilité de cliquer sur l'icône « reply » située à côté du tweet que vous souhaitez commenter : Twitter vous renvoie alors au champ de saisie de messages... où vous verrez apparaître @+le pseudo de l'utilisateur qui a initialement posté le lien. Attention, cette réponse est publique : elle apparaîtra donc dans les actualités de tout votre réseau !

Faire suivre un tweet : RT @


Vous avez trouvé un tweet intéressant et vous souhaitez le diffuser dans votre réseau ? Vous devez alors effectuer la même manipulation que lorsque vous souhaitez répondre et faire précéder le @ de RT (Re-Tweet). Vous pouvez ensuite recopier ou reformuler le message que vous souhaitiez diffuser.

Effectuer une recherche


Vous pouvez aussi effectuer une recherche sur Twitter, en utilisant le moteur de recherche situé sur la partie gauche de l'interface. Sous le moteur de recherche, vous verrez apparaître les « Trending topics », c'est-à-dire les expressions les plus recherchées sur Twitter.

Créer une synergie avec votre site ?


Il est possible d'aspirer votre flux Twitter sur votre site Internet ou votre blog. Il est aussi conseillé de faire apparaître un bouton Twitter sur votre site pour transformer vos visiteurs traditionnels en followers. Pour créer ce bouton : http://twitthis.com/

Les comptes certifiés


Twitter a également lancé des comptes certifiés pour lutter contre l'usurpation d'identité. Pour les entreprises, la certification n'est pas encore en vigueur mais le site propose tout de même de poster sa demande pour un usage ultérieur. Gratuite ou payante la certification pour les sociétés ? La question reste entière https://twitter.com/help/verified

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Créer une page Facebook pour son entreprise »
Publié par zora3 - Dernière mise à jour le 29 janvier 2010 à 10:45 par Jeff




Sujet 23421 - E-commerce : les e-boutiques clés en main

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Vous êtes responsable d’un magasin et voulez développer votre activité en ligne ou vous souhaitez vous lancer dans le commerce en ligne ? Dans les deux cas, il vous faudra réfléchir à la création de votre boutique en ligne. Une des solutions, ce sont les boutiques clés en main : une formule location pour démarrer rapidement et sans investissement votre activité en ligne.




Propriétaire ou locataire ?


Pour créer une boutique en ligne, deux principales solutions existent :

De plus en plus d’e-commerçants choisissent ce second type de prestation, particulièrement adaptée aux indépendants, PME et TPE.

Avantages et inconvénients


Vous n’avez qu’à choisir votre boutique parmi les modèles proposés.
Certains prestataires demandent des frais de mise en place, mais le coût reste nettement inférieur à la création de toute pièce d’une e-boutique. Avec un coût mensuel, vous pouvez facilement évaluer dès le premier mois ce que vous rapporte votre boutique une fois les frais de gestion déduits et c’est moins risqué financièrement. Ce qui n’est pas le cas avec une solution propriétaire pour laquelle vous devrez calculer le retour sur investissement.
La prise en main est très facile, les utilisateurs doivent seulement être familiers des outils de bureautique et des navigateurs web. Certains prestataires proposent des formations pour se familiariser avec l’interface de gestion des e-boutiques.
Surtout pendant vos déplacements, puisque l’interface de gestion est accessible depuis n’importe quel ordinateur muni d’une connexion internet. Il n’y a pas de logiciels à installer.

Par contre :
Selon le prestataire et la formule choisie, vous n’aurez pas accès à des fonctionnalités particulières. Par exemple, si la formule sélectionnée n’inclut pas un système de bon d’achat ou un module de newsletter par exemple, vous ne pourrez pas proposer ce service à vos clients, à moins, et si le prestataire le propose, d’opter pour une formule supérieure qui inclurait ce service.
Même chose en ce qui concerne le graphisme, les possibilités de se différencier de vos concurrents restent limitées : couleur, police, …
Pour quelques euros par mois, vous êtes autonome dans la gestion de l’e-boutique.

Pour qui ?


Cette solution convient particulièrement :

Quelle que soit votre situation, des connaissances en logistique, en promotion, etc. sont nécessaires, la e-boutique ne remplace pas le savoir faire du commerçant pour rester concurrentiel sur la toile !

Les prestataires


De nombreux prestataires proposent cette solution “prête à fonctionner” :

Comptez de 30 à 250€ par mois, selon le prestataire, le modèle d’e-boutique et les fonctionnalités sélectionnées.

Vérifiez dans votre contrat si le prestataire prévoit un engagement de durée et/ou une période d’essai.

Pour vous aider à choisir le prestataire adapté à vos besoins, consultez les e-boutiques déjà réalisées, discutez avec les e-commerçants qui ont optés pour ces solutions. Vous trouverez facilement des témoignages et des avis sur les sites des prestataires. Oxatis par exemple a une page dédiée aux témoignages de ses clients, Powerboutique aussi.

Souscrire aux services d’un prestataire


Cette étape nécessite de vous inscrire avec identifiant (votre adresse mail) et mot de passe et de renseigner vos coordonnées. Tous les prestataires ne le proposent pas.
Le prix varie en fonction des fonctionnalités disponibles. Ces fonctionnalités sont listées sur les sites des prestataires, ici pour clicboutique, là pour Powerboutique ou encore là sur Oxatis. Vous choisirez par exemple entre les packs Silver et Gold sur Clicboutic, entre les packs Liberty, Power et Perfect sur id-commerce.
Vous êtes accompagnés dans ces démarches par le prestataire. Vérifier si le coût de l’hébergement, la réservation du nom de domaine et la création d’adresse mails sont compris dans les packs souscrits.

Crédit photo : Chinti - Dreamstime.com

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Les services photo en ligne pour les professionnels »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 18 novembre 2009 à 12:25 par marlalapocket




Sujet 23782 - Les services photo en ligne pour les professionnels

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Pour vos cadeaux d’entreprise et votre communication professionnelle interne et externe, des spécialistes de la photo vous facilitent la tâche, en ligne.




Les prestataires


Ce sont des spécialistes du développement photo et des services liés à la photo. Les quatre sites ci-dessous proposent des offres destinées exclusivement aux professionnels :

De nombreux autres prestataires existent, mais ne disposent pas de services à destination des professionnels : Photostation, myPix, ExtraFilm, etc.

Les produits


Après une sélection de vos photos professionnelles, elles pourront être exploitées pour :

Les livres photos peuvent par exemple être utilisés :
Un moyen de communication original et facile à réaliser !

Les avantages pour les pros


Ces offres pros s’adressent en particulier aux PME, TPE et artisans car :

Souscrire aux offres, utiliser les services


Créer un compte


Il vous suffit pour cela de renseigner une adresse mail, un mot de passe et vos coordonnées.
Vous pouvez préalablement demander un devis pour estimer le coût engagé.

Choisir vos photos


Attention au droit des photos : n’utilisez que des photos dont vous êtes l’auteur ou pour lesquelles vous avez les droits. Vérifiez également que les personnes visibles sur les photos vous ont donné leur accord pour apparaître sur vos produits.

Pensez à la résolution des photos. Jusqu’au format 20x30, un visuel en 2M de pixels suffit. Au-delà de ce format, les photos doivent être de meilleure qualité, jusqu’à 9Mpx pour les formats en 76x114. Mais, à part si vous souhaitez réaliser des posters, la résolution 2Mpx suffit. Retrouvez tous les formats dans la Foire Aux Questions de Photoservice ou dans la rubrique résolution de Photoways.

Exporter vos photos


Deux techniques, suivant la quantité de photos et visuels à télécharger sur le site :

Préférez le format JPEG (.jpg). Les photos prises avec un appareil photo numérique sont en JPEG par défaut. Vérifiez que vos images ne dépassent pas 5Mo, au-delà, le téléchargement sera évidemment plus long et une telle qualité de photo n’est pas utile hormis pour les très grands formats, ce qui n’est pas le cas pour les livres. La vitesse de connexion dépend du poids de vos photos mais aussi de la qualité de votre connexion internet.

Les photos peuvent être transférées depuis :

Retoucher vos photos


Certains prestataires vous proposent de retoucher gratuitement vos photos avant de les intégrer aux produits :
Photobox par exemple a intégré le logiciel Picnik pour les retouches. Vous pouvez rogner, redimensionner, faire pivoter les photos. Vous pouvez aussi corriger les défauts : yeux rouges, exposition, netteté, etc.

Pour utiliser ce service, choisissez une des photos préalablement transférées et sélectionnez l’option « Retoucher la photo avec Picnik » dans le menu déroulant. Une fois les retouches effectuées avec les outils Picnik, enregistrez la photo modifiée.

Se faire livrer


Les tarifs et délais d’expédition sont détaillés ici sur le site de Photobox, là sur le site de Photoservices.
Comme pour tout achat en ligne, vous avez le choix entre différents modes d’expédition : Chronopost, expressiste, transporteur, … les tarifs et les délais font la différence.

Les tarifs


Comptez de 15 à 50€ pour un livre photo, de 10 à 20€ pour un agenda ou calendrier, environ 15€ pour 100 cartes de visite. Plus le nombre de produits commandés est important et plus le prix à l’unité est avantageux.

Deux conseils pour finir : surveillez les offres promotionnelles, notamment à l’approche des fêtes et pensez aux offres packs : Photobox propose par exemple des réductions à partir d’un certain nombre de livres photos, calendriers, agendas, etc. achetés.

Crédit photo : SSilver - Fotolia.com

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Organiser des campagnes de publicité sur Facebook »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 19 novembre 2009 à 15:47 par CommentCaMarche




Sujet 25093 - Organiser des campagnes de publicité sur Facebook

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Organiser des campagnes de publicité sur Facebook


Les réseaux sociaux peuvent constituer un véritable levier e-marketing pour les entreprises qui souhaitent communiquer largement sur leurs produits. Véritable vivier Facebook qui réunit aujourd'hui plus de 350 millions de membres. Bien évidemment, avec un tel carnet d'adresses, Facebook peut aussi être un excellent vecteur pour les campagnes de publicité. Point fort des réseaux sociaux, ils sont accessibles à (presque) toutes les bourses et permettent une véritable maîtrise du budget.

Principe de la publicité


Facebook intègre une solution de publicité payante. Elle permet de faire de la publicité pour un produit, une entreprise ou une fan-page. Ces publicités apparaissent dans la colonne de droite de Facebook, lorsque l'utilisateur est connecté et l'invite à se rendre à devenir fan d'une page ou à découvrir le site d'une entreprise ou d'un produit.

Rédiger sa publicité


Les publicités sur Facebook se doivent d'être très courtes : le site de réseau social n'autorise que les titres ne dépassant pas 25 caractères. Les messages publicitaires sont eux, limités à 135 caractères, soit moins qu'un SMS ! Il faut donc être bien au clair avec le discours que l'on veut mettre en avant car il sera impossible de tout dire ! N'essayez pas de faire des phrases complètes, préférez plutôt le ton direct ! Le ton doit être dynamique voire même incitatif. Idem pour le titre, il doit être incitatif : le format est court et il vous faudra être très convaincant pour attirer l'oeil de l'utilisateur déjà très sollicité par les actualités de son réseau et de ses amis, mis en valeur au centre de la page !

Ne négligez pas non plus l'impact de l'illustration de la publicité. Faites-en sorte qu'elle fasse envie ! Ne choisissez pas une photo trop chargée : l'image étant réduite en miniature, les détails, trop petits seront invisibles pour l'utilisateur. La photographie (ou le dessin) va constituer une véritable porte d'entrée dans votre publicité : choisissez une image qui représente soit fidèlement votre entreprise ou votre produit, soit totalement décalée, ce qui pourrait attirer l'oeil de votre audience.

Payer au clic ou à l'affichage


Facebook propose deux modes de paiement pour les publicités : soit au clic, ce système est alors baptisé CPL (Coût Par Clic), soit à l'affichage, le système est alors baptisé CPM (Coût Pour Mille impressions) par Facebook.

Le paiement au clic


Le coût peut être très modique ! Les mises démarrent à 1$ par jour pour une publicité ! Mais ne vous faites pas d'illusion, pour 1$, votre publicité ne risque pas de vous rapporter beaucoup de prospects ! A l'instar des AdWords Google, vous payez le service au clic. Concrètement, Facebook fait payer les annonceurs à chaque fois qu'un utilisateur clique sur la publicité. Le système est donc rémunéré à la performance. Les annonceurs fixent un budget quotidien à dépenser en publicité, dès que le nombre de clics correspondant au budget est dépensé, la publicité cesse d'apparaître à l'écran. La mise minimale de la publicité au clic est de 0,01$ par clic.

Le paiement à l'affichage


Facebook offre aussi la possibilité de payer la publicité au forfait. Dans ce cas, l'annonceur ne facture pas la publicité au clic, mais au nombre d'affichages de la publicité. Dans ce cas, l'annonceur doit au minimum payer 1000 affichages de la publicité. Le coût minimal de la publicité est alors de 0,02$ pour 1000 affichages.

Cibler sa publicité


Le prix de la publicité dépend avant tout de la cible que l'annonceur souhaite viser. En effet, Facebook permet de créer des filtres sur l'affichage de la publicité, afin de mieux cibler les destinataires de la publicité. Il est possible de définir des profils de cible en fonction :

Plus la publicité est ciblée, plus elle sera efficace... et plus son coût augmentera ! La force de Facebook (et ce qui le met parfois dans l'embarras !) est bel et bien qu'il regroupe des données privées de 350 millions de membres, ce qui ouvre la voie à un marketing très ciblé et plus pertinent.

En outre, on notera que le filtre « emploi » permet de faire de la publicité b to b.
Enfin, le site permet de spécifier des dates de début et de clôture de campagne, ce qui peut être intéressant pour des événements ou promotions limitées dans le temps.

Note


Facebook n'est pas soumis aux lois françaises, puisque le site est hébergé à Palo-Alto, en Californie, aux USA. La réglementation américaine autorise le marketing profilé. En revanche, en France, la CNIL s'est maintes fois positionnée contre l'utilisation de données personnelles à des fins de marketing profilé. Contrairement aux sites français, Facebook n'est pas tenu d'offrir la possibilité de rectification, de modification ou de suppression des données personnelles, comme la Loi Informatiques et Libertés de 1979 le permet en France.

En savoir plus


Créer une page Facebook pour son entreprise
Créer sa publicité sur Facebook
Les conseils pour réussir sa publicité sur Facebook
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 31 mars 2011 à 18:37 par Jeff
Ce document intitulé « Organiser des campagnes de publicité sur Facebook » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.




Sujet 25928 - Professionnels : les 5 applications Twitter indispensables

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Professionnels : les 5 applications Twitter indispensables


Vous savez utiliser Twitter, vous savez ce qu’est un follower, d’ailleurs vous retweetez certains de leurs tweets et il vous arrive même d’envoyer des Twitpics ! Mais savez-vous quelles applications existent pour optimiser votre présence et celle de votre entreprise sur ce réseau social désormais incontournable ? Voici 5 applications à connaître et nos astuces pour bien les utiliser.


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Campagne d’affiliation


Ad.ly, propose aux professionnels un système proche de l’affiliation. Le principe existe déjà avec les bloggeurs : l’entreprise rémunère les bloggeurs afin qu’ils postent une note à leur sujet. Sur Twitter, Ad.ly propose de mettre en relation les entreprises avec des utilisateurs Twitter pour qu’ils twittent sur la marque, contre rémunération.

L’application est en anglais. Son point fort : l’outil statistique pour analyser les retombées de votre campagne d’affiliation.

Pour lancer votre campagne :

Pour avoir accès aux statistiques de votre « campagne d’affiliation », rendez-vous dans la rubrique Analytics.

Multi-comptes


CoTweet est une plateforme qui permet de gérer jusqu’à 6 comptes Twitter de manière collaborative ! Un service très utile si plusieurs de vos collaborateurs et vous-même gérez en commun les comptes Twitter de votre entreprise. Ce service est gratuit.

Comment ça marche ? Voici les étapes à suivre pour bien utiliser ce service :

Veille concurrentiel


Pour savoir ce qui se dit sur vos concurrents, sur vous et connaître les sujets dont on parle dans votre secteur d’activité, plusieurs applications gratuites et simples d’utilisation existent. Parmi elles : Twazzup

Il y a aussi :

Statistiques


Il existe des applications pour savoir combien de fois vos tweets sont cliqués, pour connaître l’évolution du nombre de vos followers, ou encore mesurer la popularité de votre compte. Grâce aux résultats obtenus, vous repérez quels types de tweets sont populaires, optimisez le contenu de vos tweets en fonction et gagnez ainsi des followers et donc de la visibilité.
Dans l’onglet « Tweet Cloud », vous avez un aperçu très visuel des mots les plus utilisés dans vos tweets.
Bit.ly vous permet aussi d’avoir accès à ce type de statistiques. Vous devez au préalable vous enregistrer, c’est très rapide.

Sondages


Enfin, il est possible de réaliser des sondages directement sur Twitter. C’est une manière originale d’être au plus proche de ses clients, prospects, etc. pour répondre ensuite à leurs attentes et augmenter votre chiffre d’affaires !

Leur utilisation est très intuitive :

Les bases de Twitter


Besoin de vous replonger dans le B.a.-ba de ce réseau social ? Consultez ces deux astuces : Comment utiliser Twitter ? et Utiliser Twitter pour son business


Crédit photo : Milos Willing - Fotolia.com

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Le 'deballing' : quelle utilité pour les professionnels »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 22 janvier 2010 à 12:40 par CommentCaMarche




Sujet 26208 - Le 'deballing' : quelle utilité pour les professionnels

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Le "deballing" : quelle utilité pour les professionnels ?


Le deballing, aussi appelé « unboxing » ou « déballage » est une tendance qui consiste à se filmer en train de déballer un produit, à commenter ce déballage et à donner ses premières impressions sur l'utilisation du produit filmé. Une tendance qui s'est d'abord développée chez les férus de technologie, mais que les professionnels ont tout intérêt à adopter pour leur propres produits. En effet, le deballing est un bon outil marketing pour les professionnels qui souhaitent mettre en avant leurs produits, dans l'objectif d'en augmenter les ventes. Nous détaillons dans cet article les astuces pour faire, publier et diffuser une vidéo de « déballage », en qualité professionnelle.


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Avantages et inconvénients


Le service proposé par le site deballer.com est gratuit, il vous permet de publier votre vidéo d'« unboxing » accompagnée d'un article. Il nécessite au préalable l'hébergement, également gratuit, de votre vidéo sur une plateforme de vidéos (Dailymotion, Youtube, etc.)
Votre vidéo, présente à la fois sur deballer.com et sur une plateforme de vidéo, augmente la visibilité de votre entreprise et de vos produits sur le net. Si vous disposez d'un site internet, blog professionnel, page Facebook ou compte Twitter, pensez à relayer l'adresse de cette vidéo sur ces différents supports.
Le temps nécessaire pour réaliser la vidéo, la publier et éventuellement en faire la promotion est à prendre en compte si vous souhaitez vous lancer dans le « deballing ».
Ce type de vidéo rassure les clients sur la fiabilité ou encore l'utilisation du produit. Cela peut être le petit coup de pouce qui les incitera à passer à l'achat.
La vidéo peut tout simplement être un moyen de promotion d'un produit, le « déballage » le fait découvrir à vos potentiels clients.
Le « déballage » vous place dans une situation de conseiller et plus seulement de vendeur avec vos clients.
Aussi, les clients peuvent réagir à votre vidéo en postant des commentaires : cet aspect communautaire, montrant une entreprise proche de ses clients est très bénéfique pour l'image, directement liée au chiffre d'affaires de votre entreprise.

Réaliser la vidéo


*Le tournage
Sélectionner le produit à filmer. Filmer le déballage mais aussi les premières étapes de son utilisation.
Choisissez un décor sobre et zoomez sur le produit pour qu'il soit bien mis en valeur. Veillez à ce que la luminosité soit suffisante et le lieu silencieux pour ne pas parasiter les commentaires du « déballeur ».
Plus d'astuces sur le tournage vidéo.
Windows Movie Maker est un des logiciels gratuits facile à prendre en main pour un 1er montage. Une fois téléchargé, si vous êtes sous Windows, cliquez sur Tous les programmes / Accessoires / Windows Movie Maker pour y accéder, importer les images filmer et commencer votre montage.
Plus d'astuces sur le montage vidéo.
Il serait malvenu sur le site deballer.com de publier une vidéo réalisée par un professionnel. Les vidéos publiées sont brutes, pas d'effet spéciaux ni jeu de lumières. Ce qui compte, c'est l'expérience et les conseils partagés avec le consommateur.

Intégrer la vidéo sur une plateforme


Inscription
Que vous choisissiez YouTube, DailyMotion ou MegaUpload, vous devez dans un premier temps créer un compte. Cette option est disponible sur les pages d'accueil de ces plateformes vidéos, en haut à droite de la page d'accueil. Sélectionner votre nom d'utilisateur (le nom de votre entreprise par exemple) et vos coordonnées. Pour YouTube, vous devez d'abord créer un compte Gmail.

Le fonctionnement est différent sur RapidShare et AppScene. Ces plateformes vous permettent d'importer vos vidéos sur le net sans inscription préalable puis de les diffuser sur d'autres supports grâce à l'URL associée à votre vidéo. C'est plus rapide, mais votre vidéo a moins de visibilité.

Mettre en ligne la vidéo
Sur DailyMotion, (le fonctionnement, très intuitif, est similaire sur YouTube et Megavidéo) une fois connecté :

Diffuser la vidéo sur deballer.com


Le site deballer.com est exclusivement destiné à la publication de vidéos de déballage de produits :


Crédit photo : Spielbergsp - Dreamstime.com

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Flashcode : un moyen de communication mobile »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 29 janvier 2010 à 10:44 par Jeff




Sujet 26712 - Flashcode : un moyen de communication mobile

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Le marketing mobile est en vogue. Le système de flashcode, un code en 2D permettant aux détenteurs d'un mobile d'accéder à une page internet mobile spécifique, n'est plus destiné qu'aux grandes entreprises. Les PME ont de bonnes raisons de s'y mettre également, nous vous expliquons dans cet article pourquoi et surtout comment faire profiter à vos clients de ce nouveau service mobile.


Le principe


Avez-vous déjà remarqué ces codes en 2D sur les emballages des produits, les sites internet, les panneaux d'affichages, les prospectus, etc. ? Comment ça marche ? Les utilisateurs de téléphones portables bénéficiant d'une connexion internet (iPhone et Androïd notamment), photographient le flashcode et le téléphone fait le reste : l'utilisateur accède directement à la page web mobile liée à ce flashcode.

Objectifs et utilisations des flashcodes


Le flashcode, et plus généralement le marketing mobile, sont des moyens :

L'activation du flashcode sur le mobile de l'utilisateur et potentiel client, peut déclencher différentes actions :

L'AFMM propose aux éditeurs de flascode, vous en l'occurrence en tant qu'entreprise, de découvrir des exemples existants d'utilisation, celui des pages jaunes pour n'en citer qu'un.

Pré-requis et prestataires


Le pré-requis pour proposer ce service à vos clients est d'être présent sur l'internet mobile pour que le flashcode puisse renvoyer l'utilisateur vers du contenu concernant votre entreprise et adapté à la navigation mobile. Il vous faut donc au préalable :

Voici ensuite les étapes à suivre pour trouver un prestataire distributeur flashcode et souscrire un contrat :

*

Assurez-vous que le prestataire :

Où apposer les flashcodes ?

Pour utiliser le service, les détenteurs des mobiles devront télécharger une application pour pouvoir décrypter le flashcode. Plusieurs possibilités pour télécharger cette application (pensez à faire part de ces astuces à vos clients via vos outils de communication):


Crédit photo : France Télécom

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Alliance Microsoft-Yahoo : ce qui va changer pour les pros »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 19 février 2010 à 15:02 par CommentCaMarche




Sujet 27077 - Alliance Microsoft-Yahoo : ce qui va changer pour les pros

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]



L'alliance Microsoft - Yahoo vient d'être validée par la commission européenne et le département de la Justice américain. Ce partenariat qui unit les deux géants dans la recherche sur internet devrait révolutionner le marché des liens sponsorisés à l'horizon 2012. Avec l'utilisation d'un seul de moteur de recherche, Bing, pour deux réseaux de contenus -Yahoo et Microsoft-, l'objectif est clair pour les deux géants : augmenter le volume de recherches et les revenus générés par les liens sponsorisés afin de concurrencer Google sur cette niche. L'enjeu marketing est de taille pour les entreprises : avec de nouveaux débouchés pour leurs liens sponsorisés et une meilleure visibilité sur internet. Pour les éditeurs de site web, les bénéfices sont également prometteurs : notamment pour la monétisation de leurs espaces publicitaires.

Alliance Yahoo - Microsoft : fonctionnement et enjeux


Le moteur de recherche de Microsoft « Bing » est au centre du partenariat commercial entre les deux géants : les plates-formes payantes et algorithmiques de Yahoo Search vont ainsi migrer vers Microsoft, qui sera en charge de la partie technique des recherches grâce à Bing. Le moteur sera utilisé pour les recherches effectuées sur les réseaux Microsoft et Yahoo.

L'enjeu commercial pour Microsoft et Yahoo : augmenter le volume de recherches, le nombre d'annonceurs affiliés, et s'imposer comme une alternative à Google sur la niche du Search Engine Marketing.

Objectif : 30% de part de marché sur la recherche internet


Selon la dernière mesure d'audience réalisée par l'agence de recherche en marketing Comscore, le volume de recherches effectuées sur Bing aux Etats-Unis atteint environ 10%. Cumulé aux volume de recherchés effectuées sur Yahoo Search (20%), l'objectif est donc d'atteindre 30% de parts de marché et de permettre aux annonceurs d'élargir leur audience.

Alliance Yahoo - Microsoft : ce qui va changer pour les annonceurs

Fusion des régies publicitaires : Microsoft Adcenter, unique plateforme


Les annonceurs achèteront leurs liens sponsorisés sur un seul espace : Microsoft adCenter. Les liens seront affichés de la même façon sur les résultats de recherches de Bing et Yahoo. Ce qui facilitera la gestion des campagnes pour les annonceurs et élargira l'éventail de leurs clients potentiels.

Les utilisateurs des régies de Yahoo et Microsoft migreront vers Microsoft AdCenter à l'horizon 2012.

A noter : Jusqu'à la transition, les régies Microsoft AdCenter, Yahoo Marketing Search (annonceurs) et Yahoo Publisher Network (monétisation de sites web) continuent de fonctionner normalement.

Visibilité accrue des campagnes publicitaires : gain quantitatif


Grâce aux recherches combinant les réseaux d'annonces des deux partenaires, le couple Yahoo-Microsoft espère atteindre 150 millions d'utilisateurs.

Optimisation des résultats : gain qualitatif


En marge de son alliance avec Microsoft, Yahoo veut modifier en profondeur le rendu des résultats des recherches effectuées via Bing sur sa plateforme. Notamment en s'appuyant sur « l'expérience utilisateur ». Cette innovation passe par le réagencement des résultats, l'organisation des informations en grandes thématiques, et surtout la participation de l'utilisateur à l'ordre des liens apparaissant dans la liste de résultats, selon un critère de pertinence.

Autant d'options de recherche qui facilitent la navigation et augmentent l'exposition des liens sponsorisés achetés par les annonceurs.

Outils de rapprochement annonceurs/consommateurs


Yahoo indique également son intention de développer des outils de recherche facilitant le rapprochement entre annonceurs et consommateurs : ils permettraient aux utilisateurs d'obtenir des résultats plus conformes à leurs attentes. Ces outils permettraient d'afficher les liens sponsorisés dans un contexte de recherche plus pertinent et donc d'améliorer le taux de clics.

Ce qui va changer pour les éditeurs de site web

Meilleure monétisation du contenu


Les éditeurs de site web qui cherchent une alternative au programme Adsense de Google devraient tirer avantage de l'alliance Microsoft-Yahoo pour valoriser leurs espaces publicitaires. L'augmentation du volume de recherches et l'affiliation de nouveaux annonceurs au programme de liens sponsorisés permettraient :

De diversifier et d'augmenter le nombre de mots-clés monétisés
D'afficher des liens plus conformes au contenu du site
D'augmenter les revenus générés par les annonces

Développement du référencement sur Bing


Les éditeurs de site web devront tenir compte de l'augmentation du volume de recherches sur Bing. Notamment pour améliorer leur référencement naturel sur le moteur de recherche de Microsoft : et ce à plus forte raison s'ils monétisent leurs espaces via la future régie publicitaire Yahoo.

Les liens


Yahoo et Microsoft ont mis en place deux plateformes d'informations pour renseigner les annonceurs sur la migration prochaine de leurs comptes vers la future régie publicitaire unique, Adcenter.

Centre de transition de Yahoo (en anglais)
Centre de transition de Microsoft (en anglais)

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Créer une application professionnelle pour iPhone »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 5 mars 2010 à 11:29 par CommentCaMarche




Sujet 28947 - Utiliser les réseaux sociaux pour sa stratégie B2B

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Le web 2.0 est devenu aujourd'hui un média à part entière : média de contenus, média de partage, réseaux sociaux...Dans la sphère privée, le web 2.0 explose littéralement : blogs, utilisation de réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, myspace, forum d'échange et d'entraide...

Dans un cadre professionnel d'une stratégie BtoB, l'entreprise a tout intérêt à utiliser les réseaux sociaux : pour mettre en avant son expertise, pour être visible, pour s'exprimer...
Comment utiliser ces réseaux sociaux ? Comment y mettre en place une stratégie marketing efficace ? Quels outils utiliser ? C'est ce que nous détaillons dans cet article.


Socialisation du web : une nouvelle approche du marketing


Le constat est simple : les sites internet « classiques » et les moteurs de recherche sont dorénavant surpassées par les médias sociaux : Facebook notamment, qui pour la première fois sur une semaine pleine en 2010 a dépassé le géant Google en terme d'audience (Sources : Le Monde).

Qu'est ce que cela signifie ? Pour trouver une information, les internautes passent désormais par ces plates formes sociales : on assiste à la socialisation du web, qui engendre de nouvelles méthodes de transmissions de messages.

Un nouvel outil marketing : L'Inbound



L'Inbound marketing regroupe :

Dorénavant, les 2 critères auxquels doivent s'attacher les entreprises sont la visibilité et la présence sur le net.

Les avantages d'une stratégie marketing 2.0 pour l'entreprise

Repérage de nouveaux contacts et méthodes d'attraction


Les médias et réseaux sociaux utilisent une véritable stratégie d'identification et d'attraction des nouveaux clients de qualité. Ces réseaux sociaux permettent facilement d'avoir accès à des informations récentes (car elles sont publiées par le contact lui-même), valides et complètes : souvent, les internautes n'hésitent pas à divulguer leurs coordonnées personnelles, identifiant Skype, email, téléphone...

Améliorer sa visibilité sur Internet


Nous l'avons vu précédemment : être visible sur le net est un facteur essentiel pour une stratégie marketing web de qualité. Depuis fin 2009, Google et Bing intègrent même dans leurs résultats de recherche des messages présents sur certains médias et réseaux sociaux. Ainsi, le contenu publié par les internautes, pro ou particulier, possède une vraie valeur ajoutée.
Les entreprises doivent ainsi créer du contenu de qualité, encourager les contributions et régulièrement mettre à jour leur actualité.

Démontrer sa crédibilité et son expertise


L'échange de savoir-faire et d'entraide prime sur les réseaux et médias sociaux : en se positionnant en tant qu'expert dans un domaine spécifique, l'entreprise peut participer à ses échanges en apportant de vraies réponses qualitatives et pertinentes.

La stratégie marketing 2.0

Questions préalables


Avant toute chose, plusieurs critères doivent être pris en compte pour l'élaboration d'une stratégie marketing :

Les outils


Le contenu


Une règle d'or est à observer en matière de web 2.0 : bien souvent, le contenu est plus important que le contenant. L'un des principes des réseaux sociaux est ce que nos voisins anglo-saxons appellent le « Give to Get » : avant de recevoir des informations, il faut en amont avoir donné, renseigné, contribué...

Les contacts potentiels cherchent une information rapide, claire, gratuite et complète : l'ensemble de vos documents doit correspondre à ces critères, et doit également respecter l'écriture web. Ces documents ne doivent pas posséder de dimensions « commerciales » : il est important de faire ressortir le côté « expertise » et informatif.

L'animation


L'animation des contributeurs et les actions de veille sont souvent pilotées par le « community manager ». Cette personne doit posséder des qualités essentielles au bon déroulement de la stratégie :
En interne, des personnes peuvent être formées pour ces missions. En externe, vous pouvez faire appel à un prestataire expert en animation, rédaction de contenus éditoriaux, actions de référencement avec qui vous travaillerez en étroite collaboration.

Retour sur Investissement


La stratégie média et réseaux sociaux doit également comporter une partie « Retour sur investissement » qui permet de faire une analyse complète des retours, au niveau qualitatif et quantitatif.

Mais dans le domaine des réseaux sociaux, la mesure d'une campagne sociale est difficile à réaliser. On parle plutôt de ROA : retour sur attention, qui est mieux adapté aux spécificités d'Internet. A partir du moment où un site est apprécié par une communauté, il devient une référence et les internautes vont lui apporter toute leur attention : c'est la confiance qui prime sur le net. C'est cette confiance qui est facilement mesurable.

Pour aller plus loin


E-marketing : quel réseau social mobile choisir ?
Pourquoi et comment recruter un Community Manager ?
Mettre en place un système de veille de son e-réputation

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E-commmerce : choisir le bon moyen de paiement »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 8 juillet 2010 à 12:27 par CommentCaMarche




Sujet 29040 - E-commmerce : choisir le bon moyen de paiement

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Le choix entre différentes solutions de paiement s'impose aux sites de vente en ligne. C'est à la fois pour le consommateur un gage de sérieux et un moyen efficace de les rassurer. D'où l'importance d'offrir un éventail de modes de paiement afin d'attirer de nouveaux clients et d'en fidéliser d'autres. Un acte stratégique quand on sait que le secteur des sites marchands devient de plus en plus concurrentiel. Selon une étude de la Fédération du E-commerce et de la Vente A Distance (Fevad), le nombre de sites de vente a crû de 35% en 2009.


Des solutions en fonction des besoins de l'entreprise et de ses clients


Avant de proposer des moyens de paiement sur un site de vente en ligne, il est important de bien connaître les besoins de l'entreprise et les spécificités du marché. L'efficacité des modes de paiement dépend de plusieurs facteurs :

La carte bancaire, le grand classique


C'est l'un des moyens les plus couramment utilisés. Via un réseau de paiement (Visa, MasterCard, American Express, JCD...), il suffit d'utiliser sa carte bancaire pour financer l'achat. Le client communique certaines données confidentielles comme le numéro à 16 chiffres, les 4 chiffres de la date de validité et les 3 derniers chiffres du pictogramme au verso de la carte. Afin d'éviter les fraudes et de rassurer l'acheteur, les boutiques en ligne utilisent par exemple le protocole SSL qui permet de crypter les messages transmis.

Les moyens de paiement facilitant l'achat


Les e-commerçants choisissent ce type de paiement s'ils souhaitent conquérir un marché, faciliter la transaction ou inciter des clients réticents à l'achat.

Les moyens de fidélisation


Vous souhaitez fidéliser vos clients ? Plusieurs solutions s'offrent à vous.

Les moyens de paiement en Europe et à l'international


S'étendre à l'international demande plusieurs pré-requis. Faire traduire les pages relatives aux conditions générales de vente, à la sécurité, la livraison... Il faut aussi que les habitudes d'achats des consommateurs étrangers soient respectées. Par exemple, en Allemagne, les clients ont recourt fréquemment au mode de prélèvement électronique ELV, alors qu'en France, c'est la carte bancaire qui prédomine. De plus, les entreprises doivent faire attention aux différences de devises à l'échelle internationale, qui impliquent généralement des coûts supplémentaires.

Avec ou sans contrat de vente à distance (VAD) ?


Le paiement en ligne entre l'entreprise et le consommateur s'effectue avec ou sans contrat de vente à distance (VAD).

Les prestataires du paiement en ligne


Plusieurs entreprises proposent des moyens de paiements originaux et novateurs, intégrés à votre site en ligne.

Ogone
En conformité avec les standards de sécurité PC1-DSS, ce prestataire propose une large gamme de moyens de paiements pour toutes les boutiques en lignes : cartes privatives, virements sécurisés par I-phone, « prise d'empreinte » pour la carte bancaire...

Atos Worldline
Société spécialisée dans la gestion de la relation client sur Internet ainsi que dans le paiement sécurisé par téléphone via interface vocale.

Receive & Pay
Ce prestataire se positionne sur la sécurité du paiement, la vérification des commandes et la fidélisation des clients. Deux freins tenaces dans l'esprit de certains consommateurs.

Paybox et EMS card
Ces deux prestataires spécialisés dans les paiements du e-commerce et du traitement par carte à l'international coopèrent pour offrir des solutions lors des transactions effectuées hors de France.

Hi-Media
Hi-Media a lancé Hipay, un moyen de paiement électronique sécurisé qui propose notamment une gestion mutlicompte, le paiement par e-mail...

Limonetik
Prestataire spécialisé dans les paiements alternatifs (cartes-cadeaux, cartes de fidélité...).

En savoir plus:
Créer sa boutique en ligne
Les paiements en ligne
Multiplier les moyens de paiement: une question d'équilibre


Crédit photo : Fotolia.com - © Martin Fally

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La recommandation sociale : nouveau défi pour les entreprises ? »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 16 juillet 2010 à 17:24 par CommentCaMarche




Sujet 29445 - La recommandation sociale : nouveau défi pour les entreprises ?

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Composante essentielle du web 2.0, la "recommandation sociale" est au coeur du fonctionnement des réseaux sociaux. Partage de contenus éditoriaux, de vidéos, commentaires sur les produits ou les marques : les membres des communautés sont de plus en plus influencés par le jugement de leurs pairs. A tel point que l'avis des "amis" a un impact croissant sur les choix de consommation, selon plusieurs études récemment publiées. Une tendance que l'on observe plus particulièrement sur Facebook, et qui s'intensifie aujourd'hui avec le succès du bouton "I like", véritable moteur de recommandation sociale. Mais le phénomène gagne aussi du terrain du côté des moteurs de recherche, et depuis récemment, s'épanouit sur les réseaux sociaux géolocalisés. Un changement profond, que les entreprises devront certainement anticiper. Le point sur les évolutions récentes, et les enjeux qu'elles recouvrent.


Facebook au coeur de la recommandation sociale

55% des utilisateurs de Facebook influencés par leurs amis


Point névralgique de la recommandation sociale, Facebook représente aujourd'hui un enjeu économique majeur pour les entreprises. Son interface, conçue pour le partage de contenus, et son fonctionnement arborescent, qui permet facilement d'accroître son réseau "d'amis", amplifie l'écho des "recommandations" des membres auprès de leur communauté.

Cette tendance s'accompagne d'un changement comportemental significatif : les membres se fient de plus en plus à l'avis de leurs pairs pour l'achat de produits ou pour l'affiliation à une marque. Une donnée mise en évidence par une étude récemment publiée par le cabinet e-tailing et le fournisseur de solutions de marketing web Power Reviews. Selon celle-ci, sur 1000 e-consommateurs familiers des réseaux sociaux, plus de la moitié d'entre eux estiment que les avis publiés par leurs amis sur Facebook influencent leurs décisions d'achats, soit autant que les avis de leurs proches qui partagent les mêmes intérêts. Ces deux facteurs devancent les avis d'experts sur internet (51%), les contenus diffusés par les marques elles-mêmes, et les articles publiés par les blogueurs influents (26%).

Ce "pouvoir d'influence" est à mettre en parallèle avec le rôle assigné à Facebook en tant que source d'informations fiable sur les marques et les produits. Si l'on en croit une étude menée par le fournisseur de solutions d'analyse ROI Research auprès de 3000 usagers réguliers des réseaux sociaux, 41% d'entre eux utilisent Facebook, entre autres occupations, à cette fin.

Le bouton "I like" : l'avenir de la recommandation sociale ?


Une autre enquête, menée par Performics, fournisseur de solutions marketing appliquées aux moteurs de recherche, va dans le même et souligne, outre l'importance décisionnelle dévolue aux amis, followers, et autres fans, le rôle croissant du bouton "I Like" dans le processus de recommandation sociale. Adopté par 350.000 sites internet à travers le monde, et utilisé quotidiennement par 65 millions d'utilisateurs -selon les statistiques fournies par le site Allfacebook.com-, ce nouveau standard de la recommandation sociale remporte un succès croissant. Il s'écarte des boutons "de partage de contenus" dans la mesure où il attribue plus clairement une évaluation positive sur un contenu éditorial, un produit particulier, une marque, etc.

Le Social Graph : passerelle entre les plateformes communautaires


Le terme "Social Graph", inventé par le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg lors d'une Keynote mémorable il y a deux ans, désignait au départ le réseau de relations internes à chaque membre de Facebook ("semblable aux arbres de connaissance"), facteur d'amélioration de l'expérience des utilisateurs on-line, notamment en termes de richesse et de disponibilité de contenus, plus proches de leurs centres d'intérêts. Depuis peu, le patron de Facebook a mis à jour cette notion, et parle désormais "d'Open Graph", qui permettrait de relier entre elles, via notamment les applications et plug-ins fournis par Facebook, les différentes branches communautaires du web : "Yelp représente la partie du graphe liée aux commerces de proximité, Pandora celle qui est reliée à la musique. Si on parvient à relier ces parties entre elles, alors on crée un web plus intelligent, plus social, plus personnalisé et plus sensible à la sémantique". L'objectif est bien sûr d'augmenter les possibilités de partage de contenus avec sa communauté, ce qui devrait renforcer un peu plus le pouvoir de la "recommandation sociale" à l'intérieur Facebook. L'un des outils précurseurs de cette intégration est la fonctionnalité "Facebook Connect" qui permet aux utilisateurs de se logger à quelque 15.000 sites web en utilisant leur identifiant et mot de passe Facebook (ex : Digg, Yelp, YouTube).

Autre exemple d'intégration plus récent : le lancement par Amazon d'un outil de recommandation sociale lié à Facebook, qui suggère des propositions d'achats à l'utilisateur en fonction des données recueillies sur Facebook (goûts et centres d'intérêts de l'usager, et des membres de son réseau)

Moteurs de recherches, services géolocalisés et recommandation sociale

Les nouveaux moteurs de recherche basés sur la recommandation sociale


Facebook n'est pas la seule illustration du développement de la recommandation sociale comme facteur de décision à l'achat de produits et de services. A une échelle il est vrai moins importante, mais néanmoins significative, on assiste depuis plusieurs mois à l'éclosion de moteurs de recherche basés sur le même principe. C'est le cas par exemple de Nomao, un moteur de recherche géolocalisée tient compte des recommandations des internautes dans l'affichage de ses résultats (tels que des commerces de proximité, restaurants, etc). Participatif (les internautes disposent d'un bouton "J'aime" qui fait évoluer le classement), ce moteur de recherche peut également être relié à Facebook. D'autres moteurs reposent sur des principes équivalents : comme Tumbup, Tall Steet, GetGlue, ou encore Stumbleupon.

La recommandation sociale en version géolocalisée


Le premier semestre 2010 a été marqué par l'émergence de nouveau réseaux sociaux géolocalisés, à l'image de Foursquare et Plyce. Ces deux acteurs exploitent les fonctionnalités de géolocalisation des smartphones pour permettre aux utilisateurs de s'enregistrer en temps réel dans les lieux qu'ils fréquentent : au coeur de ces réseaux sociaux, la possibilité d'évaluer un lieu, de signaler des événements spéciaux ou de commenter des services et offres promotionnelles, bref, de le recommander (ou non). Facebook, via son nouveau service Facebook Places lancé il y a deux semaines, qui entend permettre à ses membres "d'écrire l'histoire collective attachée à un lieu", selon le responsable du développement de ce nouveau service Michael Eyal Sharon, vient renforcer l'offre de services de recommandation sociale pour les mobinautes.

Quels défis pour l'entreprise ?


La "recommandation sociale" pose plusieurs défis aux entreprises : en terme de notoriété, de maîtrise de l'image de marque, de relation clients, de techniques marketing, etc. On peut citer quelque défis à venir dans les domaines suivants :

- Efficacité des campagnes d'emailing. Une étude publiée récemment par la plateforme d'e-mail marketing GetResponse portant sur l'efficacité des campagnes d'emailing établit par exemple un lien entre la présence de boutons de partage sur les mails commerciaux et l'augmentation du taux de conversion (+55%). L'intégration de ce composant semble donc nécessaire.

- E-réputation. L'intensification de la présence des entreprises sur les réseaux sociaux semble être une évolution incontournable, si l'on en croit les résultats d'une enquête réalisée par le fournisseur de solutions d'e-marketing aux entreprises "ExactTarget", ayant Twitter pour objet d'étude. Celle-ci démontre en effet que les utilisateurs de la plateforme de microblogging, grands fournisseurs de contenus web, sont trois fois plus susceptibles d'impacter sur la réputation d'une marque qu'un consommateur moyen. D'où l'importance pour les entreprises de "dialoguer" avec ces influenceurs, qui sont également des "recommandeurs".

- Ecommerce : comme l'illustre le nouvel outil de social shopping d'Amazon, les outils de recommandation basés sur l'analyse des informations publiées par les membres des réseaux sociaux pourraient occuper une place centrale dans le processus de décision d'achat.

- Blogging : Si le bouton "I like" de Facebook promeut librement les contenus publiés sur internet, les entreprises devraient gagner à produire des contenus susceptibles d'être partagés par leurs lecteurs, pour asseoir leur présence sur les réseaux sociaux.

En savoir plus


L'étude de Performics
Etude de Get Response
La croissance du social shopping
La Twittosphère : baromètre de l'e-réputation ?
Email marketing : les boutons de partage sont-ils devenus indispensables ?

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Bien référencer son site sur Bing »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 3 septembre 2010 à 12:17 par CommentCaMarche




Sujet 29635 - Bien référencer son site sur Bing

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D'ici quelques mois, le moteur de recherche Bing générera plus de 30% des résultats sur les recherches par mots-clés, tous moteurs confondus : un effet mécanique qui résulte de l'alliance entre Yahoo ! - Microsoft, et fera bientôt de Bing le principal concurrent de Google. Une évolution qui ne passe pas inaperçue, et qui oblige les webmasters, blogueurs professionnels, et administrateurs de sites internet d'entreprise à se pencher sur les techniques de référencement spécifiques au moteur de recherche de Microsoft. S'il il y a de nombreux points communs avec les règles d'indexation sur Google, Bing présente également quelques particularités. Voici un mini-guide des points à surveiller pour soigner son référencement sur Bing.


Optimisation du référencement sur Bing : conseils de base


Bing rejoint Google dans les grandes lignes, en ce qui concerne les règles élémentaires du référencement naturel des sites web. Dans sa "Tool Box", le moteur de recherche de Microsoft rappelle donc quelques fondamentaux, et recommande notamment :

- D'utiliser des balises titres (Titles) pertinentes et uniques sur l'ensemble des pages web (elles doivent contenir les mots-clés reflétant le contenu de la page)
- De faire une description succincte du contenu via les méta-tags ou méta-balises
- D'optimiser les balises "Headers" dans le contenu, en soignant particulièrement le niveau H1
- De mailler ses contenus avec des liens de navigation interne
- De fournir un plan de site XML
- De créer des fichiers Robots.txt

Le format d'URL


Bing recommande de composer des URL aussi simples que possibles : le moteur se base ainsi sur l'expérience utilisateur : de même qu'une URL courte est simple à mémoriser et à ranger dans ses favoris, de même elle sera plus facile à indexer par Bing qu'une URL à rallonge.

Les URL doivent également être stables : Bing pénalise les redirections d'adresses, et ne comptabilise pas les liens entrant des adresses caduques redirigées, ce qui nuit à l'indexation des pages aux URL modifiées.

Répartition/Disposition du contenu


- Bing recommande de thématiser son contenu, sur le principe "un sujet par page". Les pages web sans photo ne doivent pas excéder 150 KB.

- Question de logique, si l'on souhaite référencer ses données de contacts (ex : pour les entreprises) , il faut veiller à ce que celles-ci figurent textuellement sur la page web, en plus de l'image ou du logo qui pourrait les diffuser.

- Soumettre une plan de site (sitemap) est essentiel pour aider le référencement des pages web : surtout si votre site comporte des liens incorporés au menu qui ne sont pas accessibles par MSNBot. Voir ici pour soumettre une sitemap.

- Le site ne doit pas comporter trop de niveaux d'arborescence : Bing recommande que chaque page web se situe au maximum à trois clics de la page d'accueil.

Les liens entrants et sortants


Liens entrants : Bing précise que l'acquisition de liens d'autorité entrants est une des clés du référencement sur le moteur. La qualité des backlinks est donc essentielle. Pour cela, les sites web référents doivent avoir une bonne notoriété (Page Rank), et une thématique connexe à son propre contenu (pertinence).

Liens sortants : la même règle s'applique aux liens sortants. Bing recommande l'insertion de liens de qualité : plus ceux-ci seront suivis, plus le contenu associé sera jugé pertinent, ce qui permettra d'améliorer le référencement du site.

Trois erreurs à ne pas commettre


A l'image de Google, Bing n'aime pas les "tricheurs" du référencement : qu'il s'agisse de copier-coller du contenu (duplicate content) ou de saturer une page web de mots-clés, la sanction est toujours la même du point de vue de l'indexation du site : le risque de voir son Page Rank régresser, voir d'être banni des résultats du moteur, est donc bien réel.

Bing recommande en outre d'éviter les trois conduites suivantes :

- Augmenter artificiellement le contenu textuel d'une page avec des mots-clés non pertinents : notamment en surexploitant l'attribut ALT dans ses pages web, pour glisser des mots-clés qui ne reflètent pas le contenu de celles-ci.
- Utiliser des mots et liens invisibles
- Utiliser la technique dite de "Link farming", par laquelle certains référenceurs génèrent automatiquement, ou manuellement (en tous cas artificiellement) des liens vers leur site web pour en améliorer le Page Rank.

En savoir plus


Bing Toolbox : ressources pour les webmasters, développeurs et marketers
Le forum de discussions officel de Bing
Les blogs officels de Bing par thème (webmaster, développeur, etc.)

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Dictionnaires et traducteurs multilingues en ligne »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 24 septembre 2010 à 13:29 par CommentCaMarche




Sujet 29677 - Dictionnaires et traducteurs multilingues en ligne

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Les outils de traduction et dictionnaires multilingues en ligne sont de précieux atouts pour la réalisation de tâches régulières ou ponctuelles nécessitant des compétences en langue étrangère. Qu'il s'agisse de l'écriture (et lecture) de rapports, de la rédaction de mails, de la traduction/formalisation de documents administratifs ou de contrats : ces outils peuvent être utiles quand le recours à un traducteur professionnel est trop coûteux, ou n'est pas jugé indispensable. Voici une sélection d'e-outils linguistiques gratuits, et particulièrement performants.


Dictionnaires multilingues en ligne

Reverso


Ce site propose une traduction par texte, phrases, ou simple mot qui peuvent être écoutés par une fonction audio. Si un mot, ou le sens de la phrase lui est inconnu, il traduit mot à mot en plaçant une alternative aux mots qui possèdent une autre signification.
Afin d'optimiser la traduction, il permet une correction de la phrase française.

Comprends les langues suivantes: anglais, allemand, espagnol, italien, russe, chinois, arabe, hébreu, japonais.

Pour qui ? : Pour tous. Cependant, les entreprises verront plus d'avantages à la version payante.

Les plus

Simplicité et rapidité. L'audio, les suggestions, la correction de la langue française.Dans le cas d'une traduction d'un seul mot, il renvoie au dictionnaire qui propose alors toutes les significations répertoriées.

Reverso

Wordreference.com


Ce site propose plusieurs dictionnaires multilingues et un dictionnaire unilingue en anglais. Pour la recherche de traduction de mots du français vers l'anglais (et vice versa), Il comprend plus de 100.000 références et 250.000 traductions, ce qui en fait l'un des dictionnaires en ligne les plus complets et les plus fiables. Il propose également la traduction dans les deux sens français<->espagnol et des fonctions de traduction multilingues anglais<->allemand, russe, italien.

Pour qui ? :

Il répond autant aux besoins des linguistes que des professionnels ayant besoin de traduire des termes techniques : il fournit par exemple des traductions de mots appartenant à des champs lexicaux très spécialisés (science, marketing, domaine juridique etc.)

Les plus
- A l'image d'un dictionnaire classique, les traductions de mots comprennent tous les sens/acceptions possibles, avec des exemples d'utilisation.
- La transcription phonétique des mots, la morphologie (pluriel-singulier, genre), la catégorie grammaticale (nom, adjectif), et le régime des verbes (transitifs, intransitifs) sont indiqués.
- Le dictionnaire unilingue anglais propose une fonction d'écoute des mots.
- Il suggère des formes composées à partir du mot traduit (ex : le mot anglais "advocate" ? "devil's advocate" ? "l'avocat du diable").
- il propose un forum de discussions auquel renvoie le mot traduit si une discussion le concernant est disponible.

Bab.la.fr


Ce portail de langues propose notamment des traduction français <-> anglais, allemand, italien. Il comprend au total 25 dictionnaires, avec 15 langues représentées. Il sert à la fois de dictionnaire multilingue et de sources d'apprentissage de langues (quizz culturels et grammaticaux, leçons de vocabulaire, exercices ludiques). Il comprend également un forum de discussions, à l'image de WordRefence.com.

Pour qui ? S'il accompagne l'apprentissage des langues avec ces outils pédagogiques, Bab.la.fr répond aussi à des besoins de traduction technique (ex : contextualisation des emplois).

Les plus
- La visualisation des entrées traduites est très rapide, avec les différents sens possibles des mots et leurs synonymes, ce qui permet de ne pas perdre trop de temps.
- Il fonctionne comme un wiki : les utilisateurs peuvent participer en proposant leurs propres traductions, en éditant celles déjà présentes, et en fournissant des exemples d'emplois.
- Il propose un service de traduction payant, par un traducteur assermenté (ex : français ->14 langues)

Linguee.com : traduire les expressions et tournures idiomatiques


Linguee.com permet de traduire des combinaisons de mots et tournures idiomatiques (seul l'anglais est disponible à partir du français) en contextualisant la traduction du mot ou de l'expression en question.

L'originalité de cet outil est qu'il repose sur une base de données de textes traduits par des professionnels, avec des correspondances d'une langue à l'autre : ainsi, une requête tapée (ex : français --> anglais) génère deux fenêtre en vis-à-vis : d'un côté, le mot/expression français et ses différents contextes d'emplois issus de documents officiels, et de l'autre le mot traduit en anglais, tel qu'il apparaît dans la version anglaise du document français. L'utilisateur peut comparer les différentes occurrences et choisir celles qui conviennent le mieux à son besoin de traduction.

Pour qui ? Pour les besoins de traduction professionnelle et technique (ex : formalisation de rapports.)

Traducteurs de textes multilingues en ligne

Les traducteurs des portails et moteurs de recherche


Les traducteurs en ligne de Google (qui permet aussi de traduire des pages web) et Bing proposent plus de 30 langues de traduction à partir du français (et à partir d'autres langues). L'outil de traduction en ligne Babel Fish de Yahoo permet notamment de traduire du français (et vice versa) vers l'anglais, l'allemand, le grec, l'italien, l'espagnol, le néerlandais et le portuguais (prend en charge les traductions de pages web). A noter que ces outils produisent des traductions parfois très inégales selon les langues, et la nature du texte à traduire.

Tradukka.com


Ce service de traduction en ligne supporte 52 langues et permet la traduction de textes dans une limite de 5000 caractères : outre sa grande fiabilité pour un outil gratuit, son principal intérêt réside dans son outil de détection automatique des langues (il n'est pas nécessaire de sélectionner la langue d'origine qui est reconnue instantanément). De même, il génère les traductions en temps réel, ce qui évite d'avoir à cliquer sur le bouton "traduire" et permet de gagner du temps.

Promt.fr


Cet outil, qui permet de traduire du français vers l'anglais, l'allemand, l'espagnol et le russe (et vice-versa) présente une particularité : il propose un "filtre" de traduction par domaine thématique, ce qui est censé permettre d'affiner la qualité de la traduction (ex : communication, business, informatique, médecine, etc.). Il comprend également un outil de vérification orthographique

Imtranslator.net


Cet outil qui admet des traductions dans une trentaine de langues offre plusieurs outils en plus de la traduction : vérification orthographique, clavier virtuel, transcription vocale des textes. Petit plus : une extension du service est disponible sous la forme d'un plug-in pour Firefox.

Lingoes : plusieurs moteurs de traduction en un seul logiciel


Lingoes est un logiciel gratuit qui propose un dictionnaire et traducteur de texte multilingue (jusqu'à 23 langues supportées). Il regroupe sur une même interface plusieurs moteurs de traduction : dont Systran, Google Translation, Yahoo Translation, Yahoo BabelFish, Click2Translate, Baidu Translation (chinois), Reverso, Youdao (japonais) et LEC Translation.

Il présente donc l'avantage de pouvoir tester rapidement la qualité des traductions selon les moteurs utilisés. Il propose également un dictionnaire unilingue anglais, avec des expression idiomatiques.

Télécharger Lingoes

D'autres outils de traduction en ligne


D'autres outils populaires présentent des caractéristiques similaires : comme Freetranslation et Webtranslation et Systran.

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Web sémantique : quelles applications aujourd'hui ? »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 21 décembre 2010 à 06:06 par CommentCaMarche




Sujet 29732 - Web sémantique : quelles applications aujourd'hui ?

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Conçues il y a quelques années pour enrichir la recherche et l'exploitation des résultats sur le web, les technologies derrière le web sémantique poursuivent leur ascension. Intégration progressive aux moteurs de recherche et réseaux sociaux, développement de moteurs de recherches dimensionnés aux besoins spécifiques des entreprises, adoption croissante par les sites d'e-commerce. Qu'il s'agisse d'optimiser l'accès aux informations pertinentes, d'améliorer le référencement d'un site, où d'optimiser le ciblage marketing, le web sémantique recoupe aujourd'hui des besoins transversaux et bénéficie de l'intérêt grandissant des principaux acteurs du web. Le point sur un marché en plein essor, et sur ses applications à l'horizon 2011.


Les fondamentaux du web sémantique


Le web sémantique, et par extension, le web des métadonnées, notion apparue dès 1994, repose sur un ensemble de technologies censées rendre le contenu des ressources (images, textes, vidéos, etc) du web plus accessibles et utilisables par les internautes. Concrétisé il y a un peu plus de 10 ans par le World Wide Web Consortium (W3C) - l'organisme de standardisation des langages web- ce système permet de relier entre elles les informations qui jusque-là étaient traitées séparément. Le fonctionnement du web sémantique intègre donc au web actuel la possibilité d'agréger plusieurs données liées entre elles : soit "sémantiquement", soit par des attributs qui les déterminent. Par exemple, pour la requête suivante : "acteur 20 ans new york" : un moteur de métadonnées sera capable de produire une liste de références correspondant exactement aux critères de recherches demandés (et nom un ensemble de résultats bruts, non structurés).

D'un point de vue technique, le web sémantique introduit plusieurs standards : RDF (modèle permettant de décrire toute donnée), RDF Schema (création de vocabulaires et d'ensembles de termes descriptifs), OWL (langage permettant de créer des ontologies servant de support aux traitements logiques (inférences, classification automatique) et SPARQL (permet d'obtenir des informations à partir de graphes RDF).

Les champs d'applications du web sémantique


Les langages derrière le web sémantique sont actuellement utilisés dans différents domaines d'applications :

Les réseaux sociaux, blogs et plateformes communautaires (ex : Flickr, Facebook)


Le web sémantique permet d'agréger plusieurs données entre elles (ex : pour une image : le lieu, la date, le nom des personnes, l'auteur, la date de prise de vue, etc.) pour enrichir les possibilités de recherche d' informations et/ou se connecter avec d'autres membres.

La recherche/le classement bibliographique/documentaire


On peut notamment citer, entre autres, les travaux de la Bibliothèque nationale de France qui a récemment mené une expérience destinée à montrer les possibilités d'utilisation des techniques du web sémantique pour effectuer des recherches simultanées à travers plusieurs collections patrimoniales numériques (en différentes langues). L'objectif étant de créer davantage de liens entre les données des catalogues, de les rendre plus visibles sur le web (voir ici).

La recherche d'informations sur internet/intranet


Les moteurs de recherche grand public assimilent peu à peu les technologies du web sémantique, là ou d'autres moteurs en ont fait leur clef-de-voûte : comme Tumbup, un nouveau moteur de recherche relié à Facebook et qui s'appuie sur l'activité des membres du réseau social (recommandations sur des lieux, produits, etc.) pour produire des résultats plus signifiants. On peut aussi citer les moteur de recherche Wolfram Alpha, True Knowledge (interprétation du langage naturel) et Zoom, un moteur intégrable à l'intranet, aux sites et blogs d'entreprise pour structurer les données recherchées.

La recherche d'informations en entreprise


Via des logiciels qui permettent de collecter, analyser et structurer de grands volumes de données (ex : Exalead, voir plus bas)

L'industrie et la recherche et développement


Notamment dans les domaines de pointe (ex : aéronautique, recherche médicale) via la création d'ontologies (ensemble de concepts et de paramètres caractéristiques d'un domaine spécialisé) destinées à agréger des données de conception et de production situées dans différents systèmes d'informations.

Commerce/ecommerce : notamment via l'ontologie "GoodRelations"


Ce vocabulaire permet de décrire de manière structurée les produits, les prix, et les informations relatives à l'entreprise (ex : données de contact, ouverture des magasins, géolocalisation, options de paiement etc.) :il permet notamment aux moteurs de recherche de mieux exploiter ces données essentielles pour les resituer dans leur contexte de recherche.

Le "sémantique" fait son chemin chez les géants du web

Facebook, l'Open Graph et les nouvelles opportunités marketing


Il y a quelques mois, Facebook a introduit l'Open Graph Protocol, une technologie reposant sur le web sémantique et qui permet à des sites tiers d'interagir avec le réseau social par l'envoi et la réception d'informations à Facebook. Ce nouveau protocole s'appuie sur la syntaxe RDFa et a pour objectif de "pérenniser" les interactions sociales entre les sites visités et le profil Facebook d'un internaute. Cette fonctionnalité a déjà été intégrée par de nombreux sites comme le catalogue musical Pandora : quand un membre de Facebook clique sur le bouton "j'aime" d'un artiste ou d'un morceau de musique sur ce site, celui-ci est ajouté à la liste de ses musiques préférées dans son profil Facebook : une forme de recommandation plus poussée.

L'intégration de l'Open Graph est pour l'heure réservée aux sites web hébergeant des données avec lesquelles il est possible d'interagir facilement, notamment pour partager ses intérêts : "films, équipes de sport, célébrités, restaurants" précise Facebook sur la page réservée au développeur. A terme, le protocole Open Graph devrait permettre aux entreprises de cibler leurs annonces plus efficacement vers les "fans" qui aiment leurs produits, et donc de bénéficier d'une visibilité plus pérenne à l'intérieur des profils Facebook.

Google, un pas de plus vers le web sémantique


Cet été, Google a acheté la société de gestion de base de données Metaweb afin d'améliorer les résultats de son moteur de recherche. Celle-ci indexe plus de 11 millions d'éléments: films, livres, émissions de télévision, célébrités, lieux, sociétés et repose sur un système de métadonnées censé permettre aux internautes d'arriver plus directement aux informations à partir de requêtes complexes : les données de la base Freebase, éditées par Metaweb, permettent, à titre d'exemple, d'effectuer des recherches "emboîtées" : par exemple "célébrité/nationalité/âge/sexe" et d'obtenir les résultats filtrés automatiquement.

BestBuy.com : web sémantique et optimisation du référencement


Le site e-marchand Best Buy a été l'un des premiers à enrichir ses fonctionnalités de recherche avec les possibilités offertes par le web sémantique il y a deux ans, via l'intégration de la syntaxe RDFa aux blogs officiels représentant chacun de ses magasins. L'objectif : rendre plus visible les données essentielles de ses magasins (contacts, heures d'ouvertures, prix des produits) en permettant aux moteurs de recherche de mieux les afficher. Selon le site "Read Write Web", citant récemment Jay Myers, ingénieur en charge du développement du site web de BestBuy.com, cette évolution aurait permis de générer 30% de trafic supplémentaire vers les sites web de la marque, grâce à l'optimisation du référencement permise par l'ajout de ces éléments sémantiques.

Web sémantique dans l'entreprise : optimisation de la recherche internet/intranet


Dans les entreprises, les applications qui découlent du web sémantique sont aujourd'hui essentiellement représentées à travers des outils logiciels de recherche et de structuration des données. On peut notamment citer Exalead et sa plateforme Cloud View et la solution Antidot Finder Suite, dont la 7e version vient d'être lancée et qui associe recherche collaborative et web sémantique.

Exalead et "Cloud View"


La solution Exalead CloudView lancée il y a un peu moins de deux ans est une plateforme de recherche et d'accès à l'information interne et externe à l'entreprise : Elle est censée permettre de collecter, analyser et structurer de grands volumes de données structurées et non structurées (ex : emails, flux RSS, notes des centres d'appels, commentaires des forums, réseaux sociaux, blogs, etc.) qu'ils soient issue des systèmes et terminaux fixes ou mobiles ou du web. Cette solution repose sur des fonctionnalités linguistiques et sémantiques qui permettent de catégoriser et d'enrichir l'information de manière automatique. L'objectif de celle-ci est de permettre aux entreprises de dimensionner leurs besoins d'informations à leurs problèmatiques et sercteurs d'activités particuliers.

Antidot Finder Suite et la recherche structurée


Disponible en version SaaS, la 7e version d' Antidot Finder Suite de l'éditeur Antidot v7 tout juste lancée, est un autre exemple de l'utilisation du web sémantique pour répondre aux besoins d'informations structurées des collaborateurs dans le cadre de leurs problèmes métiers. Outre l'extraction d'informations (notament via des connecteurs web), elle permet notamment la catégorisation, l'indexation et la mise en relation d'un ensemble de données provenant de différentes sources : fichiers textes, documents Open Office et Microsoft Office, flux RSS et Atom, images, sons, messages et boîtes e-mail et dispose de connecteurs pour le web.

En savoir plus


Comprendre le web sémantique
Open Graph Protocol de Facebook, pour les développeurs
Tumbup, le moteur de recommandations qui se base sur la sémantique : quand le web 3.0 se met en marche
Site Mobile
Exalead CloudView
Antidot Finder Suite

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Créer et monétiser un livre électronique : contenu et forme »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 1 février 2011 à 22:04 par alex59fr




Sujet 30221 - Créer et monétiser un livre électronique : contenu et forme

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Si vous êtes un entrepreneur « 2.0 » ou éditeur de site(s) web, vous avez surement déjà songé à « monétiser » vos connaissances sur internet, en dehors des colonnes de votre blogs/site d'entreprise. Que vous vous soyez passionné d'économie, de modélisme, ou pourquoi pas de Reiki, l'une des façons les plus originales de « rentabiliser » vos contributions peut être de passer par la création d'un e-book. En compilant et en structurant vos contenus, analyses, conseils, puis en les complétant de quelques mises à jours, vous pouvez facilement créer un document électronique ayant une valeur commerciale. Alors, par quoi commencer ?

Créer et monétiser un e-book : être une « autorité » dans son domaine


Dans tous les cas, la monétisation d'un e-book requiert d'être clairement identifié en tant que contributeur sur internet : soit parce vous éditez un site qui fait autorité dans un domaine, soit parce que l'on est soi-même un contributeur reconnu. Le premier élément est crucial, puisque le site web sera le lieu de téléchargement principal du produit final. L'autorité du site ou de l'auteur (l'historique et pertinence du contenu) sont des nécessités à la fois pratiques (s'appuyer sur du contenu existant) et commerciales (crédibilité de l'auteur).

Le contenu


Certains thèmes sont naturellement plus « vendeurs » que d'autres : finance, management, marketing, développement personnel, etc. Dans tous les cas, le produit final doit proposer des contenus exclusifs orientés vers le conseil personnalisé, doit mettre les informations en perspective, et doit s'appuyer sur plusieurs types de références « d'autorité » (lien vers sites officiels, tableaux, sondages, témoignages d'expert, avis de la communauté, etc.)

Dans tous les cas, il faut procéder par étape :

- « Anglez » le document électronique : Délimitez le sujet. Il ne doit être ni trop vaste, ni trop particulier. Identifiez les ebooks concurrents déjà publiés pour vous différencier. Il est aussi capital de se différencier des contenus gratuits disponibles.

- Rédigez une charte éditoriale (ton, style, cible, longueur des articles/chapitres). Il faudra vous y conformer pour obtenir un produit final cohérent.

- Recensez et compilez les articles que vous avez publiés en lien avec le sujet. (Le nombre de contenus déjà disponibles conditionne la « rentabilité » du ebook si vous n'avez pas beaucoup de temps)

- Faites un plan et reportez le contenu existant à l'intérieur du plan

- Mettez à jour le contenu disponible (ex : données chiffrées) et ajoutez le contenu manquant conformément au plan. A noter : le contenu que vous ajoutez peut faire double emploi et alimenter votre blog, pour éviter la surchage de travail.

- Choisissez un titre suffisamment fort et évocateur. Ex : « 100 conseils pour... » , « Comment gagner.... ? ». Le titre sera le premier critère visuel d'engagement de vos prospects.

La forme


La version finale du ebook, devra se conformer à un ensemble de critères de mise en forme (liés à la lisibilité des formats numériques), et comportera notamment :
- Une charte graphique cohérentes (types de police de caractère, interlignage, taille des titres, intertitres)
- Un sommaire/une table des matières (ou les deux). A noter, le sommaire pourra être utilisé à titre incitatif.
- Des chapitres clairement délimités, qui correspondent aux sommaires
- Des illustrations/tableaux/appels de notes (vers sources d'autorité)
- La page de garde (équivalent de la couverture) devra être particulièrement bien travaillée.

Une ou deux relectures (au moins une relecture par un tiers) seront indispensables.

Quel format choisir ?


Le format PDF : adaptée à la lecture sur PC
Traditionnellement, les ebooks créés par les petits éditeurs sont largement diffusés au format PDF (voir transformer un fichier word doc en PDF). Ce format est destiné à être lu par le logiciel Acrobat Reader, qui est compatible Mac, Windows, et Linux. Il peut donc être lu sur des supports qui offrent un confort de lecture optimal (ex : mode plein écran), mais ne convient pas pour la plupart des terminaux mobiles.

Les autres formats propriétaires : adaptés aux terminaux mobiles
E-reader : ce format fonctionne est adapté aux plateformes mobiles (iPhone, Android, Palm). Parmi les autres types de formats adaptés aux plateformes mobiles : AZW Amazon, MOBI MobiPocket, LIT Microsoft, PNPd Palm eReader, et BBeB Sony.

Epub : le format ouvert multi-plateforme
EPUB st un format ouvert et un nouveau « standard » pour les livres électroniques, plébiscité par l'International Digital Publishing Forum (IDPF). Ce format est prévu pour une mise en page optimale quelle que soit le support de lecture. Différentes applications permettent de créer des fichiers ePub à partir d'autres formats (dont PDF), comme le logiciel Calibre.
A noter : le choix du format dépend étroitement de votre public cible (grand public, usagers mobiles, etc.), sachant que le choix du format PDF offre le plus de flexibilité au départ si vous souhaitez diffuser votre livre électronique vers d'autres terminaux.

Voir notre seconde partie "Monétiser et promouvoir un ebook"

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Créer et monétiser un ebook : promotion et diffusion »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 10 novembre 2010 à 17:56 par CommentCaMarche




Sujet 30222 - Créer et monétiser un ebook : promotion et diffusion

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Une fois votre ebook conçu, il est prêt à être diffusé et monétisé. Après les vérifications légales d'usage, vous devrez choisir un ou plusieurs lieu(x) de diffusion, une méthode de paiement, et en parallèle promouvoir son lancement.


Les vérifications légales


Si vous n'êtes pas à l'origine de certains contenus (illustrations, extraits d'étude, propos rapportés), n'oubliez de demander l'autorisation expresse (écrite) des auteurs des contenus que vous utilisez (extraits d'études, témoignages, photos), sur lesquels des droits d'auteurs peuvent s'appliquer.
Votre contenu étant utilisé à des fins commerciales, il est crucial que vérifier que vous respectez les droits d'auteurs des contenus propriétaires (voir notre article complet sur les droits d'auteurs et cette discussion sur le forum de CommentCaMarche).

Fixer le prix du ebook


Le prix de votre ebook est fonction de plusieurs critères : thématique, richesse des contenus, niveau de reconnaissance de l'auteur/autorité du site (trafic), participation de la communauté à l'ouvrage, volume du document final, temps consacré à sa réalisation et à sa diffusion (rentabilité), coût lié au dispositif de paiement (ex : commissions prélevées par PayPal).

Pour donner un ordre de grandeur, un e-book de plus de 100 pages peut être vendu entre 15 et 20 €.

Où publier son livre électronique ?


- Créer une page de téléchargement ouverte aux commentaires sur son blog ou sur son site (pointant vers un système de paiement, voir plus bas). Celle-ci doit contenir une description de l'ebook (sommaires, extraits), livre d'or : c'est la vitrine principale du contenu.
- Les plateformes de diffusion des livres électroniques : WObook, clipshop.fr, éventuellement eBay

Promouvoir son ebook


- Sur votre blog (série d'articles avec extraits de l'ebook)
- Créer un blog dédié à votre livre électronique
- Utiliser bien sûr les réseaux sociaux (ex : utiliser Twitter/Facebook pour faire plusieurs annonces préliminaires à la sortie « événement » de votre eBook/commenter la progression de votre travail)
- Pour tisser un réseau de liens vers la page de téléchargement de votre ebook, utiliser vos pages de profils sur les différents réseaux sociaux, en liant vers votre produit (Linkedin, Facebook, MySpace, Viadeo, Xing)
- N'hésitez pas à créer un Fan Page Facebook dédiée à votre livre électronique.
- A des fins promotionnelles, vous pouvez publier des extraits de votre ebook sur certaines plateformes de contenus (ex : Slideshare)

Mettre en place une solution de paiement en ligne


Plusieurs méthodes de paiement existent si vous souhaiter mettre en vente votre ebook sur votre site :

PayPal : (voir Installer PayPal sur un site). A noter que ce système de paiement, largement le plus répandu, prélève une commission qui peut aller de 1,4% à 3,4%, + 0,25 € par transaction.

Certains systèmes de gestion de contenu, comme Wordpress proposent des plugins permettant de faciliter l'installation de Paypal sur les blogs.

Il existe d'autres solutions de micro- paiement, comme Allopass,123ticket, micropaiement.com, Movo pouvant permettre la monétisation de contenus numériques.

Diffuser son ebook sur une plateforme d'affiliation


Certaines plateformes d'affiliation permettent de commercialiser des documents numériques, et prennent une commission plus ou moins importante sur les transactions effectuées : comme Clickbank, 1tpe, Fribix et Paykoo. A noter toutefois que celles-ci ne sont pas toujours rentables pour les petits éditeurs.

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Référencement naturel : ce qui a changé en 2010 »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 11 novembre 2010 à 12:08 par CommentCaMarche




Sujet 30323 - Référencement naturel : ce qui a changé en 2010

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Avènement du HTML5, montée en puissance de Bing et de la recherche sociale, lancement de « Google Instant » : les lignes bougent sur le front du référencement naturel cette année. Si plusieurs de ces nouveautés n'ont pour l'heure qu'un impact modéré sur les techniques de SEO, elles devraient prendre davantage d'ampleur dans les mois à venir. Et pousser les experts en référencement à s'adapter. Le point sur ce qui a changé en 2010.


HTML 5 : nouveau critère technique pour le référencement naturel ?

Les nouveautés introduites par le HTML5


Le HTML5 est le successeur du HTML.4.0.1. Sa prise en charge par différents navigateurs web a connu une accélération cette année. Les spécifications du HTML5, qui ne sont pas encore achevées, ont été réalisées par le World Wide Web Consortium (W3C), un organisme international chargé du développement des standards du web. Le HTML5 introduit un certain nombre de nouveautés : en termes d'organisation et de structure du code (description des types de données), et sur le plan des interfaces de programmation. La première version propulse ainsi 8 nouvelles APIs qui permettent d'améliorer sensiblement l'interactivité des pages et l'expérience utilisateurs (ex : dessin 2D (canvas), API permettant de jouer des vidéos/sons/musiques, une API glisser-déposer, une API de géolocalisation, etc.)

Référencement et HTML5 : quels contenus web impactés ?


HTML5 introduit plusieurs balises permettant de décrire plusieurs types de données et d'optimiser les connections entre elles. Leur utilisation devrait affecter le référencement de différents contenus, principalement sur deux plans :

Les contenus texte : Le HTML5 introduit de nouvelles balises permettant de changer la structuration sémantique des pages web. Comme :

- La balise <aside> destinée aux contenus indirectement liés à l'article lui-même ? ajout d'un encart publicitaire par exemple.
- La balise <article> qui définit des sous-parties dans une page
- La balise ins qui indique les parties d'une page web qui ont été mises à jour.

Le nouvel élément <header> affecte l'optimisation du référencement des différents niveaux de textes (titre, sous-titres, sommaires) et la hiérarchie entre ces niveaux. Son but : permettre aux moteurs de recherche et à leurs robots de mieux indexer les contenus. Une balise spécifique pour le maillage de liens internes fait également son apparition (<nav>), qui informe les moteurs de recherche sur la structuration du site web.

Les contenus multimédias : via l'introduction d'une balise <video> qui permet de lire des vidéos directement dans la page Web, sans recourir à une technologie tierces (comme Flash, que le HTML5 concurrence). Même chose pour la balise <audio> concernant la lecture des fichiers sons.

Navigateurs web : où en est le support du HTML5 ?


Selon un comparatif réalisé par le W3C, la dernière version d'Internet Explorer 9 (IE9) présente le score de conformité le plus avancé, et dépasse notamment Chrome 7, Firefox 4, Opera 10.60 et Safari 5. Selon l'organisme, Micorosoft aurait mené un réel travail de conformité sur différents aspects du standard, parmi lesquels la vidéo et Canvas (avec un score de 100% dans 5 des 7 domaines testés par le W3C). Le support du HTML5 par les navigateurs les plus récents est donc de plus en plus avancé.

Les développeurs et experts en référencement doivent donc se préparer à cette évolution... Même si pour pour l'heure, les navigateurs les plus anciens, encore massivement utilisés, ne peuvent lire correctement le HTML 5 et le CSS 3.

HTML5 : et les moteurs de recherche ?


Autre question centrale pour savoir si le HTML5 est devenu un critère à prendre en compte pour le référencement naturel : le support du langage par les moteurs de recherche.

Si l'on en croit un post publié récemment par un expert de Google sur le forum Google Webmaster Central, le support HTML5 par le moteur de recherche n'est pas encore à l'ordre du jour :

« Les nouveaux éléments introduits par le HTML5 ne sont encore massivement adoptés (et correctement utilisés), si bien que le HTML5 n'est pas encore, selon nous, un moyen de mieux appréhender la compréhension les contenus. Au fur et à mesure que le HTML5 gagnera en popularité, ses éléments apporteront de la valeur à notre système d'indexation, et notre position évoluera. »

Bing (voir également plus bas), a récemment fait l'actualité en lançant une version de son moteur de recherche optimisée pour IE9, qui intègre plusieurs éléments de HTML5 dans son interface. Une évolution qui préfigure une prise en compte figure du HTML5 par son moteur d'indexation ? En tous cas, cette évolution ne passe pas inaperçue pour les référenceurs, dans la mesure où Bing triplera bientôt son audience, à la faveur de son alliance avec Yahoo !

Bing : nouvel acteur majeur du référencement naturel ?

Un volume de recherches qui atteindra 30%


D'ici quelques mois, Bing générera plus de 30% des résultats sur les recherches par mots-clés : un effet mécanique qui résulte de l'alliance entre Yahoo ! - Microsoft, et fera donc du moteur de recherche le principal concurrent de Google (Yahoo intégrant Bing pour les recherches effectuées dans son portail).

Les éditeurs de site web doivent donc anticiper l'augmentation du volume de recherches sur Bing. Notamment pour améliorer le référencement naturel de leur site sur le moteur de recherche : à plus forte raison s'ils monétisent leurs espaces via la future régie publicitaire Yahoo.

Bing a publié récemment sur sa Tool Box un ensemble de conseils destinés à optimiser le référencement naturel des sites sur son moteur. Ils concernent notammnet :

- L'utilisation des balises <Titles>, la description du contenu via les méta-tags, l'optimisation de la balise <Header>, le maillage des liens internes aux contenus.
- Le format d'URL
- La disposition/répartition du contenu
- Les liens entrants et sortants

Voir notre article : Bien référencer son site sur Bing

Bing et la recherche sociale, avec Facebook


Dans le cadre d'un rapprochement récent avec Facebook, Bing va peu à peu intégrer la recommandation sociale dans l'affichage des résultats du moteur de recherche. Et mêler les avis émis par les membres du réseau social aux résultats générés par les requêtes. Cette fonctionnalité est assimilée à un « critère de pertinence » supplémentaire des résultats.

Lorsqu'un utilisateur Facebook sera connecté à son compte, Bing sera en mesure d'associer les résultats de la recherche aux recommandations des amis sur Facebook, puisées dans l'historique du mur, et si celles-ci sont pertinentes. L'utilisateur pourra ainsi voir les liens vers des pages qui ont suscité l'intérêt de ses amis et affichés en fonction de la requête cible.

Quelles conséquences concernant le référencement des pages web sur Bing ? La visibilité tout d'abord : si cette fonctionnalité inaugure une nouvelle ère de la recherche sur internet, elle devrait compliquer la tâche des référenceurs : en rendant moins prévisible les paramètres de recherche permettant à leurs clients d'améliorer leur Page Rank en fonction de certains mots-clés tapés, l'affichage des résultats étant « perso-dépendants », puisque lié aux comptes Facebook.

Google Instant : un impact sur les techniques de référencement ?


Finissons ce tour d'horizon avec Google qui vient récemment de lancer « Google Instant », un service de recherche instantanée qui permet l'affichage dynamique des résultats au fil de la frappe, combiné à un outil de prédiction des requêtes. Il permet notamment d'accélérer la recherche de résultats sur internet. Outre l'impact sur la visibilité des liens sponsorisés, ce nouveau service de Google -s'il gagne en popularité- devrait impacter à termes les techniques d'optimisation du référencement des contenus.

Cet impact serait lié à un changement des comportements des utilisateurs utilisant le système d'auto-complétion des requêtes couplé à l'affichage instantanée des résultats. Selon Avichal Garg, ancien chargé du développement des fonctionnalités de recherche qualitative chez Google : "l'impact sera énorme, le comportement des internautes va changer, et les techniques d'optimisation pour les moteurs de recherche devront faire avec." Pami les métamorphoses citées par le spécialiste : la faculté de "scanner" les pages web d'un coup d'oeil, la construction de schémas de requête stéréotypées, ou encore la capacité d'affiner progressivement les termes de ses requêtes.

En savoir plus


HMTL5 : Qu'est-ce qui change
Bien référencer son site sur Bing
Google Instant va-t-il changer les règles du jeu du webmarketing ?
Alliance Microsoft - Yahoo ! Ce qui va changer pour les pros

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Le Personal Branding : c'est vous la marque ! »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 27 décembre 2010 à 09:14 par CommentCaMarche




Sujet 30395 - Le Personal Branding : c'est vous la marque !

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Vous vendre comme un produit, vous y avez pensé ? Eh bien vous n'êtes pas le premier ! C'est même l'arme anti-crise absolue pour des cadres laissés à la case Pôle Emploi. Les CV-vidéos, blogs décalés et autres panneaux 4 par 3 sur les axes passants sont les traces visibles de cette nouvelle tendance appelée le « Personal branding ». Pour trouver un emploi, gérer sa réputation ou créer de nouveaux leviers marketing, le personal branding est résolument à la mode. Pourtant si l'avènement du web 2.0 et l'arrivée en force des réseaux sociaux a démocratisé le Personal Branding, le concept n'est pas neuf... Voici plus de 30 ans qu'un opticien un peu « fou » a fait de son nom... une marque ! Alors, à la portée de tous, le personal branding ?


Le personal branding, c'est quoi ?


Gérer votre image comme vous gèreriez une marque, c'est à peu de choses près ce que propose le personal branding. Introduit en 1997, par Tom Peters, spécialiste du management, le personal-branding est une méthode qui propose d'utiliser des les techniques de communication et de marketing généralement utilisé pour asseoir la notoriété d'une marque, à une personne. Le personal-branding va donc permettre d'assurer la promotion, non plus d'un produit, mais d'une personne. L'arrivée du web 2.0 a véritablement démocratisé l'accès aux techniques du personal branding. Tous les internautes ont subitement eu à portée de clics de puissants supports de communication : blogs, pages personnelles sur les réseaux sociaux, vidéos etc. Il n'en fallait pas plus pour relancer le personal branding. Le personal-branding est particulièrement adapté pour les salariés et managers en recherche d'emploi ou en transition professionnelle mais aussi aux dirigeants qui souhaitent capitaliser sur leur réussite ou leur charisme pour conquérir de nouveaux marchés ou asseoir la réputation de son entreprise.
Le personal branding est alors à rapprocher du concept d'e-réputation, dans la mesure où au travers de la gestion de son « nom » on va toucher à sa réputation en ligne. Mais pour autant, le personal branding n'est absolument pas né avec le net...

Ces entrepreneurs qui ont capitalisé sur leurs noms


Quel point commun voyez-vous entre un opticien un peu « fou » et un « traiteur intraitable » ? Ces deux entrepreneurs ont capitalisé sur leurs noms pour vendre leurs produits. Aujourd'hui encore, il n'est pas rare de croiser l'opticien Alain Afflelou ou le traiteur Pierre Martinet au détour d'une page de publicité. L'opticien et le traiteur demeurent de vrais cas d'écoles puisqu'ils font partie des rares chefs d'entreprises à totalement incarner leurs marques. Depuis le lancement de sa première boutique en 1972, l'opticien s'est toujours servi de son nom. En 1978, alors qu'il commence à lancer une véritable chaîne de magasins d'optique, Alain Afflelou n'hésite pas à se mettre en scène dans ses publicités. L'opticien s'engage personnellement dans sa communication et se dépeint en « capitaine » de son entreprise face aux consommateurs. Ce faisant, il instaure une véritable signature et s'engage personnellement sur ses offres. Il pulvérise ainsi les codes de la communication en se mettant en scène dans ses publicités.

Engager son nom pour défendre ses produits, ça n'a pas non plus fait peur à Pierre Martinet. L'homme d'affaires bressan, à la tête d'un groupe agro-alimentaire employant plus de 600 personnes apparaît aussi systématiquement dans ses publicités et vante ses produits. Le traiteur sympathique et épicurien, c'est lui. Le « traiteur intraitable » qui ne transige pas avec la qualité des produits qui sortent de son usine, c'est encore lui. Il ne s'est pas caché derrière une marque pour vendre ses produits, il assume son statut de patron et s'adresse directement au consommateur qui identifie tout de suite qui est le véritable émetteur du message. Un vrai bon point pour la marque.

L'autre point commun de ces deux grands patrons ? C'est qu'ils n'étaient pas connus dans leurs secteurs professionnels respectifs avant de se mettre en scène dans leurs propres publicités.

Se faire remarquer


Ne pas être connu et s'afficher ? C'est aussi le cas de Bernard Mauriange. Vous ne vous souvenez sans doute pas son nom, mais vous avez sans doute entendu parler de son histoire. Ce directeur commercial au chômage n'a pas hésité à s'afficher sur des panneaux publicitaires de trois mètres sur quatre pour retrouver un emploi. Le directeur commercial a poussé la logique du personal branding jusqu'au bout, en annonçant sur sa « publicité » : « Directeur commercial audacieux cherche entreprise même profil ».

Trouver l'idée originale


Car comme dans la communication traditionnelle, pour vendre son produit... il faut se démarquer de l' « offre » déjà existante. Et à ce petit jeu, les demandeurs d'emplois s'en tirent bien et rivalisent d'imagination pour attirer l'oeil des recruteurs. En 2008, une demandeuse d'emploi rennaise, Emma, décide de monter une campagne de communication... sur elle-même. Le constat de sa conseillère à l'ANPE (devenu par la suite Pôle Emploi) était clair : « Vous savez mademoiselle, il y a plus de 350 personnes inscrites à l'ANPE qui ont le même profil que vous dans le bassin rennais et aucune ne trouve de poste. » Pas désarmé, la jeune femme va tirer partie des compétences acquises lors de ses études pour créer sa propre communication. Elle sera, candidate à un job. Elle contacte donc des partenaires (photographes, graphistes, imprimeurs) pour éditer des tracts et annonce sa candidature à la presse locale.

A l'époque, l'initiative est originale et la campagne bien ficelée. Sur son blog, Emma Candidate n'hésite pas à jouer avec son image et se déclare « candidate à un job dans la communication ». Mais comme peu de candidats à un emploi, elle distribue des tracts-CV sur les marchés de sa région et dans les gares. La jeune femme comptait sur une communication décalée et sur le bouche-à-oreille. Elle raconte sur son blog ses distributions de tracts : « ceux qui s'arrêtent regardent le tract et comprennent ma démarche... Ils reviennent me voir, me demandent plus de tracts et me disent qu'ils vont en parler autour d'eux : ils sont dans la com' ou connaissent des personnes susceptibles d'être intéressées. »

Activer ses réseaux


Le personal branding, c'est aussi l'art de cultiver ses réseaux : en ligne ou dans la vie réelle. Car ils seront tantôt les relais de votre communication, tantôt des partenaires qui vous aideront à créer votre marque. Photographe, graphiste, développeur web ou encore coach : autant de compétences qui peuvent se révéler nécessaires au bon déroulement d'une action de personal branding. Dans le cas des demandeurs d'emplois, les partenariats permettent au candidat de monter son opération sans faire exploser son budget. Le partenariat est alors un bon moyen de s'entourer de la compétence des professionnels, qui sauront guider le candidat dans son projet. En échange, les partenaires bénéficient des retombées médiatiques liés à ce type de démarche.

Mais activer ses réseaux dans le cadre du personal branding peut aussi permettre de mieux relayer sa campagne. Ils vont être les vecteurs de l'image du candidat, et vont en sorte les adouber et les introduire auprès d'un nouveau public.

Et c'est justement là que les réseaux sociaux vont jouer leur rôle...

Les outils au service du personal branding


Quand on pense personal branding... on pense à première vue réseaux sociaux, qu'ils soient professionnels, spécialisés ou généralistes. Ils permettent en effet une diffusion rapide de l'information auprès de ses contacts qui assureront eux-mêmes la promotion de la personne en question.
Le personal branding est une tendance forte, et ça, les réseaux sociaux l'ont bien compris. LinkedIn, par exemple, a lancé une grande campagne européenne le 18 novembre dernier. Intitulée « Brand You », cette campagne vise les professionnels qui souhaitent mettre en avant leur « marque personnelle ». Le réseau social professionnel propose deux outils pour mieux développer sa marque : un groupe LinkedIn, qui permet d'échanger avec un conseil d'experts en marketing, et un test ludique en ligne, qui permet d'évaluer son attractivité sur la plateforme.

Mais même en utilisant les fonctionnalités basiques des réseaux sociaux professionnels, on peut développer sa marque : recommandation par des pairs, participation à des discussions ou à des hubs, tribunes, sont autant d'outils qui permettent à l'individu d'assurer sa promotion.
Un blog peut aussi se révéler être un excellent support de communication, pourvu qu'il soit réactualisé régulièrement et que le contenu proposé soit en adéquation avec l'activité ou « l'image de marque » de la personne.

Autre possibilité, la vidéo. Si la mode du CV vidéo se tasse peu à peu, Youtube recèle encore de CV collectors. Facile à partager et peu coûteux à réaliser si le candidat a des notions de vidéos, le CV vidéo peut-être un bon plan pour développer sa marque personnelle. Attention cependant, une vidéo mal réalisée peut aussi nuire à votre crédibilité... gare à la catastrophe.

Yannick Miel : « Les recruteurs sont souvent fatigués de voir les jeunes essayer de rentrer dans des cases pour leur plaire »


Il y a un, il s'affichait sur le parvis de La Défense à Paris avec la mention « Diplôme en solde : Faites une offre ». Parallèlement, il se vendait sur eBay pour trouver un travail. Après 8 mois de chômage, Yannick Miel avait décidé de déployer des trésors de créativité pour décrocher son premier job. Un an après, son pari est réussi. Après avoir travaillé auprès de Martin Hirsch, le jeune homme est à présent responsable de programme à l'Ecole Nationale d'Assurance. Il revient sur son expérience du Personal Branding.

CCM - Concrètement quelles actions avez-vous mené pour assurer votre propre promotion ?

YM - J'ai décidé de jouer la carte de la décision pour attirer l'attention sur un sujet grave : à savoir la dévaluation sur le marché de l'emploi des jeunes diplômés à Bac+5.
Ainsi, je me suis mis en vente sur ebay en faisant partir l'enchère à 1€ et j'ai donné "rendez-vous" aux recruteurs sur l'esplanade de la Défense où j'ai mis en scène ma mise aux enchères. Concrètement j'étais habillé en "homme sandwich" avec mon CV et sous une banderole annonçant "Jeune Diplômé en solde, Faites une offre".

CCM - Comment vous est venue l'idée de vous vendre sur eBay ?
YM - J'étais un peu désespéré dans ma recherche d'emploi et je me suis demandé : « Si tu n'avais pas de limite, que ferais-tu? » Ayant suivi des études de communication dans le cadre de mon diplôme de lobbying, j'ai inventé cette mise en vente ne faisant attention aux codes journalistiques par souci d'efficacité.


CCM - Avez-vous été accompagné par des professionnels pour monter vos opérations ?
YM - Non. Des amis m'ont aidé, sur la partie internet (blog) et sur la partie logistique : le montage du stand de vente présent à la Défense.

CCM - Quel a été le coût d'une telle opération, pour vous ?

YM - J'avais calculé qu'en tout et pour tout, l'opération avait coûté un peu moins de 150€ (impression de 500 CV, matières premières pour le stand). Une partie a été payée par des amis. J'ai personnellement dépensé 50€.

CCM - Finalement, votre nom est-il devenu un produit uniquement durant le temps de votre opération ou continuez-vous à capitaliser sur vos actions, un an après ?


YM - Cette question est pertinente car eBay avait déposé des Adwords sur Google. Si mon nom était tapé sur Google par un internaute, il était directement redirigé vers le site d'eBay. Après les avoir menacé de poursuite, ils ont très vite retiré l'AdWord en question.

Un autre site de vente en ligne a utilisé le même procédé. En fait, je n'ai pas besoin de capitaliser sur cette action. Le résultat de l'action et ses effets positifs sur ma carrières ont fait que je dispose maintenant de mon propre réseau, qui me manquait à l'époque, et que je suis connu pour mon travail et mes engagements présents.

CCM - Quelles sont les pièges à éviter lorsque l'on se lance dans le personal branding ?

YM - Pour moi le piège absolu était de tomber dans le misérabilisme. Si en tant que marque vous vous rendez ridicule ou attirez la pitié de vos cibles l'effet est contraire à celui recherché au départ. De nombreux exemples d'actions ratées l'ont montré.

CCM - Quel a été l'accueil des recruteurs suite à vos démarches ?

YM - De l'amusement et de la surprise. Les recruteurs sont souvent fatigués de voir les jeunes essayer de rentrer dans des cases pour leur plaire. Cependant ils sont la plupart du temps incapables d'imposer un profil original à leur hiérarchie... C'est un cercle vicieux difficile à briser en France.

CCM - Un an après, qu'êtes vous devenu ?

YM - Après avoir travaillé 8 mois auprès de Martin Hirsch, alors Haut commissaire à la Jeunesse, je suis à présent responsable de programme à l'Ecole nationale d'assurance sous l'intitulé « Coordinateur nationale de la licence professionnelle d'assurances ».

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Faire du marketing avec Flickr »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 8 décembre 2010 à 11:23 par CommentCaMarche




Sujet 30445 - Faire du marketing avec Flickr

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Conçu au départ pour le grand public, Flickr offre aujourd'hui de nombreuses opportunités aux professionnels créatifs en quête de visibilité sur internet. Si la plateforme n'a pas vocation à être un espace commercial en tant que tel, elle dispose de plusieurs outils permettant aux entreprises et aux indépendants de mettre en valeur leurs produits et services. Et de susciter l'intérêt de partenaires ou prospects potentiels. A qui se destinent les usages marketing de Flickr ? Comment en tirer le meilleur parti ? Quelques astuces très simples pour débuter dans le « Flickr marketing ».


Flickr : une utilisation marketing pour quels professionnels ?


Flickr et un site de partage de photos et vidéos qui a vocation a mettre en valeur des créations visuelles de bonne qualité. Un grand nombre de catégories de professionnels peuvent utiliser la plateforme dans le cadre de leur stratégie marketing. A condition de respecter une charte de publication stricte : les photos doivent être originales et témoigner d'un effort artistique pour attirer l'attention de la communauté Flickr.

A noter qu'une utilisation poussée de Flickr nécessite l'ouverture d'un compte professionnel, notamment pour bénéficier d'un espace de stockage illimité. Voir aussi : comment s'inscrire sur Flickr ? et comment fonctionne Flickr ?

La plateforme convient plus particulièrement aux :

- Photographes professionnels/Freelance : pour créer des portfolios, améliorer la visibilité de ses créations, rencontrer d'autres professionnels, et éventuellement vendre les photos à la banque d'images « Getty Images » qui est partenaire de Flickr.
- Autres métiers créatifs : artistes peintres, graphistes, illustrateurs, designers, artisans.
- E-boutiques : pour mettre en valeur des produits qui présentent un intérêt visuel (voir précautions d'usage)
- Professionnels du tourisme
- Professionnels de l'immobilier

Quelques précautions avant de se lancer


La publication de photos à des fins de publicité enfreint les règles d'utilisation du service Flickr. En outre, un affichage commercial trop « évident » aurait pour effet de détourner la communauté d'utilisateurs. Les professionnels doivent donc utiliser le service de manière subtile. Le but étant de bénéficier d'une exposition « indirecte » via la mise en ligne de leurs photos/vidéos.

Flickr : quels usages ?


Plusieurs applications :

- Génération de trafic vers un site web/blog/e-boutique
- Recrutement de prospects/clients (ex : galeries d'art, sites web spécialisés, e-acheteurs pour les produits bien mis en valeur)
- Prospection B2B (entre professionnels créatifs)
- Dans certains cas, vente de photos aux banques d'images affiliés à Flickr (« Getty Images »)

Bien utiliser son profil Flickr


C'est la première étape pour bien être identifié sur la plateforme et gagner en visibilité.

Plusieurs astuces :

- Créez un pseudo signifiant (ex : nom de domaine de votre site web)
- Renseignez entièrement votre profil Flickr : décrivez votre activité, ajouter votre site web.
- Profitez de l'outil de mise en forme disponible dans le champ « description » : il permet d'ajouter des vidéos, photos, et surtout des liens. Vous pouvez ainsi pointer vers vos autres comptes corporate : Twitter, Linkedin, Fan Page Facebook
- Assurez-vous que vos photos sont ouvertes au moteur de recherche de Flickr : cette option est activée par défaut.
- Paramétrez l'affichage : pour déterminer l'accès à vos galeries (public, restreint, etc.). Voir aussi Protéger ses photos sur Flickr

Utiliser la fonctionnalité « Expo »


Elle vous permet de regrouper jusqu'à 18 photos ou vidéos publiques, sous la forme de « coups de coeur ». C'est l'occasion d'affirmer vos goûts, de saluer le travail d'autres membres, et donc d'enrichir simplement votre compte et d'attirer l'attention de la communauté Flickr.

Créditer ses photos, gérer ses licences.


N'oubliez pas de créditer vos photos, si possible avec une incrustation sur l'illustration (ex : site web). C'est une astuce facile utile si vous utilisez Flickr pour générer du trafic vers votre site/blog.

De nombreux utilisateurs de Flickr placent leurs oeuvres sous licence Creative Commons. Affecter une licence à vos créations vous permet de savoir ce que les utilisateurs sont autorisés ou non à faire s'ils veulent les diffuser. Il y a 6 types de licence (voir le descriptif sur le site).

Utiliser les tags et les champs descriptifs


C'est une étape cruciale, qui permettra à vos photos/créations d'être bien référencées sur Flickr, mais aussi sur les moteurs de recherche. La description doit refléter le plus fidèlement possible le contenu de l'image. Si l'illustration figure un produit que vous vendez, évitez de lier la description à des offres promotionnelles explicites.

Le choix des tags ou mots-clés est particulièrement important : il permet à la communauté Flickr de trouver plus rapidement vos photos selon leurs centres d'intérêts. Vous pouvez affecter jusqu'à 75 tags à chaque photo ou vidéo. Pensez à « taguer » vos photos avec des mots en anglais. consultez ici la liste des tags les plus populaires.

Créer une liste d'invitations par email


Flickr permet d'envoyer jusqu'à 100 invitations groupées à ses contacts mails pour visualiser un album en ligne. Une façon simple d'attirer l'attention de partenaires/prospects qui figurent dans votre carnet d'adresses.

Intégrer les galeries de photos de Flickr sur un site/blog


Vos galeries/albums de photos Flickr peuvent être exportées vers votre site internet/blog. Plusieurs CMS proposent des plugins permettant d'intégrer Flickr à son site : notamment Wordpress, qui offrre de très nombreuses extensions permettant par exemple de créer des diaporamas.

Vous pouvez également intégrer à votre site un bouton Flickr sur la Home Page de votre blog/site, un moyen simple d'améliorer la visibilité de vos albums photos.

Connecter Flickr à Facebook


Vous pouvez connecter Flickr à votre compte Facebook pour partager automatiquement sur votre mur les photos que vous mettez en ligne sur Flickr. Vous devez pour cela configurer votre compte Flickr en vous rendant sous l'onglet Partage/Extensions. A noter toutefois que sur un envoi groupé de photos vers Flickr, celle-ci sont publiées individuellement sur le fil d'actualité. Ce qui peut polluer votre compte.

Ajouter une vidéo sur Flickr


Flickr permet d'ajouter deux vidéos par mois si vous disposez d'un compte gratuit et un nombre illimité si vous disposez d'un compte payant. Celles-ci sont limitées à 90 secondes. Comme les photos, Elles sont visibles dans les résultats de recherche, les galeries, la rubrique Explorer et les fils RSS. Un bon moyen de présenter vos activités sous la forme d'un lipdub par exemple.

Créer un groupe dans Flickr


Si vous souhaitez attirer l'attention de la communauté sur un thème particulier de vos activités, vous avez la possibilité de créer des groupes autour du sujet de votre choix (groupe Public, Public sur invitation et Privé). Vous en devenez alors l'administrateur et les utilisateurs peuvent s'y abonner. Vous avez la possibilité de nommer des membres pour vous aider à gérer le groupe. Vous pouvez accorder à vos membres le statut de modérateur ou d'administrateur. Vous avez également la possibilité de créer des discussions relatives au thème du groupe.

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Créer du couponing gélolocalisé avec Facebook Bons Plans »
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 21 décembre 2010 à 05:55 par CommentCaMarche




Sujet 30504 - Créer du couponing géolocalisé avec Facebook Bons Plans

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]


Lancé en novembre 2010 aux Etats-Unis, l'application « Deals » de Facebook est arrivée en France en janvier 2011 sous le nom de « Bons plans ». L'application permet aux utilisateurs professionnels de gérer des campagnes de couponing sur Facebook. Disponible sur le site mobile et sur l'application pour iPhone, ce nouveau service gratuit permet aux commerçants de signaler leur présence aux utilisateurs de Facebook et de capter de nouveaux clients et de récompenser leur fidélité grâce à des offres commerciales attractives. Déjà lancé aux Etats-Unis, le service a d'ores et déjà séduit des entreprises comme Gap, H&M;, McDonald's et Starbuck. Mais « Bons Plans » permet aussi aux plus petits commerçants de se rendre plus visible à la fois sur Facebook, et des utilisateurs du réseau social géographiquement proches d'une boutique utilisant ce service de couponing. Explications.


Déroulement d'une campagne


Pour profiter du service « Bons plans » sur Facebook, le commerçant devra s'assurer d'avoir déjà enregistré sa boutique, en précisant bien l'adresse, sur le réseau social. La boutique devra notamment faire l'objet d'une page « Lieux » créée automatiquement depuis l'arrivée de la fonctionnalité « Lieux » sur Facebook. Si votre boutique a déjà une page « Lieux », mais qu'elle n'a pas été créée par vous, il est possible de vous signaler comme étant le propriétaire de la boutique. Si votre page n'existe pas vous pouvez la crée simplement en utilisant Facebook depuis un iPhone ou une smartphone permettant d'utiliser la fonction.

Lorsque vous aurez créé votre campagne, les clients pourront profiter des coupons lorsqu'ils s'enregistreront dans votre boutique grâce à la fonctionnalité « Lieux » de Facebook, qui permet de géolocaliser les utilisateurs de Facebook. Si un utilisateur se géolocalise dans votre boutique et décide de le partager avec son réseau, le nom de votre boutique sera visible par tous les amis de cette personne, ce qui vous assure une visibilité accrue sur le réseau social. Le coupon est alors une sorte de « récompense » pour l'utilisateur qui vous a assuré cette visibilité.

Créez une page Lieux pour votre boutique


Commencez par rechercher une page « Lieux » en tapant le nom de votre boutique dans la barre d'adresse. Les pages lieux sont facilement reconnaissables, elles proposent un plan géographique qui permet de mieux localiser la boutique. Vous ne pouvez ajouter votre boutique que depuis une l'application « Lieux » disponible depuis l'application iPhone « Facebook for iPhone » ou depuis le site touch.facebook.com accessible depuis la plupart des smartphones.

Vous pouvez aussi vous rendre sur la page dédiée Facebook Bons Plans et vous laisser guider

Lancer votre campagne


Une fois que vous êtes identifiés comme le propriétaire de la boutique, vous pouvez commencer à créer votre offre de couponing. Vous aurez le choix entre plusieurs options, détaillées ci-après, pour attirer et fidéliser votre clientèle. L'accès au service devrait être dans un premier temps gratuit pour tous, mais Facebook précise bien que ce point pourrait potentiellement « soumis à des modifications ». Lors de la création du « bon plans » vous devrez préciser le nombre maximum de coupons à émettre et la durée de validité de l'opération. Une fois les différents items renseignés, Facebook annonce un délai de deux jours afin d'examiner la validité de votre bon plan et envoie une notification pour vous informer de la validation ou du refus du « bon plan ». Dès la validation du « Bon plan », celui-ci est actif et vos clients peuvent en profiter. La campagne se termine dès que la date limite de la campagne expire ou que le nombre maximum de coupons prévus par le gestionnaire de la campagne est atteint.

Les différents modes de couponing proposés


Facebook offre la possibilité aux commerçants de choisir entre différents types de bons plans pour lancer leur campagne. Vous trouverez dans cette section les différents types de bons plans proposés par Facebook.

Les bons plans individuels


Vous pouvez créer des bons plans individuels lors du lancement d'un nouveau produit, d'un déstockage, de promotions saisonnières. Le coupon sera valable pour le client qui s'enregistrera de manière individuelle dans votre boutique grâce à la fonctionnalité « Lieux » de Facebook.

Les bons plans amis


Les bons plans Amis vous permettent d'offrir des remises à des groupes réunissant jusqu'à 8 personnes, lorsque ces dernières indiquent se trouver dans votre lieu en même temps. Avec ce type de bons plans, vous multipliez les chances d'être visible sur Facebook, puisque les 8 personnes s'étant enregistrées feront automatiquement apparaître sur leurs profils le nom de votre boutique.

Les bons plans fidélité


Ce type de bons plans permet de récompenser les clients fidèles. Ces bons plans peuvent être utilisés uniquement par des clients ayant indiqué se trouver dans votre lieu un certain nombre de fois (c'est vous qui le paramétrerez) dans votre commerce.

Les bons plans bonnes oeuvres


Ce type de bon plan permet de déclencher un don à une oeuvre caritative de votre choix lorsqu'un utilisateur de Facebook s'enregistre dans votre magasin. Pour chaque utilisateur qui s'enregistre chez vous, vous vous engagez à reverser un don à une association caritative.

Liens utiles


Facebook : les professionnels doivent-ils y passer ?
Créer une page Facebook pour son entreprise
Organiser des campagnes de publicité sur Facebook
Facebook se lance dans la promotion locale
Consulter la page Bons Plans sur Facebook

Crédit photo : lululemon athletica, Flickr
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 10 février 2011 à 09:53 par CommentCaMarche




Sujet 30983 - Choisir un service de partage de documents en ligne

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Les services de partages de documents en ligne sont devenus des outils incontournables pour les entreprises et les professionnels indépendants. Qu'il s'agisse d'outils permettant de diffuser des documents à des fins marketing ou pour soigner son e-réputation, ou d'outils de productivité en mode collaboratif à usage interne, ils occupent une place de choix à l'heure de la mobilité et du boom des réseaux sociaux. Focus sur les fonctionnalités et les avantages de ces outils, avec une sélection des meilleurs d'entre eux.


Plateforme de partage de documents : quels usages ?

E-veille, e-réputation, e-commerce et marketing


Pour les entreprises/professionnels qui ont une autorité dans leur domaine et veulent soigner leur image de marque en ligne, une plateforme de partages de contenus en ligne peut leur servir à :

- Diffuser des présentations et diaporamas (ex : de type Power Point) sur un sujet d'expertise
- Publier les compte-rendus/minutes d'un : séminaire, atelier et tables ronde, conférence, etc.
- Publier un dossier de presse, un document de synthèse sur un nouveau produit/service
- Publier un benchmark
- Publier des brochures/catalogues
- Diffuser des contenus pédagogiques de type libre blanc ou articles d'angle (ex : « 10 conseils pour »)
- Publier la couverture et les extraits d'une oeuvre numérique payante (ex : un ebook en vente sur d'autres plateformes)
- Optimiser son référencement sur les moteurs de recherche (mots-clés) et sa présence sur les réseaux sociaux (réseautage professionnel)
- Faire connaître ses travaux, grâce aux votes de la communauté de lecteurs ayant accès aux documents sur la plateforme
- Faire une veille sectorielle, concurrentielle et documentaire (dernières études parues)
- Pour les chercheurs d'emplois : publier son CV

Travail collaboratif


Certaines plateformes en ligne proposent une alternative aux suites bureautiques en cloud, de type Google Docs ou Office Web Apps, avec des fonctions d'édition allégées qui conviennent bien aux travaux ponctuels. Elles s'adressent particulièrement aux petits groupes de travail qui collaborent sur des documents, y compris en situation mobile. Ces plateformes proposent des outils de conversion automatique qui permettant la lecture des documents en ligne, et disposent d'outils d'éditions allégées (ex : annotation). Ce sont des plateformes dédiées à la communication interne.

Quelles plateformes de partage de documents en ligne choisir ?

Pour l'e-veille, l'e-réputation, le marketing et l'e-commerce


Scribd et Slideshare sont les deux plateformes de partages de documents les plus populaires sur internet. Elles offrent toutes les deux la possibilité d'exporter les documents stockés sur les blogs et les principaux réseaux sociaux, pour faciliter leur recommandation et garantir leur visibilité.
Cette plateforme réunit 60 million de lecteurs chaque mois (majoritairement anglophone) et rassemble plusieurs dizaines de millions de documents.

Les documents supportés : PDF, MS Word (.doc, .docx), PowerPoint (.ppt, .pps, .pptx), Excel (.xls, xlsx), PostScript (.ps). La suite OpenOffice : Text Document (.odt, .sxw), Presentation Document (.odp, .sxi), Spreadsheet (.ods, .sxc). Plain text (.txt), Rich Text Format (.rtf)

Les principaux avantages :

- Scribd propose un lecteur multiplateforme (iPaper) qui supporte plusieurs fonctionnalités (zooms, recherche de texte, utilisation de l'imprimante). Celui-ci évolue vers le support du HTML5, ce qui garantit la perennité du service.
- Le fonctionnement communautaire : les votes sont attribuées aux documents les plus intéressants, dont la visibilité évolue au fur et à mesure.
- Intégration avec Facebook et Twitter (partage des documents automatique)
- Scribd propose le ScribStore : une e-boutique pour les éditeurs qui souhaitent diffuser des contenus numériques payants
- Les documents peuvent être partagées sur plusieurs plateformes mobiles : dont iPhone, Android, Windows Mobile, Blackberry, Palm, etc.
Ce service de partage de présentations professionnelles en ligne compte environ 12 millions de visiteurs uniques par mois.

Les documents supportés : ppt, pps, pptx, odp, pdf, doc, docx, odt, Keynote, iWork pages

Les principaux avantages

- Propose plusieurs services payants (abonnement mensuel), avec accès à des outils d'analyse statistiques concernant ses documents téléchargés, une intégration plus poussée avec Linkedin et le téléchargement illimité de documents.
- Possibilité d'inclure des vidéos hébergées sur Youtube dans les présentations
- A l'image de Scribd, les présentations peuvent être configurées pour un accès privé
- Compatibilité avec les principaux smartphones (iPhone, iPad, Android, etc.)
- SlideShare vient récemment de lancer un outil d'audio et visio conférence gratuit baptisé Zipcast.
A la différence des deux précédentes, Calaméo est une plateforme de diffusion de contenus contenant des éléments multimédias. Elle permet ainsi de convertir toutes sortes de documents bureautiques (PDF, MS Office, OpenOffice, StarOffice) en publications numériques interactives (intégrant son, image, vidéo) pour produire des présentations de qualité professionnelle.

On peut également citer plusieurs plateformes aux fonctionnalités se rapprochant des trois précédentes :

- Docstoc : Une plateforme de stockage et de partage de documents numériques tournée vers le monde professionnel (documents juridiques, économiques, éducatifs, fiscaux).
- Edocr : Une plateforme de diffusion dédiée aux documents professionnels (brochures, cas d'étude, communiqués de presse, articles) qui propose une distribution sur plus de 300 canaux de diffusions affiliés (dont Twitter et Facebook). Avec plusieurs gammes de services pour les professionnels.
- Evadoc : site gratuit généraliste de partage et de lecture de documents créé en 2009, qui regroupe ebooks, guides, présentations, rapports, publications d'entreprises, etc.

Pour le travail collaboratif


Ces services en ligne permettent de télécharger, lire et éditer légèrement différents types de documents de type textes (word, PDF), images, etc simultanément entre plusieurs utilisateurs. Ils offrent une alternative à des services comme Google Docs, ou les Office Web Apps de Microsoft, qui nécessitent une inscription préalable. Ils fonctionnent particulièrement bien sur la base d'une collaboration éphémère.
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 22 février 2011 à 07:07 par CommentCaMarche
Ce document intitulé « Choisir un service de partage de documents en ligne » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.




Sujet 31010 - Tumblr : quels usages marketing ?

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

A la fois plateforme de micro-blogging et réseau social, Tumblr est le dernier né des outils de partage et de recommandation de contenus. Pour les professionnels convertis au web 2.0, il permet de poster rapidement tous types de contenus et s'intègre parfaitement à l'écosystème d'une campagne marketing sur internet. Qu'elle soit pilotée depuis son poste de travail, ou en contexte mobile. Quelles sont les fonctionnalités et les applications de Tumblr ? A quels professionnels s'adresse-t-il ? Focus sur un outil annoncé comme un concurrent de Facebook et Twitter.


Qu'est-ce que Tumblr?


Tumblr est à la fois un service de publication de contenus (à l'image de Wordpress, Blogger) et un réseau social (proche de Twitter) permettant le partage rapide de liens, photos, vidéos, textes et citations publiées par les membres. A la manière de Twitter, il est possible de s'abonner à d'autres blogs Tumblr, et donc de « reposter » des contenus intéressants.

Les fonctionnalités de Tumblr


Sur Tumblr, les contenus publiés peuvent être isolés les uns des autres : des modules séparés permettent de les poster selon leur nature (vidéos, photos). Ce qui facilite d'une par le travail d'édition, et permet d'autre part de mieux les mettre en valeur sur la plateforme.

Les modules dans le détail :

Publication de texte


L'éditeur est basique et les possibilités de mise en forme sont minimalistes. Les articles crées peuvent être accompagnés de photos.
A noter :
- La publication d'articles peut être programmée
- Les URL peuvent être réécrites manuellement
- Le formulaire de tags figure en vis-à-vis de l'éditeur, il peut être renseigné très rapidement

Publication de photos


L'éditeur est similaire à celui du module texte. Il est possible de télécharger des photos HD (jusqu'à 10 Mo), ou de pointer vers l'URL d'une photo en ligne. Il est possible d'ajouter une légende et des tags pour améliorer le référencement.

Publication de citations (« Quote »)


Un module qui permet de reprendre une citation d'un contenu web (en le sourçant), pour mettre en valeur le verbatim d'un blogueur/auteur/personnalité de référence (hi tech, mode, e-commerce). C'est un mode de traitement très compatible avec le fonctionnement des réseaux sociaux.

Publication d'extraits de chats/discussions


Ce module ressemble au module « citation ». Il est possible de copier-coller l'extrait d'une discussion insolite par exemple.

Publication de liens


Ce module se réduit à un champ titre et au lien à renseigner, avec les mêmes possibilités en termes de référencement que les autres modules (réécriture d'URL, choix des tags etc.). Proche de Twitter, donc.

Publication de contenus audio et vidéo


Deux modules séparés, qui permettent d'intégrer du son (MP3) ou de la vidé, soit en intégrant le fichier à partir d'une plateforme (ex : Youtube), soit en le téléchargeant depuis son PC (limite de 5 minutes et 100 Mb pour une vidéo),

Tumblr : quelles applications pour les pros ?


Moins utilisé que Twitter ou Facebook, Tumblr est pourtant un outil très intéressant pour faire du marketing. Il fonctionne très bien en complément des autres réseaux sociaux.

Voici quelques applications pratiques pour les pros :

Référencement


La possibilité d'ajouter rapidement des tags à chaque contenu, de les titrer, et de réécrire les URL permet de soigner le référencement de ses contenus dans les moteurs de recherche. Tumblr fournit un plan de site XML pour favoriser l'indexation des pages de son blog. En interne, la plateforme vient d'ajouter un volet d'exploration basée sur les tags utilisés dans les articles, ce qui facilite la recherche des blogs et améliorent la visibilité des contenus publiés.

Pour améliorer le référencement de ses contenus tout en continuant d'utiliser Tumblr, il est possible d'acquérir son propre nom de domaine.

E-réputation/marque personnelle


La publication rapide d'articles permet aux marques/sites commerciaux, de poster un grand volume de contenus liés leur actualité sous différents formats attrayants. De nombreux utilisateurs se servent également de Tumblr pour développer leur marque personnelle (ex : carnets de bord, CV, etc).

Marketing viral


Chaque contenu de Tumblr peut être « reposté » par ses abonnés, à l'image de ce que permet Twitter, il est donc important d'être actif sur la plateforme pour recruter un nombre de fans suffisamment important. Les contenus publiés sur Tumblr peuvent également être partagés automatiquement sur un compte Facebook/Twitter/. La mise en réseau est également possible dans l'autre sens : les contenus et statuts en provenance d'autres services (Twitter, Youtube, Blogger, Wordpress, LiveJournal) peuvent-être postés sur Tumblr sous plusieurs formes (ex : liens, liens avec résumés). Ces différentes possibilités font de Tumblr un « chaînon » important dans le cadre d'une campagne de marketing virale sur le lancement d'un produit, d'un service par exemple.

Les utilisateurs peuvent proposer du contenu à un autre utilisateur (qui est modéré a priori) ou de s'adresser à lui directement en lui posant une question, ce qui facilite « l'engagement » avec ses fans (à l'image d'un mur Facebook).

Wiki d'entreprise


Il est possible de créer des blogs en accès privé, en invitant des contributeurs, avec plusieurs finalités : communication interne, partage de ressources et de connaissances, etc.

Avantages et limites de Tumblr


Parmi les avantages :
- Création/prise en main du blog et partage de contenus très rapides
- Possibilité d'acheter son propre nom de domaine depuis la plateforme (plutôt pour les utilisateurs avancés)
- Possibilité d'acheter des thèmes graphiques (templates) professionnels
- Possibilité d'ajouter des pages statiques
- Possibilité de poster des photos HD
- Tous les types de contenus peuvent être publiés par email (photos, vidéos, textes, etc.), une fonctionnalité très pratique pour poster via un smartphone par exemple.
- Tumblr est décliné en application mobile pour iPhone
- Il supporte Google Analytics pour l'analyse de trafic web

Parmi les limites :
- La majorité des contenus sont en anglais, mais la plateforme est en cours de traduction en français.
- Le volume important de contenus sans intérêt, qui peuvent « noyer » le contenu de son blog dans la masse
- La nécessité d'être très actif pour être visible sur la plateforme

Tumblr : pour quels professionnels?


Tumblr fonctionne bien pour les professionnels (mobiles) qui n'ont pas le temps de poster sur des plateformes plus « éditoriales » (comme Wordpress ou Blogger) et qui souhaitent amplifier leurs actions parallèles sur d'autres réseaux sociaux (ex : Twitter, Facebook). L'outil se prête donc plus à une utilisation en synergie avec d'autres plateformes, et non isolément d'elles, ce qui le rend intéressant pour les community managers notamment.

Pour l'heure, 1/5e des blogs créés sur Tumblr concernent la mode, mais d'autres thèmes y sont également représentés : la publicité, le high tech, la gastronomie, etc.

Tumblr permet de poster des photos HD, ce qui fait que la plateforme convient parfaitement aux professionnels souhaitant mettre en avant leurs produits visuellement.
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 29 mars 2011 à 12:07 par CommentCaMarche
Ce document intitulé « Tumblr : quels usages marketing ? » issu de Comment Ça Marche Informatique (www.commentcamarche.net) est mis à disposition sous les termes de la licence Creative Commons. Vous pouvez copier, modifier des copies de cette page, dans les conditions fixées par la licence, tant que cette note apparaît clairement.




Sujet 31107 - Choisir un outil de curation de contenus web

[ Voir ce sujet en ligne ] - [ Catégorie: Professionnels - e-communication ]

Très en vogue depuis quelques mois, les outils de curation de contenus web offrent une nouvelle façon d'organiser et de suivre les contenus les plus intéressants sur internet. Ces réseaux éditoriaux participatifs s'appuient sur des utilisateurs « experts » d'un sujet, qui trient les informations les plus intéressantes avant de les diffuser à leurs communautés de lecteurs, et d'interagir avec elles. Au-delà de la veille d'informations, ces outils permettent aux professionnels d'occuper de nouveaux espaces d'expression, de gagner en visibilité, de soigner leur e-réputation, ou encore d'enrichir leur carnet d'adresses. Présentation des fonctionnalités et particularités de Pearltrees, Parper.li et Scoop.it : trois outils de curation de contenus web qui répondent à des besoins très variés pour les adeptes des outils web 2.0.


Pearltrees

En un clin d'oeil


Pearltrees est un réseau collaboratif de bookmarking/organisation de contenus web qui permet à un internaute de cartographier et représenter visuellement ses pages web favorites, un peu à la manière d'une carte heuristique. Chaque page web est figurée par une « perle » et chaque perle (lien vers un contenu web) appartient à un arbre à perles (l'équivalent d'un dossier), auquel elle est thématiquement et/ou hiérarchiquement liée. L'internaute peut éditer à tout moment son arbre à perles (retirer/ajouter des perles) et former une équipe avec d'autres membres pour construire un arbre à perles « collaboratif ». Il peut également prendre des perles au gré de sa navigation web, les ajouter à son propre arbre, ou encore suivre l'activité éditoriale d'un autre membre.

Les particularités et fonctionnalités de Pearltrees


Ce service web propose une interface très particulière et un mode d'utilisation différent des autres outils de curation de contenus web. Il nécessite une grande implication de la part de l'utilisateur. Pour faciliter la gestion de l'outil -très liée à la navigation web- des extensions Pearltrees pour Firefox et Google chrome sont disponibles.

Parmi les fonctionnalités de Pearltrees
- Possibilité de chercher des membres et sujets par mots-clés via un moteur de recherche, ce qui facilite la découverte d'arbres à perles (c'est à dire un répertoire de liens) et la mise en réseau des utilisateurs.
- Possibilité de se connecter à d'autres perles et les inclure au sein de ses propres arbres
- Partage rapide des perles (favoris) et arbres à perles via Twitter, Facebook, blogs, ou par email
- Le fondateur d'une équipe peut créer un édito pour chaque arbre à perles, ce qui permet de définir les orientations à suivre pour l'ajout/l'organisation/le partage de contenus web.
- Dans un configuration de travail en équipe, les créateurs d'arbres à perles peuvent suivre l'historique des modifications apportées par l'équipe et restaurer d'éventuelles perles/arbres effacés.

Quelques applications de Pearltrees


- L'e-veille (documentaire/concurrentielle) en interne (avec la possibilité de créer des groupes de travail autour de sujets thématiques)
- Réseautage : Pearltrees est un réseau public, l'un des intérêts et donc de « découvrir » et faire équipe avec des membres qui partagent les mêmes centres d'intérêts.
- E-marketing (B2B/B2C) : présentation d'une expertise dans un domaine particulier (ex : réalisation web pour les développeurs, produits pour l'e-commerce). Présentation des différentes activités de son entreprise.
- E-réputation : pour élargir sa communauté de fans en profitant de la publicité du réseau et du partage potentiel de ses perles (sur Twitter/Facebook)
- Marque personnelle : constitution d'un CV visuel pointant vers ses différents comptes professionnels (Linkedin, Viadeo), vers ses contributions web, etc.

Paper.li

En un clin d'oeil


Paper.li est un service permettant de créer un journal en ligne sur une thématique particulière, à partir de contenus postés/recommandés sur Twitter et Facebook. Une partie des contenus est donc agrégée à partir des tweets de son compte personnel Twitter, de ses followers, de ses listes créés, ou encore de mots-clés (tags).

L'utilisateur choisit le titre d'un journal en fonction d'une thématique dans laquelle les liens les plus pertinents seront automatiquement regroupés, sous la forme d'un « webzine » facile à lire et disponible en ligne pour tout le monde.

Les particularités et fonctionnalités de Paper.li


- Il est possible de paramétrer la périodicité de publication des journaux (toutes les 24 heures, deux fois par jour, une fois par semaine)
- Un utilisateur peut créer jusqu'à 10 journaux
- Toutes les éditions sont archivées (ce n'est pas un journal qui évolue « en temps réel »)
- Une fois publiés, les journaux peuvent être automatiquement partagés sur son compte Twitter
- Les journaux peuvent être intégrés à des blogs/pages web.

Pour quels usages ?


E-veille :
- La périodicité de publication et la disposition des contenus Twitter journal permet de faire une synthèse rapide sur un sujet particulier, à un moment donné.
- Paper.li permet de faire le tri entre les tweets (plus ou moins pertinents) auxquels l'utilisateur est abonné. Il s'avère donc très utile si vous comptez beaucoup d'abonnés et que vous n'avez pas le temps de suivre tous les tweets de votre timeline.
- il est possible de faire une recherche de journaux thématiques par mots-clés, et de s'abonner par mail.

Marketing/networking
- Il est possible d'indiquer les contributeurs Twitter associés au journal que leur contenu a été repris au moment de la publication (avec une @mention)

Scoop.it

En un clin d'oeil


A l'image de Paper.li, Scoop.it est un outil de curation de contenus web qui permet à un utilisateur d'agréger les meilleurs pages web relatives à un sujet, de les réunir sous un format « journal ». A une différence : celui-ci évolue en temps réel (pas de publication périodique). En fonction d'un centre d'intérêt choisi, Scoop.it (scoop = « ramasser » an anglais) suggère des contenus à l'utilisateur, et celui-ci choisit les plus pertinents. Celui-ci est donc « rédacteur en chef » de son webzine.

C'est un outil beaucoup plus participatif et évolutif que Paper.li. Il propose davantage d'interactions entre le créateur et sa communauté de lecteurs, en vue d'améliorer la qualité des contenus proposés. Scoop.it partage plusieurs caractéristiques communes avec : les plateformes de blog (éditions des contenus tiers possible), les site de bookmarking (de type Delicious), et différents réseaux sociaux (ex : Twitter et Tumblr)

Particularités et fonctionnalités de Scoop.it


- L'utilisateur sélectionne les meilleurs contenus suggérés (en fonction du sujet choisi) par Scoop.it et peut les commenter avant de les poster.
- Il peut ajouter à sa page Scoop.it des pages web au gré de sa navigation web (via le bouton « Bookmarklet » intégré à la barre d'adresses)
- Les lecteurs peuvent s'abonner (follow) une page Scoop.it à la manière de Twitter et s'informer des mises à jour
- Le journal peut être partagé rapidement sur Twitter et Facebook par les lecteurs, qui peuvent également s'abonner à un flux RSS
- Les lecteurs peuvent suggérer des nouveaux contenus au créateur du journal, qui choisit ou non de les intégrer.

Pour quels usages ?


E-réputation/networking : Scoop.it a avant tout vocation à mettre en avant l'expertise et les talents de « curateur » d'un éditeur web. Plus ses sources et ses choix éditoriaux seront fiables et pertinentes, plus il aura de chances d'être suivi et recommandé sur Twitter et Facebook par sa communauté de lecteurs, mais aussi par les éditeurs à l'origine des contenus sélectionnés.
Marque personnelle : Possibilité de lier vers ses comptes Twitter et Facebook depuis sa page personnelle Scoop.it
E-veille en temps réel : les journaux sont actualisés en temps réel, ce qui permet aux followers de suivre l'arrivée de nouveaux contenus en flux tendu.
Publié par CommentCaMarche - Dernière mise à jour le 4 mars 2011 à 10:10 par CommentCaMarche
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